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Roynac

Roynac est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Roynac
Roynac
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Valérie Arnavon
2020-2026
Code postal 26450
Code commune 26287
DĂ©mographie
Gentilé Roynacaines, Roynacains
Population
municipale
483 hab. (2020 en augmentation de 0,21 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 28 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 38′ 37″ nord, 4° 56′ 26″ est
Altitude Min. 159 m
Max. 497 m
Superficie 17,06 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Dieulefit
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Roynac
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Roynac
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Roynac

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Roynac est situĂ©e Ă  km Ă  l'est de Marsanne, Ă  19 km au sud de Crest, Ă  22 km au sud-est de Loriol-sur-DrĂ´me et Ă  22 km au nord-est de MontĂ©limar.

    Rose des vents Marsanne La Roche-sur-Grane La RĂ©para-Auriples Rose des vents
    Marsanne N Puy-Saint-Martin
    O Roynac E
    S
    Marsanne Cléon-d'Andran Puy-Saint-Martin

    Relief et géologie

    • Le pont culminant est la montagne du Fayn (497 m), situĂ©e en limite sud-est de la commune. Elle tire son nom d'un bouquet de hĂŞtres, ou d'un hĂŞtre isolĂ©, restĂ© en place pendant plusieurs siècles, et qui servit de borne permanente Ă  la limite de plusieurs communes (La Roche-sur-Grane, Roynac et La RĂ©para-Auriples)[1].
    • Le col du Deves est le point de rencontre de trois communes, de trois cantons et, dans le passĂ©, de trois citĂ©s romaines, puis de trois Ă©vĂŞchĂ©s et de trois seigneuries (borne gĂ©odĂ©sique N° 8).
    • Le col de Tartaiguille est Ă  399 m (panorama)[2].

    Voies de communication et transports

    La sortie sud du tunnel de Tartaiguille (LGV Méditerranée) est située sur le territoire de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Roynac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de MontĂ©limar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,8 %), forêts (34,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[9] :

    • 1159 : Roennac (cartulaire de Die, 44).
    • 1234 : Roenac (cartulaire de LĂ©oncel, 119).
    • 1332 : Roenaxum (Gall. christ., XVI, 130).
    • XIVe siècle : Royniaco (pouillĂ© de Valence).
    • XIVe siècle : mention des deux paroisses : duo capellani de Roynaco (pouillĂ© de Valence).
    • 1442 : Roynat (choix de docum., 279).
    • 1455 : Ruinac (S. de Boissieu, Us. des fiefs, 186).
    • 1540 : mention de l'unique paroisse : cura Roynacii (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1549 : Royanacium (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1560 : Roynacum (cartulaire de MontĂ©limar, 145).
    • 1589 : Ruinat (MĂ©moires d'Eustache PiĂ©mont, 219).
    • 1655 : locus Ruynaci (archives de la DrĂ´me, B 213).
    • 1696 : Rouannac (archives de Grane).
    • 1891 : Roynac, commune du canton de Crest-Sud.

    Histoire

    Préhistoire

    La consommation des gastéropodes fut constante dans la préhistoire chez les chasseurs-cueilleurs. Entre 1994 et 1997, lors des chantiers de fouilles précédant la construction de la ligne TGV en moyenne vallée du Rhône, leurs coquilles furent découvertes en si grande quantité qu'elles ont permis une importante avancée en malacologie[10].
    Sur le site du Serre 1, à Roynac, dans la vallée de la Valdaine, furent trouvés en quantité des coquilles d'escargot de Bourgogne. Leur consommation s'est étendue du néolithique cardial, naissance de l'agriculture, au bronze final, constitution de l'habitat groupé[11].

    Reconstitution d'une habitation de l'âge de bronze.

    Des fouilles (de mai à septembre 1996) se sont déroulées au lieu-dit le Serre 1 (sous la direction de Joël Vital). Elles ont permis la découverte, jusqu'à quatre mètres de profondeur, de neuf niveaux d'occupation humaine s'étageant du néolithique au Moyen Âge[12].

    Trois surfaces archéologiques concernaient l'âge des métaux. La S 1 (Serre 1) relevait seule du Bronze ancien. Le site fut occupé de 2200 avant notre ère à -1800 avec un pic situé entre -2150 et -2000 (datation au C14).
    Sur cette surface (près de 5 800 m2 dĂ©capĂ©s), ont Ă©tĂ© identifiĂ©s plusieurs centaines d'amĂ©nagement humains. Seuls 1 600 m2 ont Ă©tĂ© fouillĂ©s[13].
    L'occupation humaine s'est caractérisée par le creusement de nombreuses fosses. Une cinquantaine ont été utilisées comme silos, ce qui a permis de retrouver dans le fond des céréales carbonisées. Une autre cinquantaine a servi à d'autres fonctions et pour un certain nombre d'entre elles de dépotoir à reliefs de repas puisqu'il y a été identifié des os de suidés et de bovidés. Trois fosses ont été aménagées en four de combustion[13].
    Ces installations sont à mettre en relation avec l'identification d'éclats et de gouttes de bronze qui ont été exhumés sur place. L'habitat étaient en bois puisque 150 trous de calage de poteaux ont été comptabilisés. La fouille a mis au jour de nombreux récipients de céramique à fort volume pour le stockage personnel[14], ainsi que les vestiges de deux bâtiments comportant un grenier surélevé pour le stockage communautaire[15].
    Contrairement à d'autres sites du Bronze, celui-ci ne semble pas avoir préféré une implantation sur un grand axe de communication. Il semble avoir privilégié la possibilité de se fournir en minerai métallifère dans les vallées du proche massif alpin[16].

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    La seigneurie[9] :

    • Au point de vue fĂ©odal, Roynac Ă©tait une terre du patrimoine des comtes de Valentinois.
    • 1263 : elle est infĂ©odĂ©e aux Bezaudun.
    • 1336 : elle passe aux AdhĂ©mar.
    • 1405 : passe aux MĂ©vouillon.
    • 1516 : vendue aux Hostun.
    • 1648 : vendue aux (d')Eurre.
    • Peu après : elle passe aux Beaumont de Brison.
    • 1783 : elle passe aux Montlovier, derniers seigneurs.

    Autour du château se trouvait la rue de l'église, le four seigneurial et l'hôpital. À l'extérieur du village se trouvait une habitation isolée, lieu d'accueil des lépreux.

    XIVe siècle : Louis de Poitiers brûle le village, et à peine relevé de ces cendres, celui-ci subit l'invasion de Reymond de Beaufort.

    1561 : le château, déjà endommagé, est démantelé.

    Durant les guerres de Religion, les huguenots attaquent Roynac en 1569. De Gordes, armé de trois canons, prend Roynac, quatre ans plus tard en 1573.
    Les catholiques récupérèrent cette région.
    En 1577, il y eut une nouvelle attaque de protestants. La paix arriva en 1579.

    Le 17 octobre 1784, par ordonnance de monseigneur de Grave, évêque de Valence, le service paroissial de Roynac fut transféré à Puy-Saint-Martin, jusqu'à ce que la construction de l'église qu'il avait ordonnée soit commencée. Monsieur Servant, curé à l'époque, alla à Cléon d'Andran. Jusqu'à la commune civile en 1792, l'état civil fut enregistré à Puy-Saint-Martin. Les habitants de Roynac rechignèrent longtemps à donner de l'argent pour la construction de la nouvelle église. Roynac restera près de cinquante ans sans prêtre.

    En 1788, le village est en ruine et la commune est composée de trois hameaux : les Girards (huit habitants), les Bessons (trois habitants) et les Frangeas (cinq habitants). Le reste de la population est disséminé dans la campagne. La commune compte alors 92 familles, soit 450 personnes environ[17].

    Avant 1790, Roynac était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
    Après avoir formé pendant longtemps deux paroisses du diocèse de Valence, elle n'en formait plus qu'une, dont l'église était dédiée à saint Lambert et dont les dîmes appartenaient, par moitié, aux deux prieurs du lieu (voir Notre-Dame ou l'Ancien Prieuré, et Le Prieuré)[9] :

    Notre-Dame (ancien prieuré)

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

    • XIVe siècle : prioratus Beate Marie Poieti de Royniaco (pouillĂ© de Valence).
    • XVe siècle : prioratus Beate Marie Poieti de Roynaco (pouillĂ© de Valence).
    • XVe siècle : prioratus Beate Marie de Poyeto Roynacii (pouillĂ© de Valence).
    • 1456 : Beata Maria de Poyeto (archives de la DrĂ´me, E 2494).
    • 1482 : Nostre Dame du Poget (archives de la DrĂ´me, E 2522).
    • 1540 : prioratus Beate Marie Roynani (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1549 : Beata Maria de Pogeto Royanacii (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1699 : le priorĂ© de Nostre Dame de Roynac (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence]).
    • 1891 : Notre-Dame ou L'Ancien-PrieurĂ©, ferme et quartier de la commune de Roynac.

    Ancien prieuré d'Augustins, dépendant de l'abbaye de Saint-Thiers de Saou, dont l'église était, aux XVIe siècle et XVIIe siècle, celle d'une paroisse comprenant la moitié de la commune de Roynac et dont le titulaire avait la moitié des dîmes de ce lieu[18].
    Il se trouvait dans le quartier du Fongeas.

    Le Prieuré

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :

    • 1282 : domus Sancti Privati (visites de Cluny).
    • 1293 : prioratus Sancti Privati subjectus domus Sancti Marcelli de Sacceto (visites de Cluny).
    • XIVe siècle : prioratus Sancti Privati de Royniaco (pouillĂ© de Valence).
    • XVe siècle : prioratus Sancti Privati de Raynaco (pouillĂ© de Valence).
    • 1549 : Sanctus Privatus Royanaci (pouillĂ© de Valence).
    • 1626 : prioratus Sancti Privati de RoĂ®naco (pouillĂ© gĂ©n.).
    • 1891 : Le PrieurĂ©, ferme de la commune de Roynac.

    Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, filiation de Cluny, et de la dépendance du prieuré de Saint-Marcel-lès-Sauzet, sous le vocable de Saint-Privat, et dont le titulaire avait la moitié des dîmes de la paroisse de-Roynac[19].
    Il se trouvait au quartier du Prieuré, à proximité de la voie ferrée actuelle.

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    En 1790, la commune est comprise dans le canton du Puy-Saint-Martin. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans celui de Crest-Sud[9] :

    1833 : une nouvelle Ă©glise est construite.

    1851 : la commune compte 780 habitants. Il ne reste plus que dix habitants dans le vieux village ; son dernier habitant, FĂ©licien Mouton FĂ©licien, qui vivait seul au vieux village, y mourut en 1917

    Début XIVe siècle : l'école de Roynac est construite en 1903 ; l'électricité est installée en 1927 ; l'adduction d'eau est achevée en 1936.

    En 1947, Roynac entre dans le canton de Marsanne.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1959 Edouard Gronlier
    1959 1983 Albert Navoly
    1983 2014 André Gilles DVD Conseiller général du canton de Marsanne
    (2001-2015)
    2014 En cours
    (au 23 janvier 2015)
    Valérie Arnavon[20] DVD cadre

    Population et société

    DĂ©mographie

    En 2020 en augmentation de 0,21 % par rapport Ă  2014, la commune de Roynac comptait 483 habitants. Ă€ partir du XXIe siècle, les recensements rĂ©els des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    480408537628666688682760780
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    856734684702659622601561554
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    543554538483444425401385372
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    370356338311357415430426458
    2015 2020 - - - - - - -
    482483-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte patronale : le premier dimanche de mai[2].
    • FĂŞte communale : le dimanche après le 29 septembre[2].

    Loisirs

    • RandonnĂ©es[2].

    Économie

    En 1992 : céréales, semences (luzerne, maïs, tournesol, ail), vignes, pâturages(ovins), porcins, volailles[2].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La Pierre sanglante (au col de Deves) est mentionnĂ©e dans un document de 1286. Elle prĂ©sente une surface alvĂ©olĂ©e et rougeoyante qui a fait naĂ®tre de nombreuses lĂ©gendes : sacrifices humains des Celtes, exĂ©cutions de prisonniers par les Sarrasins. On montre mĂŞme l'emplacement du genou et de la main des suppliciĂ©s.
    • Vestiges fĂ©odaux[2].
    • Village perchĂ© ruinĂ©[2].
    • Chapelle du XIIe siècle (au cimetière)[2].
    • Église Saint-Lambert de Roynac, romane du XVIe siècle (dans le vieux village)[2].
    La chapelle Saint-Lambert était de petites dimensions. Plusieurs chapelles de style ogival lui avaient été ajoutées. La voûte s'effondra le 16 juillet 1768. Il ne reste plus que le clocher.
    • Château de Chevrière (style baroque)[2].
    • Église du XIXe siècle[2].
    • La Vierge du vĹ“u.

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Roynac possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. F. Monteiller « Enquêtes sur les arbres remarquables de la Drôme », Études drômoises, (no)69, décembre 1986, p. 53-55.
    2. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Roynac.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 323.
    10. Jacques-Léopold Brochier et Jean-François Berger, Archéologie sur toute la ligne. Les fouilles du TGV Méditerranée dans la moyenne vallée du Rhône, Éd. Somogy-édition d'art et Musée de Valence, 2002, p. 38. (ISBN 285056513X).
    11. Joël Vital, Archéologie sur toute la ligne. Les fouilles du TGV Méditerranée dans la moyenne vallée du Rhône, Éd. Somogy-édition d'art et Musée de Valence, 2002, p. 71 à 78. (ISBN 285056513X).
    12. Joël Vital, Archéologie sur toute la ligne, p. 71.
    13. Joël Vital, Archéologie sur toute la ligne, p. 73.
    14. Joël Vital, Archéologie sur toute la ligne, p. 74.
    15. Joël Vital, Archéologie sur toute la ligne, p. 75.
    16. Joël Vital, Archéologie sur toute la ligne, p. 76.
    17. questionnaire de 1788
    18. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 246 (Notre-Dame ou l'Ancien-Prieuré).
    19. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 290 (Le Prieuré).
    20. Roynac sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 23 janvier 2015).
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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