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Religion au Cambodge

Une forte majoritĂ© de Cambodgiens (plus de 95 %) sont adeptes du bouddhisme theravāda, par ailleurs religion d’État. Le terme figure d’ailleurs au second rang dans la devise du royaume du Cambodge actuel (« Nation, Religion, Roi »).

RĂ©partition de la population du Cambodge par religions (en 2013) : le bouddhisme est trĂšs largement majoritaire.

Cette prĂ©pondĂ©rance se retrouve dans la constitution qui reconnait le bouddhisme comme religion d’État[1].

À cĂŽtĂ© de cette religion dominante coexistent une petite communautĂ© musulmane (moins de %), essentiellement implantĂ©e parmi l’ethnie Cham, quelques chrĂ©tiens et des minoritĂ©s montagnardes (Khmer Loeu) qui ont conservĂ© l’animisme, en vigueur dans toute la rĂ©gion avant l’apparition de l’hindouisme.

MalgrĂ© cette hĂ©gĂ©monie, comme dans la plupart des pays partageant la mĂȘme obĂ©dience, qui se soucie peu de prosĂ©lytisme, la libertĂ© de culte[note 1] parait respectĂ©e et aucune confession ne semble faire l’objet de persĂ©cution religieuse[2].

Religions au Cambodge selon le recensement de 2008[3]
ReligionPourcentagePopulation
Bouddhisme96,93 %12 984 523
Islam1,92 %257 022
Autres religions0,78 %104 081
Christianisme0,37 %50 056
Total100,00 %13 395 682

Bouddhisme

Le bouddhisme theravāda est la religion d’État depuis la fin du rĂšgne de Jayavarman VII (1181-1218), mise Ă  part une rĂ©action shivaĂŻte au XIIIe siĂšcle, sous Jayavarman VIII[4] et l’épisode des rĂ©gimes communistes du KampuchĂ©a dĂ©mocratique et de la rĂ©publique populaire du KampuchĂ©a Ă  la fin du XXe siĂšcle[5].

Les murs et le plafond sont surchargés de peintures de couleurs vives représentant les épisodes marquants de la vie du Bouddha
Décoration intérieure d'une pagode récente à Kratie

Jayavarman VII pratique le Bouddhisme grand véhicule Mahayana

De nos jours, le bouddhisme garde un rĂŽle central auprĂšs de la monarchie. Les vĂ©nĂ©rables des deux ordres (Maha Nikaya et Dhammayuttika Nikaya) sont membres de droit du conseil du trĂŽne chargĂ© de choisir un nouveau souverain lorsque la fonction royale est vacante. De mĂȘme, lors du couronnement, le monarque doit s’engager Ă  se conformer aux quatre enseignements fondamentaux du Bouddha et Ă  faire preuve de compassion pour son peuple[6].

Enfin, comme souvent pour les religions majoritaires, le bouddhisme cambodgien, outre son aspect spirituel, comporte aussi un volet social. La construction, puis l’entretien d’une pagode est souvent un acte fĂ©dĂ©rateur d’une communautĂ© villageoise ou d’un quartier, oĂč chacun contribue en fonction de ses moyens, l’un amenant des fonds, l’autre participant aux travaux. Les localitĂ©s rivalisent alors pour faire paraĂźtre leur lieu de culte le plus somptueux possible et essayent d’attirer les personnes ayant une rĂ©putation de haute probitĂ© morale dont les enseignements assureront la renommĂ©e de la pagode hors de la communautĂ©[7]. Beaucoup de moines et de pratiquants du Bouddhisme ThĂ©ravada au Cambodge suivent un chemin contraire par rapport Ă  l'enseignement du Bouddha. C'est une religion d'Etat, que les hommes politiques n'hĂ©sitent pas Ă  l'utiliser comme moyen pour atteindre leurs buts.

Islam

Le parvis est richement décoré avec seulement 3 motos y circulant. La mosquée est constituée de 2 tours sur les cÎtés et un dÎme central de couleur verte.
La mosquée KM9 en périphérie de Phnom Penh

L‘islam est la principale religion de la minoritĂ© cham (dont les membres sont aussi appelĂ©s Khmers Islam ou Cambodgiens musulmans) et de Malais vivant dans ce pays[8].

En 2008 leur estimation est d'environ 250 000, soit un peu moins de 2 %[3] de la population.

Christianisme

Catholicisme

La premiĂšre mission chrĂ©tienne connue au Cambodge est celle menĂ©e dans les annĂ©es 1550 par un dominicain portugais du nom de Gaspard de Santa-Cruz, mais dans ses mĂ©moires il reconnut lui-mĂȘme l’échec de son entreprise[9]. Depuis, d’autres tentatives se sont succĂ©dĂ©, mais les conversions sont restĂ©es rares[10].

Le bĂątiment est de couleur bleu avec une croix au sommet du toit au-dessus de l'entrĂ©e. À gauche, un panneau avec l'inscription Ă©glise catholique de Chong Khneas en khmer et en anglais.
L'Ă©glise du village flottant de Chong Khneas, dans la province de Siem Reap

D’aprĂšs les statistiques du Vatican, les catholiques Ă©taient au nombre de 120 000 au Cambodge en 1953, ce qui en faisait le second groupe religieux de l’époque derriĂšre les bouddhistes. Ce chiffre devra ĂȘtre revu Ă  la baisse au printemps 1970, aprĂšs le rapatriement de quelque 50 000 d’entre eux d’origine vietnamienne. On estime que la majoritĂ© de ceux qui restaient alors au Cambodge en 1972 Ă©taient des EuropĂ©ens, essentiellement Français et allaient ĂȘtre Ă©vacuĂ©s en 1975, lors de la mise en place du KampuchĂ©a dĂ©mocratique[11].

Pendant le rĂ©gime de Pol Pot, la communautĂ© catholique du Cambodge, trĂšs minoritaire, est proportionnellement l'une des plus touchĂ©es parmi les groupes ethniques et religieux : le nombre de « disparus » est Ă©valuĂ© Ă  48,6 %[12]. Le dĂ©cĂšs en camp de travail de Mgr Joseph Chhmar Salas, vicaire apostolique de Phnom Penh avec d'autre prĂȘtres cambodgiens en est un symbole fort[13]. Souvent citadins, les catholiques ont Ă©galement le tort d'ĂȘtre, pour une grande partie d'entre eux, d'ethnie vietnamienne, et associĂ©s au souvenir de la colonisation française de l'Indochine. La cathĂ©drale de Phnom Penh est, avec la Banque nationale du Cambodge, le seul Ă©difice Ă  ĂȘtre totalement rasĂ© par les Khmers rouges[12].

Les cultes sont Ă  nouveau autorisĂ©s Ă  partir de 1979 par la RĂ©publique populaire du KampuchĂ©a, mais le pays reste quasiment fermĂ© aux puissances occidentales. Pour contourner cette limitation, les missionnaires rĂ©investissent le pays sous couvert d’une organisation humanitaire (Caritas), seul moyen pour eux de revenir au Cambodge[14]. Les frontiĂšres s'ouvrent finalement au dĂ©but des annĂ©es 1990 et l'Ă©glise catholique peut se reconstruire. Le pays est divisĂ© en un vicariat apostolique (Phnom Penh) et deux prĂ©fectures apostoliques (Battambang et Kampong Cham). En 2002, le pĂšre François Ponchaud des Missions Ă©trangĂšres de Paris estimait la communautĂ© catholique du Cambodge Ă  « 10 000 chrĂ©tiens cambodgiens » et de « 15 000 Ă  20 000 Vietnamiens »[15].

Protestantisme et évangélisme

Concernant les protestants, les seuls chiffres disponibles quant au nombre d’adeptes sont ceux du recensement de 1962, qui en dĂ©nombrait quelque 2 000. Ce nombre augmentera pendant la RĂ©publique khmĂšre avec l’arrivĂ©e de nombreuses missions humanitaires confessionnelles et Ă©vangĂ©listes venues apporter leur aide dans la guerre civile qui s’ensuit et qui en profitent pour obtenir quelques conversions, mais comme pour les catholiques, l'avĂšnement du rĂ©gime khmer rouge au printemps 1975, marquera le dĂ©part des missionnaires et la fin de la pratique de toute religion[16].

Dans les annĂ©es 1980, les missions investissent les camps de rĂ©fugiĂ©s et se livrent une compĂ©tition acharnĂ©e quant aux conversions[note 2] qui amĂšne les observateurs Ă  estimer que le nombre de chrĂ©tiens cambodgiens est plus important en ThaĂŻlande qu’il ne l'a jamais Ă©tĂ© au Cambodge[18].

Les Ă©glises Ă©vangĂ©liques sont aujourd’hui trĂšs prĂ©sentes et font un prosĂ©lytisme soutenu que mĂȘme les catholiques sur place dĂ©noncent[19]. Toutefois, si de nombreuses adhĂ©sions sont obtenues, gĂ©nĂ©ralement en Ă©change d’une formation ou d’une aide humanitaire, la plupart de ces nouveaux fidĂšles retournent Ă  leur croyance initiale sitĂŽt que les bienfaits tirĂ©s de cette nouvelle conversion s’estompent[20].

Hindouisme

Angkor Vat, le seul temple d'état du Cambodge dédié à Vishnou

L’hindouisme a Ă©tĂ©, parfois seul, parfois avec le bouddhisme, la religion d’État des diffĂ©rentes entitĂ©s territoriales qui se sont succĂ©dĂ© au Cambodge du dĂ©but de l’ùre chrĂ©tienne au XIVe siĂšcle. Il a aussi Ă©tĂ© une source d’inspiration indĂ©niable de l’art khmer[21].

MĂȘme si les sources sur cette pĂ©riode restent parcellaires, il est nĂ©anmoins possible de dĂ©gager quelques lignes directrices quant aux pratiques religieuses. L’étude de la statuaire indique qu’au moins depuis le Ve siĂšcle, l’essentiel des rites pratiquĂ©s semblent dĂ©couler du vishnouisme, et ce jusqu’à la fin du IXe oĂč apparaissent des temples dĂ©diĂ©s Ă  Brahmā, mais comportant des espaces pour les hommages Ă  Vishnou et Shiva. Le culte de cette divinitĂ© prend progressivement de l’importance quand bien mĂȘme les autres vĂ©nĂ©rations semblent rester tolĂ©rĂ©es. Tout au plus notera-t-on un bref retour du vishnouisme au premier plan dans la premiĂšre moitiĂ© du XIIe, lorsque Suryavarman II fera bĂątir Angkor Vat, le seul temple d’État du Cambodge dĂ©diĂ© au dieu protecteur de la trimourti hindoue. Mais les adeptes de Shiva reprennent rapidement leur place prĂ©pondĂ©rante pour quelques dĂ©cennies, avant que Jayavarman VII ne proclame le bouddhisme mahāyāna seule religion d’État. Une brĂšve rĂ©action shivaĂŻte aura lieu dans la seconde moitiĂ© du XIIe siĂšcle oĂč, au moins Ă  Angkor, les reprĂ©sentations du Bouddha seront dĂ©truites ou transformĂ©es en effigie de la nouvelle divinitĂ©. Cette rĂ©action restera toutefois sans lendemain et il semble que peu aprĂšs une forme moins radicale du shivaĂŻsme ait cohabitĂ© au Cambodge avec le bouddhisme mahāyāna jusqu’au XIVe siĂšcle oĂč ces deux religions s’effaceront au profit exclusif du bouddhisme theravāda[22].

De nos jours, on peut observer la prĂ©sence d'un ou plusieurs brahmanes du Palais royal (les Bakous) au cours de cĂ©rĂ©monies traditionnelles telles celle du Sillon sacrĂ© (Chrat Preah Nongkal) destinĂ©e Ă  augurer de bonnes rĂ©coltes[23] - [24]. Les Bakous continuent Ă  vivre Ă  la cour du roi et Ă  officier dans les grandes cĂ©rĂ©monies exaltant le principe monarchique : tonte du toupet au baptĂȘme des princes du sang, fĂȘtes d'anniversaire royaux, labourage sacrĂ©, FĂȘte des eaux (Om Touk), nouvel an khmer (Chaul Chnam)[25]. Mais aucune source ne semble exister quant Ă  la pratique de l’hindouisme en tant que religion au Cambodge en dehors de ces rites et rituels[26].

Khmers Loeu

Bosquet sacré de l'ethnie Kreung, entouré d'un enclos, protégeant l' esprit du bananier (province de Rotanah Kiri)

Les peuplades du nord-est cambodgien pratiquent une forme d’animisme hĂ©ritĂ© des pĂ©riodes prĂ©angkoriennes[27].

D’aprĂšs ces croyances, l’existence serait rĂ©gie par la cohabitation entre les habitants des contrĂ©es, l’esprit de leurs morts, le riz en tant que nourriture de base qu’il faut choyer, ainsi que par les Neak Ta, sortes de gĂ©nies qui commandent aux Ă©lĂ©ments naturels et dont il est nĂ©cessaire de s’attacher la protection. Un seul de ces Ă©lĂ©ments venant Ă  ĂȘtre contrariĂ© et c’est l’ensemble de l’édifice qui sera affectĂ©[28].

Chaque communautĂ© villageoise comprend ce qui peut s’apparenter Ă  un sorcier, chargĂ© de communiquer avec ces Neak Ta. En cas de crise, des animaux leur sont sacrifiĂ©s pour apaiser leur courroux. Les maladies, pour leur part, sont considĂ©rĂ©es comme des tourments causĂ©s par des esprits malfaisants et qu'on Ă©loigne par des talismans et des remĂšdes prĂ©parĂ©s par des chamans[11].

MĂȘme si la plupart des Cambodgiens sont adeptes d’autres cultes, ils conservent, surtout dans les campagnes, une partie de ces croyances et continuent, tout en pratiquant leur religion, Ă  vĂ©nĂ©rer des gĂ©nies protecteurs[29].

JudaĂŻsme

La communauté juive représente moins de 200 personnes à travers tout le royaume. En 2009, Rabbi Bentzion fonde la premiÚre institution juive du pays : la maison Chabad à Phnom Penh qui propose un lieu d'échange et de rencontre pour expatriés de confession juive et voyageurs de passage. L'institut met à disposition un Mikvé pour les hommes et un autre pour les femmes, une bibliothÚque ainsi qu'une synagogue[30].

Articles connexes

Notes et références

Notes

  1. Cette libertĂ© est garantie par la constitution tant que le culte ne va pas Ă  l’encontre de l’ordre et de la sĂ©curitĂ© publics et qu’il ne porte pas atteinte aux autres croyances et religions[1].
  2. Ces conversions Ă©taient souvent obtenues en Ă©change d’une aide humanitaire ou de la promesse d’un visa vers un pays occidental[17].

Références

  1. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. III (« Des droits et des devoirs des citoyens khmers »), article 43
  2. « Cambodge », Fiches pays, sur L'observatoire de la libertĂ© religieuse, AED - Aide Ă  l'Église en dĂ©tresse, (consultĂ© le )
  3. (en) United Nations Statistics Division, « Population by religion, sex and urban/rural residence », Cambodia * 2008, sur UNData (consulté le )
  4. Claude Jacques (photogr. Michael Freeman), Angkor, résidence des dieux, Olizane, , 320 p. (ISBN 978-2-88086-275-6, présentation en ligne), « Le XIIIe siÚcle et aprÚs ... », p. 281
  5. François Bizot, Recherches sur le bouddhisme khmer : Le Don de soi-mĂȘme, t. 3, École française d'ExtrĂȘme-Orient, coll. « Monographies », , 206 p. (ISBN 978-2-85539-730-6), p. 3-5
  6. Jean-Marie Crouzatier, Transitions politiques en Asie du Sud-Est : les institutions politiques et juridictionnelles du Cambodge, Toulouse, Presses de l'Université Toulouse 1 Capitole, , 182 p. (ISBN 9782361701048, présentation en ligne), partie 2, chap. 2 (« Un régime politique ambigu - Les fondements de l'identité khmÚre »), p. 100-101
  7. Adhémar LeclÚre, Le Bouddhisme au Cambodge, Paris, Ernest Leroux, , 536 p., p. 395-399
  8. Jean Delvert, Le paysan cambodgien, L'Harmattan, coll. « Recherches Asiatiques », , 688 p. (ISBN 978-2-7384-2451-8, lire en ligne), p. 22-23
  9. (en) C. R. Boxer (dir.) et al., South China in the Sixteenth Century (1550-1575) : Being the Narratives of Galeote Pereira, Fr Gaspar Da Cruz, Op , Fr Martin De Rada, Oesa, (1550-1575), Hakluyt Society, , 480 p. (ISBN 978-1-4094-1472-8), p. 59-63
  10. François Ponchaud (préf. Yves Ramousse, postface Roger Etchegaray), La Cathédrale de la riziÚre : 450 ans d'histoire de l'église au Cambodge, Le Sarment, coll. « Des chretiens », , 237 p. (ISBN 978-2-86679-069-1, présentation en ligne)
  11. (en) Robert K. Headley, Jr, « A Country Study: Cambodia », Chapter 2 - The Society and Its Environment * Religion * Other religions, sur Country Studies, BibliothÚque du CongrÚs, (consulté le )
  12. Jean-Louis Margolin, Cambodge : au pays du crime déconcertant in Le Livre noir du communisme, Robert Laffont, , 846 p. (ISBN 978-2-221-08204-1), p. 649
  13. BenoĂźt Fidelin, PrĂȘtre au Cambodge : François Ponchaud, l'homme qui rĂ©vĂ©la au monde le gĂ©nocide, Éditions Albin Michel, coll. « SpiritualitĂ© », , 263 p. (ISBN 978-2-226-10774-9, prĂ©sentation en ligne), p. 264
  14. Sabine Trannin, « PrĂ©sence massive et ambivalente des organisations humanitaires : Bonne volontĂ© et effet pervers », Églises d'Asie, asie du Sud-Est * Cambodge no 413,‎ (lire en ligne) partie III (« Les dĂ©rives inquiĂ©tantes de l'aide des ONG »), chap. 4 (« DĂ©rives religieuses »
  15. François Ponchaud, « L'Église catholique du Cambodge face au monde - Une Église en rĂ©surrection (1990-2002) », Églises d’Asie, Service of Documentation and Study on Global Mission (SEDOS), (consultĂ© le )
  16. (en) David Joel Steinberg, Cambodia : Its People, Its Society, Its Culture, Literary Licensing, LLC, , 366 p. (ISBN 978-1-258-25335-6), p. 57-62
  17. Christian Billon, Rouge a disparu, Publibook, coll. « Romans de société », , 316 p. (ISBN 978-2-342-00299-7, lire en ligne), p. 222-223
  18. (en) Nancy J. Smith-Hefner, « Ethnicity and the Force of Faith : Christian Conversion among Khmer Refugees », Anthropological Quarterly, The George Washington University Institute for Ethnographic Research, vol. 67, no 1,‎ , p. 24-67 (JSTOR 3317275)
  19. BenoĂźt Fidelin, PrĂȘtre au Cambodge : François Ponchaud, l'homme qui rĂ©vĂ©la au monde le gĂ©nocide, Éditions Albin Michel, coll. « SpiritualitĂ© », , 263 p. (ISBN 978-2-226-10774-9, prĂ©sentation en ligne), chap. 11 (« Dire Dieu en Khmer »), p. 239-240
  20. Alain Forest (dir.) et al., Cambodge contemporain, Les Indes savantes, , 525 p. (ISBN 9782846541930), partie I, chap. 1 (« Pour comprendre l'histoire contemporaine du Cambodge »), p. 127
  21. Toan Thach, Les khmers Ă  l'Ăšre de l'hindouisme : Les secrets d'Angkor, Éditions L'Harmattan, coll. « Recherches asiatiques », , 224 p. (ISBN 978-2-296-49286-8, prĂ©sentation en ligne), p. 25-29
  22. Bruno Dagens, Les Khmers, Société d'édition Les Belles Lettres, , 335 p. (ISBN 9782251410203), chap. VI (« La religion »), p. 174-181
  23. Jean-Marie CambacérÚs, Sihanouk : le roi insubmersible, Le Cherche midi, coll. « Documents », , 459 p. (ISBN 9782749131443, présentation en ligne), « Le retour de Sihanouk : renouveau et reconstruction du pays », p. 363-364
  24. Krystel Maurice, « FĂȘte du Sillon SacrĂ© : bons prĂ©sages pour les rĂ©coltes », Cambodge Post,‎ (lire en ligne)
  25. Paul Fuchs, FĂȘtes et cĂ©rĂ©monies royales du Cambodge d'hier, l'Harmattan 1991
  26. http://leguidedangkor.com/cambodge/%7C Les religions au Cambodge
  27. (en) Margaret J. Goldstein, Cambodia in Pictures, Lerner Publications Co., (réimpr. 2), 80 p. (ISBN 978-0-8225-1994-2, lire en ligne), p. 54
  28. Alain Forest, Le Cambodge et la colonisation française : Histoire d'une colonisation sans heurts (1897 - 1920), vol. 1, Éditions L'Harmattan, coll. « Centre de documentation et de recherches sur l'Asie du Sud-Est et le monde insulindien », , 546 p. (ISBN 9782858021390), chap. III (« Le roi, les gĂ©nies et le Bouddha »), p. 36-38
  29. Alain Forest, Le culte des gĂ©nies protecteurs au Cambodge : Analyse et traduction d'un corpus de textes sur les neak ta, Éditions L'Harmattan, coll. « Recherches Asiatiques », , 256 p. (ISBN 978-2-7384-1317-8, lire en ligne)
  30. (en) « Site web du Chabad Cambodia »
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