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Regina King

Biographie

Jeunesse

Regina Rene King est née à Los Angeles[1], en Californie, elle est la fille de Gloria, une professeure pour enfant à besoins particuliers, et de Thomas King, un électricien[2].

Famille

Elle est la sƓur aĂźnĂ©e de l'actrice Reina King (en). « Regina Â» et « Reina Â» signifient « reine Â» en latin et en espagnol, respectivement. Ses parents divorcent en 1979. Regina et sa sƓur vivent avec leur mĂšre qui s'installe dans le quartier des View Park-Windsor Hills de Los Angeles[3]. GrĂące Ă  sa mĂšre elle suit des cours de claquettes, de patinage artistique et de thĂ©Ăątre[2].

Professionnelle

AprÚs ses études secondaires à la Westchester Enriched Sciences Magnets (en)[4] (connue jusqu'en 2011 sous le nom de la Westchester High School) de Los Angeles, Regina King est admise à l'université de Californie du Sud[5] - [6].

Débuts précoces et seconds rÎles

Regina King commence sa carriÚre d'actrice à l'ùge de 14 ans, en jouant le rÎle de Brenda Jenkins dans la sitcom 227 (TV series) (en), aux cÎtés de Marla Gibbs, un rÎle qu'elle tient jusqu'en 1990, soit durant cinq saisons[7] - [5] - [8].

Dans les années 1990, elle perce au cinéma, lancée par le cinéaste John Singleton qui la dirige à trois reprises[9] : Boyz N the Hood (1991)[3], Poetic Justice (1993)[10] et FiÚvre à Columbus University[11] - [12] - [13].

En 1995, elle est Ă  l'affiche de la comĂ©die indĂ©pendante Ă  succĂšs, Friday de F. Gary Gray oĂč elle joue aux cĂŽtĂ©s d'Ice Cube et de Chris Tucker[14] - [15].

En 1996, elle est sélectionnée pour jouer dans une grosse production : la comédie dramatique Jerry Maguire de Cameron Crowe, avec Tom Cruise, Renée Zellweger et Cuba Gooding, Jr., dont elle tient le rÎle de son épouse Marcee Tidwell [16] - [17].

Ces deux films lui permettent de se faire connaĂźtre auprĂšs du grand public[18] - [5]

Elle se distingue en 1998 dans le blockbuster Ennemi d'État, de Tony Scott, oĂč elle joue cette fois l'Ă©pouse du hĂ©ros incarnĂ© par Will Smith[19], puis en participant la production familiale Mon ami Joe, oĂč elle donne la rĂ©plique Ă  Charlize Theron[20].

AprĂšs une poignĂ©e de seconds rĂŽles dans des films et tĂ©lĂ©films moins exposĂ©s, elle tente de revenir Ă  la tĂ©lĂ©vision qui lui permet d'ĂȘtre plus disponible pour l'Ă©ducation de son fils malgrĂ© les rĂ©serves de son agent artistique[18].

En 2002, elle joue dans la sitcom Leap of Faith (TV series) (en), aux cĂŽtĂ©s de Sarah Paulson et Lisa Edelstein[21] - [22] - [23]. Mais le programme est arrĂȘtĂ© au bout de quelques Ă©pisodes.

Elle reste donc au cinĂ©ma pour des seconds rĂŽles dans des comĂ©dies[24] telles que l'École paternelle[25] - [26] et La blonde contre-attaque[27] - [28], deux productions commercialisĂ©es en 2003, qui connaissent un franc succĂšs au box-office[29] - [30].

Mais en 2004, c'est pour sa performance dramatique dans un biopic qu'elle se distingue[31], le film Ray oscarisé[32]. Elle y incarne Margie Hendricks la maßtresse de Ray Charles, interprété par Jamie Foxx qui recevra l'Oscar du meilleur acteur pour son interprétation. Pour l'actrice, le rÎle de Margie Hendricks lui permet d'obtenir ses premiers prix en étant la lauréate d'un BET Awards, catégorie " Meilleure actrice" avec Halle Berry, Kimberly Elise, Queen Latifah et Gabrielle Union[33] - [34] et en étant lauréate du NAACP Image Awards, catégorie "meilleure actrice dans second rÎle de cinéma"[35].

La mĂȘme annĂ©e, autre succĂšs, lorsqu'elle est Ă  l'affiche de la comĂ©die pour adolescents Comme Cendrillon de Mark Rosman, oĂč elle joue aux cĂŽtĂ©s de Hilary Duff, Jennifer Coolidge et Chad Michael Murray qui malgrĂ© une critique mitigĂ©e est bien accueillie par le public[36] - [37] - [38].

Regina King, Ă  Los Angeles, en 2010.

En 2005, en dépit d'une mauvaise réception critique[39] - [40], la comédie d'action Miss FBI : Divinement armée dans laquelle elle joue aux cÎtés de Sandra Bullock et de William Shatner est un succÚs au box-office[41] - [42] - [43].

En 2006, elle pratique le doublage pour le film d'animation Lucas, fourmi malgré lui[44] et elle rejoint le pilote d'une série télévisée dramatique en développement, par le réseau américain ABC, mais qui n'est finalement pas retenu pour intégrer la grille des programmes.

Reconnaissance critique

Regina King conforte sa carriĂšre en jouant un rĂŽle rĂ©gulier dans la sixiĂšme saison de 24 Heures chrono (2007) pour le rĂŽle rĂ©current de l'avocate Sandra Palmer, la sƓur du prĂ©sident des États-Unis[45].

Puis en 2009, elle dĂ©croche le principal rĂŽle fĂ©minin de la sĂ©rie policiĂšre Southland (2009-2013), oĂč elle joue la DĂ©tective Lydia Adams durant cinq saisons[24] - [46] - [47].

Ce rĂŽle lui apporte une premiĂšre reconnaissance et lui permet d’entamer, en parallĂšle, une carriĂšre de rĂ©alisatrice.

Désormais plus rare sur le grand écran, elle profite du succÚs de la série pour jouer dans la comédie romantique La Guerre des pÚres de Rick Famuyiwa aux cÎtés de Forest Whitaker[48] - [49].

Elle enchaßne dÚs 2014 avec un rÎle récurrent dans la quatriÚme saison de la série dramatique Shameless, puis dans la premiÚre saison de la série horrifique The Strain.

Elle finit par connaĂźtre un plus large succĂšs, grĂące Ă  la sĂ©rie American Crime (2015-2017)[50], qui lui permet de remporter en 2015 un Emmy Award catĂ©gorie Meilleure actrice dans un second rĂŽle dans une mini-sĂ©rie ou un tĂ©lĂ©film pour son interprĂ©tation du rĂŽle d'Aliyah Shadeed (dans la premiĂšre saison)[51] et en 2016 elle remporte Ă  nouveau le mĂȘme prix pour son interprĂ©tation du rĂŽle de Terri Lacroix (dans la deuxiĂšme saison)[52].

Regina King en Tracy Reese, pour le défilé The Heart Truth's Red Dress Collection de 2010.

Elle rejoint ensuite la seconde saison de la série dramatique The Leftovers.

Aux Peabody Awards 2013.

Entre 2015 et 2018, elle est la réalisatrice d'épisodes de séries populaires comme This Is Us, Scandal, Shameless, Good Doctor et d'autres[18].

En 2018, elle confirme cette percée en étant l'une des vedettes de la mini-série Seven Seconds, qui lui vaut son troisiÚme Emmy Awards dans la catégorie Meilleure actrice dans une mini-série ou un téléfilm pour l'interprétation du rÎle de Latrice Butler[53].

L'année suivante, elle remporte tous les suffrages en jouant dans le drame Si Beale Street pouvait parler[54] qui lui vaut un Golden Globe dans la catégorie "meilleure actrice dans un second rÎle dans un film"[55] ainsi que l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rÎle[56]. Dans cette production, consacrée à l'Amérique noire et au racisme, elle incarne une mÚre de famille qui défend le petit ami de sa fille accusé, à tort, d'un viol. Au moment de la remise de son prix, elle livre un discours applaudi par l'assemblée et s'engage à faire avancer l'égalité entre les hommes et les femmes à Hollywood[57] - [58] :

« Sur les deux prochaines annĂ©es, je fais le serment, et ça va ĂȘtre difficile, de m'assurer que toute Ɠuvre que je produis compte 50 % de femmes[18]. »

Toujours en 2019, lors de la 50e cérémonie des NAACP Image Awards, elle est en lice pour trois prix : celui de la meilleure actrice dans un second rÎle pour Si Beale Street pouvait parler, celui de la meilleure actrice dans une mini-série pour Seven Seconds, et enfin, pour le prix spécial, Entertainer of the Year, face à Beyoncé, Chadwick Boseman, LeBron James et Ryan Coogler[59]. Et c'est son interprétation dans Seven Seconds qui l'emporte et lui permet de repartir avec un prix. Elle s'incline face à Danai Gurira pour celui de la meilleure actrice dans un second rÎle et face à Beyoncé pour l'Entertainer of the Year.

Forte d'une nouvelle popularitĂ©, en 2019, elle joue le rĂŽle d'Angela Abar dans la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Watchmen crĂ©Ă©e par Damon Lindelof d'aprĂšs le roman graphique du mĂȘme nom de l'Ă©diteur DC Comics. Une performance qui lui vaut le Critics' Choice Television Award de la meilleure actrice dans une sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e dramatique.

Vie personnelle

Elle épouse Ian Alexander, le , avec qui elle a un garçon né le [24]. Elle demande le divorce le [31], citant de la violence physique, de la consommation de drogues, et des relations extra-conjugales[60]. Son fils unique Ian Alexander Jr. se suicide à l'ùge de 26 ans en janvier 2022[61].

Entre 2011 et 2013[24], elle fréquente l'acteur Malcolm-Jamal Warner. Ils se connaissent depuis les années 1980, lorsqu'ils participent encore enfants, à des populaires sitcoms familiales de la chaßne américaine NBC[62].

Filmographie

Courts métrages
  • 1998 : Rituals de Carol Mayes
  • 2013 : Inside the Box de David Martin Porras : Stephanie Miles
Longs métrages
Séries télévisées
Téléfilms

Doublage

RĂ©alisatrice

  • 2013 : Southland (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2013 : Let the Church Say Amen (tĂ©lĂ©film)
  • 2014 : Story of a Village (documentaire)
  • 2015 : Being Mary Jane (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 6 Ă©pisodes
  • 2015-2016 : Scandal (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 2 Ă©pisodes
  • 2016 : The Catch (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2016 : Animal Kingdom (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2016 : Greenleaf (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2016 : Pitch (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2017 : This Is Us (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2017 : Shameless (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2018 : Good Doctor (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2018 : Insecure (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), 1 Ă©pisode
  • 2018 : The Finest (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), pilote
  • 2020 : One Night in Miami

Productrice

  • 2002 : Final Breakdown de Jeffrey W. Byrd (film)
  • 2007 : Side by Side: The Story of the 50/50 Group of Sierra Leone de Dwayne Johnson-Cochran (documentaire)
  • 2014 : Story of a Village de Dwayne Johnson-Cochran et elle-mĂȘme (documentaire)
  • 2018 : The Finest (pilote de sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e pour ABC)

Distinctions

Lors de la 72e cérémonie des Peabody Awards, en 2013.

Note : Cette section récapitule les principales récompenses et nominations obtenues par Regina King. Pour une liste plus complÚte, se référer à la base de données IMDb[34].

RĂ©compenses

L'actrice aux Independent Spirit Awards 2010.

Nominations

Voix françaises

En France
Et aussi
Au Québec

Notes et références

  1. (en) « Regina King Facts », sur Encyclopedia Britannica (consulté le )
  2. (en-US) « Regina King | Encyclopedia.com », sur www.encyclopedia.com (consulté le )
  3. (en-US) Amy Wallace, « Regina King Los Angeles Magazine », sur Los Angeles Magazine, (consulté le )
  4. (en-US) « For Actress Regina King, A Childhood Gig Launched A Career In Hollywood », sur NPR.org (consulté le )
  5. « Regina King : Sa biographie - AlloCiné », sur AlloCiné
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Liens externes

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