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Rebets

Rebets est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Rebets
Rebets
L'Ă©glise Saint-Denis.
Blason de Rebets
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité CC inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Bernard Corbillon
2020-2026
Code postal 76750
Code commune 76521
DĂ©mographie
Gentilé Robatiens
Population
municipale
147 hab. (2020 en augmentation de 2,08 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 40 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 30â€Č 42″ nord, 1° 23â€Č 26″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 176 m
Superficie 3,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Mesnil-Esnard
LĂ©gislatives 2e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Rebets

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 793 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 901,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  19 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Rebets est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (92,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (65 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,8 %), terres arables (13,2 %), forĂȘts (7,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Lieux dits, hameaux et Ă©carts

    Au lieudit l'Enfer, qui s'appelait jadis Germe, il y aurait eu Ă  l'Ă©poque gauloise une fonderie ou une forge.

    Le hameau les Hez est le plus important chef lieu Ă  l'Ă©poque.

    Les autres hameaux sont la Hétrée, les Huées, les Vallées et la Bucaille.

    Le hameau Tous Vents est aujourd'hui disparu. Au XXe siĂšcle, ce hameau comportait encore deux maisons et une douzaine d'habitants.

    Logements

    Évolution du nombre de logements entre 1968 et 2009[I 1].
    196819751982199019992009
    354752566073

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 73. Parmi ces logements, 73,7 % étaient des résidences principales, 24,9 % des résidences secondaires et 1,4 % des logements vacants[I 2].

    La proportion de ménages propriétaires de leur logement était de 81,5 % et celle des locataires était de 18,5 %[I 3].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté assez tÎt sous les formes latinisées Rosbatium en 735 - 743 et Rosbacium en 854[21].

    Rebets reprĂ©sente le type hydronymique Rosbacium « ruisseau aux roseaux »[21], dont il existe un grand nombre d’exemples au nord de la France et en Belgique et dont la forme initiale, le germanique *Rauzbaki, a donnĂ© : Rebais, le chĂąteau de Rebais aux Bottereaux, Rebetz Ă  Chaumont-en-Vexin, Rebaix, Rebecques, Rebecq (Belgique, Rosbacem 877), Robecq (Pas-de-Calais, Rosbeccam 1104), etc. et dans les rĂ©gions de langue germanique Rohrbach, Rorbach-lĂšs-Dieuze, etc.[22] - [21]. Le passage de [s] Ă  [r] (ros > allemand (Schilf)rohr) s'explique par le rhotacisme de /s/, processus phonĂ©tique qui a particuliĂšrement concernĂ© le vieux haut allemand au sein de la famille germanique.

    Il s'agit d'un composĂ© germanique occidental de raus- « roseau » devenu ros en ancien français, diminutif rosel > roseau[23] et *baki « ruisseau, riviĂšre » (cf. allemand Bach)[24] - [21]. Il a Ă©tĂ© empruntĂ© par le gallo-roman sous la forme *BĀCIS qui a donnĂ© l'ancien français bais « ruisseau »[24]. Comme second Ă©lĂ©ment d'un composĂ© *-baki a aussi rĂ©guliĂšrement abouti Ă  la finale -bais (autrement -baix)[24].

    Dans le cas de Rebets, le nom se réfÚre à la riviÚre l'Héronchelle.

    Remarque : -bets est apparenté à -bec (parfois prononcé -bé comme dans Bolbec) élément répandu dans la toponymie normande, sauf que ce dernier est issu du vieux norrois bekkr « ruisseau » qui remonte également au germanique commun *bakiz.

    Histoire

    Des outils en silex de l'Ă©poque du NĂ©olithique comme des haches taillĂ©es et polies ainsi que des grattoirs et perçoirs ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s sur les terres du village. À cette Ă©poque le lieudit "les VallĂ©es" Ă©taient frĂ©quemment inondĂ©es l'hiver.

    L'époque Franque a également laissé des traces : En 1860, lors de la reconstruction quasi-totale de l'église, deux cercueils de cette époque sont retrouvés. L'un contenant un couteau et une boucle de ceinturon, le second deux enfants ùgés de 13 et 14 ans ainsi que des perles et des vases noirs. Quatre ans plus tard, une nouvelle découverte a lieu dans un champ appartenant à Monsieur D'arboval alors que celui-ci était en plein labour. Cette découverte comprend quatre sacophages, l'un en pierre de Saint Leu, les autres en pierre du pays. Sur les quatre cercueils découverts, seul deux renfermaient des ossements, des restes humains gisaient autour des autres.

    A une époque trÚs incertaine, Rebets posséda un chùteau fort. On peut encore en observer l'enceinte grùce aux fondations encore présentes. Un souterrain est de nos jours encore visible bien que celui-ci soit muré à cause des gaz carboniques qui s'en échappent. Il y a encore quelques années, un colombier était visible mais ce dernier fut détruit car jugé trop dangereux.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants de la commune Ă©tant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 10 août 2020)
    Bernard Corbillon Chauffeur
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[26]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[28].

    En 2020, la commune comptait 147 habitants[Note 8], en augmentation de 2,08 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    356360339286293281280265257
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    270253231208184207202215192
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    150161132106120126114126113
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    959189101108110133140142
    2018 2020 - - - - - - -
    148147-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Denis, reconstruite en 1860, elle a nĂ©anmoins conservĂ© son ancien portail datĂ© de 1547.
      Cet ancien portail qui est un cintre roman ornĂ©, est protĂ©gĂ© par un porche datant de la mĂȘme Ă©poque. Ce porche en pierre calcaire[31] soutient le clocher dont les poutres sont sculptĂ©es. À savoir que ce porche est classĂ© monument historique.
      C'est au moment de la RĂ©volution que l'Ă©glise se verra perdre ses deux cloches pour ĂȘtre fondues en canons. Le poids des deux cloches Ă©tait de 630 livres.
      L'église conserve son baptistÚre en pierre daté de 1545 et son bénitier en grÚs sur lequel est gravé "RE BE S".
    • Le moulin Ă  eau, qui date de 1845.
      Il a fourni pendant de nombreuses années de la farine et de la mouture pour toute la région et était exploité, de pÚre en fils, par la famille Duval.
    • Le calvaire du Hez.

    Personnalités liées à la commune

    C'est aux alentours de 1660, que l'on retrouve la trace de personnages importants venus en visite ou habitants à Rebets. Les d'Anfray et les Couldray sont les seigneurs de Rebets à l'époque. Puis en 1646 Jean Antoine Stoppa Stoppa, par son mariage avec charlotte Le Vaillant[32], succÚde aux précédents seigneurs de Rebets et devient à son tour sieur de Rebets et du hameau les Hez.

    Claude François Godin époux de dame AgnÚs Marguerite Stoppa[33] vécu à Rebets puisque nous en retrouvons la trace en 1766, habitant le manoir de la Bucaille.

    Louis XIV a aussi tenu un rÎle important pour la commune de Rebets. Ce dernier en plus de léguer un patrimoine seigneurial à la localité, a aussi légué des bùtiments agricoles toujours utilisés.

    HĂ©raldique

    Blason de Rebets Blason
    D'or Ă  la fasce ondĂ©e d'azur sommĂ©e d'une divise ondĂ©e du mĂȘme, Ă  deux roues de moulin de sable mouvant de la fasce et brochant sur la divise, le tout accompagnĂ© d'une rosiĂ©re au naturel mouvant de la pointe[34].
    DĂ©tails
    Créé en Décembre 2013 par Thomas Olivieri
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catĂ©gorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Rebets et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Rebets et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 127.
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 559a.
    23. Site du CNRTL : Ă©tymologie de roseau
    24. Louis Guinet, Les emprunts gallo-romans au germanique, Ă©ditions Klincksieck, 1982, p. 30-31-32-33
    25. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    26. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Le porche de Rebets ».
    32. AN Y 185, folio 306 notice numéro 1722
    33. AN, cote MC/ET/LXXII/355
    34. « Conseil Francais Heraldique : ARMORIAL, les armoiries de : REBETS », sur conseil-francais-d-heraldique.com (consulté le ) Attention la source donne un blasonnement en conflit avec le dessin.
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