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Raymond Petit (musicien)

Raymond Petit (né le à Neuilly-sur-Seine et décédé le à Annemasse) est un compositeur et critique musical français.

Raymond Petit
Naissance
Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, Drapeau de la France France
Décès
Annemasse
Activité principale Compositeur, critique musical

Biographie

Jeunesse et vie privée

Le Ménestrel du [note 1] présente Raymond Petit ainsi : « Physionomie connue de nos concerts, collaborateur de La Revue musicale, Raymond Petit reste fort ignoré comme compositeur. Ceux qui savent ses voyages à travers une partie de l'Europe, en Afrique et aux Antilles, la variété de ses curiosités, ses préoccupations d'ordre philosophique ou politique, sont tentés de ne voir en lui qu'un musicien dilettante. Or Raymond Petit, loin d'être un amateur, possède une technique musicale que bien des critiques ou même des compositeurs pourraient lui envier. Aucune des œuvres entendues l'autre soir au Caméléon ne décelait chez cet élève de Tournemire une faiblesse de métier…[1]. »

Petit épousa Henriette Bourdeau, fille de Jean Bourdeau[2] - [3]. La cérémonie eut lieu en à l'église Saint-Pierre-de-Chaillot.

Critique et conférencier

Petit contribua à La Revue musicale, dans la section « Notes et chroniques » : il s'agissait de courts articles sur l'activité musicale, par exemple sur la revue du Moulin rouge, la Revue nègre et le clown musical Grock qui se produisait alors au Palace. Plus sérieusement, La Revue musicale de publia un numéro spécial, Lully et l'opéra français avec, en supplément musical, Airs et chansons de Lully publiés [transcrits] par Raymond Petit. Dans le numéro de de La Revue musicale, il publia la première étude sur la musique d'Alexandre Tansman, auquel il consacra un autre article en septembre[4]. Il fournit encore une note sur Le Chanteur de jazz, le premier film parlant (La Revue musicale no 7, 1929). Le Ménestrel s'enorgueillissait[5] aussi de l'employer : le numéro de janvier- présente un article sur La Musique et l’univers spirituel[6].

De manière plus classique, il écrivit sur Le Falstaff de Verdi pour la Revue Pleyel (janvier-). L'Europe nouvelle du publia un long article sur « L'été de la musique », à Francfort-sur-le-Main. Il s'agissait d'une exposition internationale « en l'honneur de la musique » avec de nombreux concerts[7]. En , Petit publia dans la revue Musique (no 7)[note 2] un article sur « trois musiciens hispano-américains : Pedro Humberto Allende, Alfonso Broqua, Ponce'[8]. » À l'occasion du concert de son ami Yves Tinayre à Montpellier ; le , les lecteurs du Sud : Journal républicain du matin purent lire un long article bien informé signé de… Raymond Petit[9].

Petit fut également conférencier : C'est devant le Groupe d'études philosophiques et scientifiques pour l'examen des idées nouvelles[note 3] que Petit prit la parole en pour présenter Erwin Schulhoff et ses Cinq études de Jazz pour piano à « demi-ton », avant qu'elles soient jouées par le compositeur[10]. Selon Les Nouvelles littéraires du , il parla le à l'amphithéâtre Michelet, à la Sorbonne, sur 'L'inconscient et la musique'[11] dans le cadre des activités du même Groupe d'études philosophiques et scientifiques.

Le , en compagnie de Boris de Schlœzer, il donna une conférence à la salle de la Société Théosophique (4, Square Rapp). Il présenta l'œuvre très avant-gardiste de Nicolas Oboukhov, le Livre de la vie, pour chant, deux pianos, croix sonore et orchestre, avant que le compositeur en fasse entendre la Préface et quelques fragments[12] au piano. En , il présenta une « causerie » à la Sorbonne lors d'un concert radiodiffusé par la Station radio téléphonique de l'École supérieure des PTT portant sur des œuvres employant la gamme des quarts de ton[note 4]. Le , il donna une conférence sur « La pensée musicale » pour La Science Spirituelle (6, rue Huyghens)[note 5] - [13]. Le , Petit présenta le concert que donnait Tinayre dans les salons de l'Institut de Coopération Intellectuelle (au Palais-Royal), organisé par Elizabeth Sprague Coolidge : Tinayre chanta Trois récits de l'évangile de Francesco Malipiero. Il donna enfin une des conférences de la Schola Cantorum, le , sur « La Musique et la pensée ».

Raymond Petit, « le compositeur connu, gendre de notre charmant et regretté Jean Bourdeau », faisait partie des « principaux anthroposophes français » réunis à Dornach (le Goetheanum, à Dornach, est le siège de la Société anthroposophique universelle) en 1932, selon Maurice Muret[14].

Compositeur

Le , Petit participa à un concert du Salon des musiciens français[note 6], Salle des Concerts du Conservatoire (2, rue du Conservatoire). Les autres compositeurs étaient Charles Tournemire et Théodore Dubois pour les plus connus, Marcel Noël (Impromptu pour harpe joué par Lily Laskine), et d'autres moins connus[note 7]. Petit présenta son Poème pour Solo et Chœurs, interprété par Mlle Gabrielle Dauly (cantatrice et compositrice) et les Chœurs mixtes, avec au piano Henri Gilles[15].

Le , Petit fut joué au Caméléon[note 8]. Dans la présentation faite par Boris de Schlœzer, celui-ci insiste sur la « religiosité, [le] mysticisme de plus en plus marqué » du compositeur, et sur son « style essentiellement mélodique ». Au programme figuraient, notamment, le Cantique au Soleil (tiré d'un oratorio sur Saint François d'Assise) interprété par Yves Tinayre, « et dont la partition d’orchestre fut très intelligemment réduite au piano par M. Perlemuter », et des œuvres plus anciennes, deux Pièces graves pour quatuor à cordes[16]. Maurice Brillant assistait au même concert, et en retint des « mélodies sur des textes en quatre ou cinq langues, qu'il choisit pour leur sonorité particulière » et qualifia Petit d'« excellent compositeur[17]. » En eut lieu la création, au concert de La Revue musicale, au théâtre du Vieux-Colombier, de l'Hymne Védique de Petit, chanté par Joy Demarquette[note 9] accompagnée par « l’habile flûtiste qu’est M. Albert Manouvrier ». C'est le jeune compositeur Pierre-Octave Ferroud qui en rendit compte : « D'un souffle large, d’une ligne mélodique ample, au sein d'une atmosphère profondément évocatrice, cette œuvre nous rend impatients de connaître ses sœurs. M. Raymond Petit, grand voyageur devant l’Éternel, écrit peu. Il mûrit longtemps ce qu’il fait, mais il nous épargne ainsi, en même temps qu’il s'épargne à lui-même, ces essais hâtifs qui ne mènent à rien.

Son style original revient, semé de trouvailles curieuses, dans ce Dialogue pour deux violons qu’il présenta le à la SMI, par le truchement de Mlles H. de Sampigny[note 10] et Theys »[18]. Le même concert permit d'entendre des pièces de guitare jouées par Andrés Segovia[19].

En , Y. Tinayre donna un concert chez la comtesse Aynard de Chabrillan (8, rue Christophe-Colomb). Accompagné au piano par Vlado Perlemuter, il chanta des mélodies que The Chicago tribune and the Daily News trouva « decidedly modern »[20]. Le , au Caméléon, Y. Tinayre et Vlado Perlemuter donnèrent la deuxième exécution publique du Cantico al Sole[21]alors que Joy Demarquette et Gaston Blanquart donnaient l'Hymne védique pour chant et flûte. Le même jour, il participa à l'enquête de Paris-midi, par le truchement d'André Cœuroy et André Schaeffner, sur les groupes de jazz[22]. Le Ménestrel du rend ainsi compte du concert du 3 juin : « Même la plus contestable d'entre elles [les œuvres de Petit] — à notre avis —, le Dialogue pour deux violons, était le produit moins d'une inexpérience contrapunctique que d'exigences polyphoniques qui entraînent hors du plan instrumental. A cet égard, la première des Pièces graves pour quatuor à cordes est, des œuvres de Raymond Petit, celle où, tout en restant sur des positions instrumentales très sûres, les recherches d'ordre polyphonique aboutissent aux résultats harmoniques les plus audacieux : c'est aussi l'une de ses meilleures œuvres, avec le Cantico al Sole tiré d'un oratorio sur saint François d'Assise et dont M. Yves Tinayre exprima toute l'ardeur mélancolique[1]. »

Le , à la salle Gaveau, avait lieu la première d'Andantino (sans doute la Sicilienne) de Petit par Andrés Segovia qui jouait aussi la Sérénade, de Gustave Samazeuilh, son contemporain[23]. Y. Tinayre se fit encore le champion de Petit au concert du (salle de l'ancien Conservatoire)[24]. Le , le 124e concert de la Société musicale indépendante permettait d'entendre Deux chants religieux « en première audition », selon le critique. L'une de ces pièces était l'Hymne védique (par Yves Tinayre et Gaston Blanquart), déjà donné plusieurs fois, et l'autre, que Louis Aubert trouva plus critiquable, Glosa, « où Mme Rachele Maragliano-Mori[note 11] exprima les aspirations de sainte Thérèse d'Avila. L'évocation des mystères de la création bouddhique est habilement réalisée par la simple vibration de deux colonnes d'air dans une échelle impalpable[25]. » C'est de nouveau Tinayre qui créa « deux très beaux chants qui furent inspirés à M. Raymond Petit par des vers de Torquato Tasso et par le Cantique spirituel de Laurent de Médicis », au Concert Poulet, le 20 février 1927[26]. Lors de « L'été de la Musique » organisé par la Société Internationale pour la Musique Nouvelle, à Francfort-sur-le-Main, du 30 juin au , la musique française fut représentée par le Cantique au soleil de Saint-François-d'Assise, de Raymond Petit et l'Offrande à Siva de Claude Delvincourt[7].

Le , le 134e concert de la Société musicale indépendante à la Salle Erard permit d'entendre deux "Madrigaux" pour chœur a cappella de Petit. Au programme figuraient également la Sonate pour piano de Dukas, la Sonate no 3 pour violoncelle et piano de Tcherepnin une Chanson franciscaine de Simone Plé et d'autres œuvres contemporaines. Parmi les instrumentistes figuraient notamment Plé-Caussade et Tcherepnine[27].

Le compositeur et critique Louis Vuillemin rendit compte du dernier concert de la Société musicale indépendante dans La Lanterne du , et il ne fit pas preuve d'un excès de bienveillance[28] : il loua le courage dont firent preuve Thérèse Chaigneau, pianiste[note 12] et Angèle Gaudefroy pour interpréter la Sonate pour piano et violon de Petit (« Une longueur excessive, de l'amplification, des répétitions d'un seul accord, au gré de rythmes incohérents, pâle reflet de certaines lueurs strawinskystes, donnent à cette Sonate un abord agressif et ingrat »). Il n'est plus chaleureux que pour les Paysages d'Inghelbrecht et la Sonatine pour quatuor à cordes de Pierre Menu[note 13].

En eut lieu un Festival Raymond Petit et Georges Dandelot organisé par l'Européen, retransmis sur Radio Tour Eiffel le 24 mai. Au programme des œuvres de Petit figuraient : Deux Madrigaux pour chœur a cappella : Bruit de l’homme (Paul Claudel) et 'Lèvres mi-closes' (Ed. Carpentier), par le quatuor vocal « L'Accord parfait »[note 14] ; le Prélude pour flûte et piano par Marcel Moyen et l'auteur; Deux airs: a) Aria (Lorenzo « Médew » : est-ce le Cantique spirituel de Laurent de Médicis ?), avec flûte et piano; b) Chant spirituel, avec piano, par Régine de Lormoy, Marcel Moyse et Arthur Hoérée ; deux extraits de La Flûte enchantée de Goethe : a) Ouverture, piano à quatre mains par Pierre Maire et Arthur Hoérée ; b) n'est pas précisé ! ; deux pièces pour chant : a) Bénédiction (Baudelaire) ; b) Hymne, extrait des Upanishad, avec flûte solo (il s'agit donc de l'Hymne védique), par Régine de Lormoy, Marcel Moyse et l'auteur[29]. En eut lieu un des concerts offerts par « Mrs. Elisabeth Coolidge et composés d'œuvres commandées par elle. Les plus intéressants compositeurs contemporains figurent à ces programmes. » Ce concert permit d'entendre « deux pièces vocales d'inspiration religieuse » de Petit, et des œuvres de Frank Bridge (un Trio), Alexandre Tansman (une suite pour petit orchestre), Paul Hindemith et Francisco Malipiero (Cantari alla madrigalesca).

Ĺ’uvres

  • Poème pour Solo (soprane) et ChĹ“urs mixtes (1913 au plus tard) ;
  • Aria sur des vers de Torquato Tasso ;
  • Cantique spirituel de Laurent de MĂ©dicis, pour chant et orchestre Ă  cordes, 1re audition , 13e Concert Poulet, Tinayre, sous la direction de Gaston Poulet) ;
  • Pièces graves pour quatuor Ă  cordes ;
  • Sonate pour piano et violon, , concert de la SMI ;
  • Dialogue pour deux violons, Ă  la SMI ;
  • Hymne vĂ©dique pour chant et flĂ»te (texte tirĂ© des Upanishad), crĂ©Ă© par Joy Demarquette le , publiĂ© au MĂ©nestrel[19] ;
  • Cantico al Sole (tirĂ© d'un oratorio sur Saint François d'Assise) ;
  • Deux madrigaux pour chĹ“ur a cappella : Bruit de l’homme (Paul Claudel) ; 'Lèvres mi-closes' (Ed. Carpentier), ;
  • Deux chants religieux (l'un avec flĂ»te), première audition le Ă  la SMI. L'un d'eux est 'Glosa', l'autre est sans doute l'Hymne vĂ©dique ;
  • Pièces de guitare crĂ©Ă©es par Andrès Segovia : Sicilienne (Ă©crite pour A. Segovia : crĂ©Ă©e sous le titre Andantino)[30] ; Nocturne pour guitare (Ă©crit pour Emilio Pujol) ;
  • PrĂ©lude pour flĂ»te et piano crĂ©Ă© par M. Marcel Moyen et l'auteur ;
  • Deux airs: a) Aria ( Lorenzo MĂ©dew : Laurent de MĂ©dicis ?), avec flĂ»te et piano ; b) Chant spirituel, avec piano ('Glosa' ?), crĂ©Ă© par RĂ©gine de Lormoy, Marcel Moyse et Arthur HoĂ©rĂ©e ;
  • Deux extraits de La flĂ»te enchantĂ©e de Goethe ; a) 'Ouverture', piano Ă  quatre mains par MM. Pierre Maire et Arthur HoĂ©rĂ©e ; et b) ? ;
  • BĂ©nĂ©diction (Baudelaire, Les Fleurs du mal) ;
  • Chansons, mĂ©lodies.

Notes et références

Notes

  1. L'auteur de l'article, « A.S. » résume les propos du musicologue Boris de Schlœzer qui présentait une audition des œuvres de Raymond Petit.
  2. Musique : revue d'histoire, de critique, d'esthétique et d'informations musicales. No 1 (octobre 1927) - dernier numéro no 6 (mars 1930), son rédacteur en chef était Marc Pincherle. Elle avait remplacé la Revue Pleyel et fut remplacée par Le Guide musical et théâtral de Gabriel Bender (1884-1964). Voir pressemusicale.oicrm.org.
  3. Fondé en 1922 par René Allendy
  4. "Les recherches nouvelles de la musique » : œuvres par quart de ton avec le concours de Mme Jane Bathori, cantatrice; MM. Alois Hába, Karel Hába, compositeurs ; Erwin Schulhoff, pianiste. Programme : causerie de M. Raymond Petit, secrétaire de la Revue musicale. Première partie: musique à quart de ton : Deuxième étude (Miroslav Pone (élève de Josef Suk au Conservatoire de Prague, 1902-1976) ; Trois compositions de la Suite, op. 7. (Karel Hába) ; Fantaisie no 2 op. 19 (Alois Hába), par M. Elwin Schulhoff sur le piano à quart de ton Förster. Deuxième partie: 1. Cinq études de jazz (Erwin Schulhoff), par M. E. Schulhoff ; 2. Chansons populaires tchécoslovaques, choisies et traduites par H. Jelinek, harmonisées par Křička : Allons ensemble Bethléem (Bohême) ; Les monts retentissent (Moravie); Si tu étais mon Annette (Bohême); Quand m'en irai triste (Slovaquie) Lorsque je vais au-dessus de la ferme (Bohême), chantées par Mme Jane Bathori; 3. Troisième sonate (Václav Kaprál), M. E. Schulhoff; 4. Mélodies populaires slovaques, adaptation française de Robert Jardillier), musique de Václav Štěpán : Verte ma forêt, L'heureuse fiancée, Si vous avez brune amante, Moi je reste vieux garçon, chantées par Mme Jane Bathori, accompagnées par M. E. Schulhoff, lire en ligne.
  5. « Excellente revue anthroposophique, conduite par Mme Simone Rihouët-Coroze » (ou Simonne Rihouët, 1892-1982), sœur d'Yvonne Rokseth, qui lui a dédié sa partition L'Offrande lyrique, d'après Rabindranath Tagore traduit par André Gide).
  6. Siège au 28, rue Nollet (17e), « fondé avant la guerre pour combattre l'envahissement de la musique allemande » https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6557841n/f7.item
  7. Marguerite Balutet, Henri Lutz, Amédée Gastoué) ; Paul-Silva Hérard (organiste de l'Église Saint-Ambroise de Paris) ; A.-R. Lesur (Alice-Robert) : Alice Thiboust, épouse de Robert Lesur (Le Mesnil-Le-Roi, 9 juillet 1875 - 11 décembre 1948) : Deux novembre, Sonnet du printemps, poèmes de Paul Collin. Lesur se présentait comme la nièce de Collin. Musique publiée à Lyon par Janin Frères lire en ligne.
  8. Cabaret d'Art fondé par le sculpteur Jean Levet, et un groupe d'auteurs et artistes (Géo-Charles, Auguste Clergé... Le jeudi est consacré à la musique moderne). Il se trouve à l'époque au 241 bd Raspail.
  9. Jacques Demarquette (Paris 25 avril 1888 - 22 août 1969 Paris) Dentiste et président du Trait d'Union (Société naturiste fondée en 1911). Épousa le , à Bloemendaal (Pays-Bas) Jeanne Marie Goverdina Ijzerman (Diemen, Pays-Bas, 1893 - ?), artiste lyrique, dite Joy Demarquette.
  10. Hortense Husson de Sampigny (Aisey-et-Richecourt 22 octobre 1898 - 15 juin 1969 Paris), fille de René Husson de Sampigny et Louise Lascoux, épouse d'Auguste Bailly.
  11. Qui eut pour élèves Françoise Garner ou Pierre Boutet
  12. Fille du peintre Jean-Ferdinand Chaigneau (1830-1906), et Ă©pouse de Walter Rummel
  13. Les autres compositeurs étaient Jean Gras, compositeur de Danse pour piano (, Salle de la Société des Concerts), Trio pour violon, violoncelle et piano, donné en 2010 par Philippe Koch, Aleksandr Khramouchin, Alain Jacquon ; M. C. P. Simon, pour sa mélodie Sur leurs tombeaux (poésie d'Arnould Lefebvre. Piano et chant. Paris, Rouart, Lerolle et Cie, 1916) ; Henri Lutz chanté par Balguerie.
  14. Suzanne Vidal, Alice Tixier, Maurice Muller et Alfred Abondance (Paris, - , Villeneuve-Saint-Georges).

Références

  1. « Le Ménestrel du 19 juin 1925 », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  2. « Henriette Bourdeau (Paris, 16 octobre 1899 - 7 juin 1981, Créteil), fille de Jean Bourdeau, membre de l'Institut, et d'Anne Barbe (1857-1940) : », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  3. « Radio-magazine : hebdomadaire illustré de TSF », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  4. « La Presse », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  5. « Le Ménestrel : journal de musique », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
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  7. « L'Europe nouvelle : revue hebdomadaire des questions extérieures, économiques et littéraires », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
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  14. « Les autres personnalités mentionnées sont Simone Rihouët-Coroze, Paul Coroze et Pierre Morizot. 'Huit jours chez les Anthroposophes', La Revue de Paris, 1 sept 1932 », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
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  22. « Paris-midi : seul journal quotidien paraissant à midi / dir. Maurice de Waleffe », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  23. « La Semaine à Paris : Paris-guide... : tout ce qui se voit, tout ce qui s'entend à Paris Office de tourisme et des congrès (Paris). Auteur du texte », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
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  30. « Voir aussi : Sicilienne », sur The Andrés Segovia Archive.
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