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Procédure d'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne

La procédure d’adhésion de la Hongrie à l'Union européenne est le processus qui a permis à la Hongrie de rejoindre l'Union européenne le . L'Union européenne s'est ainsi élargie à 25 États, la Hongrie étant entrée en même temps que 9 autres États[N 1].

Adhésion de la Hongrie à l'Union européenne
Image illustrative de l’article Procédure d'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne
La Hongrie en orange et l'Union européenne à 15 en vert.

Dépôt de candidature par Peter Boross
Chapitre(s) ouvert(s) 29
Chapitre(s) clos 29
Date d'adhésion
Site web Consulter
Relations avec l'Union européenne
avant l'adhésion
Accords
  • Accord d'association
  • Programme PHARE
Informations
Populations respectives lors de l'adhésion
  • UE : 381 781 620 hab.
  • Hongrie : 10 032 375 hab.
Superficie

Historique

Situation initiale

Dès 1990, la Hongrie intègre le Conseil de l'Europe[1].

La Hongrie a signé avec l'Union européenne un accord d'association le dont les dispositions commerciales sont entrées en vigueur le [1]. L'accord d'association en lui-même est entré en vigueur le [1].

Dépôt de candidature, sur la voie des négociations

Le , Péter Boross a adressé la candidature de la Hongrie à l'Union européenne à Károlos Papoúlias, alors ministre grec des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne.

« Au nom du gouvernement de la République de Hongrie, j'ai l'honneur de vous informer que, conformément à l'article O du traité sur l'Union européenne, la République de Hongrie demande par la présente à devenir membre de l'Union européenne. »

— Peter Boross, demande officielle d'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne[2]

La Commission a rendu un avis sur la demande d'adhésion hongroise en . Dans cet avis la Commission présentait son opinion sur divers point de l'acquis communautaire :

  • en ce qui concerne l'UEM, la Commission considérait que la participation de la Hongrie à la zone euro dès son entrée dans l'Union était prématurée. Elle invite néanmoins, sur ce point, la Hongrie à rendre la législation de la Banque nationale conforme à l'acquis[3].
  • dans le domaine des transports la Commission estimait que la Hongrie devait fournir des efforts supplémentaires en matière de transports routiers (accès au marché, règles sociales et sécurité) et de droits d'accès dans le secteur ferroviaire[4].
  • l'avis recommande le suivi de certains domaines énergétiques tel que la fixation du prix de l'énergie, l'accès aux réseaux, l'amélioration de l'efficacité énergétique et des normes de qualité des combustibles. L'avis ne prévoit pas de difficultés particulières en ce qui concerne la conformité au traité Euratom[5].
  • enfin, la Commission estimait que la Hongrie avait fait des progrès en matière de concurrence par l'adoption d'une nouvelle loi. Elle ajoutait cependant que le niveau de transparence dans le domaine des aides d'État devait être renforcé.

La décision d'entamer les négociations est prise les 12- lors du Conseil européen de Luxembourg.

1998 : Conférence intergouvernementale et premier rapport de la Commission

Le , la Conférence intergouvernementale pour l'adhésion est ouverte entre l'UE et 6 pays candidats, dont la Hongrie[6] - [N 2]. À cette même date, le partenariat pour l'adhésion de l'Estonie fut adopté[N 3]. Les priorités du partenariat à l'adhésion ont été définies à court et moyen terme devant respectivement être traitées avant 2000 et 2003[7]. Le cadre financier du partenariat pour l'adhésion se compose du programme PHARE, du programme SAPARD[N 4] et du programme ISPA[7] - [N 5]. Le programme PHARE a fourni 1,030 milliard d'euros de 1990 à 1999 et 96 millions d'euros de 2000 à 2002[7] - [N 6]. Le programme SAPARD s'élevait, pour 2002, à une somme de 39,8 millions d'euros, et le programme ISPA à 93,9 millions d'euros[7].

En , la Commission publiait un rapport[8] dans lequel elle évoquait les avancées effectuées par la Hongrie dans la transposition de l'acquis communautaire. Le rapport constatait la réalisation de certains progrès notamment en matière de développement de la compétitivité de l'industrie hongroise grâce aux investissements[9], de libre circulation des marchandises[10], d'éducation et de formation[11], de médias (notamment par la transposition de la directive « Télévision sans Frontières »[12])[13], de recherche et développement technologique et de société de l'information[14].

Cependant, le rapport mettait en avant que des efforts devaient être effectués :

  • en ce qui concerne l'UEM, dont les préparatifs visant à la participation du pays devaient progresser[15].
  • en ce qui concerne la pêche, la Commission avait demandé le renforcement des institutions et autorités de surveillance[16].
  • en matière de fiscalité, notamment en ce qui concerne la TVA et la prise de mesure visant à renforcer la coopération administrative[17].
  • en matière de concurrence, dans le domaine des aides d'État (transparence d'octroi, conformité du cadre réglementaire de ces aides, etc.)[18].
  • concernant les normes techniques des véhicules routiers, la sécurité routière et les infrastructures de navigation intérieure. Enfin, l'avis souligne que de nouveaux efforts devaient être fournis pour harmoniser la législation concernant l'aviation civile, le rail et le transports combiné[19].
  • en matière environnementale car l'avis montre que la Hongrie n'avait pas réussi à respecter les priorités à court terme du partenariat et qu'il y avait un ralentissement dans le processus d'harmonisation législative dans ce domaine[20].
  • dans le domaine des télécommunications et notamment en ce qui concerne la libéralisation et la concurrence loyale[14].

Progression de la transposition de l'acquis en 1999

En , la Commission publia son second rapport final dans lequel elle reprenait l'ensemble des avancées effectuées par la Hongrie durant l'année[21].

La Commission remarquait dans ce rapport que les progrès de la Hongrie dans sa préparation de participation à l'Union économique et monétaire étaient très limités[22]. De même, la Hongrie avait peu progressé dans la transposition de l'acquis concernant la politique agricole[23]. Le domaine de la pêche est lui aussi concerné par ces progrès limités bien que la position géographique de la Hongrie limite l'importance de ce secteur[23].

En matière de social, le rapport constatait des progrès dans la transposition de l'acquis mais demandait plus d'attention en matière de protection de la santé et de sécurité sur le lieu de travail[24]. En ce qui concerne la fiscalité, des progrès étaient constatés dans l'alignement de la TVA[25]. De même en ce qui concerne l'acquis sur l'énergie, bien que des efforts restaient nécessaires notamment par l'adoption de certaines directives sur le marché intérieur de l'énergie[26]. Des progrès étaient aussi constatés dans le domaine de la société de l'information grâce, notamment, à la participation du pays au cinquième programme-cadre[27].

Dans le domaine de la police et la lutte contre la corruption, d'importants progrès avaient été réalisés[28]. Ceux-ci étaient plus modérés en matière de justice, de drogue et d'immigration[28]. La Commission signale sur ce dernier point qu'aucun progrès n'avait été réalisé en matière de contrôle aux frontières et de droit d'asile[28].

En matière environnementale, des progrès ont été constatés en matière de protection de la nature, de lutte contre la pollution (installations industrielles, de combustion, etc.) et de maîtrise des accidents majeurs[29]. Des efforts restaient nécessaires dans la gestion des déchets, de l'eau, et de la qualité de l'air[29].

La Commission remarque surtout des progrès en matière de convergence de la politique industrielle. L'avis remarque que les industries poursuivaient leur restructuration notamment grâce aux investissements directs étrangers[30]. Enfin, la participation de la Hongrie au troisième programme pluriannuel communautaire (1997-2000) concernant les PME donnait de bons résultats dans le soutien de leur développement[30].

La Commission annonce que la Hongrie devra déployer suffisamment de capacité à gérer d'éventuelles flux migratoires des pays limitrophes en raison des possibles tensions communautaires présentes.

Rapport de 2000

Un troisième rapport final fut adopté par la Commission en [31].

Durant cette période, la Commission constate peu de progrès en ce qui concerne les préparatifs à la participation de la Hongrie à l'UEM, bien que la monnaie hongroise soit liée à l'euro depuis le mois de [32]. En matière social, le rapport confirmait la progression effectuée en 1999 malgré des réserves (tels les indicateurs de santé qui ne répondent pas aux chiffres de l'Union).

En matière de fiscalité indirect, la Commission constatait de réels progrès bien que limité[33]. En matière de TVA, les taux réduits ont pour la plupart été abolis, sauf pour certains qui continuait encore de bénéficier du taux à 12 %[33]. En ce qui concerne les droits d'accise, des progrès sont constatés bien que certains spiritueux et certaines eaux-de-vie soit encore soumis à des taux différents[33]. En outre, une direction de répression des fraudes a été créée et le nombre d'inspections et d'audits a été augmenté[33].

En ce qui concerne le marché intérieur de l'énergie, le rapport de la Commission constatait qu'il restait, dans la libéralisation en vue de l'intégration au marché intérieur de l'énergie et le rendement énergétique, des progrès à faire (directive 98/30/CE[34] – dite « gaz » – et directive 96/92/CE[35] – dite « électricité » qui sont depuis abrogées)[36].

Évolution des négociations en 2001

Le rapport rendu par la Commission en [37] rendait compte de progrès importants et généralisés dans l'adoption de l'acquis concernant l'UEM[38] ainsi qu'en matière de droit du travail et de santé[39], de politique industrielle[40], de concurrence[41], de protection de l'environnement[42], de fiscalité[43], d'éducation et de formation[44], de police et de droit d'asile[45] et enfin en ce qui concerne la libre circulation des marchandises[46].

En revanche, le rapport constatait des progrès limités dans les domaines suivants :

  • en matière agricole, ou malgré la poursuite de la transposition de l'acquis, le secteur restait peu compétitif. De même en matière de pêche, ou aucun progrès n'était enregistré[47].
  • le domaine des transports avait peu progressé dans les secteurs ferroviaire, aérien et routier[48].
  • dans le domaine de l'énergie puisque la libéralisation du marché de l'électricité et le secteur du gaz avaient enregistré peu de progrès[49].
  • dans le secteur audiovisuel ou aucun progrès n'avait été constaté[50].

Progression des négociations de 2002

Dans son rapport d'[51], la Commission constatait que la Hongrie s'était rapproché de l'acquis dans de nombreux domaines : sur l'UEM[52], sur les médias et l'audiovisuel[53], sur l'acquis concernant la protection des consommateurs (le chapitre a par ailleurs été provisoirement clos)[54]. De même, des efforts avaient été réalisés en matière de politique industrielle et de politique en faveur des PME[55] ainsi qu'en matière de libre circulation des marchandises et d'Union douanière[56].

Cependant, dans d'autres domaines tels que l'agriculture et la pêche[57] ou encore en matière de fiscalité directe et indirecte[58], peu de progrès avaient été réalisés.

Les négociations se sont finalement clôturées définitivement lors du Conseil européen des 12 et 13 décembre 2002 pour les dix pays de l'élargissement de 2004[59].

Référendum et adhésion

Le , les mouvements politiques opposés à l'adhésion de la Hongrie – le Mouvement hongrois pour la protection du territoire, le Mouvement pour une Hongrie libre et enfin le Mouvement pour une meilleure Hongrie – ont organisé, à Budapest, une conférence contre l'adhésion du pays (cf. la position de l'élite)[60].

Un référendum est organisé par la Hongrie le . Le référendum posait la question suivante :

« Acceptez-vous que la Hongrie devienne membre de l'Union européenne ? »

L'adhésion est approuvée à 83,76 % de « oui » avec un taux de participation de 45,6 %[61].

Détail du processus de négociations

Le pays fait partie du groupe de Luxembourg[N 7], par conséquent, les négociations ont commencé le et se sont clôturées définitivement en pour les dix pays de l'élargissement de 2004[N 1] - [59].

Chapitres de l'acquisÉvaluation initiale de la CommissionOuverture du chapitre[59]Clôture du chapitre[59] - [N 8]
1. Libre circulation des biens
2. Libre circulation des personnes
3. Libre prestation de services
4. Libre circulation des capitauxautomne 1999printemps 2001
5. Droit des sociétés
6. Politique de la concurrence
7. Agriculture
8. Pêche
9. Politique des transports
10. Fiscalité
11. Union économique et monétaire1er semestre 1999fin 1999
12. Statistiques
13. Politique sociale et emploi
14. Énergie2e semestre 19992e semestre 2000
15. Politique industrielle2e semestre 19981er semestre 1999
16. Petites et moyennes entreprises
17. Science et recherche2e semestre 1998
18. Éducation et formation2e semestre 1998
19. Télécommunications et technologies de l'information
20. Culture et politique audiovisuelle
21. Politique régionale et coordination des instruments structurels
22. Environnement
23. Consommateurs et protection de la santé
24. Justice et affaires intérieures
25. Union douanière1er semestre 2001
26. Relations extérieures1er semestre 19992e semestre 2000
27. Politique étrangère et de sécurité commune (PESC)1er semestre 19981er semestre 2000
28. Contrôle financier1er semestre 20001er semestre 2000
29. Dispositions financières et budgétaires1er semestre 2000
30. Institutions1er semestre 2002
31. Autres
Progression30 sur 30[N 9]30 sur 30[N 9]

Questions liées à l'adhésion hongroise

Présence sur la liste noire du GAFI

La Hongrie était, avant son adhésion, présente sur la liste noire du Groupe d'action financière sur le blanchiment des capitaux.

Minorités tsiganes de Hongrie

Les minorités représentaient environ 10 % de la population hongroise, soit environ un million de personnes[62]. Le renforcement des droits de l'homme et des libertés fondamentales dans le pays a permis leur intégration, à l'exception de la minorité tsigane[62]. Cette dernière, comptant environ un demi million de personnes, constitue une catégorie particulièrement pauvre et défavorisée du pays, faisant face à de multiples formes d'exclusion[62].

En dépit des mesures adoptées, les Roms semblaient encore, en 2003, faire l'objet de nombreuses discriminations[62].

Minorités magyares dans les pays voisins

Il existe d'importantes minorités magyares dans les pays voisins de la Hongrie et ce du fait que certains territoires étaient anciennement hongrois[1]. Cette population représentait environ 3 millions de personnes en 1996 et parmi celles-ci se trouvaient : 12 % de la population de Slovaquie, 7 % de la population Roumaine, 450 000 personnes en Voïvodine (Serbie) et 200 000 personnes en Ukraine[1].

Le premier accord bilatéral sur ce sujet a été signé avec l'Ukraine le [1]. Elle renonce, par cet accord, a toute revendication territoriale en Ukraine[1]. Un accord bilatéral a été conclu entre la Slovaquie le [1]. Celui avec la Roumanie a été conclu le [1].

Surveillance frontalière

La Hongrie, en vue de l'adhésion et des obligations qui découleront de sa participation à la convention de Schengen, a dû revoir sa politique de surveillance des frontières[63]. Le pays était en effet entourée de quatre pays hors-Union (trois depuis puisque la Roumanie est entrée dans l'Union en 2007) qui sont à l'origine d'importants flux d'immigration tant régulière que clandestine[63].

De plus, la Hongrie était alors une importante plaque tournante du trafic d'êtres humains (prostitution ou pornographie essentiellement)[63]. La Commission souligne aussi l'insuffisance des contrôles aux frontières en matière de piratage et de contrefaçon[63].

La Hongrie doit mettre suffisamment en œuvre une gestion rigoureuse de ses frontières afin de garantir son adhésion.

Sondage d'opinion

Position de l'élite

Position de l'élite intellectuelle quant à l'adhésion[64]
DateInstitut de sondageImage positive de l'UnionImage négative de l'UnionNeutre
1996Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 786 %3 %7 %
1997Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 886 %9 %1 %

L'ensemble des formations politiques hongroises sont favorables à l'adhésion à l'Union, seuls les partis d'extrême droite, c'est-à-dire le MOEP et parti de la justice et la vie hongroise, appelaient les électeurs à voter « non » au référendum[65]. Les différents mouvements d'opposition à l'intégration – Mouvement hongrois pour la protection du territoire, le Mouvement pour une Hongrie libre et enfin le Mouvement pour une meilleure Hongrie – comparaient l'adhésion à une « colonisation » de l'Europe des Quinze sur les PECO et le leader du Front national hongrois, Ernö Rozgonyi, a de son côté affirmé que l'adhésion transformerait les Hongrois en « esclaves » de l'Europe des Quinze[60]. À l'inverse, ces opposants à l'adhésion à l'Union se sont déclarés favorables à la formation, entre les PECO, d'une zone de libre-échange fondé sur le modèle de l'Empire austro-hongrois[60].

Position de la population

Parmi les sondages ayant relevé la position de l'opinion quant à l'adhésion se trouve l'eurobaromètre d'Europe centrale et orientale qui a été organisé de 1990 à 1998.

Diriez-vous que vos impressions quant aux buts et activités de l'Union européenne sont en général positives, neutres ou négatives [66]?
DateInstitut de sondagePositiveNégativeNeutreNe sachant répondre
1990Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 151 %2 %27 %20 %
1991Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 242 %4 %28 %26 %
1992Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 334 %6 %34 %26 %
1993Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 436 %8 %32 %24 %
1994Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 532 %8 %28 %32 %
1995Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 630 %9 %28 %33 %
1996Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 733 %11 %32 %24 %
1997Eurobaromètre de l'Europe centrale et orientale 842 %7 %30 %21 %

Le nombre important d'indécis et de neutre ne s'explique pas obligatoirement par un manque d'information. L'approche des élections législatives ou le désintérêt de la population est aussi à prendre en compte. Ainsi, on rencontre l'hypothèse de personnes informées, mais qui n'ont pas encore formulé d'opinion propre[67].

Notes

  1. Il s'agit de Chypre, de la République tchèque, de l'Estonie, de la Lettonie, de la Lituanie, de Malte, de la Pologne, de la Slovaquie, de la Slovénie et de la Hongrie.
  2. Les cinq autres pays étant l'Estonie, la Pologne, la Slovénie, la République Tchèque, et Chypre.
  3. Il fut modifié une première fois en décembre 1999 (Décision 1999/850/CE), une seconde fois en janvier 2002 (Décision 2002/87/CE) et a pris fin à la signature du traité d'adhésion.
  4. Ce programme concerne la prise de mesures dans les domaines de l'agriculture et du développement durable.
  5. Ce programme concerne la prise de mesures dans les domaines des transports et de l'environnement.
  6. En 2001, ce montant était passé à 89,9 millions d'euros, puis, en 2002, le programme octroyait 87 millions d'euros à la Hongrie.
  7. Ce groupe est composé de la Hongrie, la Pologne, l'Estonie, la République tchèque, la Slovénie et de Chypre.
  8. Il s'agit de la date de clôture provisoire des chapitres car ceux-ci sont clos définitivement uniquement lors de la conclusion de l'ensemble des négociations par l'État candidat.
  9. Sauf le chapitre 31 (Autres) puisque ce n'est pas un chapitre juridique.

Sources

Références

  1. Larcher, Nachbar et al.
  2. Boross 1994
  3. UEM [COM(97) 2001]
  4. Transports [COM(97) 2001]
  5. Énergie [COM(97) 2001]
  6. COLISEE 2003
  7. Partenariat pour l'adhésion
  8. Rapport de la Commission [COM(98) 705 final]
  9. Industrie [COM(98) 700]
  10. Libre circulation des marchandises [COM(98) 700]
  11. Éducation et formation [COM(98) 700]
  12. Directive 89/552/CEE
  13. Média, secteur audiovisuel [COM(98) 700 final]
  14. Recherche et développement technologique, télécommunications et services postaux [COM(98) 700 final]
  15. UEM [COM(98) 700]
  16. Politique agricole commune et politique commune de la pêche [COM(98) 700]
  17. Fiscalité [COM(98) 700]
  18. Concurrence [COM(98) 700]
  19. Politique commune des transports [COM(98) 700]
  20. Environnement [COM(98) 700]
  21. Rapport de la Commission [COM(1999) 505 final]
  22. UEM [COM(1999) 505]
  23. Politique agricole commune et politique commune de la pêche [COM(1999) 505]
  24. Social, droit du travail [COM(1999) 505]
  25. Fiscalité [COM(1999) 505]
  26. Énergie [COM(1999) 505]
  27. Recherche et développement technologique, télécommunications et services postaux [COM(1999) 505]
  28. Liberté de circulation, police et justice [COM(2000) 505 final]
  29. Environnement [COM(1999) 505]
  30. Industrie [COM(1999) 505]
  31. Rapport de la Commission [COM(2000) 705 final]
  32. UEM [COM(2000) 705]
  33. Fiscalité [COM(2000) 705]
  34. Directive 98/30/CE
  35. Directive 96/92/CE
  36. Énergie [COM(2000) 705]
  37. Rapport de la Commission [COM(2001) 700 final]
  38. UEM [COM(2001) 700]
  39. Social, droit du travail [COM(2001) 700]
  40. Industrie [COM(2001) 700]
  41. Concurrence [COM(2001)700]
  42. Environnement [COM(2001) 700]
  43. Fiscalité [COM(2001) 700]
  44. Éducation et formation [COM(2001) 700]
  45. Liberté de circulation, police et justice [COM(2001) 700 final]
  46. Libre circulation des marchandises [COM(2001) 700]
  47. Politique agricole commune et politique commune de la pêche [COM(2001) 700]
  48. Politique commune des transports [COM(2001) 700]
  49. Énergie [COM(2001) 700]
  50. Média, secteur audiovisuel [COM(2001) 700 final]
  51. Rapport de la Commission [COM(2002) 700 final]
  52. UEM [COM(2002) 700]
  53. Média, secteur audiovisuel [COM(2002) 700 final]
  54. Protection des consommateurs [COM(2002) 700 final]
  55. Industrie [COM(2002) 700]
  56. Libre circulation des marchandises [COM(2002) 700]
  57. Politique agricole commune et politique commune de la pêche [COM(2002) 700]
  58. Fiscalité [COM(2002) 700]
  59. Commission européenne - 22 juin 2005
  60. Deloy 2003
  61. Résultat du référendum sur l'adhésion à l'Union
  62. Lequiller et al. 2003, p. 16
  63. Lequiller et al. 2003, p. 14
  64. De Szy 2002, p. 35
  65. Deloy 2003
  66. De Szy 2002, p. 41
  67. De Szy 2002, p. 42

Bibliographie

Directives

Directive 89/552/CEE du Conseil visant à la coordination de certaines dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres relatives à l'exercice d'activités de radiodiffusion télévisuelle, 31989L0552, adoptée le 3 octobre 1989, JO du 17 octobre 1989, p. 23-30 [consulter en ligne, notice bibliographique]
Directive 96/92/CE du Parlement européen et du Conseil concernant des règles communes pour le marché intérieur de l'électricité, 31996L0092, adoptée le 19 décembre 1996, JO du 30 janvier 1997, p. 20-29, abrogée le 30 juin 2004 par 32003L0054 [consulter en ligne, notice bibliographique]
Directive 98/30/CE du Parlement européen et du Conseil concernant des règles communes pour le marché intérieur du gaz naturel, 31998L0030, adoptée le 22 juin 1998, JO du 21 juillet 1998, p. 1-12, abrogée le 30 juin 2004 par 32003L0055 [consulter en ligne, notice bibliographique]

Rapport de la Commission

  • Commission européenne, Rapport de la Commission [COM(97)2001 final - Non publié au Journal officiel], (lire en ligne), 51997DC2001
  • Commission européenne, Rapport de la Commission [COM(98) 700 final - Non publié au Journal officiel], (lire en ligne), 51998DC0700
  • Commission européenne, Rapport de la Commission [COM(1999) 505 final - Non publié au Journal officiel], (lire en ligne), 51999DC0505
  • Commission européenne, Rapport de la Commission [COM(2000) 705 final - Non publié au Journal officiel], (lire en ligne), 52000DC0705
  • Commission européenne, Rapport de la Commission [COM(2001) 700 final - SEC(2001) 1748 - Non publié au Journal officiel], (lire en ligne), notice bibliographique, 52001DC0700
  • Commission européenne, Rapport de la Commission [COM(2002) 700 final - SEC(2002) 1404 - Non publié au Journal officiel], (lire en ligne), notice bibliographique, 52002DC0700

Reprise de l'acquis

Compléments

Article connexe

Liens externes

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