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Prélude et fugue en fa majeur (BWV 880)

Le Clavier bien tempéré II

Prélude et fugue n°11
BWV 880
Le Clavier bien tempéré, livre II (d)
Fa majeur
Fa majeur
Prélude
MĂ©trique /
Fugue
Voix 3
MĂ©trique /
Liens externes
(en) Partitions et informations sur IMSLP
(en) La fugue jouée et animée (bach.nau.edu)

Le prélude et fugue en fa majeur, BWV 880 est le 11e couple de préludes et fugues du second livre du Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach, compilé de 1739 à 1744.

AprÚs le diptyque précédent en mi mineur, pour le fa majeur, Bach fait se succéder un prélude qui, chose rare, évoque le prélude en mi bémol majeur du premier livre, avec des volutes et tenues organistiques similaires. La fugue à trois voix, dans un rythme de gigue, au contrepoint trÚs libre, emprunte au style du concerto.

Les deux cahiers du Clavier bien tempéré sont considérés comme une référence par nombre de compositeurs et de pédagogues. D'abord recopiés par les musiciens, puis édités au début du XIXe siÚcle, outre le plaisir musical du mélomane, ils servent depuis leur composition à l'étude de la pratique du clavier et à l'art de la composition.


\version "2.18.2"
\header {
  tagline = ##f
}
\score {
  \new Staff \with {
  }
<<
  \relative c'' {
    \key f \major
    \time 3/2
     %% INCIPIT CBT II-11, BWV 880, fa majeur
     << { r8^\markup{Prélude} e8 f g f e d c d c bes a | \once \override Staff.TimeSignature #'stencil = ##f \time 6/2 bes1.~ \hideNotes bes16 } \\ { f2 s1 r8 a8 g f g1^~ \hideNotes g16 } >> \bar ".."
     \partial 4.
     \time 6/16
     r8.^\markup{Fugue} f16 e f c'8-! r16 a16 g a d8-! r16 c16 d e f e d 
{ 
 % suppression des warnings :
 #(ly:set-option 'warning-as-error #f)
 #(ly:expect-warning (_ "stem does not fit in beam")) %% <= Ă  traduire Ă©ventuellement
 #(ly:expect-warning (_ "beam was started here")) %% <= Ă  traduire Ă©ventuellement
  \set stemRightBeamCount = #2
  c4*1/4[ s]
}
  }
>>
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     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver"  \override SpacingSpanner.common-shortest-duration =
        #(ly:make-moment 1/3) }
  }
  \midi {}
}

Contexte

Le Clavier bien tempĂ©rĂ© est tenu pour l'une des plus importantes Ɠuvres de la musique classique. Elle est considĂ©rĂ©e comme une rĂ©fĂ©rence par Joseph Haydn, Mozart, Beethoven, Robert Schumann, FrĂ©dĂ©ric Chopin, Richard Wagner, CĂ©sar Franck, Max Reger, Gabriel FaurĂ©, Claude Debussy, Maurice Ravel, Igor Stravinsky[1], Charles Koechlin et bien d'autres, interprĂštes ou admirateurs. Hans von BĂŒlow la considĂ©rait non seulement comme un monument prĂ©cieux, mais la qualifiait d’Ancien Testament, aux cĂŽtĂ©s des trente-deux sonates de Beethoven, le Nouveau Testament[2].

Les partitions, non publiĂ©es du vivant de l'auteur, se transmettent d'abord par des manuscrits, recopiĂ©es entre musiciens (enfants et Ă©lĂšves de Bach, confrĂšres
) jusqu'Ă  la fin du XVIIIe siĂšcle avec dĂ©jĂ  un succĂšs considĂ©rable[3]. GrĂące Ă  l'Ă©dition, dĂšs le dĂ©but du XIXe siĂšcle, leur diffusion s'Ă©largit. Elles trĂŽnent sur les pupitres des pianistes amateurs et musiciens professionnels, et se donnent au concert, comme Chopin qui en joue pour lui-mĂȘme une page, avant ses apparitions publiques[3]. L'Ɠuvre est utilisĂ©e dĂšs Bach et jusqu'Ă  nos jours, pour la pratique du clavier mais Ă©galement pour l'enseignement de l'art de la composition ou de l'Ă©criture de la fugue. La musique rĂ©unie dans ces pages est donc Ă©ducative, mais Ă©galement plaisante, notamment par la variĂ©tĂ©, la beautĂ© et la maĂźtrise de son matĂ©riau[4].

Chaque cahier est composé de vingt-quatre diptyques (préludes et fugues) qui explorent toutes les tonalités majeures et mineures dans l'ordre de l'échelle chromatique. Le terme « tempéré » (Gamme tempérée) se rapporte à l'accord des instruments à clavier, qui pour moduler dans des tons éloignés, nécessite de baisser les quintes (le ré bémol se confondant avec le do diÚse)[5], comme les accords modernes. Ainsi l'instrument peut jouer toutes les tonalités. Bach exploite donc de nouvelles tonalités quasiment inusitées de son temps, ouvrant de nouveaux horizons harmoniques[4].

Les prĂ©ludes sont inventifs, parfois proches de l'improvisation, reliĂ©e Ă  la tradition de la toccata, de l'invention ou du prĂ©lude arpĂ©gĂ©. Les fugues n'ont rien de la sĂ©cheresse de la forme, que Bach rend expressive. Elles embrassent un riche Ă©ventail de climats, d'Ă©motions, de formes et de structures qui reflĂštent tour Ă  tour la joie, la sĂ©rĂ©nitĂ©, la passion ou la douleur et oĂč l'on trouve tout un monde vibrant d'une humanitĂ© riche et profonde[6]. Certaines contiennent plusieurs procĂ©dĂ©s (strette, renversement, canons, etc.), d'autres non, dans une grande libertĂ© et sans volontĂ© de systĂ©matisme, ce qu'il rĂ©serve Ă  son grand Ɠuvre contrapuntique, L'Art de la fugue, composĂ© entiĂšrement dans une seule tonalitĂ©, le rĂ© mineur[7].

Prélude

Le prélude à cinq voix est noté
et comprend 72 mesures.

Contrairement aux autres prĂ©ludes du recueil, ce qui est remarquable ici, c'est la sonoritĂ© et la plĂ©nitude de sa texture harmonique Ă  quatre ou cinq voix, dans un style qui suggĂšre l'Ă©ventuelle existence d'un prĂ©lude pour orgue Ă  l'origine de la piĂšce plutĂŽt que le clavicorde[8]. On peut rapprocher ce prĂ©lude de celui en mi bĂ©mol majeur du premier livre, avec ces mĂȘmes tenues organistiques[9].



\version "2.18.2"
\header {
  tagline = ##f
}
upper = \relative c'' {
  \clef treble 
  \key f \major
  \time 3/2
  \tempo 2 = 63
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
   %% PRÉLUDE CBT II-9, BWV 878, mi majeur
   r8 e8 f g f e d c d c bes a
   << { bes1.~ bes2 < a f c > aes~ aes8 aes g f g1 } \\ { s2 r8 f e d e2~ e s2 d2~ c4 r4 r8 f8 e d e2 } \\ { e8\rest \stemDown a g f g1~ g2 s2 f2~ f8 } >>
   << { s2 s2 r8 a8 bes c~ c2~ c8 a bes4~ bes2~ bes1~ bes8 g a bes~ bes2~ bes8 g a4~ a2~ a8 c d ees d1 e f2~ } \\ { r8 c,8 d ees d1~ d2 g4. g8 d f e d e2 r8 d8 e f e2~ e8 g f e f4. f8~ f2~ f2 r4 g4~ g8 a g f < c' g >1^~ < c f, >2~ f8 e f g } \\  { r2 r8 e, fis g \stemDown fis2_~ \stemUp fis8 a g fis   s1.*3   r8 c'8 bes a bes2 } >>
    f'8 e d c d c b a
   << { b1 c2~ c2. c4 d f b, c d2~ d8 g, a b c1~ c4 c8 b c2 } \\ { r8 a8 g f g2~ g~ | g  f1~ f2~ f8 f e d e2~ e8 e f g a g f e d2 c } \\ { s1.*3 s1  r8 f4._~ f8 } >>
}
lower = \relative c' {
  \clef bass 
  \key f \major
  \time 3/2
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
       << { r2 r2 a2 d bes g8 bes c d | c bes a g a2 f2~ f8 f e d e4 g c g~ g g fis bes a2~ | a4 d,2 g g4~ | g8 bes c des c1~ | c~ c8 ees d c d2 r4 d2. c4 } \\ { f,,2 f'1~ f1.~ f2~ f8 g f e f d c b c1~ c8 d c bes a2 d1 g,2 bes g c e c f a f bes4 a bes1~ bes8 bes c d c bes a g a g f e } >>
       << { r4 a4 d1~ d2~ d8 f e d \showStaffSwitch \stemDown \change Staff ="upper" e2~ e } \\ { d,2. e4 f2~ f r2 e2~ e~ e8 g f e f e d c d c b a b4 g c b! | a g f d g2 | c } \\ { s4 \stemDown a'2._~ a2 g r2 r8 \stemUp b c d c b a g a1~ a2 g1 a4 r4 r2 r4 g4~ g2 } >>
} 
\score { 
  \new PianoStaff <<
    \set PianoStaff.instrumentName = #"BWV 880"
    \new Staff = "upper" \upper
    \new Staff = "lower" \lower
  >>
  \layout {
    \context {
      \Score
      \remove "Metronome_mark_engraver"
      \override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2)
    }
  }
  \midi { }
}

Fugue

Caractéristiques
3 voix —
, 99 mes.
⋅ 9 entrĂ©es du sujet
⋅ rĂ©ponse tonale
⋅ pas de contre-sujet

La fugue Ă  trois voix, est longue de 99 mesures.

Il est difficile d'imaginer un plus grand contraste avec le prélude qui précÚde, au caractÚre reposant, alors que la fugue est enlevée et joyeuse[10]. Le sujet est constitué de trois sauts chacun un peu plus haut : d'abord deux voltes gracieuses grimpant jusqu'à la sixte du ton, puis une série de doubles croches qui atteint l'octave supérieur, mesure 4, avant de redescendre au fa d'origine. La mesure, notée d'un rare mouvement de gigue à
[11], place le début du sujet non sur une anacrouse, comme pour la fugue en fa diÚse majeur, mais sur un temps fort, aprÚs un silence, ce qui produit un tout autre équilibre rythmique[12].



\version "2.18.2"
\header {
  tagline = ##f
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\score {
  \new Staff \with {
  }
<<
  \relative c' {
    \clef treble
    \key f \major
    \time 6/16
    \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
     %% SUJET fugue CBT II-11, BWV 880, fa majeur
     r8. f16 e f | c'8-! r16 a g a | d8-! r16 c d e | f e d c d bes | a g f 
  }
>>
  \layout {
     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" }
  }
  \midi {} 
}


Les entrées de l'exposition se font soprano, alto, basse, cette derniÚre rentrant dans le registre ténor seulement à la quatorziÚme mesure, alors que la réponse suivante se fait dans le registre de basse (mesure 21). DÚs la mesure 5, Bach introduit un nouveau rythme, abondamment utilisé ensuite, de croche-double[12].

Kirnberger a transmis la seule indication d'interprétation connue, parmi les disciples, sur le Clavier bien tempéré, à propos du sujet de cette fugue : « on devrait le jouer dans un mouvement coulant, légÚrement et sans la moindre pression des doigts »[12]. Kirnberger fait allusion manifeste au clavicorde en parlant de pression[12].

Absent pendant le divertissement central, le sujet revient à la fin à la basse, il présente dans un effet humoristique quatre rebonds au lieu des trois du sujet strict « comme s'il ratait la bonne marche »[11].



\version "2.18.2"
\header {
  tagline = ##f
}
Dux    = { f16^\markup{Dux} e f | c'8-! r16 a g a | d8-! r16 c d e | f e d c d bes | a g f }
Comes  = { r8.^\markup{Comes} c16 bes c | f8-! r16 e d e | a8-! r16 g a b | c b a g a f | e d c }
upper = \relative c' {
  \clef treble 
  \key f \major
  \time 6/16
  \tempo 8. = 96
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
   %% FUGUE CBT II-11, BWV 880, fa majeur
   r8. \Dux e8 bes'16 | a8 d16 g,8 d'16 c8 f16 b,8 f'16 | e16 d c | g'8 b,16 | c8.~ c16  bes a | bes c d ees8.~ | ees16 d c d e f | g8.~ g16 f e | f g a bes8.~ | \stemUp bes16 a g
   << { a bes a | g8.~ g16 c e, f8. e16 f g | c,8 f16 f8 e16 f8 r16 r8. } \\ { f8.~ f16 e d c8.~ c16 a bes~ bes8. | a8 bes16 a8 g16 c bes a g a f } >>
}
lower = \relative c {
  \clef bass 
  \key f \major
  \time 6/16
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
    R4.*4 \clef treble \relative c' \Comes d'16 e f g8.~ g16 f ees | f g a bes8.~ bes16 a g a b cis d8.~ d16 c bes 
    << { c16 d \stemDown \change Staff = "upper" e } \\ { r8. \change Staff = "lower" \clef bass \relative c \Dux bes,8. } >>
} 
\score {
  \new PianoStaff <<
    \set PianoStaff.instrumentName = #"BWV 880"
    \new Staff = "upper" \upper
    \new Staff = "lower" \lower
  >>
  \layout {
    \context {
      \Score
      \remove "Metronome_mark_engraver"
      \override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2)
    }
  }
  \midi { }
}


La premiĂšre section s'achĂšve mesure 29. Pendant 24 mesures, Bach tait le sujet et joue avec le mĂȘme dessin qui reliait la fin du comes et le retour du sujet mesure 14. Ce n'est qu'Ă  la mesure 52 que le sujet est rĂ©exposĂ© au tĂ©nor et la rĂ©ponse Ă  la basse est diffĂ©rĂ©e jusqu'Ă  la mesure 66, aprĂšs une pĂ©dale de dominante[13].

Dans cette fugue, il n'y a pas de contre-sujet rĂ©gulier, pas de strette, de diminution, augmentation, inversions ou autres artifices contrapuntiques[14], ce qui en fait une Ɠuvre hors normes«_
_fort_peu_soucieux_de_procĂ©dĂ©s_contrapuntiques_(et_de_son_sujet_?_absent_durant_un_long_Ă©pisode_central)_»_15-0">[15].

Manuscrits

Les manuscrits considérés comme les plus importants sont de la main de Bach ou d'Anna Magdalena. Ils sont :


  • partition manuscrite
    Début du prélude, Ms. P 430.
  • partition manuscrite
    DĂ©but de la fugue, Ms. P 430.
  • partition manuscrite
    Fin de la fugue.

Postérité

Théodore Dubois en a réalisé une version pour piano à quatre mains, publiée en 1914[18].

Références

  1. Dufourcq 1946, p. 217.
  2. Candé 1984, p. 329.
  3. Candé 1984, p. 331.
  4. Nouveau dictionnaire des Ɠuvres 1994, p. 1217.
  5. Dufourcq 1946, p. 222.
  6. Nouveau dictionnaire des Ɠuvres 1994, p. 1218.
  7. « Philharmonie à la demande - L'Art de la fugue de Johann Sebastian Bach », sur pad.philharmoniedeparis.fr (consulté le )
  8. Gray 1938, p. 108–109.
  9. Ledbetter 2002, p. 285.
  10. Tranchefort 1987, p. 38.
  11. Sacre 1998, p. 217.
  12. Keller 1973, p. 178.
  13. Keller 1973, p. 178–179.
  14. Gray 1938, p. 109.
  15. «_
_fort_peu_soucieux_de_procĂ©dĂ©s_contrapuntiques_(et_de_son_sujet_?_absent_durant_un_long_Ă©pisode_central)_»-15" class="mw-reference-text">Sacre 1998, « 
 fort peu soucieux de procĂ©dĂ©s contrapuntiques (et de son sujet ? absent durant un long Ă©pisode central) », p. 217.
  16. Tomita 2007, p. X.
  17. (de) Jean-SĂ©bastien Bach et Johann Christoph Altnikol, Des Wohltemperirten Claviers, Zweiter Theil, besthehend in PrĂŠludien und Fugen durch alle Tone und Semitonien, verfertiget von Johann Sebastian Bach, Königlich Pohlnisch und ChurfĂŒrstl. SĂ€chs. Hoff Compositeur, Capellmeister und Directore Chori Musici In Leipzig. [« Le clavier bien tempĂ©rĂ©, volume 2, ou prĂ©ludes et fugues dans tous les tons et demi-tons, prĂ©parĂ©s par Jean-SĂ©bastien Bach, compositeur de la cour royale de l'Ă©lectorat de Saxe et de la Pologne, maĂźtre de chapelle et directeur de chorale musicale Ă  Leipzig »] (lire en ligne [PDF]) (copie manuscrite d'Altnikol publiĂ©e par International Music Score Library Project)
  18. Johann Sebastian Bach et ThĂ©odore Dubois, Le clavecin bien tempĂ©rĂ©, 48 prĂ©ludes et fugues transcrits 4 mains par ThĂ©odore Dubois, Paris, Éditions Maurice SĂ©nart et Cie, (lire en ligne), p. 67-71

Voir aussi

Bibliographie

Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

  • (en) Hugo Riemann (trad. de l'allemand), Analysis of J.S. Bach's Wohltemperirtes clavier [« Katechismus der fugen-komposition = »], vol. 2, Londres, Augener & Co., (1re Ă©d. 1891 (de)), 234 p. (lire en ligne)
  • (en) Cecil Gray, Forty-Eight Preludes and Fugues of J.S .Bach, Oxford University Press, , 148 p. (OCLC 603425933, lire en ligne [PDF]), p. 108-110.
  • Norbert Dufourcq, La musique des origines Ă  nos jours, Paris, Larousse, , 592 p. (OCLC 851442, BNF 37441761), « Jean-SĂ©bastien Bach et Georg Friedrich Haendel ».
  • Karl Geiringer (trad. de l'anglais par Rose Celli), Jean-SĂ©bastien Bach [« Johann Sebastian Bach, the culmination of an area »], Paris, Éditions du Seuil, coll. « Musiques », (1re Ă©d. 1966(en)), 398 p. (OCLC 743032406, BNF 35199443)
  • Hermann Keller, Le clavier bien tempĂ©rĂ© de Johann Sebastian Bach : l'Ɠuvre, l'interprĂ©tation, Paris, Bordas, coll. « Études », (1re Ă©d. 1965(de)), 233 p. (OCLC 373521522, prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 176–179(de)
  • (en) Yo Tomita, J. S. Bach’s ‘Das Wohltemperierte Clavier II’ : A Study of its Aim, Historical Significance and Compiling Process, Leeds, University of Leeds, (lire en ligne [PDF])
  • Laffont – Bompiani, Le Nouveau dictionnaire des Ɠuvres de tous les temps et de tous les pays, t. 1 : A-C, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », (rĂ©impr. 1999, 2007), 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1980), xxxi-7682 (OCLC 1040804733), « Le Clavecin bien tempĂ©rĂ© », p. 1218.
  • (en) Yo Tomita, J. S. Bach’s ‘Das Wohltemperierte Clavier II’ : A Critical Commentary, vol. 2 : All the extant manuscripts, Leeds, Household World Publisher, , 1033 p. (lire en ligne [PDF])
  • François-RenĂ© Tranchefort (dir.), Guide de la musique de piano et de clavecin, Paris, Fayard, coll. « Les Indispensables de la musique », , 867 p. (ISBN 978-2-213-01639-9, OCLC 17967083, lire en ligne), p. 37–38.
  • Guy Sacre, La musique pour piano : dictionnaire des compositeurs et des Ɠuvres, vol. I (A-I), Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 2998 p., p. 217.
  • Robert Levin (clavecin, clavicorde, orgue et piano-forte) (trad. Anne Paris-Glaser), « Bach, Clavier bien tempĂ©rĂ©, livre II : BWV 870-893 », p. 644–645, HĂ€nssler Edition Bachakademie, vol. (102 Ă ) 117, 2000 (OCLC 705291496).
  • (en) David Ledbetter, Bach’s Well-tempered Clavier : the 48 Preludes and Fugues, Yale University Press, , 414 p. (OCLC 5559558992, prĂ©sentation en ligne), p. 329–332.
  • (en) David Schulenberg, The keyboard music of J.S. Bach, New York, Routledge, , viii–535 (OCLC 63472907, lire en ligne), p. 257–258.
  • Yo Tomita, « prĂ©face », dans J.-S. Bach, Clavier bien tempĂ©rĂ©, Livre II, Henle, , xvii-163 (ISMN 979-0-2018-0017-2, lire en ligne), p. IX–XIII

Articles connexes

Liens externes

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