Portieux
Portieux est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Portieux | |
Rue Eugène-Huraux. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Épinal |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération d'Épinal |
Maire Mandat |
Christelle Paillard 2020-2026 |
Code postal | 88330 |
Code commune | 88355 |
Démographie | |
Gentilé | Portessiens, Portessiennes |
Population municipale |
1 230 hab. (2020 ) |
Densité | 156 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 20′ 40″ nord, 6° 20′ 44″ est |
Altitude | 321 m Min. 277 m Max. 365 m |
Superficie | 7,9 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Épinal (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Charmes |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Ses habitants sont appelés les Portessiens.
Géographie
Le village de Portieux occupe la rive droite de la Moselle en amont de Charmes et vis-à -vis de Vincey. La commune se double du hameau de Magnienville, 4 km à l'est, devenu La Verrerie de Portieux.
En fait la commune de Portieux est composé de: Portieux centre, Belval et La Verrerie de Portieux l'ensemble situé sur l'axe du ruisseau "Rochon" dit aussi "Mori" à la Verrerie.
D’après la carte IGN, l’altitude minimale de 277 mètres est au confluent du ruisseau de l'Ermitage tandis que l’altitude maximale de 365 mètres se situe au carrefour de la Verrerie, forêt de Fraize.
Description topographique (donnée par le PLU de Portieux) : le territoire de Portieux se présente globalement sous forme de reliefs émoussés localement entaillés par la vallée de la Moselle qui s’écoule du nord-ouest au sud-ouest du territoire. Une petite vallée se greffe perpendiculairement à cet axe, traversée par le ruisseau du Rochon (appelé aussi "Mori" depuis la commune de Moriville jusqu'à la Verrerie de Portieux), affluent de la Moselle qui déroule son lit à une altitude comprise entre 311 mètres et 280 mètres. Les collines ne culminant guère plus haut, n’atteignent en effet que 365 mètres en leur point le plus élevé.
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Mosellele ruisseau de la Foret du Terne, le ruisseau le Portieux et le ruisseau de la Laumont[1] - [Carte 1].
La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[2].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[3].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Portieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [4] - [5] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,5 %), forêts (29,2 %), zones urbanisées (8,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), eaux continentales[Note 4] (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Le nom de Portieux a son origine évidente dans le latin Portus Coelorum (passage des cieux, d'où porte des cieux). Il y a un rapport certain entre Portus Coelorum et le prieuré fondé au tout début du XIIe siècle à Belval qui peut être tenu comme un lieu de vénération à Bel Ualos (Bel, Belenos dieu gaulois de la lumière, ualos = souverain).
Histoire
Dénommée primitivement Portus Coelorum, la cité s'est développée autour d'un prieuré sis à Belval, fondé en 1107 par Gérard Ier de Vaudémont, où il fut inhumé avec son épouse selon son souhait. Par la suite, ses restes furent transférés à Nancy en 1718 par Dom Calmet (abbaye Saint-Léopold de Nancy). Le Prieuré de Belval en tant que tel fut supprimé par un décret du Pape Paul V. Le la communauté des religieux quitta dès lors Belval pour l'(abbaye Saint-Léopold de Nancy). Il resta un prêtre pour desservir le pèlerinage de saint Spinule et la paroisse de Portieux.
La seconde vie de Portieux s'est dessinée au début du XVIIIe siècle par la volonté du duc de Lorraine. C’est en 1705 que François Magnien (Maître d’hôtel du duc de Lorraine) obtient de Léopold Ier de Lorraine l’autorisation de créer une première verrerie à Portieux-village (actuellement rue Gustave-Chardot). Comme Magnien est un favori du Prince, il demande et obtient de nouvelles concessions, de nouveaux arpents de terre et de bois pour développer son industrie. En 1710, il se rapproche de la forêt de Ternes au lieu, dit : « la fontaine de Viller », aujourd’hui « fontaine Jean Ruer » à 4 km de Portieux, sur la rive droite du Mori.
Il y fabrique du verre à vitre, on appellera cette usine « verrerie des bois », par opposition à celle de Portieux, qui est installée au village et qui fabrique des gobelets. En 1714, le duc de Lorraine demande à Magnien de créer une troisième verrerie, pour fabriquer des glaces à miroirs et de carrosses, ainsi que des carreaux pour vitrages en bois et en plomb. Il s’installe en face de la fontaine de Viller sur la rive gauche du Mori, c’est l’emplacement de la verrerie actuelle.
En 1718, il est décidé de fermer l’usine de Portieux-village et de la fontaine de Viller afin de regrouper l’ensemble dans la nouvelle usine. C’est autour d’elle que ce groupent les ouvriers, et ce centre industriel portera alors le nom de « Magnienville » du nom de son fondateur : Cristallerie de Portieux. Magnien obtient le titre de seigneur de Magnienville.
De la nuit du 4 août 1789, qui abolissait les privilèges accordés aux nobles, La Verrerie de Magnienville allait subir les répercussions, et perdre tous les avantages accordés jadis gratuitement par la cour de Lorraine. Le domaine de Magnienville devenait « bien national », et en 1796, il était acheté par les mêmes directeurs qui auparavant l’exploitaient : MM. Lamy et Bour. Ceux-ci achèteront également le monastère de Belval (situé sur la commune de Portieux, entre Portieux village et La Verrerie).
L'entreprise acquit rapidement une renommée dans toute l'Europe.
Le cadastre le plus ancien date de 1824 (date communiquée par le cadastre à Épinal). Les matrices cadastrales les plus anciennes sont de 1823. Elles sont conservées aux A.D.V. (Archives Départementales des Vosges)[12].
Politique et administration
Intercommunalité
Portieux fait partie de la communauté d'agglomération d'Épinal[13].
Liste des maires
Finances locales
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[14] :
- total des produits de fonctionnement : 976 000 €, soit 749 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 746 000 €, soit 572 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 273 000 €, soit 209 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 168 000 €, soit 129 € par habitant ;
- endettement : 0 €, soit 0 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 19,02 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,87 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 20,44 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 19,70 %.
Jumelages
Portieux n'est jumelée avec aucune autre ville.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].
En 2020, la commune comptait 1 230 habitants[Note 5], en diminution de 1,68 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La Cristallerie de Portieux date de 1705. Le spectacle encore offert aujourd'hui des souffleurs de verre est accessible aux visiteurs.
- L'église de l'Exaltation de la Sainte-Croix et son orgue[19].
- L'église Saint-Laurent de La Verrerie et son orgue[20] - [21].
- La chapelle des sœurs de la Providence et son orgue[22].
- Les monuments aux morts[23]. Portieux a eu sept fusillés pendant la Seconde Guerre mondiale[24].
- L'ancienne filature de Vincey inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [25].
- Plusieurs fermes et maisons d'ouvriers des XVIIe ou XVIIIe siècles.
- Le Moulin du Pilan[26].
- Le Moulin de Portieux.
Vestiges archéologiques
- Deux voies romaines se trouvent à Portieux[27] :
- La voie de Langres à Strasbourg (embranchement de la voie impériale d’Agrippa-Lyon à Trèves ) franchissait la Moselle au plein de Portieux. Elle recoupait la voie de Metz à Bâle sur le territoire de Portieux. En plus du gué du plein de Portieux, il existe un second gué localisé à la ferme de Sous Fraize, sur le territoire de Châtel-sur-Moselle[28]. Il est à noter par ailleurs que la voie romaine Langres-Metz demeura, au Moyen Âge, un axe d'une importance économique majeure.
- Une voie secondaire partait de Portieux, passait par « Mézières » (territoire de Rehaincourt) gagnait Essegney et probablement Deneuvre près de Baccarat. Mézières fut une station romaine très importante[29]. Des objets antiques furent découverts en 1856 dans la forêt de Ternes lors de fouilles effectuées à cet endroit par l’abbé Pierfitte, curé de Portieux[30]. On ignore si la partie explorée est sur le territoire de Portieux et la nature des objets (médailles antiques et un pied humain).
- La statue surnommée Le cavalier au géant « anguipède[31] - [32]» représente un dieu barbu et armé dont le cheval terrasse un monstre mi-homme, mi-serpent, a été découverte en 1870, en face de la ferme des Sauley (Chevrot), dans la Moselle au lieu-dit « le Plein », gué de la voie romaine de Langley à Strasbourg. Cette statue est exposée dans la salle d’entrée du Musée départemental d'art ancien et contemporain d’Épinal.
- La fondation du prieuré de Belvade. La date du document le plus ancien faisant mention de la commune remonte à 1107. Il est question de Portieux, sous le nom de Portus, dans l’acte de fondation du prieuré de Belval – A.D.M.M. H33[33].
Personnalités liées à la commune
- François Magnien de Magnienville, fondateur de la verrerie de Portieux, cristallerie de Portieux.
- Xavier Mougin, industriel et propriétaire de la cristallerie de Portieux.
- André Gérardin, industriel et petit-fils de Xavier Mougin, directeur de la Cristallerie de Portieux et de la Cristallerie de Vallérysthal.
- François Pelletier, mécanicien, horloger[34].
- Louis-Félix Claudel, dessinateur et illustrateur[35].
- Charles Pelletier, ecclésiastique, en religion : « dom Ambroise »[36].
Héraldique, logotype et devise
Blasonnement :
De gueules, à la bande ondée d'argent chargée en abîme et d'aplomb, d'un cavalier à l'anguipède contourné de sinople, armé d'une lance d'or, accompagnée en chef d'une chapelle d'or, et en pointe d'un service de trois verres à pied décroissant en taille rangés en fasce.
Commentaires : Ce blason créé par l'abbé Gaire, a été adopté par la commune le 24 septembre 1978 pour le 34e anniversaire de la libération du village. La bande figure la Moselle et son gué sur la voie romaine où fut retrouvée la statue du cavalier au géant anguipède. On retrouve de part et d'autre la chapelle de Belval et la tradition verrière. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Jean-Yves Vincent, Archives communales de Portieux (1541-1972), Archives départementales des Vosges, Épinal, 2010, 14 p. [lire en ligne]
- La voie romaine Langres-Strasbourg sur le territoire de la commune de Portieux (88), par Jean-Marie-Hanus
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- INSEE, « Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet », sur insee.fr (consulté le ).
- INPN, « Inventaire du patrimoine naturel de la commune », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- Cavités souterraines : Forêt de Fraize, mardelles
Articles connexes
- Liste des communes des Vosges
- Gare de Vincey (halte SNCF située sur le territoire de la commune de Portieux)
- Gare de La Verrerie-de-Portieux aujourd'hui mairie annexe
- Liste des nécropoles militaires en Lorraine
- Cristallerie de Portieux
- Ambroise Pelletier
Liens externes
- Site sur le village de la Verrerie de Portieux
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine, et en particulier l'enquête thématique régionale (architecture rurale de Lorraine ; le Saintois)
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
- Description historique de la commune
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Portieux » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
Références
- « Fiche communale de Portieux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
- Sandre, « la Moselle »
- « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Épinal », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Musée Lorrain
- Archives départementales des Vosges, E dépôt 362 Archives communales de Portieux (1541-1972)
- « Communes membres », sur le site de la communauté d'agglomération d'Épinal
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur Internet Archive).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Inventaires des orgues : église de l'Exaltation de la Sainte Croix, église Saint Laurent de la Verrerie, chapelle des Sœurs de la Providence
- Orgue de l'église saint Laurent de la Verrerie
- Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 458 à 465 Présentation des orgues de la commune : pp. 462-463 : Eglise Saint-Laurent de la Verrerie; pp. 464-465 : Chapelle des sœurs de la Providence.
- Chapelle des sœurs de la Providence. Orgue neuf d'Edmond Alexandre Roethinger
- Monument aux Morts de La Verrerie; Monument aux Morts ; Plaque commémorative 1914-1918; Plaques commémoratives 1914-1918 de La Verrerie; Plaque commémorative Dans l'enceinte du couvent des Sœurs de la Providence; Monument tombe; Plaque commémorative "En souvenir des soldats de Portieux et de l'ambulance du couvent"; Carré militaire dans le cimetière communal
- Monument spécifique - Aux fusillés
- « Filature dite de Vincey (ancienne) », notice no PA00107339, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le moulin du Pilan
- La voie romaine Langres-Strasbourg sur le territoire de la commune de Portieux : Le gué de Portieux
- Sources : Mme Chantal Debry, responsable du château-fort de Châtel-sur-Moselle
- Sources : Mme Chantal Debry
- Voies romaines de Langres à Strasbourg et de Corre à Charmes
- Cavalier à l'Anguipède
- Vie religieuse en Gaule. Héritage celtique et courants méditerranéens § 6. Jupiter-Taranis et l'invincibilité impériale sur les colonnes « au géant » du nord-est de la Gaule, Fig 25]
- Notes et dates historiques de Portieux
- François Pelletier, Dictionnaire des Vosgiens célèbres
- Louis-Félix Claudel, Dictionnaire des Vosgiens célèbres
- « Biographie de Pelletier (Dom Ambroise), bénédictin », sur le site personnel de Bernard Visse, Notices biographiques des célébrités vosgiennes/Humbert le Vosgien (consulté le ).