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Pont-de-Barret

Pont-de-Barret est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pont-de-Barret
Pont-de-Barret
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes Dieulefit-Bourdeaux
Maire
Mandat
Robert Palluel
2020-2026
Code postal 26160
Code commune 26249
DĂ©mographie
Gentilé Pontois, Pontoises
Population
municipale
668 hab. (2020 en augmentation de 1,21 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 40 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 36′ 10″ nord, 5° 00′ 42″ est
Altitude Min. 206 m
Max. 623 m
Superficie 16,60 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Dieulefit
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Pont-de-Barret
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Pont-de-Barret
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Pont-de-Barret
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Pont-de-Barret

    GĂ©ographie

    Localisation

    Pont-de-Barret se situe à égale distance de Dieulefit, Montélimar et Crest.

    Relief et géologie

    Sites particuliers[1] :

    • les CĂ´tes de Sevaine (341 m)
    • Montagne de Briesse (575 m) ;
    • Montagne de Sainte-EuphĂ©mie (608 m) ;
    • Serre de la Bâtarde ;
    • Serre Vivier (300 m).

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    • la Rimandoule
    • le Roubion
    • Ravin de Briesse
    • Ravin de Ligourne
    • Ravin de Merdanson
    • Ravin de NĂ©velet
    • Ravin de Venouil
    • Ruisseau de Rioussec
    • Ruisseau de Salettes

    Urbanisme

    Typologie

    Pont-de-Barret est une commune rurale (au sens de la grille communale de densité de l'Insee) car elle fait partie des communes peu ou très peu denses[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de MontĂ©limar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,6 %), terres arables (29,5 %), prairies (8,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), zones urbanisées (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :

    • Arduc
    • Beauvillard
    • Chapesse
    • Eson Bas
    • Eson Haut
    • Ferme de Briesse
    • la Bâtarde
    • la Jasse
    • l'Amourier
    • le Chaffal
    • les Blaches
    • les Charrans
    • les ChĂ©rons
    • les Crottes
    • les Gourjeasses
    • les Guions
    • les ĂŽles
    • les Lucs
    • les Martins
    • les Moulins
    • les Payots
    • les Perrins
    • les PrĂ©-Longs
    • les Rivières
    • les Sevaines
    • les Touches
    • les Tuillères
    • les Vouguets
    • le Vannier
    • l'HĂ´pital
    • Mazade
    • Montuel
    • Picolet
    • Rioussec
    • Sausse

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales D 138, D 179, D 183, D 264, D 310 et D 328[1].

    Toponymie

    Attestations

    Le lieu porte le nom de Savenne jusqu'au Xe siècle[8].

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[9] :

    • 956 : locus qui prius dictus est Savenna et modo dicitur ad Pontem (D. Bouquet IX, 697).
    • 957 : locus qui dicitur ad Pontum (cartulaire de Saint-Chaffre, 7).
    • XIe siècle : villa de Ponte (cartulaire de Saint-Chaffre, 26).
    • 1179 : mention de la paroisse : ecclesia de Ponte (Gall. christ., XVI, 129).
    • 1332 : Pons de Baretto (Gall. christ., XVI, 129).
    • XIVe siècle : mention du prieurĂ© : prioratus Pontis Baretti (pouillĂ© de Die).
    • 1370 : Pons Baretti (archives de la DrĂ´me, E 460).
    • 1442 : castrum Pontis Baretti (choix ce documents, 270).
    • 1509 : mention de l'Ă©glise Notre-Dame-la-Brune : ecclesia parrochialis Beate Marie Pontis Barreti (visites Ă©piscopales).
    • 1891 : Pont-de-Barret, commune du canton de Dieulefit.

    Histoire

    Préhistoire et protohistoire

    Le site Sainte-Euphémie aurait été un site défensif pré-romain.

    Antiquité

    Le site aurait été un village gallo-romain sous le nom de Savenna qui se retrouve dans le toponyme du quartier Savenne.

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    Entre la fin du IXe siècle et le XIe siècle, les habitants de Savenna et les moines quittent la plaine pour se réfugier sur la colline « Saint-Rambert » où se trouve le vieux village.
    Un pont est construit sur le Roubion. Il permet de rejoindre les rochers formant des « barres » d'où le nom de Pont de la Barre qui donna Pont-de-Barret.
    Le village se développe sur la rive gauche au XIe siècle avec la construction de l'église Notre-Dame-la-Brune.

    La seigneurie[9] :

    • Au point de vue fĂ©odal, le Pont-de-Barret Ă©tait une terre (ou seigneurie) du fief des comtes de Valentinois.
    • Un quart appartenait au prieur du lieu ; le reste Ă©tait partagĂ© de tout temps entre plusieurs co-seigneurs.
    • 1298 : les (d')Agoult, les Bourdeaux, les (d')Egluy.
    • 1345 : les (d')Agoult, les FĂ©lines, les Vercors.
    • 1353 : la part des Agoult passe (par mariage) aux BenoĂ®t.
    • 1374 : les Vesc ont une autre part.
    • (non datĂ©) : les Taulignan ont une autre part.
    • (non datĂ©) : la part des Taulignan passe aux Solamieu.
    • 1427 : la part des Solamieu passe aux Gaubert.
    • 1540 : les Gaubert, les (d')Eurre et les Saint-FerrĂ©ol sont co-seigneurs.
    • 1680 : les Saint-FerrĂ©ol possèdent les trois quarts de la terre de Pont-de-Barret.
    • 1789 : le prieurĂ©, les Saint-FerrĂ©ol de Saint-Pons, les Faure-Chabert, sont les derniers seigneurs.

    XIVe siècle : le village est saccagé par les troupes de Raymond de Turenne[8].

    1789 (démographie) : 500 habitants[9].

    Avant 1790, le Pont-de-Barret était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, sous le vocable de Notre-Dame-la-Brune, était celle d'un prieuré de bénédictins (de la dépendance de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monestier) fondé en 956 et dont les dîmes appartenaient au prieur du lieu qui présentait à la cure[9].

    Savenne

    • 876 : villa que dicitur Savenna (cartulaire de Saint-Chaffre)[10].
    • 956 : locus qui prius dictus est Savenna et modo dicitur ad Pontem (D. Bouquet IX, 697)[9].
    • 1891 : Savenne, quartier de la commune de Pont-de-Barret[10].
    • (non datĂ©) : Les Sevaines (plans cadastraux)[10], (IGN)[1].

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    En 1790, la commune est comprise dans le canton de Marsanne. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Dieulefit[9].

    La commune avait des moulins utilisant la force de l'eau du Roubion. Ils servaient Ă  la fabrication de la soie.

    Le , à 8 h 21, une forte secousse tellurique est ressentie dans la Drôme, au sud de Crest dans les villages de Saou, Manas et Pont-de-Barret. À l'épicentre, proche de Manas, les cheminées s’écroulent et de nombreuses maisons sont lézardées, ainsi que l’église (intensité VII).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1848 ?
    1848 1871 Louis-François Chancel
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874 Louis-François Chancel maire sortant
    1874 1878 Louis-François Chancel maire sortant
    1878 1883 Louis-François Chancel maire sortant
    1883
    (Ă©lection ?)
    1884 Louis Chancel RĂ©publicain avocat et industriel
    1884 1888 Louis Chancel maire sortant
    1888 1892 Louis Chancel maire sortant
    1892 1896 Louis Chancel maire sortant
    1896 1900 Louis Chancel maire sortant
    1900 1904 Louis Chancel maire sortant
    1904 1908 Louis Chancel maire sortant
    1908 1912 Louis Chancel maire sortant
    1912 1919 Louis Chancel maire sortant
    1919 1925 Louis Chancel maire sortant
    1925 1929 Louis Chancel maire sortant
    1929 1935 Louis Chancel maire sortant
    1934
    (Ă©lection ?)
    1935 Jacques-Albert Chancel agriculteur
    1935 1938 Roger Chancel Radical-socialiste avocat, maire de Montélimar (1925-1935)
    1938
    (Ă©lection ?)
    1939 Emile Chancel médecin
    ? 1945 Louis Chalavant médecin
    1945 1947 Louis Chalavant maire sortant
    1947 1953 Louis Chalavant maire sortant
    1953 1959 Louis Chalavant maire sortant
    1959 1965 Louis Chalavant maire sortant
    1965 1970 Louis Chalavant maire sortant
    1970
    (Ă©lection ?)
    1971 Louis Chancel avocat, maire de Montélimar (1953-1958)
    1971 1976 Louis Chancel maire sortant
    1976
    (Ă©lection ?)
    1977 ?
    1977 1983 ?
    1983 1989 Robert Palluel UMP puis LR agriculteur retraité, ancien conseiller général
    1989 1995 Robert Palluel maire sortant
    1995 2001 Robert Palluel maire sortant
    2001 2008 Robert Palluel maire sortant
    2008 2014 Robert Palluel maire sortant
    2014 2020 Robert Palluel maire sortant
    2020 En cours
    (au 26 mars 2022)
    Robert Palluel[11] maire sortant

    Politique environnementale

    La commune dispose d'une station de traitement des eaux[1].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].

    En 2020, la commune comptait 668 habitants[Note 3], en augmentation de 1,21 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    527491500630676612652700728
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    757780821740757742708710720
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    731697707554575559520427474
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    414431424385453459531551643
    2018 2020 - - - - - - -
    670668-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee Ă  partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une Ă©cole primaire, de la maternelle au CM2.

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte : le deuxième dimanche de septembre[8].

    Loisirs

    Sports

    La commune est réputée pour son site d'escalade orienté au sud sur la montagne d'Eson, très fréquenté les jours de beau temps en saison hivernale. Une petite falaise réservée aux grimpeurs de haut niveau borde également le Roubion.

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : pâturages (ovins, bovins), céréales, vignes, lavande[8].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Saint EuphĂ©mie : site dĂ©fensif prĂ©-romain et du haut Moyen Ă‚ge[16].
    • Tour du château fĂ©odal[8].
    Châteauvieux : ruines d'une tour et vestiges d'un château fort sur le rocher dominant le village.
    • Vieux pont sur le Roubion[8].
    • UnitĂ© d'architecture : ruelles voĂ»tĂ©es en escalier[8].
    • Église Notre-Dame-la-Brune du XIIe siècle (MH) situĂ©e sur un promontoire : nef unique Ă  deux travĂ©es voĂ»tĂ©es en plein cintre, abside en cul-de-four Ă  cinq arcatures[8].
    • Château Saint-FerrĂ©ol : rĂ©sidence seigneuriale du dĂ©but du XVIIe siècle[17].

    Patrimoine culturel

    • Artisanat d'art[8].

    Patrimoine naturel

    • Une source d'eau minĂ©rale (exploitĂ©e au XIXe siècle)[8].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Pont-de-Barret possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. https://www.geoportail.gouv.fr/
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    8. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Cobonne.
    9. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 281 (Pont-de-Barret).
    10. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 369 (Savenne).
    11. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    16. Frédéric Sergent, « Les sites de hauteurs du Bronze final et du premier âge du Fer dans le sud-ouest de la Drôme – Bilan des connaissances. », Documents d’archéologie méridionale. Protohistoire du Sud de la France, no 40,‎ , p. 163–176 (ISSN 0184-1068, DOI 10.4000/dam.5175, lire en ligne, consulté le ).
    17. « History of the Château St-Ferriol, A Late Medieval Castle in the South of France », sur www.st-ferriol.com (consulté le ).
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