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Piève (Haute-Corse)

Piève est une commune française située dans la circonscription départementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivité de Corse. Le village appartient à l'ancienne piève de San Quilico, dans le Nebbio.

Piève
Piève (Haute-Corse)
Vue du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Calvi
Intercommunalité Communauté de communes Nebbiu - Conca d'Oro
Maire
Mandat
Antoine Signanini-Pieve
2020-2026
Code postal 20246
Code commune 2B230
DĂ©mographie
Population
municipale
111 hab. (2020 en diminution de 1,77 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 5,6 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 34′ 51″ nord, 9° 17′ 18″ est
Altitude 450 m
Min. 16 m
Max. 1 426 m
Superficie 19,7 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bastia
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Biguglia-Nebbio
Localisation
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Piève
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Piève
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Piève

    GĂ©ographie

    Situation

    Piève est une commune du Nebbio (Nebbiu en langue corse), une microrégion située au nord de la Corse, entre la Balagne et la plaine de la Marana. Elle faisait partie de l'ancienne piève de Santo Quilico dans l'ancienne province du Nebbio.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    Le massif du Tenda fait partie de la formation schisteuse au nord-est de la Corse. Au nord de la commune se trouvent des collines qui reposent en partie sur des formations calcaires, dans le prolongement du petit chaînon calcaire ceinturant le golfe de Saint-Florent et qui comporte monte Sant'Angelo, Monte a Mazzola, Monte Gupio et Monte Revincu.

    La commune est adossĂ©e au massif du Tenda sur près de 1,5 km. Son territoire est une longue bande de terre Ă©troite qui s'Ă©tale dans la Conca d'Oro, la riche plaine du Nebbio, depuis la ligne de crĂŞte du Tenda allant de la Bocca di Tenda (1 219 m) Ă  la Punta di Paganelle (1 426 m), jusqu'aux flancs mĂ©ridionaux du Monte Gupio (323 m) en limite du dĂ©sert des Agriates.

    Ce territoire se compose de :

    • au sud-ouest, dans le secteur le plus haut, la haute vallĂ©e du ruisseau de Bocca Pitese (ou ruisseau de Stollu)[1] ;
    • au sud, secteur plus bas, une cuvette que sĂ©pare en deux un petit chaĂ®non montagneux avec un culmen Ă  761 m d'altitude, orientant d'une part le ruisseau de Carpiniccia vers l'Aliso dans la plaine du Nebbio, d'autre part le ruisseau de la MĂ©ria (ou ruisseau de Castagneto) (source sous le Monte Buggientone, « Ă  cheval » sur Sorio et Piève, Ă  1 077 m d'altitude)[2] vers le Bevinco qui se dĂ©verse dans l'Ă©tang de Biguglia ;
    • au centre, sous les 500 m d'altitude, la zone urbanisĂ©e ;
    • au nord enfin, jusqu'Ă  l'altitude de 10 m au guĂ© sur l'Aliso de la route de Saint-Florent Ă  Rapale, une partie de la fertile plaine alluviale de la Conca d'Oro qu'arrose la rivière.

    La commune n'a pas de façade maritime.

    Hydrographie

    Gué sur l'Aliso.

    Le réseau hydrographique est dense dans cette zone au relief accidenté, constitué de nombreux vallons. La plupart des cours d'eau sont tributaires de la rivière Aliso qui s'écoule vers le nord et se jette dans le golfe de Saint-Florent. D'autres sont tributaires du Bevinco dont les eaux versent dans la mer Tyrrhénienne.

    Le principal cours d'eau est la rivière Aliso qui longe d'abord une partie occidentale de son territoire, avant de le pĂ©nĂ©trer par trois fois dans sa partie septentrionale. Au cours de la dernière traversĂ©e, l'Aliso reçoit sur sa rive gauche, les eaux de deux de ses principaux affluents : le ruisseau de Salti (autres noms : ruisseau de Cenderaia, ruisseau de Calastro), long de km[3], et le ruisseau de Porraghia (autres noms : ruisseau de Ruaghiola, ruisseau de Tramontaioli, ruisseau de Striaio), long de 7,9 km, et qui a sa source sur Santo-Pietro-di-Tenda[4].

    Au sud de Piève, le ruisseau de la Méria (ou ruisseau de Castagneto)[2] est orienté à l'est et se déverse dans le Bevinco.

    Climat et végétation

    Piève se trouve « sous le vent Â», protĂ©gĂ©e des forts vents d'ouest dominants sur les Agriates par la Serra di Tenda. Elle prĂ©sente des paysages contrastĂ©s car soumis aux conditions climatiques des diffĂ©rents Ă©tages de vĂ©gĂ©tation. Les hauteurs sont quasi nues, laissant la roche schisteuse apparente. Plus bas, la vĂ©gĂ©tation est arborescente, faite de chĂŞnes verts. On y trouve des oliviers sĂ©culaires. Les ripisylves constituĂ©es essentiellement d'aulnes, de saules et de peupliers apportent une touche de fraĂ®cheur. Le maquis y est impĂ©nĂ©trable

    Aux abords des Agriates, au nord-est communal, on retrouve l'aspect aride du Désert, avec des paysages faits de roches et d'un maquis méditerranéen classique, bas, formé pour l'essentiel de chênes verts, d'arbousiers, de bruyères, de lentisques, de genêts épineux, d'alaternes, de lauriers-tins, de cistes de Crête à fleurs roses, de cistes de Montpellier et cistes à feuilles de sauge à fleurs blanches, des romarins, des lavandes des îles d'Hyères et de moins fréquents genévriers cades.

    Accès routiers

    Routes d'accès à la commune.

    Le village se trouve sur le tracĂ© de la route D 62 longue de 26,5 km qui relie la D81 Ă  la sortie orientale des Agriates Ă  la D 82 au col de Santo Stefano. Il s'agit d'une route en corniche, Ă©troite et sinueuse, desservant les villages en balcon du sud du Nebbio : Santo-Pietro-di-Tenda, San-Gavino-di-Tenda, Sorio, Piève, Rapale et Vallecalle. Au nord, la D 62 emprunte le territoire communal sur environ 650 m Ă  partir de sa jonction avec la D 81.

    Transports

    Piève se trouve Ă  31 km du port de commerce de Bastia. L'aĂ©roport le plus proche est l'aĂ©roport de Bastia Poretta, Ă  28 km. La gare de Biguglia, gare la plus proche, est distante de 18 km.

    Urbanisme

    Typologie

    Piève est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bastia, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[8] - [9].

    Clocher de l'Ă©glise Saint-Cyr avec trois statues-menhirs Ă  son pied.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (65,4 %), forêts (13,4 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,6 %), prairies (2,6 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Pieve veut aussi bien dire l'église qui porte ce titre que le territoire qui en dépend. Le piuvanu (plebanus ou piévan) est investi des fonctions et des prérogatives de la plebania (duquel on fait dériver piévanie), et d'autre part, a toutes les attributions socio-économiques et religieuses liées à la pieve édifice et circonscription[12].

    La définition de Pieve qui est donnée par INFCOR, la banque de données de la langue corse, est : Ghjuridizzione, d’urigine religiosa, cumposta di parechje parochje è amministrata da un pievanu. À a revuluzione parechje pieve anu pigliatu l’appellazione di cantone[13]

    Histoire

    Préhistoire

    Statues menhirs ramenées de la bocca di Tenda

    Le site était occupé depuis la préhistoire comme en témoignent les nombreux vestiges retrouvés. La présence humaine sur les hauteurs de la commune fréquentées à l'époque par les bergers, est témoignée par les trois statues-menhirs découvertes au col de Tenda (Bocca di Tenda). Déplacées, elles se trouvent aujourd'hui devant l'église Saint-Cyr.

    Moyen Ă‚ge

    Au XIIe siècle, la Corse est reconquise par Ugo Colonna qui instaure un régime de féodalité populaire associant le peuple aux affaires. Ce régime populaire disparaît à partir de la mort d'Arrigo Bel Messere, sauf dans quelques régions comme le Nebbio ou le Celavo.

    Au XIIIe siècle le Nebbio est dominé par Giovanninello de Pietr'Allarretta un « cortinchi »[Note 3] qui possède 12 châteaux au Nebbio.

    Temps modernes

    Au dĂ©but du XVIe siècle vers 1520, la Pieve Ă©tait un des lieux habitĂ©s de la pieve de Santo Quilico. La piève comptait environ 2 000 habitants rĂ©partis dans les lieux habitĂ©s qui avaient pour nom : Soriu, la Pieve, Zigliani, Rapalle, la Juncha, la Carasincha, Morato Sottano, Morato Soprano, Loreto, Petra di Loreto[14].

    • 1553 - L'hostilitĂ© des Corses envers les GĂ©nois, favorise l'occupation de la Corse par la France qui rallie Ă  elle de nombreux insulaires.
    • 1554 - Sampiero Corso, colonel-gĂ©nĂ©ral français apparentĂ© aux Ornano, Ă©crase les GĂ©nois Ă  la bocca di Tenda oĂą Giacomo-Santo II Da Mare colonel français, petit-fils de Giacomo-Santo 1er est tuĂ©.

    Au début du XVIIIe siècle, la juridiction de la province du Nebbio couvrait cinq pievi civiles : Olmetta, Oletta, Farinole, Santo Pietro et Santo Quilico.
    la Pieve de Santo Quilico comptait 950 habitants rĂ©partis dans les communautĂ©s de Morato soprano, Morato sottano 311 hab., Rapale 159 hab., Sorio et Croce[Note 4] 267 hab. et Pieve 185 hab.[15].

    Le diocèse du Nebbio couvrait cinq pievi religieuses : Canari, Nonza, Patrimonio, Santo Quilico et Santo Pietro[15].

    • 1768 - Passant sous administration française, la pieve de Santo Quilico prend le nom de pieve de Tenda.
    • 1789 - La Corse appartient au royaume de France.
    • 1790 - Avec la RĂ©volution française est crĂ©Ă© le dĂ©partement de Corse.
    • 1793 - Sont crĂ©Ă©s les dĂ©partements de El Golo (l'actuelle Haute-Corse) et du Liamone (Corse-du-Sud). La commune portait le nom de Pieve. La pieve de Tenda devient le canton de Bivinco.
    • 1801 - (an II) La commune porte encore le nom de Pieve et Ă©tait le chef-lieu du canton de Bivinco qui a gardĂ© son nom.
    • 1811 - Il n'existe plus qu'un seul dĂ©partement, celui de Corse.
    • 1828 - La commune prend le nom de Piève. Le canton de Bivinco devient le canton de Murato[16].

    Époque contemporaine

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1868 ? Antoine Galeazzini
    mars 2001 En cours Jacques Linale DVG Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Église Saint-Cyr.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18].

    En 2020, la commune comptait 111 habitants[Note 5], en diminution de 1,77 % par rapport Ă  2014 (Haute-Corse : +5,98 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    204232284284294298334301310
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    330325315329347336359408308
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    28729230633134834619412780
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    6161617585114119109111
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Piève a comptĂ© jusqu'Ă  408 habitants en 1896[16]. En 1954 la commune comptait 127 habitants[14].

    Cultes

    La paroisse (Église San Quìlicu) relève du diocèse d'Ajaccio.

    Manifestations et festivités

    • 14 et 15 juillet fĂŞte patronale de saint Cyr (San Quilicu) et de sa mère sainte Julitte.

    Randonnées

    Sentier patrimonial
    • Sentier « Entre profane et sacrĂ© ». Ce sentier patrimonial en boucle, relie les villages de Rapale, Piève et Sorio. Il y fait dĂ©couvrir Ă  la fois, des dolmens (stazzone) et menhirs (stantari), des Ă©difices religieux hĂ©ritĂ©s des Pisans, des fontaines et lavoirs, etc.
    • D'autres sentiers muletiers permettent via Sorio au nord-ouest, de rejoindre Bocca di Tenda ainsi que le circuit randonnĂ©e du Monte Astu qui dĂ©marre Ă  Lama et de se rendre aux ruines de la Chiesa Nera (662 m) au sud de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Trois statues-menhirs (stantari) : dĂ©couvertes au col de Tenda (Bocca di Tenda) fortuitement, elles ont Ă©tĂ© dĂ©placĂ©es pour ĂŞtre installĂ©es devant l'Ă©glise paroissiale Saint-Cyr. Elles datent de 1400 Ă  1300 av. J.-C.. Elles seraient des monuments funĂ©raires. Elles ont pour nom Murello, Bucentaure et Murtola.
    • Monument aux morts.

    Église Saint-Cyr

    Église Saint-Cyr

    L'église paroissiale Saint-Cyr (San Quìlicu) est un édifice remanié sur des bases médiévales. Elle a la particularité d'avoir un haut clocher (XIXe siècle) éloigné de l'église, haut de quatre étages, carré à sa base et coiffé d'un petit lanternon.

    Elle est placée sous un double patronage : celui de saint Cyr et de sa mère Sainte Julitte (fêtés le 15 juillet), martyrisés sous Dioclétien.

    Chiesa Nera

    Chiesa Nera dont il ne reste que des ruines, Ă©tait une Ă©glise pisane situĂ©e au sud de la commune, au sud-est du Monte Pietesco (702 m - Murato), Ă  662 m d'altitude sur la crĂŞte dominant le Bevinco.

    On y accède par des sentiers muletiers depuis Piève et Murato.

    4 photos des ruines existent dans la base Mémoire du Ministère de la Culture[20].

    ZNIEFF

    Piève est concernée par deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) (2e génération) :

    CrĂŞtes Mont-Asto Mont Saint-Angelo

    Situé dans le nord de l'île, le massif du Tenda assure la transition entre la chaîne du Cap Corse et celle de San Petrone en Castagniccia. La zone concerne neuf communes. Les crêtes du Tenda apparaissent très dénudées avec une végétation arborescente pratiquement absente. Les causes sont principalement liées à la déforestation pour la mise en culture de terrasses. Celles-ci sont encore bien visibles[21].

    Grottes de Saint-Florent et Castiglioni 3 et vallée de l’Aliso

    Le site concerne les communes d'Oletta, de Rapale et de Piève. La découverte de ces grottes par des spéléologues corses des I topi Pinuti (Groupe Chiroptères Corse), respectivement en 1989 et 1994, a eu d'importants développements scientifiques. Les campagnes de fouilles menées ont permis des découvertes paléontologiques. Ont été mis au jour des fossiles d’escargots et de prolagus, un lapin-rat et d’importants gisements d’os de gros mammifères (cerf, chien) datant du Pléistocène.
    D'autre part, un Ă©clat d’obsidienne datĂ© d’environ 6 800 ans av. J.-C. a Ă©tĂ© trouvĂ© dans une salle, nommĂ©e depuis la « Salle de l’obsidienne ». Cet Ă©clat dĂ©fini comme originaire de l’île de Palmarola sur la cĂ´te occidentale de l’Italie, tĂ©moigne de la prĂ©sence de l’homme et des Ă©changes entre les Ă®les[22] - [23].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les Cortinchi sont les descendants de Cortino descendant du marquis Guglielmu di Cortona dit Corto puis Cortinco, dont l'ancètre était Oberto descendant de Boniface marquis toscan fondateur de Bonifacio
    4. Croce di Selolle est un village depuis longtemps abandonné. Il se situe à environ km au nord de Sorio, accessible par une piste
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Stollu (Y7501000) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de la Méria (Y7311100) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Salti (Y7500580) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Porraghia (Y7500600) » (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Philippe Pergola, de l'Institut pontifical d'archéologie chrétienne à Rome in Archéologie et Société - Orientations nouvelles pour l'histoire socio-culturelle, économique et politique de la Corse du Moyen Âge - Cervioni août 1979
    13. INFCOR - Banque de données de la langue corse ADECEC Cervione
    14. Monti in Éléments pour un dictionnaire des noms propres corse - ADECEC Cervione
    15. Francesco-Maria ACCINELLI L’histoire de la Corse vue par un Génois du XVIIIe siècle - Transcription d’un manuscrit de Gênes - ADECEC Cervioni et l’Association FRANCISCORSA Bastia 1974
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Photos de la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine sur les ruines de Chiesa Nera
    21. ZNIEFF 940013187 - Crêtes Mont Asto Mont St Angelo sur le site de l’INPN..
    22. Site officiel Oletta
    23. ZNIEFF 940030540 - Grottes de St Florent et Castiglioni 3 et Vallée de l’Aliso sur le site de l’INPN..
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