Oherville
Oherville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Oherville | |||||
Le manoir d'Auffay. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la CÎte d'Albùtre | ||||
Maire Mandat |
Hervé Jolly 2020-2026 |
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Code postal | 76560 | ||||
Code commune | 76483 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Ohervillais, Ohervillaises | ||||
Population municipale |
227 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 43âČ 18âł nord, 0° 40âČ 45âł est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 142 m |
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Superficie | 4,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Valery-en-Caux | ||||
LĂ©gislatives | DixiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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GĂ©ographie
Oherville est une petite commune d'environ 200 habitants, situĂ©e au cĆur du pays de Caux, dans la vallĂ©e de la Durdent. Oherville est aussi traversĂ©e par la D131, route trĂšs frĂ©quentĂ©e, puisqu'elle relie Yvetot aux villes du bord de mer. (Cany-Barville, FĂ©camp, Paluel). On peut diviser Oherville en trois quartiers : Oherville Centre, Auffay et le Foucart.
- Entrée d'Oherville.
- La Durdent Ă Oherville.
Oherville centre
Le centre d'Oherville est dominĂ© par son Ă©glise gothique, situĂ©e sur une colline et qui surplombe les habitations. C'est ce quartier qui accueille le plus d'habitants et qui regroupe la mairie et Ă la Maison Pour Tous, lieu de rĂ©union du ComitĂ© des fĂȘtes. On y trouve la Grange, la salle des fĂȘtes, rustique mais conviviale, et divers amĂ©nagements : boĂźte aux lettres, centre de tri sĂ©lectif, terrain de tennis et de pĂ©tanque. Ce quartier se dĂ©veloppe plus rapidement que les deux autres, de nombreuses habitations s'y construisant encore.
Le Foucart
Le Foucart se situe en aval du centre d'Oherville. C'est un quartier trĂšs pittoresque, oĂč l'on trouve de nombreuses chaumiĂšres et le moulin de Chanterive. Nombre de ces trĂšs belles demeures sont d'ailleurs devenues les rĂ©sidences secondaires de Parisiens et de Belges.
Auffay
Auffay est situĂ© sur le plateau Est de la vallĂ©e (rive droite de la Durdent), et sĂ©parĂ© d'Oherville par une forĂȘt. Auffay est connu pour son manoir construit aux XVe et XVIe siĂšcles, et agrĂ©mentĂ© d'un colombier, et est aussi un lieu d'animations culturelles. On peut accĂ©der d'Oherville Ă Auffay par deux routes :
- la CavĂ©e du Foucart, une magnifique petite route sinueuse bordĂ©e de mousse, au cĆur de la forĂȘt ;
- la cÎte de la D 105, débutant au centre du village, passant par les bois et aboutissant au milieu des pùturages d'Auffay.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[7] et qui se trouve Ă 14 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 933,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 53 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Oherville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,3 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (77,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (42,9 %), prairies (24,7 %), forĂȘts (22,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Oharvilla vers 1240, Rectorem de Auharvilla en 1284[21], Ohervilla en 1337, Oharville major, minor portio en 1398, 1403 et 1422[22], Oharvilla en 1438 et 1439, Notre Dame de Hauville en 1454[23], « Le neuf molin de Herville à Sommesnil » (limite de Oherville) en 1462, Notre Dame de Harville en 1466, Ecclesia Beate Marie de Harvilla en 1476 et 1477, Notre Dame de Herville en Caux en 1485[24], Seigneurie de Herville en 1487[25], En la paroisse de Harville et Fief de Harville en 1503, Harville en 1505 et 1506[26], Curé de Harville en 1522 et 1523, Oharvilla et Notre Dame de Herville en 1564[27], Harville en 1648, Herville entre 1613, 1687 et 1690, Herville entre 1637, 1652, 1685 et 1688, Oherville en 1705[28], Notre Dame d'Oherville en 1714[29], Herville en 1715 (Frémont), Oherville entre 1704, 1738 (Pouillé) et en 1757 (Cassini)[30].
Lâorigine du nom : le domaine dâOdardus, du latin villa, domaine rural, prĂ©cĂ©dĂ© du nom de personne germanique Odardus ou Ohtar ainsi nommĂ©e Ă Horton Connexion avec HeorĂłt (Hertog) en Angleterre dans le mĂȘme sherma "Other" Ohther Ăhth Ăr // Ăthinn
Histoire
La commune est formĂ©e de lâunion de deux hameaux, Oherville et Auffay. Alfait est mentionnĂ© dĂšs 1040 et Ohharvilla en 1240. Lâexistence dâune motte fĂ©odale atteste la prĂ©sence ancienne dâun fief sur le site. Les premiers seigneurs du lieu sont mentionnĂ©s en 1170. Au Moyen Ăge, les terres dâOherville et dâAuffay dĂ©pendent du duchĂ© de Longueville. Le fief dâOherville est un demi-fief relevant de la seigneurie de Veauville-lĂšs-Quelles jusquâau XVIe siĂšcle. Le fief dâAuffay relĂšve de Caniel et appartient au XIIIe siĂšcle Ă la famille Malet de Graville. Au XIIIe siĂšcle, le bourg dâOherville compte 60 habitants. Au dĂ©but du XVe siĂšcle, le fief dâOherville relĂšve de la famille de Houdetot et celui dâAuffay est la propriĂ©tĂ© de Godefroi DurĂ©aume, bourgeois de Rouen. En 1477, ils font tous deux partie des domaines de Jean de Houdetot, avant dâĂȘtre partagĂ©s entre ses deux fils et de constituer deux domaines distincts appartenant Ă deux branches de la famille Houdetot. En 1485, Jean de Houdetot, seigneur du lieu de Harville (aujourd'hui Oherville) et d'Auffay-la-Mallet, et son Ă©pouse Marie de la Mothe, donnent Ă leurs fils aĂźnĂ© Jacques pour son mariage le fief d'Auffay. En 1492, ce mĂȘme Jean, avant de dĂ©cĂ©der, ne donne Ă ses quatre autres enfants, Guillaume, Robert, Ambroise et Perrette, que le tiers de tous ses biens. Jacques, l'aĂźnĂ©, en dĂ©pit de la coutume particuliĂšre du pays de Caux, hĂ©rite des fiefs de Houdetot, Harville, Bihorel et Auffay[31].
LâĂ©glise actuelle est situĂ©e Ă lâemplacement de lâancienne Ă©glise romane, dont il resterait quelques traces dans la nef. Le clocher remonte au XVIe siĂšcle et repose sous un soubassement polygonal en grĂšs. Le chĆur est Ă©levĂ© en 1626, selon une inscription gravĂ©e. JusquâĂ la RĂ©volution, lâĂ©glise a connu deux curĂ©s, celui dâOherville et celui dâAuffay.
Le manoir des Nonnettes est peut-ĂȘtre une ancienne lĂ©proserie dĂ©pendant de lâabbaye de FĂ©camp. Ce manoir des XVe et XVIe siĂšcles comprend un Ă©tage Ă encorbellement en forte saillie, Ă©lĂ©ment encore frĂ©quent Ă cette Ă©poque mais plus souvent utilisĂ© dans les maisons de ville. Les larges ouvertures Ă meneaux et la rangĂ©e de croix de Saint-AndrĂ© renforcent le caractĂšre urbain de la construction. Au-dessus de la porte, deux statuettes de bois reprĂ©sentent un Ă©vĂȘque et une nonne. Au XVIe siĂšcle, les terres des Nonnettes sont un fief appartenant aux Guiffard. Ă la fin du XVIIIe siĂšcle, elles sont la propriĂ©tĂ© des Manneville et, Ă la RĂ©volution, elles sont rachetĂ©es par le sieur Depaux, nĂ©gociant Ă Rouen.
Sur la commune coule la riviĂšre Durdent, ce qui a amenĂ© la construction dâun certain nombre de moulins. Le moulin du Baillet est installĂ© sur la rive droite, il forme avec le « moulin neuf », situĂ© sur la commune de Sommesnil, lâensemble appelĂ© « les deux moulins ». Lâorigine du moulin Ă blĂ© du Baillet remonterait au XVIIe siĂšcle. Il est aujourdâhui transformĂ© en habitation et sa roue Ă aubes a disparu. Les moulins Guillebert sont un ensemble de deux moulins situĂ©s de part et dâautre de la Durdent : Ă huile rive gauche, Ă blĂ© rive droite. Lâorigine de ce dernier remonte au XVIIIe siĂšcle. Le nom actuel est celui de leur propriĂ©taire du milieu du XIXe siĂšcle. TransformĂ© en manufacture textile dans les annĂ©es 1920, puis propriĂ©tĂ© de la sociĂ©tĂ© Maquet et Compagnie de Lille spĂ©cialisĂ©e dans le teillage du lin, les moulins ont ensuite appartenu Ă Henri Bostyn, marchand de lin belge. La roue Ă eau du moulin Ă blĂ© a Ă©tĂ© supprimĂ©e ; celle du moulin Ă huile Ă©largie. Le moulin Ă blĂ© est situĂ© sur la commune de Sommesnil depuis la modification territoriale de 1824.
Le moulin Sainte-Catherine est situĂ© sur la rive droite et comporte deux corps de bĂątiment. Le plus ancien est construit en brique et silex et est surmontĂ© dâun Ă©tage Ă colombage. La niche de la façade comportait originellement la statue de sainte Catherine, patronne des meuniers. Le second corps est construit vers 1821 sur la commune de Sommesnil. Au dĂ©but des annĂ©es 1970, lâactivitĂ© du moulin est dĂ©finitivement arrĂȘtĂ©e. La turbine installĂ©e au cours du XXe siĂšcle sert actuellement Ă produire de lâĂ©lectricitĂ©. Au dĂ©but du XIXe siĂšcle, le sieur Deschamps possĂšde un ensemble de trois moulins : un moulin Ă blĂ© qui remonte probablement au XVIIIe siĂšcle, un moulin Ă huile construit en 1806 et un autre moulin Ă blĂ© Ă©levĂ© en 1810. En 1853, le site est transformĂ© en filature de coton. Un bĂątiment en brique de 33 mĂštres de long est construit, lâun des moulins dĂ©moli et les hauteurs dâeau des trois chutes cumulĂ©es. En 1901, les moulins Deschamps deviennent une fabrique de moutarde. Lâusine est modernisĂ©e, une turbine Ă vapeur est installĂ©e et une haute cheminĂ©e est construite. De cet imposant ensemble, dĂ©truit par un incendie en 1994, il ne reste aujourdâhui que la roue.
Les moulins GelĂ©e est un ensemble de deux moulins situĂ©s vis-Ă -vis sur la rive droite de la Durdent. Le plus ancien Ă©tait primitivement un moulin Ă huile ; le second, construit en 1807, un moulin Ă blĂ©. Ils Ă©taient la propriĂ©tĂ© de Charles GelĂ©e, cultivateur Ă Normanville. En 1882, ils sont transformĂ©s en usine Ă battre le trĂšfle. Les bĂątiments ont Ă©tĂ© convertis en habitation en 1950, aprĂšs avoir abritĂ© une scierie puis une saboterie. Lâune des deux roues est conservĂ©e.
Un autre Ă©difice contribue Ă la richesse du patrimoine ohervillais. Il s'agit du manoir d'Auffay, situĂ© dans la hameau du mĂȘme nom. Ă l'origine se trouvait une installation castrale des XIe et XIIe siĂšcles dont tĂ©moigne la motte Ă proximitĂ© du logis, qui a appartenu jusqu'au XVIIe siĂšcle Ă la famille d'Houdetot. Ce sont sans doute Jean d'Houdetot (mort en 1492) et son fils Guillaume (mort aprĂšs 1524) qui ont bĂąti l'actuel manoir. Le logis date de la seconde moitiĂ© du XVe siĂšcle, et a Ă©tĂ© modifiĂ© Ă la Renaissance (notamment pour le vestibule). Quelques travaux (façade mĂ©ridionale) sont l'Ćuvre, vers 1900, de l'architecte Ămile Janet. Le logis se compose d'un massif rectangulaire flanquĂ© de deux tours d'angle et d'une tourelle polygonale au centre de la façade nord, et en façade sud d'une tourelle au sud-ouest. La construction se caractĂ©rise par une succession de lits alternĂ©s de briques, pierre calcaire et silex composant un riche dĂ©cor. L'ensemble prĂ©sente un aspect fortifiĂ© (fossĂ©s et petites ouvertures) du cĂŽtĂ© Nord, qui vient en opposition avec une façade mĂ©ridionale oĂč le dĂ©cor de la fin des XVe et XVIe siĂšcles s'impose. Le plafond Ă caissons du vestibule, datĂ© de 1553, est attribuĂ© Ă Jean Goujon. Le domaine comprend Ă©galement un colombier de mĂȘme style et une motte castrale encore ceinte de son fossĂ©.
Ce domaine est dĂ©sormais une rĂ©sidence privĂ©e. On peut le visiter pendant la pĂ©riode estivale, lors des JournĂ©es du patrimoine, ainsi que son colombier. Des manifestations culturelles y prennent part frĂ©quemment (expositions, vernissages, reprĂ©sentations thĂ©ĂątralesâŠ).
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[34].
En 2020, la commune comptait 227 habitants[Note 7], en diminution de 1,3 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Notre-Dame.
- Monument aux morts.
- Le manoir d'Auffay, construit dans la seconde moitié du XVe siÚcle; le logis est inscrit au titre des monuments historiques ( Inscrit MH (1932)) ; le colombier et la motte castrale le sont en 1996 ( Inscrit MH (1932))[37].
- L'Ă©glise Notre-Dame.
- Le monument aux morts.
- Le chĂąteau d'Auffay
Personnalités liées à la commune
- Bertrand Dorny a eu sa résidence secondaire à Oherville.
HĂ©raldique
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Les armes de la commune d'Oherville se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Oherville sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Oherville et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Oherville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, 19 H. Cart. prima pars 46.
- Archives de Seine-Maritime, G. 3267, 3268.
- Archives de Seine-Maritime, 19 H.
- Archives de Seine-Maritime, B. Cour des Aides.
- Archives de Seine-Maritime, Tab. Rouen.
- Archives de Seine-Maritime, G. 9436, 9467, 1663.
- Archives de Seine-Maritime G. 9494, 4638, 850.
- Archives de Seine-Maritime, G. 8433.
- Archives de Seine-Maritime, G. 738.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 733.
- Xavier Pagazani (préf. Claude Mignot), La demeure noble en Haute-Normandie, 1450-1600, Tours, Presses universitaires François-Rabelais, coll. « Renaissance », , 360 p. (ISBN 978-2-86906-309-9), p. 74.
- « Oherville. HervĂ© Jolly Ă©lu pour un nouveau mandat Ă l'unanimitĂ© », Le Courrier cauchois,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Chùteau ».
- « Le parc du chùteau d'Auffay à Oherville », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- « Blason⊠», sur armorialdefrance.fr.