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Naoki Urasawa

Naoki Urasawa (攊æČą 目æšč, Urasawa Naoki), nĂ© le Ă  FuchĆ«, prĂ©fecture de Tƍkyƍ, Japon, est un dessinateur et scĂ©nariste de manga japonais. Ses plus grands succĂšs sont Yawara!, Monster et 20th Century Boys. Il a notamment reçu pour son Ɠuvre trois Prix Shƍgakukan, trois Prix d'Excellence du Festival des arts mĂ©dias de l'Agence pour les affaires culturelles, deux Grands Prix du Prix culturel Osamu Tezuka, un Prix du manga Kƍdansha et un Prix de la sĂ©rie du Festival d'AngoulĂȘme. Il est Ă©galement guitariste et chanteur de rock de style « annĂ©es 1960 ».

Naoki Urasawa
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Naoki Urasawa Ă  Japan Expo 13, le 6 juillet 2012

攊æČą 目æšč

Naissance
Fuchƫ, Tokyo, Japon
Nationalité Japonaise
Formation
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture Japonais
Genres
Seinen
Éditeur associĂ©
  • Shƍgakukan
  • Kƍdansha
Élùves
  • Yasushi Hoshino
  • Gƍ Itƍ

ƒuvres principales

Biographie

Jeunesse

Pavillons à l'Exposition universelle de 1970, évoquée dans 20th Century Boys

NĂ© le Ă  FuchĆ« dans la prĂ©fecture de Tƍkyƍ, Naoki Urasawa est le cadet de la famille. Il dĂ©couvre les Ɠuvres d'Osamu Tezuka dĂšs la maternelle, lorsqu'il est gardĂ© par ses grands-parents, en particulier Astro, le petit robot et Le Roi LĂ©o, et commence Ă  dessiner[1]. À l'Ă©cole primaire, il devient chef de classe en troisiĂšme annĂ©e, et participe au journal de l'Ă©cole dans lequel il dessine des mangas de quatre cases appelĂ©s yonkoma. Alors qu'il commence Ă  ĂȘtre victime de brimades, les BD qu'il offre Ă  ses harceleurs lui permettent de ne pas devenir un ijime. C'est Ă  cette pĂ©riode qu'il dessine son premier manga long : Taiko no sanmyaku (ć€Șć€ăźć±±è„ˆ, littĂ©ralement « La CordillĂšre des temps anciens »). Il est alors inspirĂ© par les nombreux films noirs passant Ă  la tĂ©lĂ©vision, et son frĂšre ainĂ© est son principal lecteur.

Il suit ensuite les cours du collĂšge puis du lycĂ©e Meisei Ă  FuchĆ«, et s'inscrit au club de musique aprĂšs avoir rapidement quittĂ© celui d'athlĂ©tisme. Avec la fin du genre Group Sounds et le dĂ©but d'un rock plus underground, il devient fan du chanteur Takurƍ Yoshida (en) et s'intĂ©resse Ă  Bob Dylan[1] - [2]. Il s'achĂšte alors une guitare en secret, mais se trompe en achetant une guitare classique[2]. Il cĂŽtoie Ă  cette Ă©poque le futur musicien Tetsuya Komuro, d'un an son ainĂ©. Il Ă©voquera plus tard ces annĂ©es dans son manga 20th Century Boys. Si la dĂ©couverte de PhĂ©nix d'Osamu Tezuka est son premier grand moment de manga[3], il perd par la suite de l'intĂ©rĂȘt pour la BD au lycĂ©e, alors que le manga sportif, avec Ikki Kajiwara et Ashita no Joe, est en plein boom.

Il entre Ă  la facultĂ© de lettres de l'universitĂ© de Meisei Ă  Hino (Ă  l'ouest de FuchĆ«), et revient vers le manga, inspirĂ© par la nouvelle vague incarnĂ©e par Katsuhiro ƌtomo. Il rencontre au club de musique de l'universitĂ© le futur chanteur du groupe The Street Sliders, Hiroaki Murakoshi (村越 ćŒ˜æ˜Ž, Murakoshi Hiroaki, plus connu sous le nom de Harry), qui l'impressionne[2].

Un succÚs immédiat avec Yawara!

Alors qu'il commence sa recherche d'emploi, sans spĂ©cialement chercher Ă  devenir dessinateur, il prĂ©sente son manuscrit Return lors d'un entretien au sein de la sociĂ©tĂ© d'Ă©dition Shƍgakukan, qui se montre intĂ©ressĂ©e au point de lui dĂ©cerner le prix du meilleur jeune mangaka en 1982. Il se donne alors un an pour devenir professionnel ou changer de voie. Il devient assistant pour Shƍgakukan, qui publie en 1983 sa premiĂšre nouvelle en supplĂ©ment du manga Golgo 13, Beta!, un rĂ©cit de science-fiction. En 1984, il Ă©crit sa premiĂšre histoire longue, Odoru keikan (èžŠă‚‹è­Šćź˜, « Le Policier dansant »).

Il commence en 1985 sa collaboration au long cours avec Takashi Nagasaki (長掎 氚濗, Nagasaki Takashi), son relais auprĂšs de son Ă©diteur, qui le conseille sur le scĂ©nario[1]. Il Ă©dite alors ses premiĂšres sĂ©ries Ă  succĂšs : dans l'ordre Pineapple Army, Master Keaton et Monster pour Big Comic Original, dont les histoires se dĂ©roulent Ă  l'Ă©tranger (États-Unis, Angleterre, Allemagne), en mĂȘme temps que Yawara! et Happy! pour Big Comic Spirits, des mangas sur le sport fĂ©minin (judo et tennis).

Yawara! dĂ©butĂ©e en 1986 est un Ă©norme succĂšs (trente millions d'exemplaires vendus au Japon) grĂące au talent comique de son auteur, et va gĂ©nĂ©rer un boom du judo[1] - [4]. La sĂ©rie est adaptĂ©e en dessin animĂ©, en film, et en deux jeux vidĂ©o. À la mĂȘme Ă©poque, Master Keaton est Ă©galement un succĂšs, et est adaptĂ©e en anime.

Des Ɠuvres plus personnelles avec Monster et 20th Century Boys

Yawara! achevĂ©e, Urasawa souhaite passer Ă  un registre plus personnel, mais son Ă©diteur le convainc de crĂ©er un nouveau manga sportif, Happy!, dans lequel il introduit nĂ©anmoins des thĂšmes plus adultes, ce qui trouble alors ses fans[1]. Happy! finit tout de mĂȘme par toucher son public, et est adaptĂ© en drama.

En 1995, Monster, un thriller psychologique beaucoup plus sombre que ses prĂ©cĂ©dentes Ɠuvres parues dans Big Comic Original, est son deuxiĂšme plus gros succĂšs avec vingt millions d'exemplaires vendus au Japon[1]. Il est adaptĂ© en anime, et les droits de l'adaptation cinĂ©matographique sont vendus au studio amĂ©ricain New Line Cinema[5].

En 2000, il se lance dans un nouveau thriller, cette fois pour Big Comic Spirits, avec 20th Century Boys, un rĂ©cit uchronique. Le rock tient une place importante dans cette sĂ©rie, Urasawa en profite d'ailleurs pour sortir en bonus d'un des tomes la chanson du hĂ©ros chantĂ©e par lui-mĂȘme sous la forme d'un CD intitulĂ© Lost Kenji Tapes Volume.1 Bob Lennon. En 2003, il change de style pour Big Comic Original et rĂ©alise son rĂȘve en reprenant un passage d'Astro, le petit robot avec Pluto, une sĂ©rie de science-fiction policiĂšre. Cette mĂȘme annĂ©e, il dessine la pochette de l'album Pleasure! du groupe Domino88.

Pendant prĂšs de vingt ans, Urasawa dessine plus de cent pages par mois pour les deux magazines de son Ă©diteur. En 2001, il a dĂ©jĂ  vendu plus de cent millions de mangas au Japon[6]. Il est cependant contraint d'arrĂȘter son travail d'avril Ă  Ă  la suite d'un problĂšme Ă  l'Ă©paule, rĂ©sultat d'un rythme de travail trop soutenu[1]. Il se montre depuis assez critique sur le rythme de parution imposĂ© aux auteurs dans ce milieu, qu'il considĂšre contre nature[2].

Activités musicales et changement d'éditeur

Université d'arts plastiques de Nagoya

En 2007, Naoki Urasawa commence sa coopĂ©ration musicale avec Kƍji Wakui (撌äč…äș• 慉揾, Wakui Kƍji) en dessinant la pochette de son album Dylan o utau (ăƒ‡ă‚Łăƒ©ăƒłă‚’ć”„ă†, lit. « Chanter Dylan »), et en Ă©crivant Ă  deux Dylan o katarƍ (ăƒ‡ă‚Łăƒ©ăƒłă‚’èȘžă‚ă†, lit. « Racontons Dylan »). Il Ă©crit cette mĂȘme annĂ©e les paroles de la chanson Kƍzui no mae (æŽȘæ°Žăźć‰, lit. « Avant l'inondation ») sur l'album Kaleidoscope de Toshihiko Takamizawa (高芋æČą äżŠćœŠ, Takamizawa Toshihiko). En sort le premier single de son futur album produit par Wakui, Tsuki ga tottemo
 (æœˆăŒăšăŁăŠă‚‚â€Š, lit. « La Lune [est] trĂšs
 »), qu'il prĂ©sente avec deux concerts au Tokyo Kinema Club (東äșŹă‚­ăƒăƒžć€¶æ„œéƒš). En novembre, Urasawa sort son premier album intitulĂ© Hanseiki no otoko (ćŠäž–çŽ€ăźç”·, lit. « L'Homme d'un demi-siĂšcle », sous-titrĂ© « Âœ Century Man » sur l'Ă©dition limitĂ©e), dont il signe la pochette[2].

Une fois 20th Century Boys et Pluto terminĂ©s, Naoki Urasawa dĂ©cide de n'Ă©crire qu'une seule sĂ©rie Ă  la fois : ce sera Billy Bat, paru chez le concurrent de Shƍgakukan, Kƍdansha, mais toujours avec Takashi Nagasaki[2]. Urasawa participe alors au scĂ©nario de l'adaptation au cinĂ©ma de 20th Century Boys sous la forme d'une trilogie, en plus de ses nouvelles activitĂ©s musicales. Il compose d'ailleurs les chansons Brothers et Suspense prĂ©sentes respectivement sur les bandes originales du premier et du deuxiĂšme film. À partir de 2008 Ă©galement, il donne des cours avec Nagasaki Ă  l'universitĂ© d'arts plastiques de Nagoya (ćć€ć±‹é€ ćœąć€§ć­Š, Nagoya zƍkei daigaku)[7].

Son studio est situĂ© dans l'arrondissement de Meguro Ă  Tƍkyƍ[1].

Pour fĂȘter les vingt ans du manga Master Keaton, une suite intitulĂ©e Master Keaton Remaster a dĂ©butĂ© dans le Big Comic Original en . Cependant, le manga paraĂźt avec un rythme irrĂ©gulier, Naoki Urasawa et Takashi Nagasaki continuant de travailler en prioritĂ© sur Billy Bat, jusqu'Ă  la fin de la sĂ©rie en 2016.

ƒuvres

Séries de manga et livres dérivés

  • Pineapple Army (ăƒ‘ă‚€ăƒŠăƒƒăƒ—ăƒ«Army, Painappuru ĀmÄ«, dessin), avec Kazuya Kudƍ (scĂ©nario), Shƍgakukan, 1986-1988 (GlĂ©nat collection KamĂ©ha, 1998), 8 volumes (1 volume paru en France)
  • Yawara!, Shƍgakukan, 1986-1993 (Kana coll. Big Kana, 2020), 29 volumes
    • Jigoro!, Shƍgakukan, 1994, rĂ©Ă©ditĂ© en 2003, one shot autour d'un personnage de Yawara!
  • Master Keaton (Master ă‚­ăƒŒăƒˆăƒł, Masutā KÄ«ton), Shƍgakukan, 1988-1994, (Kana coll. Big Kana, 2013) 18 volumes
    • Keaton no dƍbutsuki (ă‚­ăƒŒăƒˆăƒłć‹•ç‰©èš˜, KÄ«ton no dƍbutsuki, lit. « Les Chroniques animaliĂšres de Keaton »), Shƍgakukan, 1995, one shot reprenant le personnage de Master Keaton
    • Keaton Master's Book (ă‚­ăƒŒăƒˆăƒłăƒ»ăƒžă‚čă‚żăƒŒă‚șăƒ»ăƒ–ăƒƒă‚Ż, KÄ«ton Mastāzu Bukku, guidebook officiel de Master Keaton), Shƍgakukan, 1999
  • Happy!, Shƍgakukan, 1993-1999 (Panini coll. Panini Manga, 2010), 23 volumes (15 volumes pour l'Ă©dition Deluxe)
  • Monster, Shƍgakukan, 1995-2001 (Kana coll. Big Kana, 2001-2005), 18 volumes
    • Mƍ hitotsu no Monster (もうăČず぀たMONSTER, lit. « Un autre monstre »), Shƍgakukan, 2002, journal du personnage Werner Weber en Ă©pilogue de Monster
    • Namae no nai kaibutsu (ăȘăŸăˆăźăȘいかいぶ぀, « Un monstre sans nom »), Shƍgakukan, 2008, livre d'images du personnage Emil Sebe, paru en France en supplĂ©ment du volume 18 de Monster, contenant quatre histoires imaginaires d'origine tchĂšque :
      • Emil Sebe, Obluda, kterĂĄ nemĂĄ svĂ© jmĂ©no (« Un monstre sans nom »)
      • Jakub Farobek, VelkookĂœ, velkoĂșstĂœ (めぼおおきăȘăČず くちぼおおきăȘăČず, Me no ƍki-na hito, kuchi no ƍki-na hito, « Le Garçon aux grands yeux et le garçon Ă  la grande bouche »)
      • Klaus Poppe, BĆŻh mĂ­ru (ăžă„ă‚ăźă‹ăżă•ăŸ, Heiwa no kamisama, « Le Dieu de la paix »)
      • Auteur inconnu, Obluda se probouzĂ­ (めざめるかいぶ぀, Mezameru kaibutsu, lit. « Le Monstre se rĂ©veille »)
  • 20th Century Boys et 21st Century Boys (20/21侖简民ćčŽ, 20/21 seiki shƍnen), Shƍgakukan, 2000-2007 (Panini Comics coll. GĂ©nĂ©ration Comics, 2002-2008), 22 et 2 volumes
    • 20 seiki shƍnen tanteidan (20侖简民ćčŽæŽąć”曣, lit. « Équipe de dĂ©tectives 20th Century Boys »), Shƍgakukan, 2008, avec Kentarƍ Takekuma
    • Eiga 20 seiki shƍnen Official Guidebook (映画[20侖简民ćčŽ] ă‚Șăƒ•ă‚Łă‚·ăƒŁăƒ«ăƒ»ă‚Źă‚€ăƒ‰ăƒ–ăƒƒă‚Ż, lit. « Guidebook officiel des films 20th Century Boys »), Shƍgakukan, 2008-2009, 3 volumes
    • Ujiko Ujio sakuhinshĆ« (ォゾコォゾă‚Șäœœć“é›†, lit. « Recueil d'histoires d'Ujiko Ujio »), Shƍgakukan, 2010 (20th Century Boys Spin Off, Panini Manga, 2012), one-shot autour du manga Mangari Michi (ăŸă‚“ăŒă‚Šé“) des personnages Ujiko Ujio de 20th Century Boys[8]
  • Pluto, Shƍgakukan, 2003-2009 (Kana coll. Big Kana, 2010), 8 volumes
  • Billy Bat, Kƍdansha, 2008-2016 (Pika coll. Seinen, 2012), 20 volumes
  • Master Keaton Remaster, Shƍgakukan, 2012-2014 (Kana coll. Big Kana, 2016), 1 volume
  • Mujirushi ou Le Signe des rĂȘves, Shƍgakukan, 2017-2018 (Futuropolis, 2018), 2 volumes
  • Asadora !, Shƍgakukan, 2018 – en cours (Kana coll. Big Kana, 2020)

Recueils de nouvelles

  • Odoru keikan (èžŠă‚‹è­Šćź˜, « Le Policier dansant »), Shƍgakukan, 1987, rĂ©Ă©ditĂ© en 2003, one shot de sept histoires plus quatre nouvelles :
    • Singing Policeman
    • Running Policeman
    • Shouting Policeman
    • Fighting Policeman
    • Jumping Policeman
    • Flying Policeman
    • Swimming Policeman
    • Connexion aprĂšs les cours (攟èȘČćŸŒă‚łăƒă‚Żă‚·ăƒ§ăƒł, Hƍkago konekushon)
    • Les AffamĂ©s de la nuit (ć€œăźç©șè…čè€…ăŸăĄ, Yoru no kĆ«fukusha-tachi)
    • Au revoir Mr Bunny (さよăȘă‚‰ïŒ­ïœ’.ăƒăƒ‹ăƒŒ, Sayonara Mr. BanÄ«)
    • Le DĂ©tective de TaishĂŽ (ć€§æ­ŁæŽąć”, Taishƍ tantei)
  • N-A-S-A, Shƍgakukan, 1988, rĂ©Ă©ditĂ© en 2003 :
    • N-A-S-A (2 chapitres)
    • Scenario (ă‚·ăƒŠăƒȘă‚Ș, Shinario)
    • Crash dance (ă‚Żăƒ©ăƒƒă‚·ăƒ„ăƒ»ăƒ€ăƒłă‚č, Kurasshu dansu)
    • Children children (ăƒăƒ«ăƒ‰ăƒŹăƒłăƒ»ăƒăƒ«ăƒ‰ăƒŹăƒł, Chirudoren chirudoren)
    • Return
    • Le Travailleur pressĂ© (拀めäșșè”°ă‚‹!, Tsutomenin hashiru !, lit. « Cours salaryman »)
    • Street corner gangs (ă‚čトăƒȘăƒŒăƒˆïœ„ă‚łăƒŒăƒŠăƒŒïœ„ă‚źăƒŁăƒłă‚°ă‚ș, SutorÄ«to kƍnā gyanguzu)
    • Beta! (Trop classique !)
    • Old western mama (ă‚ȘăƒŒăƒ«ăƒ‰ăƒ»ă‚Šă‚šă‚čă‚żăƒłăƒ»ăƒžăƒž, ƌrudo uesutan mama)
    • Mighty boy (ăƒžă‚€ăƒ†ă‚Łăƒ»ăƒœăƒŒă‚€, Maiti bƍi, 2 chapitres)
  • Shoki no Urasawa (ćˆæœŸăźUrasawa, lit. « Les DĂ©buts d'Urasawa »), Shƍgakukan, 2000 (Histoires courtes de Naoki Urasawa, Kana, 2011), reprenant les nouvelles des deux recueils prĂ©cĂ©dents, plus quatre autres nouvelles :
    • Magie (é­”èĄ“, Majutsu)
    • Survival lovers (ă‚”ăƒă‚€ăƒăƒ«ăƒ»ăƒ©ăƒăƒŒă‚ș, Sabaibaru rabāzu)
    • Rush life (ăƒ©ăƒƒă‚·ăƒ„ăƒ»ăƒ©ă‚€ăƒ•, Rasshu raifu)
    • Shinjuku lullaby (æ–°ćźżăƒ©ăƒ©ăƒă‚€, Shinjuku rarabai)
  • Kushami - Urasawa Naoki TanpenshĆ« (くしゃみ 攊æȱ目æšč短線集), Shƍgakukan, 2019 (Atchoum !, Kana, 2020), recueil d'histoires courtes en 1 volume
Frise chronologique des séries et recueils publiés par Naoki Urasawa.

Nouvelles en bonus

  • Manga note (ăŸă‚“ăŒăƒŽăƒŒăƒˆ, Manga nƍto), en supplĂ©ment des tomes 3 et 4 de Pluto Ă©dition Deluxe, Ɠuvres de jeunesse tirĂ©es de :
    1. RyĆ«nosuke Akutagawa, Rashƍmon
    2. Shin'ichi Hoshi, Bokko-chan (ボッコちゃん), intitulĂ©e ici Raihƍsha (杄èšȘ者, lit. « Client/Visiteur »)
  • Return, en supplĂ©ment du tome 5 de Pluto Ă©dition Deluxe
  • Tsuki ni mukatte nageru ! (æœˆă«ć‘ă‹ăŁăŠæŠ•ă’ă‚!, lit. « Lançons-nous vers la lune ! »), en supplĂ©ment du tome 6 de Pluto Ă©dition Deluxe
    Initialement parue dans un numĂ©ro spĂ©cial d’Aera en octobre 2006 en l'honneur du dixiĂšme anniversaire du Prix culturel Osamu Tezuka.

Autres

  • Be-Pal kozƍ no outdoor kyƍhon (ăƒ“ăƒŒăƒ‘ăƒ«ć°ćƒ§ăźă‚ąă‚Šăƒˆăƒ‰ă‚ąæ•™æœŹ, BÄ«paru kozƍ no autodoa kyƍhon, lit. « Manuel outdoor de Be-Pal kozƍ »), Shƍgakukan, 1985-1988, illustration des volumes 3 et 4
  • Kenzƍ Kitakata, Shiro wa shinanai (ă‚·ăƒ­ăŻæ­»ăȘăȘい, lit. « Shiro ne meurt pas »), Shƍgakukan, 2004, illustrations
  • Takashi Shiroyama, Bokura no young music show (ćƒ•ă‚‰ăźă€Œăƒ€ăƒłă‚°ăƒ»ăƒŸăƒ„ăƒŒă‚žăƒƒă‚Żăƒ»ă‚·ăƒ§ăƒŒă€, Bokura no yangu myĆ«jikku shƍ, lit. « Mon young music show »), Joho Center Publishing, 2005, illustration de la couverture
  • Dylan o katarƍ (ăƒ‡ă‚Łăƒ©ăƒłă‚’èȘžă‚ă†, lit. « Racontons Dylan »), Shƍgakukan, 2007, avec Kƍji Wakui
    Recueil d'entretiens sur Bob Dylan, contient la nouvelle Dylan no daihƍgen (ăƒ‡ă‚Łăƒ©ăƒłăźć€§ć†’é™ș, lit. « La Grande Aventure de Dylan »).
  • Illustrations de la brochure japonaise du film I'm Not There sur Bob Dylan sorti au Japon en
  • Manben (æŒ«ć‹‰, « L'Étude du manga »), Shƍgakukan, 2008, (Panini coll. Panini Manga, 2010), artbook
  • Pluto settei gashĆ« (Pluto èš­ćźšç”»é›†), artbook de dessins prĂ©paratoires en supplĂ©ment du tome 7 de Pluto

Nouvelles uniquement pré-publiées

  • Henry to Charles (ヘンăƒȘăƒŒăšăƒăƒŁăƒŒăƒ«ă‚ș, HenrÄ« to Chāruzu, « Henry et Charles »), parue dans ƌki-na pocket, Fukuinkan shoten,
    Histoire de deux souris essayant de manger un gĂąteau sur une Ă©tagĂšre.
  • Tsuisekisha Maboroshi no mangaka Nirasawa Suguru ! Dai 9 shĆ« Banpaku to Moebius chƍhen anime eiga Melancholic sensƍ no conte (èżœè·Ąè€… 〜ćč»ăźæŒ«ç”»ćź¶ăƒ»éŸźæČąæ—©ă‚’èżœăˆ!珏9集「侇捚べメビォă‚čă€é•·ç·šă‚ąăƒ‹ăƒĄæ˜ ç”»ă€ŒăƒĄăƒ©ăƒłă‚łăƒȘăƒƒă‚ŻæˆŠäș‰ă€ăźă‚łăƒłăƒ†), parue dans Ikki, Shƍgakukan,
    Suite des histoires du mangaka imaginaire Suguru Nirasawa inventĂ© par Kentarƍ Takekuma.
  • Swimmers, parue dans un numĂ©ro spĂ©cial d’Evening, Kƍdansha,
    Histoire d'un chat apprenant Ă  nager Ă  un chien, Ă©crite avant de devenir professionnel.

Télévision

  • Le Dit du Genji (æșæ°ç‰©èȘž, Genji monogatari), NHK, 1990 : character design de ce documentaire vidĂ©o de la sĂ©rie Manga de yomu koten (ăŸă‚“ăŒă§èȘ­ă‚€ć€ć…ž, lit. « Les Classiques lus en manga »)

Musique

IntermÚde musical lors de la conférence du à la Japan Expo 13

RĂ©compenses

Notes et références

(ja) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en japonais intitulĂ© « 攊æȱ目æšč » (voir la liste des auteurs).
  1. (ja) Kokoro no mama ni, arano o ike (ćżƒăźăŸăŸă«ă€è’é‡Žă‚’èĄŒă‘), Professional - Shigoto no ryĆ«gi (ăƒ—ăƒ­ăƒ•ă‚§ăƒƒă‚·ăƒ§ăƒŠăƒ« 仕äș‹ăźæ”ć„€) no 38, NHK, 18 janvier 2007 [prĂ©sentation en ligne]
  2. (ja) Jin Kitamura, Interview de Naoki Urasawa et Kƍji Wakui, Rooftop Galaxy (ăƒ«ăƒŒăƒ•ăƒˆăƒƒăƒ—â˜…ă‚źăƒŁăƒ©ă‚Żă‚·ăƒŒ)
  3. Naoki URASAWA en conférence : la grande classe, Japan Expo, le 8 juillet 2012
  4. (en + de + fr + ja) Masanao Amano, Manga Design, Cologne, Taschen, coll. « Mi », , 576 p., 19,6 cm × 24,9 cm, brochĂ© (ISBN 978-3-8228-2591-4, prĂ©sentation en ligne), p. 116-119
    édition multilingue (1 livre + 1 DVD) : allemand (trad. originale Ulrike Roeckelein), anglais (trad. John McDonald & Tamami Sanbommatsu) et français (trad. Marc Combes)
  5. (en) New Line Cinema Acquires Rights to Best-Selling Japanese Comic Book Monster, Time Warner, le 8 avril 2005
  6. « Rencontre avec Mister Monster » in Monster tome 1, 2001
  7. (en) « Nagoya Zokei University of Art & Design » Manga course »
  8. Le nom du duo et de leur Ɠuvre fait rĂ©fĂ©rence au manga Manga-michi de Fujiko Fujio
  9. (en) « 37th Japan Cartoonist Awards Announced », sur Anime News Network, (consulté le )
  10. Benjamin Roure, « AngoulĂȘme 2011 : le palmarĂšs officiel », BoDoĂŻ,‎ (lire en ligne)
  11. « L'Art de Naoki Urasawa s'expose Ă  Paris », Ligne Claire,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  12. Julé 2018

Annexes

Bibliographie

  • Julien Bastide, « Profession : feuilletoniste », dans 9e Art no 9, Centre national de la bande dessinĂ©e et de l'image, , p. 117
  • Alexis Orsini, Naoki Urasawa : L'air du temps, Les Moutons Ă©lectriques, coll. « BibliothĂšque des miroirs », 2012 (ISBN 2361830760)
  • Vincent JulĂ©, « Naoki Urasawa Ă  AngoulĂȘme: «Le manga peut-il changer le monde? Tezuka a changĂ© le mien» », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  • Romain Brethes, « Naoki Urasawa, dieu du manga », Le Point, no 2368,‎ (lire en ligne).

Liens externes

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