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Mortemer (Oise)

Mortemer est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Mortemer
Mortemer (Oise)
Église de la Vierge
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Sources
Maire
Mandat
Guillaume Tribout
2020-2026
Code postal 60490
Code commune 60434
Démographie
Population
municipale
223 hab. (2020 en augmentation de 1,83 % par rapport à 2014)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 16″ nord, 2° 40′ 37″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 108 m
Superficie 6,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Mortemer
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Mortemer
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Mortemer
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Mortemer
Liens
Site web https://www.village-mortemer.fr

    Géographie

    Localisation

    Mortemer est un village-rue rural, avec un développement pavillonnaire à partir de 2001 de part et d'autre de la Grande-rue, situé à l’ouest des Monts du Noyonnais, dans une ligne de buttes boisées peu prononcées séparant les bassins versants du Matz(bassin de l’Oise) et de la rivière des Trois Doms(bassin de la Somme), situé dans l'Oise, mais en limite du département de la Somme.

    Le sud du village est constitué par une forêt, le Grand bois.

    Le territoire communal est desservi par la RD 935(Compiègne - Amiens) et par l'ex-Route nationale 17 (actuelle RD 1017), et s’inscrit dans un triangle dont les sommets seraient Montdidier, Roye et Cuvilly.Les échangeurs de Ressons au sud et Roye au nord donnent accès au réseau autoroutier (A1, A26, A29)

    La commune était connue par ses carrières, dont la pierre a servi à l'édification de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 691 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Mortemer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,9 %), forêts (16,4 %), zones urbanisées (6,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Voir Mortemer (Seine-Maritime)

    Histoire

    Émile Coët indiquait :

    « Mortemer était de la prévôté de Montdidier ; on y comptait douze feux en 1469.

    La seigneurie appartenait aux seigneurs d'Orvillers qui avaient fait élever un château-fort pour la défense du pays. La présence de cette forteresse fut un sujet de calamités pour les habitants, car sa possession fut souvent disputée par l'es ennemis. Au mois de mai 1421, le seigneur de Gamaches, en garnison à Compiègne, profita de l'eloignement de Jean de Luxembourg, capitaine bourguignon, pour s'emparer d'assaut du château de Mortemer où il mit une forte garnison qui ravageait le pays. Il fut pris de nouveau par les Bourguignons en 1433 et détruit. L'année suivante, le comte d'Étampes, gouverneur de Picardie, mit le siège devant le château, qui fit sa soumission après une vive résistance. Le comte le fit démolir ; mais il fut remis en état de défense par Guillaume de Flavy, qui y tint une garnison royaliste.

    À chaque prise ou reprise du château, les habitants étaient mis à rançon et leurs demeures pillées et incendiées. Les immenses galeries souterraines serpentant sous les carrières, servaient de refugeaux villageois qui s'y retiraient avec leurs bestiaux, et ce qu'ils avaient de plus précieux.

    En 1589, la forteresse était au pouvoir de la Ligue; Henri IV étant à Compiègne, donna l'ordre de s'en emparer; ce qui fut exécuté. Mais bientôt les Ligueurs la reprirent, le 29 août. L'année suivante elle était de nouveau au pouvoir du roi. Louis de Beauveau, seigneur de Tremblecourt, voulut reprendre le château pour la Ligue ; il échoua dans son entreprise ; il fut pris par Louis de Barbançon.

    Le château de Mortemer appartenait alors à Antoine de Neufville, baron de Margival ; d'un commun accord on l'avait considéré comme neutre, et le duc de Longueville avait autorisé la garnison à se retirer, à condition qu'on n'y mettrait pas de troupes de l'Union ; mais cette clause ne fut pas observée et les royalistes resièrent dans la forteresse d'où ils ravageaient les environs. Pour mettre fin à ces excès, le capitaine François de Conty s'empara du château le 9 janvier 1592. Il en confia la garde à Gédéon de Béthisy, capilaine de cinquante chevaux du roi, et le 16 janvier 1592, il prescrivit la démolition complète du château. Les habitants de Mortemer et ceux des villages voisins furent sommés de concourir à sa démolition. Le capitaine Béthisy n'exécutant pas assez vite l'ordre reçu, François de Conty lui ordonna d'évacuer le château, ce qu'il fit le 31 janvier. En même temps, il envoya des maçons et des soldats pour commencer la destruction. Mais il paraît que l'entreprise était difficile ; en effet, le château situé à l'Est du village, solidement construit en pierres dures, entouré d'épaisses murailles flanquées de fortes tours, offrait de la résistance. Il fallut employer la poudre pour faire sauter la maçonnerie ; enfin au mois de mars, le château fut rasé après quinze jours de travail incessant »

    [21]

    La commune de Hainvillers, instituée lors de la Révolution française, a été fugacement réunie à Mortemer de 1827 à 1833 par une ordonnance royale du [22].

    Première Guerre mondiale

    À la fin de la guerre, le village a subi de nombreuses destructions[23] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Ressons-sur-Matz[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton d'Estrées-Saint-Denis.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes du Pays des Sources.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 avril 2016[25] Lionel Desreumaux Décédé en fonction
    juin 2016[26] En cours Guillaume Tribout

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2020, la commune comptait 223 habitants[Note 7], en augmentation de 1,83 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    282312309327368358327350336
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    324326316305298280288294286
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    243204190152142149159180181
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    174151125127155176182179199
    2014 2019 2020 - - - - - -
    219223223------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 117 hommes pour 106 femmes, soit un taux de 52,47 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    0,0
    6,0
    75-89 ans
    6,6
    12,0
    60-74 ans
    18,9
    29,9
    45-59 ans
    24,5
    19,7
    30-44 ans
    20,8
    12,0
    15-29 ans
    16,0
    19,7
    0-14 ans
    13,2
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés dans l'école d’Orvillers-Sorel depuis la rentrée 2018-2019, dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal organisé par les communes de Belloy, Biermont, Cuvilly, Hainvillers, Lataule, Orvillers-Sorel et Mortemer[32].

    Culture

    À la suite de la fermeture de l'école, ses locaux ont été transformés en 2019 pour servir de bibliothèque au village[32].

    Economie

    Le dossier du plan local d'urbanisme adopté en 2012 indique que le village comptait huit exploitations agricoles implantées au village dont quatre pratiquant l’élevage et deux activités hippiques[33]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Mortemer est à l'origine de la famille de Mortimer dont Roger (V) (1287-1330), 3e baron Mortimer de Wigmore et 1er comte de March (1327), est célèbre pour sa liaison avec la reine d'Angleterre Isabelle de France, fille de Philippe IV le Bel. Il envahit l'Angleterre avec une armée de mercenaires et le soutien d'Henry de Lancastre, 3e comte de Leicester. Il force Édouard II à abdiquer en faveur de son fils, puis le fait assassiner. Il exerce la régence avec Isabelle de France durant la minorité du roi, mais est exécuté pour trahison en 1330, ses terres étant confisquées.

    Héraldique

    Armes de Mortemer

    Les armes de Mortemer se blasonnent ainsi :
    Parti : au 1er d'azur à trois fleurs de lis d'or, au 2e de gueules à trois chevaux d'or rangés en pal.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Mortemer et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Mortemer et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, Imprimerie A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 358-359, lire en ligne sur Gallica.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    24. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
    25. « À la mémoire de Monsieur Lionel Desreumaux », sur http://memoire.lavoixdunord.fr, (consulté le ).
    26. « Mortemer (60) Guillaume Tribout élu maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec 8 voix, contre 2 blancs et une voix pour l’adjoint Jacques Détrain, Guillaume Tribout, né à Beauvais et arrivé à Mortemer en 1995, a été élu ».
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mortemer (60434) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    32. Lucien Djani, « Une bibliothèque dans l’ancienne classe de Mortemer : Depuis la fermeture de l’école dans la commune, à la rentrée dernière, le local était libre. Des bénévoles font fonctionner cet espace qui attire ses premiers adhérents », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. Dossier de PLU, document mentionné en liens externes, p. 40.
    34. Dominique Vermand, « Mortemer, église Notre-Dame », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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