Mersuay
Mersuay est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Mersuay | |||||
Mairie, monument aux morts et Ă©cole de Mersuay. | |||||
HĂ©raldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
DĂ©partement | Haute-SaĂ´ne | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres de Saône | ||||
Maire Mandat |
Roland Petitfils 2020-2026 |
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Code postal | 70160 | ||||
Code commune | 70343 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
282 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 47′ 00″ nord, 6° 08′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 216 m Max. 259 m |
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Superficie | 11,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Vesoul (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Port-sur-SaĂ´ne | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-SaĂ´ne
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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GĂ©ographie
Localisation
Mersuay est un village construit au bord de la Lanterne, affluent de la Saône, il forme un coteau descendant en une pente assez légère en direction de la plaine au nord. Il existe de nombreuses combes dans la partie sud du village, dirigées du nord au sud. L'exposition de la commune est à dominante nord.
Hydrographie
La commune est proche du parc naturel régional des Ballons des Vosges. La rivière la Lanterne traverse la commune du nord au nord-ouest et reçoit de nombreux ruisseaux du nord et du sud : ruisseau de la Raie, ruisseau des Combes, ruisseau de Courcelles, canal du Moulin de Faverney. Le ruisseau de Meurecourt, le ruisseau des Canes s'inscrivent également au nombre des cours d'eau qui traversent la commune de Mersuay. À ce titre [puisque appartenant à la basse vallée de La Lanterne (qui englobe également Breurey-Les-Faverney) ], la commune fait partie des six réserves naturelles que compte actuellement la Haute-Saône[1]. On peut ainsi y voir différentes sortes d'oiseaux migrateurs (cigognes, courlis...).
GĂ©ologie
Des alluvions plus ou moins vieilles ont été retrouvées dans le cours de la rivière. Des dents de mammouths ont été identifiées. Dans la vallée du ruisseau des Combes, et à l'emplacement du bois de Revreuges, sont situées les alluvions les plus anciennes. Par ailleurs, des pierres calcaires et des argiles du Muschelkalk composent la majeure partie du sol communal.
Climat
La commune de Mersuay a connu 1 604 heures d'ensoleillement en 2013, contre une moyenne nationale de 1 819 heures de soleil. Mersuay a bénéficié de l'équivalent de 67 jours de soleil en 2013. La commune se situe à la position no 23 469 du classement des villes les plus ensoleillées.
Elle a connu 1 061 millimètres de pluie en 2013, contre une moyenne nationale de 895 millimètres de précipitations. Mersuay se situe à la position no 7 133 du classement des villes les plus pluvieuses.
Urbanisme
Typologie
Mersuay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,2 %), forêts (29,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,7 %), terres arables (9,3 %), eaux continentales[Note 3] (5,8 %), cultures permanentes (3,1 %), zones urbanisées (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Histoire
Ancienne dénomination de la commune : Mersnai. L'actuelle appellation de la commune vient d'un nom d'origine latine Martius/Marcus avec pour suffixe -scum.
On fait remonter la fondation de Mersuay à l'an 800. Selon la même tradition, ce lieu aurait commencé à se structurer durablement, au cours des siècles, autour d'un moulin placé à peu près au centre du village actuel (ce moulin, source d'inondations régulières, a été acheté et détruit par la commune en 1891). Mersuay était une dépendance de la 'Mairie' de Vesoul, appartenant au comte de Bourgogne, tel qu'on peut le constater dans une enquête faite en 1242 sur les droits et l'étendue de cette Mairie. Mersuay fut donné en gage par le comte palatin Othon III à Aymon d'Annegray. Les enfants d'Aymon d'Annegray se désistèrent en 1256 de leurs prétentions sur le village et tinrent quitte le comte Hugues et la comtesse Alix de tous dommages et intérêts à ce sujet. Jean de Bourgogne recueillit Mersuay dans l'héritage de ses parents. Puis en 1479, le village appartint avec toutes ses dépendances à Jean de Neufchâtel, seigneur de Montaigu. Il les donna cette même année à l'abbaye de Faverney avec tout ce qu'il y avait en dîmes et tailles pour la création d'une messe quotidienne (qui se voulait perpétuelle) dans l'église abbatiale. Il est probable que la famille arborant le nom de Mersuay y possédait un fief relevant de la famille Montaigu. Henri de Mersuay y vivait en 1407; Marguerite de l'Isle, veuve de Huguenin de Mersuay, y vivait en 1453; Jeanne de Mont-Simon, veuve de Guillaume de Mersuay, y a également vécu en 1501[9].
XVIIIe – XIXe siècles
La seigneurie appartint par la suite en 1730 à Antoine Maignien et en 1789 à Claude-Pierre Maignien. Marie Gabrielle Maignien (fille du dernier nommé) épousa Antoine de Coucy. De cette union naquit Eugénie de Coucy future épouse du maréchal Oudinot. À partir de 1789, à la révolution, le lien d'appartenance de la commune fut le bailliage de Vesoul et le décanat de Luxeuil. En 1790, cela passa au district de Vesoul, canton de Faverney. En 1792, 28 habitants de Mersuay partirent défendre le territoire national. 21 périrent à la suite de cet engagement. Cette période verra se succéder de multiples réquisitions de tous produits pour la récente armée républicaine (en 1793, les châteaux, les bois et les chevaux demeuraient ce qui était le plus recherché ). Des privations de vaches et de veaux -une vache étant à l'époque estimée à 67 francs-, de foin, d'avoine, de blé, d'eau de vie, de vin, de vinaigre auront lieu à la fin du Premier Empire. Tout ceci devait être conduit à Vesoul ou à Belfort afin de soutenir l'effort de guerre. En , les troupes autrichiennes sont à Vesoul.
Gestion des indigents : la commune, dans la seconde partie du XIXe siècle, cherche activité et travail pour les moins fortunés. En 1846, du pain est distribué chaque semaine à ce type de population. La commune vota l'année suivante une dotation de 2 000 francs pour ces mêmes indigents. Une commission spécialement constituée pour pallier ce problème achète du grain et leur distribue. En 1854, la commune connait un épisode de choléra. En 1860, la première ligne de chemin de fer traverse la commune (voir chapitre chemin de fer). Six ans plus tard, le corps des sapeurs pompiers du village est créé.
La guerre avec la Prusse en 1870 pousse le village à mettre en place un emprunt pour soutenir l'effort de guerre. 55 habitants sont réquisitionnés pour les combats. La même année, le département est occupé par l'armée prussienne. Un incendie de grande importance mettra à la rue 07 familles du village en 1873, ce qui obligera la commune à prendre en charge les dépenses de ces personnes tombées dans le plus total dénuement.
Les deux guerres mondiales ont touché le village. En 1914-1918, 21 natifs du village sont décédés des suites du conflit. En 1939-1945, deux civils sont morts à la Libération.
En débutent les travaux de restauration de La Maison de Mersuay, grande bâtisse seigneuriale (1650-1719) qui sera reconvertie en maison d'hôtes et galerie d'art « La Prédelle » par Benoît Delescluse et son épouse Madeleine, peintre et galériste, installés jusqu'à cette date à Besançon.
Le village a reçu le label Villes et Villages Fleuris avec 3 fleurs.
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Mersuay fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
La commune fait partie depuis 1801 du canton de Port-sur-Saône[10]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le territoire de ce canton s'est agrandi, passant de 17 à 46 communes.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes de la Saône jolie, créée en 1992.
L'article 35 de la loi n° 2010-1563 du [11] « de réforme des collectivités territoriales » prévoyant d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants, les communautés de communes :
- Agir ensemble ;
- de la SaĂ´ne jolie ;
- des six villages ;
et les communes isolées de Bourguignon-lès-Conflans, Breurey-lès-Faverney et Vilory ont été regroupées pour former le la communauté de communes Terres de Saône, dont la commune est désormais membre.
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
En 2020, la commune de Mersuay comptait 282 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations.
Population et logements : Mersuay a connu une nette hausse de sa population par rapport à 1999. La densité de cette même population est de 24 habitants par km². Le nombre de logements sur la commune a été estimé à 138 en 2007. À cette date, ces logements se composaient de 104 résidences principales, de 23 résidences secondaires ou occasionnelles ainsi que de 11 logements vacants.
Enseignement
La commune de Mersuay est située dans l'académie de Besançon. Elle dépend de la zone A.
En 2010, parmi la population de 15 Ă 64 ans, Mersuay comptabilisait 9,0 % d'Ă©tudiants.
Mersuay disposait jusqu'à [16] d'une école primaire qui s'inscrivait dans la zone de compétence de l'inspection académique de Haute-Saône. La commune faisait partie, avec 4 villages du département (Faverney, Breurey-lès-Faverney, Provenchère, Equevilley) d'un regroupement pédagogique intercommunal -RPI- basé sur la mutualisation des services. Le pôle informatique du RPI se situait à Mersuay. De 2006 à 2018, une des deux classes, précédemment fermée, a été rénovée et abritait ce 'centre' de nouvelles technologies. Équipé de l'ADSL, le lieu accueillait des élèves de la maternelle au CM2. Initialement, le but était de conduire les enfants à l'obtention d'un brevet informatique (le B2I) avant l'entrée au collège. Depuis le , c'est la communauté de communes Terres de Saône -CCTS- qui exerce les compétences scolaires, périscolaires et accueil petite enfance sur l'ensemble de la communauté. Dans le cadre de la politique de restructuration de ses écoles, la CCTS a entrepris la fermeture du RPI et la construction d'un pôle éducatif à Faverney regroupant les élèves de l'actuel RPI avec également les élèves des communes de Menoux et de Bourguignon-les-Conflans[17]. L'ouverture est programmée pour la rentrée de [18].
Économie
En 2011, les habitants de Mersuay (Haute-Saône) déclaraient des revenus annuels de 1 677 € / par mois pour un foyer fiscal moyen, soit 20 124 € par an et par foyer[19].
Culture et patrimoine
Monuments
L’église XVIIIe / XIXe siècle. Paroisse du soyenné de Faverney, succursale par décret du . L'église est sous le titre de saint Nicolas. Il s'agit d'un édifice de petites dimensions dont le clocher est à toit bulbeux, caractéristique des édifices comtois. En de gros travaux de rénovation de ce clocher ont été entrepris. Ce dernier penchait et son faîte commençait à s'ouvrir, ce qui rendait le tout dangereux. Le coût de cette opération s'est élevé à 270 000 francs de l'époque. Un coq en cuivre surplombe désormais l'ensemble, il remplace l'ancien coq en zinc. L'horloge est basée depuis cette date sur un mouvement à quartz. Cette rénovation majeure a pris fin en .
La façade date du milieu du XIXe siècle. En son centre figure un portail à linteau plat à corniche, surmonté d'un bas-relief vide sous fronton triangulaire. Le porche est voûté. Le clocher comprend deux cloches. Le bénitier octogonal, en pierre, date du XVIe siècle. La nef unique est constituée de deux travées plafonnées. On trouve également dans l'enceinte de l'église une chaire galbée portant deux larges bas reliefs sculptés dans le bois et représentant deux par deux les évangélistes : saint Marc et saint Luc, puis saint Jean et saint Mathieu. Sur l'avant, le bas relief étroit représente saint Nicolas. Au dosseret, on retrouve un médaillon sculpté à l'effigie du Christ. L'abat-voix, à guirlande, est surmonté d'un ange XVIIIe siècle. En face de cette chair figure un retable des fonts baptismaux avec une toile représentant le baptême du Christ. Le transept abrite deux autels latéraux du XVIIIe siècle. À droite, l'autel est sculpté de rinceaux et de feuillages qui entourent les lettres MRA. Le retable correspondant possède deux colonnes cannelées corinthiennes. Sur l'autel figuraient anciennement des statuettes en bois sculpté de saint Nicolas. À gauche du transept, l'autel est sculpté et représente l'Arche d'Alliance. Le retable possède une toile qui figure l'Immaculée Conception d'après Murillo. Le symbole de la Vierge à l'enfant est également très présent. Le sanctuaire est à une travée, une table principale est entourée de deux portes aux monogrammes I.H.S. Enfin, le maître-autel soutien un retable à deux colonnes cannelées corinthiennes. Une toile représente saint Nicolas et les trois enfants sauvés. Le miracle d'un navire en naufrage est dessiné au sommet et, comme dans toutes les églises, un médaillon représente un Père Eternel. En 1845, l'église se révélant trop petite, une tribune surélevée fut construite au-dessus de la travée centrale.
La mairie-école : en 1834 sont achetées les maisons Bozamet et Tisserand, familles de cultivateurs, en vue de construire une mairie et une école. Le devis des travaux pour la partie école s'éleva à 16 000 francs. Ces deux lieux sont complètement habilités et commencent à être utilisés en 1845.
Fontaines et lavoirs. Deux fontaines rondes, en eau, demeurent à proximité de la chaussée centrale qui traverse la commune. Une ancienne fontaine, trônant à côté de l'église, a été démontée et vendue en 1956 pour 220 francs de l'époque. La motivation première du conseil municipal alors en place était le côté obsolète d'un tel édifice - fontaine/lavoir - à la suite de l'adduction d'eau pour tout le village.
Pont. La Lanterne coule dans la plaine en bordure de la commune et un pont de 2 travées la traverse : parties anciennes (IMH), arcs en fonte, tablier en acier et bois... Ce pont fut d'abord en bois (première utilisation en 1838) puis fut remplacé par la réception d'un nouveau pont en 1841. Ce dernier sera complètement payé en 1851 à la hauteur de 48 000 francs. En 1860, le pont connaîtra sa plus grande transformation avec sa restructuration faite à base exclusivement de pierres. Le coût de l'ouvrage compromettra quelque temps les finances communales.
Croix Nageot. Cette croix, présente à l'entrée de la commune (route départementale en provenance de la butte du Chaumont) depuis un temps immémorial est rénovée en 1873. Après un devis de 1275 francs, un sculpteur de Jussey est mandaté afin de lui redonner tout son éclat. Cette même année, une grille de protection est déposée autour de la sculpture. Cette dernière est toujours visible de nos jours.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Vidal organiste, compositeur et musicographe, mort Ă Mersuay le .
- Eugénie de Coucy née le à Mersuay est la deuxième épouse du maréchal Oudinot.
HĂ©raldique
Blasonnement : de gueules Ă l'aigle d'argent.
Ces armes sont les anciennes armes du comté de Bourgogne, conservées par les Montaigu qui possédaient un château à Mersuay. Ce fief de la famille Montaigu remontait à l'an 1407. Othon IV a abandonné l'aigle pour le lion, mais la branche cadette des Montaigu est restée fidèle à l'aigle. Le village a repris les armes de ses anciens seigneurs au XXe siècle
(années 1980-1990).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Références
- Il s'agit des parties du territoire d'une ou de plusieurs communes dont la faune, la flore, le sol, les eaux, les gisements de minéraux ou de fossiles, ou le milieu naturel présentent une importance particulière. Une réserve naturelle peut être volontaire (ce qui est le cas ici), correspondant à des propriétés privées dont la faune et la flore sauvages présentent un intérêt particulier sur le plan scientifique et écologique.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vesoul », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Archives communales et départementales
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
- « Les maires de Mersuay », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
- « Roland Petitfils élu maire », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « En Haute-Saône, 17 classes fermeront à la rentrée 2018 dans le premier degré », sur France Bleu, (consulté le ).
- Super User, « Le R.P.I. », sur www.ville-faverney.com (consulté le ).
- Ville Faverney, « Pôle éducatif », sur www.ville-faverney.com (consulté le ).
- Source : calculs JDN d'après ministère de l'Économie, 2011