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Marc-Antoine-Madeleine DĂ©saugiers

Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (né Antoine Madeleine Augier à Fréjus le et mort à Paris le ) est un chansonnier, poète, goguettier et vaudevilliste français, fils du compositeur Marc-Antoine Désaugiers et frère du diplomate Auguste Désaugiers.

Marc-Antoine-Madeleine DĂ©saugiers
Marc-Antoine-Madeleine DĂ©saugiers, portrait par Louis-LĂ©opold Boilly
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  54 ans)
Paris
SĂ©pulture
Nom de naissance
Antoine Madeleine Augier
Pseudonymes
Jérôme Léveillé, Jérôme Pointu, Jérôme l'éveillé
Nationalité
Formation
Activités
Père
Fratrie
Enfant
Eugène Désaugiers (d)
Autres informations
Mouvement
Genre artistique
Distinction
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers, portrait d'après Achille Devéria.

Sa vie et son œuvre, vaudevilles et chansons, sont aujourd'hui oubliées du grand public, mais il a été dans les goguettes aussi célèbre que Béranger.

Biographie

Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers naît le 17 novembre 1772 à Fréjus et est baptisé le lendemain[1]. Il est le fils du compositeur et maître de chapelle Marc-Antoine Désaugiers et de son épouse, Françoise Hermier. Son frère est le futur diplomate Auguste Désaugiers.

Après avoir failli entrer dans les ordres, il se voue aux lettres et à la musique. Pendant la Révolution française, il s'exile d'abord à Saint-Domingue, où il manque d'être fusillé par les Noirs révoltés, puis à Philadelphie, où il donne des leçons de clavecin.

De retour en France en 1797, il devient professeur de piano, chef d'orchestre, fournisseur attitré des petits théâtres à la mode, auxquels il donne toute une série de vaudevilles d'une allure franche et rapide.

En 1802, avec trois autres musiciens, il est un des onze chansonniers attitrés de la goguette Les Déjeuners des Garçons de bonne humeur[2]. De 1806 à 1817, il est l'âme d'une autre goguette, célèbre pour sa société littéraire et chantante : Le Caveau moderne. Il encourage les débuts de Pierre-Jean de Béranger. Il est l'ami du célèbre chanteur des rues Aubert. En 1815, au retour des Bourbons, il devient directeur du théâtre du Vaudeville.

En 1825, avec Pierre Capelle, il entreprend de faire renaître le Caveau moderne, qui a fait naufrage en 1817, sous le nouveau nom du Réveil du Caveau. Toutefois, Désaugiers souffre atrocement de calculs urinaires. La veille de subir l'« opération de la pierre[3] », dont il ne se relèvera pas, ne se départant pas de sa verve et sa bonne humeur, il compose son épitaphe, les quatre vers ci-dessous :

Ci-gît, hélas! sous cette pierre,

Un bon vivant mort de la pierre.

Passant, que tu sois Paul ou Pierre,

Ne vas pas lui jeter la pierre.

Le projet avortera avec la mort de Désaugiers, qui survient le . Son ami Nicolas Brazier publiera un poème le de l'année suivante L'Anniversaire, épître à Desaugiers[4], qui se termine par ces vers :

Et, puisque tu pris les devants,

Prouve, en dépit de nos savants,

Qu'avec les morts il vaut mieux rire

Que bâiller avec les vivants.

Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (division 22)[5].

Dans le 16e arrondissement de Paris, la rue DĂ©saugiers lui rend hommage.

Chansons et vaudevilles

Cet épicurien est plein d'obligeance et de générosité. On le dit gai ; d'une gaieté naturelle, intarissable et inoffensive. Ses chansons, parmi lesquelles L'Épicurien, Ma fortune est faite, Le panpan bachique, Le Délire bachique[6], les Cadet Buteux, dont Cadet Buteux à l'opéra de la Vestale, une parodie de La Vestale de Spontini, débordent d'une joie communicative ; une pointe de malice et de libertinage en relèvent la saveur. On y trouve parfois même une piquante observation des mœurs du temps, comme dans Souvenirs nocturnes de deux époux du XVIIe siècle[7], Tableau de Paris à cinq heures du matin, Tableau de Paris à cinq heures du soir, V'là c' que c'est que l' carnaval. Désaugiers représente le meilleur type du chansonnier français, malicieux, insouciant et gai.

Il est également l'auteur de nombreuses petites pièces, vaudevilles, comédies ou parodies, la plupart écrite en collaboration, dont quelques-unes, comme Les Petites Danaïdes, La Chatte merveilleuse, Le Vautour ou le Propriétaire sous le scellé, Je fais mes farces, ont eu une vogue prodigieuse. Dans la langue populaire son œuvre Le Vautour ou le Propriétaire sous le scellé a laissé l'expression un vautour pour désigner un propriétaire particulièrement sans pitié pour ses locataires.

Bon voyage Monsieur Dumollet

Sa chanson connue sous le titre de Bon voyage Monsieur Dumollet, tirée du final de sa folie en un acte Le Départ pour Saint-Malo, donnée pour la première fois le , est restée célèbre jusqu'à nos jours. Ceux qui la connaissent à présent en ignorent souvent l'auteur. Ses paroles partent d'une anecdote survenue à Saint-Malo qui avait eu son heure de célébrité à l'époque ; elle est ainsi évoquée par Chateaubriand :

« Enfin, pour ne rien omettre, je rappellerai les dogues qui formaient la garnison de Saint-Malo […]. Ils furent condamnés à la peine capitale pour avoir eu le malheur de manger inconsidérément les jambes d’un gentilhomme ; ce qui a donné lieu de nos jours à la chanson : Bon voyage. On se moque de tout. On empoisonna les criminels ; l’un d’eux refusa de prendre la nourriture des mains de son gardien qui pleurait ; le noble animal se laissa mourir de faim : les chiens, comme les hommes, sont punis de leur fidélité. »

— Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, livre I, chapitre 4.

La garde de la côte de Saint-Malo était composée de 24 dogues chargés de la surveillance nocturne[8].

C'est sur son air qu'est chanté, accompagné aux fifres, l'air du Carnaval inlassablement répété au cours du grand Carnaval de Dunkerque et des carnavals des villes aux alentours. Le ballet Casse-Noisette comprend une transcription pour orchestre de l'air de la chanson (acte I, 1er tableau, Allegro, après l'entrée des parents)[8]. La chanson a aussi donné la marche des conscrits bressans Leu Conchcrits sur des paroles de Prosper Convert[8]. Différentes adaptations de la chanson sont également jouées aux Seychelles, en Irlande ainsi qu'en Belgique où il est joué comme air de cramignon (danse en plein air)[8].

Opportunisme politique

En 1811, à l'occasion de la naissance du fils de Napoléon Ier, le Caveau moderne publie un Hommage du Caveau moderne au roi de Rome, Extrait du Procès-Verbal de la 64e Séance du Caveau moderne, tenue le [9].

Ce recueil auquel participe Désaugiers est tout entier consacré à louanger le pouvoir impérial,

Quatre ans après, en 1815, au moment de la Restauration, paraît à Paris, chez Rosa, Le Chansonnier des Bourbons : dédié à SAS Madame la duchesse douairière d'Orléans ; rédigé par MM. J. A. Jacquelin et B. de Rougemont. 1re année. Dans celui-ci, les membres du Caveau moderne s'alignent bruyamment en faveur de la monarchie restaurée[10]. Même l'inspiration bachique est ici mise au service du roi, comme on le voit dans ce couplet de Désaugiers à la fin de sa chanson Ronde :

Moi, je jure de servir
Louis, mon prince et mon père,
Jusqu'Ă  mon dernier soupir
Et jusqu'Ă  mon dernier verre.
Français, qu'ici tous les cœurs
Se répondent,
Se confondent :
Gloire, amour, plaisirs, liqueurs,
Venez enivrer nos cœurs[11].

En 1818, chez les anciens du Caveau moderne, l'opportunisme se fait martial et guerrier, ce qui, en temps de paix, n'est pas trop risqué. Désaugiers, comme Gentil, signent dans le petit recueil de chansons royalistes Les Anniversaires des trois mai et huit juillet[12], qu'ils publient avec quelques autres, en suivant leurs noms de leur qualité de gardes nationaux : « Sous-Lieutenant de la 10e Légion[13] ».

DĂ©saugiers et les juifs

Les piques à propos des usuriers juifs apparaissent dans deux chansons de Désaugiers. Au début du 5e couplet du Délire bachique, connue également sous le nom de Quand on est mort, c'est pour longtemps, on lit :

Au lit, Ă  table
Aimons, rions,
Puis envoyons
Les affaires au diable.
Juge implacable
Sot chicaneur,
Juif intraitable,
Respectez mon bonheur.

Et le 9e couplet du Carillon bachique :

Vingt juifs, que le diable emporte !
Sont consignés à ma porte,
Peut-ĂŞtre Ă  la vĂ´tre aussi ;
Mais, morbleu ! je me résigne,
Et lèverai la consigne
Dès qu'ils sonneront ainsi

Ces deux chansons, jadis célèbres, ont fait partie des plus connues parmi celles de Désaugiers.

Ĺ’uvres

  • 1798 : Gilles afficheur, vaudeville en 1 acte crĂ©Ă© le au théâtre des Jeunes-Artistes, Ă  Paris.
  • 1799 : Le Testament de Carlin, vaudeville en 1 acte crĂ©Ă© le au théâtre des Jeunes-Artistes, Ă  Paris.
  • 1802 : Gille en deuil, opĂ©ra en 1 acte, avec Armand Croizette et Jacques-AndrĂ© Jacquelin, crĂ©Ă© le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1802 : Mylord Go, ou le 18 Brumaire, tableau-impromptu mĂŞlĂ© de vaudevilles, avec Francis, crĂ©Ă© le (18 brumaire an XII) au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1803 : Cric-crac, ou L'Habit du Gascon, opĂ©ra-vaudeville en 1 acte, avec Jacques-AndrĂ© Jacquelin, crĂ©Ă© le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1803 : Le Mot de l’énigme, comĂ©die en 1 acte, avec RenĂ© de Chazet et A.-M. Lafortelle, crĂ©Ă©e le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1803 : Le Magister et le Meunier, ou les Escobarderies villageoises, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, tirĂ©e d'un ancien fabliau, avec Jacques-AndrĂ© Jacquelin, crĂ©Ă©e le au théâtre de la rue Dauphine, Ă  Paris.
  • 1803 : L’Amour et l’Argent, ou le CrĂ©ancier rival, comĂ©die en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec RenĂ© de Chazet et A.-M. Lafortelle, crĂ©Ă©e le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1803 : Manon la ravaudeuse, comĂ©die en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Charles Henrion et Joseph Servières, crĂ©Ă©e le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1803 : Arlequin musard, ou J’ai le temps, vaudeville-parade en 1 acte, avec Francis, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris
  • 1803 : L’Un après l’autre, ou les Deux Trappes, comĂ©die en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Francis, crĂ©Ă©e le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1803 : M. Pistache, ou le Jour de l’An, folie en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Francis, crĂ©Ă©e le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1804 : Le Naufrage pour rire, ou le Coche d’Auxerre, vaudeville en 1 acte crĂ©Ă© le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1804 : C’est ma femme, vaudeville en 1 acte, avec Francis, crĂ©Ă© le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1805 : Le Diable en vacances, opĂ©ra-fĂ©erie et comique en 1 acte sur une musique de Pierre Gaveaux, avec Martial Aubertin et Bosquier-Gavaudan, crĂ©Ă© le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris. Il s'agit de la suite de l'opĂ©ra bouffon Le Diable couleur de rose, ou Le Bonhomme misère du compositeur Pierre Gaveaux, sur un livret de Guillaume LĂ©vrier-Champrion, crĂ©Ă© le au théâtre des Amis des Arts, Ă  Paris.
  • 1805 : Arlequin tyran domestique, enfantillage en 1 acte, mĂŞlĂ© de vaudevilles, avec Francis Baron d'Allarde et Mathieu-Jean-Baptiste Nioche de Tournay, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1805 : Le Quartier d’hiver, ou les MĂ©tamorphoses, vaudeville Ă  travestissements en 1 acte, crĂ©Ă© le au théâtre des Jeunes-Artistes, Ă  Paris.
  • 1805 : Monsieur Vautour, ou le PropriĂ©taire sous le scellĂ©, vaudeville en 1 acte, avec Mathieu-Jean-Baptiste Nioche de Tournat et Georges Duval, crĂ©Ă© le au théâtre du Palais-Royal, Ă  Paris.
  • 1805 : L’Adroite ingĂ©nue, ou la Porte secrète, comĂ©die en 3 actes imitĂ©e de Calderon, avec Dumaniant, crĂ©Ă©e le au théâtre de la Porte-Saint-Martin, Ă  Paris.
  • 1805 : Le Chanteur Ă©ternel, vaudeville en 1 acte, avec ThĂ©ophile Marion Dumersan, crĂ©Ă© le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1806 : Mars en CarĂŞme, ou l'Olympe au rocher de Cancale, folie-vaudeville en 1 acte, avec Francis, crĂ©Ă©e le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1806 : Le Vieux chasseur, comĂ©die en 3 actes, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Mathieu-Jean-Baptiste Nioche de Tournay et Francis Baron d'Allarde, crĂ©Ă©e le au théâtre de la rue de Chartres, Ă  Paris.
  • 1806 : Ma tante Urlurette, ou le Chant du coq, folie-vaudeville en 1 acte, avec Francis, crĂ©Ă©e le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris
  • 1806 : Madame Scarron, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Joseph Servières, crĂ©Ă©e le au théâtre Montansier-VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1806 : Le Mari intriguĂ©, comĂ©die en 3 actes et en vers, crĂ©Ă©e le au théâtre de l'ImpĂ©ratrice, Ă  Paris.
  • 1806 : Avis au public, ou le Physionomiste en dĂ©faut, opĂ©ra-comique en 2 actes sur une musique d'Alexandre Piccini, crĂ©Ă© le au théâtre de l'OpĂ©ra-Comique, Ă  Paris.
  • 1806 : Monsieur Giraffe, ou la Mort de l’ours blanc, vaudeville en 1 acte, avec Auguste-Mario Coster, RenĂ© de Chazet, Georges Duval, Francis baron d'Allarde, Jean-Toussaint Merle, Charles-François-Jean-Baptiste Moreau de Commagny, Antoine AndrĂ© Ravrio et Joseph Servières, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1807 : Le Valet d’emprunt, ou le Sage de dix-huit ans, comĂ©die en 1 acte, avec ThĂ©ophile Marion Dumersan, crĂ©Ă©e le au théâtre de l’ImpĂ©ratrice, Ă  Paris.
  • 1807 : Le Panorama de Momus, prologue d'inauguration en prose et en vaudevilles pour la nouvelle salle du Théâtre des VariĂ©tĂ©s, avec Francis d'Allarde et Charles-François-Jean-Baptiste Moreau de Commagny, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1807 : Arlequin double, vaudeville en 1 acte, avec Joseph Servières, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1807 : Un dĂ®ner par victoire, divertissement en 1 acte et en vers, crĂ©Ă© le au théâtre de l’ImpĂ©ratrice, Ă  Paris.
  • 1807 : Les Bateliers du NiĂ©men, vaudeville en 1 acte, avec Francis et Charles-François-Jean-Baptiste Moreau de Commagny, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s pour commĂ©morer l'entrevue entre l'empereur NapolĂ©on III et le tsar Alexandre Ier sur un radeau au milieu du NiĂ©men, le , et le traitĂ© de paix franco-russe signĂ© Ă  Tilsitt le , qui a redessinĂ© temporairement la carte de l’Europe.
  • 1807 : Une heure de folie, comĂ©die en 1 acte et en vers, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1807 : Taconnet chez Ramponneau, ou le RĂ©veillon de la Courtille, comĂ©die-folie en 1 acte, avec Francis d'Allarde et Charles-François-Jean-Baptiste Moreau de Commagny, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1808 : Les Époux avant le mariage, ou Ils sont chez eux, opĂ©ra-comique sur une musique d'Alexandre Piccini, crĂ©Ă© le au théâtre de l'OpĂ©ra-Comique, Ă  Paris.
  • 1808 : MincĂ©toff, parodie de Menzikoff, avec Francis et Charles-François-Jean-Baptiste Moreau de Commagny, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1808 : Turlupin, ou les ComĂ©diens du XVIe siècle, comĂ©die-anecdote en 1 acte, mĂŞlĂ©e de couplets, avec Michel-Nicolas Balisson de Rougemont et ThĂ©ophile Marion Dumersan, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1808 :Monsieur et Madame Denis, ou la Veille de la Saint-Jean, tableau conjugal en 1 acte, mĂŞlĂ© de vaudevilles, avec Michel-Nicolas Balisson de Rougemont, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1808 : Les Trois Ă©tages, ou l'Intrigue sur l'escalier, vaudeville en 1 acte, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1808 : La ComĂ©die chez l’épicier, ou le Manuscrit retrouvĂ©, vaudeville-anecdote en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1809 : M. La Gobe, ou Un tour de carnaval, folie-vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris
  • 1809 : Hector, ou le Valetde carreau, jeu de cartes en 5 parties, avec Michel-Nicolas Balisson de Rougemont et Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris
  • 1809 : Jocrisse aux enfers, ou l'Insurrection diabolique, vaudeville infernal en 1 acte, avec Francis, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1809 : Adam-Montauciel, ou Ă€ qui la gloire ?, Ă -propos en 1 acte et en vaudevilles, avec Michel-Nicolas Balisson de Rougemont et Nicolas Gersin, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1809 : Le DĂ©part pour Saint-Malo, ou la Suite des Trois Étages, folie en 1 acte, mĂŞlĂ©e de couplets, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1809 : M. GĂ©rĂ©sol, ou le Luthier de la rue de la Harpe, comĂ©die en 1 acte mĂŞlĂ©e de vaudevilles, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1810 : Il arrive, il arrive, ou Dumollet dans sa famille, folie-vaudeville en 1 acte, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1810 : La Petite guerre, ou l'Officier prothĂ©e, prologue mĂŞlĂ© de vaudevilles, crĂ©Ă© le au théâtre de la salle des Jeux Gymniques, Ă  Paris.
  • 1810 : La Petite Cendrillon, ou la Chatte merveilleuse , folie-vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1811 : L’Heureuse Gageure, divertissement en 1 acte et en vers libres, crĂ©Ă© le au Théâtre-Français, Ă  Paris, Ă  l'occasion de la naissance de Sa MajestĂ© le Roi de Rome.
  • 1811 : L’Auteur et sa servante, prologue en vaudevilles, crĂ©Ă© le au théâtre de la Porte-Saint-Martin, Ă  Paris, Ă  l'occasion de la naissance du Roi de Rome.
  • 1811 : L’Appartement Ă  deux maĂ®tres, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1811 : L’Ogresse, ou la Belle au bois dormant, vaudeville-folie-comi-parade en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1811 : Bayard Ă  La FertĂ©, ou le Siège de MĂ©zières, opĂ©ra-comique sur une musique de Charles-Henri Plantade, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre de l'OpĂ©ra-Comique, Ă  Paris.
  • 1812 : Le Mariage de Dumollet, folie en 1 acte, mĂŞlĂ©e de couplets, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1812 : Monsieur DĂ©sornières, ou Faut-il rire, faut-il pleurer ?, folie en 1 acte et en vaudevilles, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1812 : Les Auvergnats, ou l'Eau et le Vin, vaudeville grivois en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1812 : Le Mariage extravagant, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Henri Zozime de Valori, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1812 : La Matrimonio-manie, ou Gai, gai, mariez-vous ! , comĂ©die en un acte, mĂŞlĂ©e de couplets, avec Michel-Nicolas Balisson de Rougemont et Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1812 : La Famille moscovite, fait historique en 1 acte, mĂŞlĂ© de couplets, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1813 : Cadet-Roussel esturgeon, folie-parade en 2 actes, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Antoine-Vincent Arnault, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1813 : Pierrot, ou le Diamant perdu, comĂ©die-vaudeville en 2 actes, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1813 : Monsieur Croque-Mitaine, ou le Don Quichotte de Noisy-le-Sec, extravagance en 1 acte et en vaudevilles, avec Nicolas Brazier et Jean-Toussaint Merle, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1813 : Les Poètes en voyage, ou le Bouquet impromptu, vaudeville en 1 acte, avec RenĂ© de Chazet, crĂ©Ă© le au théâtre, Ă  Paris.
  • 1813 : Le DĂ®ner de Madelon, ou le Bourgeois du Marais, comĂ©die en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudeville, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1813 : Le Mari en vacances, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Alexandre Barrière, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1813 : Le Petit enfant prodigue, ou l'Enfant de trois pères, comĂ©die en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1814 : Le BĂ»cheron de Salerne, ou les Souhaits, comĂ©die-fĂ©erie en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1814 : Le Retour des lys, Ă -propos en 1 acte et en vaudevilles, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris, Ă  l'occasion de l'entrĂ©e de Louis XVIII dans la capitale.
  • 1814 : L’HĂ´tel garni, ou la Leçon singulière, comĂ©die en 1 acte et en vers, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre-Français, Ă  Paris.
  • 1814 : L’Île de l’espĂ©rance, ou le Songe rĂ©alisĂ©, pièce allĂ©gorique en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Nicolas Brazier et Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1814 : Les Deux Boxeurs, ou les Anglais de Falaise et de Nanterre, folie-parade en 1 acte, mĂŞlĂ©e de couplets, avec Francis et Antoine Jean-Baptiste Simonnin, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1814 : Le Premier en date, opĂ©ra-comique en 1 acte sur une musique de Charles Charles-Simon Catel, avec Hyacinthe Antoine Pessey, crĂ©Ă© le au théâtre de l'OpĂ©ra-Comique, Ă  Paris.
  • 1814 : Le Boulevard Saint-Martin, ou Nous y voilĂ  ! , prologue d'inauguration en 1 acte, mĂŞlĂ© de vaudevilles, avec Nicolas Brazier, crĂ©Ă© le au théâtre de la Porte Saint-Martin, Ă  Paris.
  • 1815 : Je fais mes farces, folie en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Nicolas Brazier et Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1815 : Les Deux Voisines, ou les PrĂŞtĂ©s rendus, comĂ©die en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au Théâtre-Français, Ă  Paris.
  • 1815 : Le Singe voleur, ou Jocrisse victime, imitation burlesque en 1 acte du mĂ©lodrame La Pie voleuse, ou La Servante de Palaiseau (de ThĂ©odore Baudouin d'Aubigny et Louis-Charles Caigniez), avec Jean-Toussaint Merle, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1815 : Le Bouquet du roi, ou le MarchĂ© aux fleurs, Ă -propos en 1 acte, mĂŞlĂ© de vaudevilles, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1815 : Le Vaudeville en vendanges, petit Ă -propos villageois en 1 acte, mĂŞlĂ© de couplets, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac et Charles-François-Jean-Baptiste Moreau de Commagny, crĂ©Ă© le .au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1815 : Une journĂ©e au camp, mĂ©lodrame comique en 2 actes, mĂŞlĂ© de vaudevilles, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre de la Porte Saint-Martin, Ă  Paris.
  • 1815 : Trois pour une, ou Les absents n’ont pas toujours tort, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Alexandre Barrière, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1816 : Les Visites bourgeoises, ou le Dehors et le Dedans, petite esquisse d'un tableau en 1 acte, mĂŞlĂ©e de couplets, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac et Charles-François-Jean-Baptiste Moreau de Commagny, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1816 : Chacun son tour, ou l'Écho de Paris, divertissement villageois en vaudevilles, avec RenĂ© de Chazet et Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre de l'OdĂ©on.
  • 1816 : Monsieur Sans-GĂŞne, ou l'Ami de collège, vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1816 : Le Dix-sept juin, ou l'Heureuse JournĂ©e, Ă -propos en 1 acte, mĂŞlĂ© de vaudevilles, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre de la Cour Ă  l'occasion du mariage de Son Altesse Royale, Monseigneur le duc de Berry.
  • 1817 : La Petite Coquette, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1817 : Le Prince en goguette, ou la Faute et la Leçon, comĂ©die en 2 actes et en prose, mĂŞlĂ©e de couplets, avec Jean-Nicolas Bouilly, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1817 : La Barrière Mont-Parnasse, Ă  propos-vaudeville en 1 acte, avec Charles-Gaspard Delestre-Poirson, Jean-Henri Dupin et Eugène Scribe, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1817 : Tous les Vaudevilles, ou Chacun chez soi, Ă -propos en 1 acte, avec Eugène Scribe et Charles-Gaspard Delestre-Poirson, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1817 : Huit jours de sagesse, ou le Naufrage au port, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1817 : Paris Ă  PĂ©kin, ou la Clochette de l’OpĂ©ra-Comique, parodie-fĂ©erie-folie en 1 acte et en vaudevilles, avec Armand d’Artois et Emmanuel ThĂ©aulon, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1818 : Les Deux Valentin, ou les Nouveaux MĂ©nechmes, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1818 : La Statue de Henri IV, ou la FĂŞte du Pont-Neuf, tableau grivois, en 1 acte, avec RenĂ© de Chazet, Michel-Joseph Gentil de Chavagnac et Marie Joseph Pain, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1818 : Le Magasin de chaperons, ou l'OpĂ©ra-comique vengĂ©, folie-fĂ©erie-parodie en 1 acte, avec Armand d’Artois, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1819 : Le Jeune Werther, ou les Grandes Passions, vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre de la Porte Saint-Martin, Ă  Paris.
  • 1819 : Le Château de mon oncle, ou le Mari par hasard, comĂ©die en 1 acte, mĂŞlĂ©e de vaudevilles, avec Armand d’Artois, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1819 : Monsieur Partout, ou le DĂ®ner manquĂ©, tableau-vaudeville en 1 acte, avec François-Pierre-Auguste LĂ©ger, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1819 : Les Petites DanaĂŻdes, ou Quatre-vingt-dix-neuf victimes, imitation burlesco-tragi-comi-diabolico-fĂ©erie de l'opĂ©ra des DanaĂŻdes, mĂŞlĂ©e de vaudevilles et danses, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre de la Porte Saint-Martin.
  • 1820 : Ă” l'impie !, ou Enfin la voilĂ  !, vaudeville en 1 acte (parodie d'Olympie, opĂ©ra en 3 actes de Spontini), avec Nicolas Gersin et Michel Dieulafoy, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1820 : Monsieur Purgon, ou Drogman, ou les Malades pour rire, folie-vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1820 : Un DĂ®ner Ă  Pantin, ou l'Amphitryon Ă  la diète, tableau-vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac et Nicolas Gersin, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1820 : L’Homme aux prĂ©cautions, comĂ©die en 5 actes et en vers, crĂ©Ă©e le au Théâtre-Français, Ă  Paris.
  • 1820 : Le Berceau du prince, ou les Dames de Bordeaux, Ă -propos-vaudeville en 1 acte, avec Nicolas Brazier, RenĂ© de Chazet, Jean-Baptiste Dubois et Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1821 : Les Étrennes du vaudeville, ou la Pièce impromptu, folie-parade en 1 acte, mĂŞlĂ©e de couplets, avec Francis baron d'Allarde et Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1821 : Le BaptĂŞme de village, ou le Parrain de circonstance, vaudeville en 1 acte, avec Fulgence de Bury, Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, Paul Ledoux et Ramond de la Croisette, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris, Ă  l'occasion du baptĂŞme de Son Altesse Royale Monseigneur le duc de Bordeaux.
  • 1821 : La Petite Provence, ou Un coin des Tuileries, vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1822 : Vadeboncoeur, ou le Retour au village, vaudeville en 1acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1822 : Un Coin du tableau, Ă -propos-vaudeville en 1 acte, avec Letournel et Auguste de Courchant, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris, Ă  l'occasion de la fĂŞte du Roi.
  • 182 2 : La Parisienne en Espagne, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, tirĂ©e d'un conte de Lafontaine, avec Saintine, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1823 : M. Oculi, ou la Cataracte, imitation burlesque de ValĂ©rie en 1 acte et en vaudeville, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1823 : La Lanterne sourde, ou les Deux Portefaix, vaudeville-fĂ©erie en 1 acte, avec Benjamin Antier et Philippe-Jacques de Laroche, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1823 : Le Juif, vaudeville-anecdotique en 2 actes, mĂŞlĂ© de couplets, avec Auguste Rousseau et Jean-Baptiste Mesnard, crĂ©Ă© le au théâtre de la Porte Saint-Martin, Ă  Paris.
  • 1823 : Les Couturières, ou le Cinquième au-dessus de l’entresol, vaudeville en 1 acte, avec Charles Nombret Saint-Laurent et Saintine, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1823 : Les Maris sans femmes, ou Une heure de paternitĂ©, vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1823 : La Route de Bordeaux, Ă -propos en 1 acte et en vers libre, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac et Nicolas Gersin, crĂ©Ă© le au Théâtre-Français, Ă  Paris, Ă  l'occasion du retour de Son Altesse Royale le duc d'AngoulĂŞme.
  • 1823 : Plus de PyrĂ©nĂ©es, Ă -propos-vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1824 : Le Pied de nez, ou FĂ©lime et Tangut, vaudeville-fĂ©erie en 6 actes, avec Pierre Villiers, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1824 : Pinson, père de famille, ou la Suite de Je fais mes farces, folie-vaudeville, avec Charles Nombret Saint-Laurent et Saintine, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1825 : M. Transi, ou le Troubadour du canal de l'Ourcq, vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1825 : La Porte secrète, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Jean-François Bayard, crĂ©Ă©e le au théâtre de Madame, Ă  Paris.
  • 1825 : Le Vieillard d’Ivry, ou 1590 et 1825, vaudeville en 2 tableaux, avec Ferdinand Laloue et Jean-Toussaint Merle, crĂ©Ă© le au théâtre de la Porte-Saint-Martin, Ă  Paris, Ă  l'occasion du sacre de Sa MajestĂ© Charles X.
  • 1825 : FenĂŞtres Ă  louer, ou les Deux PropriĂ©taires, vaudeville en 1 acte, avec Michel-Joseph Gentil de Chavagnac, crĂ©Ă© le au théâtre de Madame, Ă  Paris, Ă  l'occasion du sacre de Sa MajestĂ© Charles X.
  • 1825 : L’An 1835, ou la Saint-Charles au village, vaudeville en un acte crĂ©Ă© le au théâtre de Madame, Ă  Paris, Ă  l'occasion de la fĂŞte de Sa MajestĂ© Charles X.
  • 1825 : Le Marchand de parapluies, ou la Noce Ă  la guinguette, comĂ©die grivoise en 1 acte, mĂŞlĂ©e de couplets, avec W. Lafontaine et Louis-Émile Vanderburch, crĂ©Ă©e le au théâtre des VariĂ©tĂ©s, Ă  Paris.
  • 1825 : L’Intendant et le Garde-chasse, vaudeville sur une musique de FĂ©lix Blangini, avec ThĂ©odore Anne, crĂ©Ă© le au Palais des Tuileries, Ă  Paris.
  • 1826 : Le Prologue impromptu, ou les Acteurs en retard, Ă -propos en 1 acte et en vaudevilles, avec EspĂ©rance Hippolyte Lassagne et Pierre-Joseph Rousseau, crĂ©Ă© le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1826 : Le Voisin, ou Faisons nos affaires nous-mĂŞmes, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Nicolas Gersin et Gabriel de Lurieu, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1827 : Les Deux HĂ©ritages, ou Encore un Normand !, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Antoine Jean-Baptiste Simonnin, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1827 : L’Amour et la Peur, comĂ©die-vaudeville en 1 acte, avec Auguste Rousseau, crĂ©Ă©e le au théâtre du Vaudeville, Ă  Paris.
  • 1827 : Les Barricades de la rue Saint-Denis, ou En v’lĂ  des charges !, pot-pourri-bulletin des brillants combats livrĂ©s les 19 et par les bons gendarmes, Ă©ditĂ© en 1827.
  • 1831 : Feu monsieur Mathieu, ou le Singulier Homme, vaudeville en 1 acte, avec Nicolas Brazier, crĂ©Ă© le au théâtre du Palais-Royal, Ă  Paris.

Notes et références

  1. Registre paroissial de Fréjus (1769-1775), 7 E 65/5, Archives départementales du Var, 305 p. (lire en ligne), p. 180
  2. Liste des membres de la goguette Les Déjeuners des Garçons de bonne humeur (1802).
  3. Calcul rénal ou lithotomie, terme évoquant la taille des pierres précieuses. Opération dont le but était de fragmenter chirurgicalement un calcul logé dans le système urinaire. Au XVe siècle av. J.-C., Hippocrate interdisait à ses élèves de la pratiquer tant cette opération générait des décès et des séquelles. Jusqu’au XIXe siècle, elle restera très risquée, du fait de l’absence d’asepsie et d'anesthésie, mais les souffrances induites par les calculs urinaires et ses complications étaient telles que les patients s’y soumettaient malgré tout : Napoléon III est par exemple mort d'un choc septique après une lithotomie.
  4. L'Anniversaire, épître à Desaugiers, par Brazier. Neuf août 1828.
  5. Paul Bauer, Deux siècles d'histoire au Père Lachaise, Mémoire et Documents, , 867 p. (ISBN 978-2-914611-48-0), p. 277-278
  6. Chanson Ă©galement connue sous le titre de : Quand on est mort, c'est pour longtemps
  7. Appelée couramment : Monsieur et Madame Denis
  8. « Musique buissonnière », Spirale, vol. 23, no 3,‎ , p. 113 (ISSN 1278-4699 et 1951-6274, DOI 10.3917/spi.023.0113, lire en ligne, consulté le )
  9. Hommage du Caveau moderne au roi de Rome, extrait du procès-verbal de la 64e séance du Caveau moderne, tenue le 20 mars 1811.
  10. Le Chansonnier des Bourbons : dédié à SAS Madame la duchesse douairière d'Orléans ; rédigé par MM. J. A. Jacquelin et B. de Rougemont. 1re Année.
  11. DĂ©saugiers, Ronde.
  12. Le 3 mai et le 8 juillet sont les dates anniversaires du retour du roi Louis XVIII à Paris : le 3 mai 1814 et, après les Cent jours, le 8 juillet 1815.
  13. Voir la signature de DĂ©saugiers et la signature de Gentil.

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