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Lyttelton

Lyttelton ou Te Whaka Raupo en langue maori est une ville portuaire, situĂ©e sur la berge nord de la baie de Lyttelton Harbour, Ă  l’extrĂ©mitĂ© nord-ouest de la pĂ©ninsule de Banks et tout prĂšs de la ville de Christchurch, sur la cĂŽte est de l’Île du Sud de la Nouvelle-ZĂ©lande.

Lyttelton
Lyttelton
Port intérieure de Lyttelton et municipalité de Lyttelton vus en février 2010
Administration
Pays Drapeau de la Nouvelle-ZĂ©lande Nouvelle-ZĂ©lande
Île Île du Sud
RĂ©gion Canterbury
Autorité territoriale Christchurch
DĂ©mographie
Population 2 859 hab. (2013)
DensitĂ© 198 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 36â€Č sud, 172° 43â€Č est
Superficie 1 443,62 ha = 14,436 2 km2
Localisation
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Lyttelton
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Lyttelton

    Avec Christchurch, Lyttelton est un des ports qui servit beaucoup aux expĂ©ditions britanniques de l'Âge hĂ©roĂŻque de l'exploration en Antarctique, en particulier pour l'expĂ©dition Nimrod en 1908, grĂące Ă  sa proximitĂ© avec l'Ăźle de Ross.

    Classement

    Du fait que cet Ă©tablissement Ă©tait un point d’accostage important pour les marins en rapport avec l’implantation de la citĂ© de Christchurch, Lyttelton a historiquement Ă©tĂ© regardĂ© par les colons comme la "Porte d’entrĂ©e de Canterbury (“Gateway to Canterbury") [1].

    Le port reste une destination rĂ©guliĂšre pour les bateaux de croisiĂšre et le terminal principal du transport des denrĂ©es alimentaires de l'Île du Sud, assurant le transbordement de 34 % des exportations et 61 % des importations en valeurs de la Nouvelle-ZĂ©lande[2].

    En 2009, Lyttelton fut dĂ©corĂ© du statut de Category I Historic Area, attribuĂ© par la Historic Places Trust (en) (NZHPT) de Nouvelle-ZĂ©lande, dĂ©fini comme « une zone spĂ©ciale de valeur historique ou culturelle constituant l’hĂ©ritage ou d’une valeur significative »[3].

    Situation

    Lyttelton est la ville la plus large de la zone du mouillage de Lyttelton Harbour, une crique sâ€˜Ă©tendant sur le cĂŽtĂ© nord-ouest de la PĂ©ninsule de Banks sur 18 km Ă  partir de l’extrĂ©mitĂ© sud de la baie de Pegasus.

    Le port ou zone de mouillage de Lyttelton vus depuis le mont Ada dans la chaĂźne de Port Hills (septembre 2020).

    La ville est située sur les pentes inférieures de la chaßne de Port Hills, qui forme le cÎté nord du mouillage et sépare effectivement la ville de Lyttelton de la cité de Christchurch[4] - [5].

    Les falaises abruptes constituent les cĂŽtĂ©s raides d’un cratĂšre, en forme d' amphithĂ©atre naturel, qui est une limite du dĂ©veloppement urbain[6].

    Un tunnel passant Ă  travers la chaĂźne de Port Hills, fournit ainsi une route directe d’accĂšs Ă  la citĂ© de Christchurch, situĂ©e Ă  12 km au nord-ouest. La ville de Sumner, est Ă  quelque km au nord-est, et est accessible via le col d'« Evans Pass ». Une autre installation humaine est celle de 'Governors Bay' qui siĂšge Ă  10 km Ă  l’ouest et finalement un service de ferry la relie Ă  la banlieue de Diamond Harbour sur la berge sud du mouillage.

    Le site actuellement inhabité de ßle de Quail (en) siÚge dans la partie supérieure du mouillage au sud-ouest de Lyttelton.

    Population

    Selon le recensement de recensement de 2013 en Nouvelle-ZĂ©lande (en), la population des rĂ©sidents habituels de Lyttelton, comprenant les communautĂ©s voisines de 'Rapaki', 'Cass Bay' et 'Corsair Bay', Ă©tait de 2 859 habitants [7].


    Histoire

    Carte noir de Lyttelton datant de septembre 1849.

    Ce lieu fut le siĂšge d’un abri pour le peuple Māori sur une durĂ©e d’environ 700 annĂ©es,avant que le mouillage de 'Lyttelton Harbour' fut dĂ©couvert par les voyageurs venant d’Europe en particulier, lors de la visite de James Cook du durant le premier voyage du Endeavour dans l'Île du Sud de la Nouvelle-ZĂ©lande.

    Souhaitant Ă©tablir une colonie de l’Église d’Angleterre en Nouvelle-ZĂ©lande, la Canterbury Association (en) fut fondĂ©e en en Angleterre.

    Comme Lyttelton Ă©tait un mouillage, et offrait une large quantitĂ© de terres plates, adaptĂ©e pour l’installation de fermes et le lotissement, le site fut considĂ©rĂ© comme idĂ©al pour y former une colonie.

    Joseph Thomas (en) dĂ©barquant comme agent de la Canterbury Association et avec son gĂ©omĂštre-expert en chef, furent chargĂ©s de prĂ©parer l’installation des colons. Il plaça initialement la ville portuaire au niveau de Rāpaki ou Te Rāpaki-o-Te Rakiwhakaputa et la capitale de l’installation Ă  Christchurch, avec la tĂȘte de pont, qui est Ă  prĂ©sent Teddington[8] - [9]. Mais personne ne trouva cette idĂ©e initiale rĂ©alisable, et surtout Rapaki ne fut pas disponible, car il avait Ă©tĂ© promis aux Maori comme Ă©tant une rĂ©serve, et nĂ©cessitait une demande au niveau de la tĂȘte du mouillage pour s’y Ă©tablir. Finalement le capital Ă  verser pour s’y installer fut estimĂ© trop important [10].

    Les premiers travaux d’arpentage dans le site de Lyttelton furent rĂ©alisĂ©s par Thomas et Charles Torlesse (en), mais la plus grande partie, jusqu'Ă  son achĂšvement en furent rĂ©alisĂ©s par Edward Jollie (en).

    Dans son rapport, Jollie expliquait comment les rues devaient ĂȘtre nommĂ©es [11] - [12].

    « Les noms des rues des trois que j'ai expertisĂ©es, furent pris dans le ' Bishoprics' et le chemin qui j’ai entrepris fut pour faire cela, dĂšs que j'eus terminĂ© la carte, je la pris et la montrait Ă  Thomas, qui mettant ses lunettes cerclĂ©es d’or et ouvrant son 
 pour lire les noms des Ă©vĂȘques et pour entendre s’ils sonnaient bien. Si j’étais d’accord avec lui, ce qui fut, je mis le nom sur une des rues, qui devait ĂȘtre baptisĂ©e . Lyttelton Ă©tant la premiĂšre ville Ă  ĂȘtre fondĂ©e, elle prit les meilleurs noms pour ses rues, la ville de Sumner ayant Ă©tĂ© fondĂ©e ensuite, prit les meilleurs de la suite et Christchurch Ă©tant la plus jeune des trois villes, du se contenter du reste des noms avec principalement des Ă©vĂȘchĂ©s d’Irlande et des colonies pour dĂ©nommer les rues. Ceci compte pour le fait que quiconque ne connaissant pas les circonstances, pourrait considĂ©rer comme Ă©trange: que de nombreux des meilleurs Ă©vĂȘchĂ©s d’Angleterre ne soient pas reprĂ©sentĂ©s dans « la ville de Christchurch » alors que les Ă©vĂȘchĂ©s d’Irlande et des Colonies le soient »

    En , Lyttelton fut officiellement proclamé port.

    'Pilgrim's Rock' signale l’emplacement oĂč les premiers colons europĂ©ens mirent pied Ă  terre dans le mouillage. La localisation actuelle des rochers est bien en dedans par rapport au fond de mer, d’autant que le cĂŽtĂ© des docks de Lyttelton est mis en valeur comme une partie des eaux du mouillage dans les annĂ©es rĂ©centes .

    Toponymie

    Lyttelton Ă©tait autrefois appelĂ© « Port Cooper » (en hommage Ă  Daniel Cooper (en)) et Port Victoria. Ce fut le premier lieu de colonisation du district dĂšs (1850). Le nom de « Lyttelton » fut donnĂ© en l’honneur de George William Lyttelton membre de la Canterbury Association, aristocrate et gouverneur colonial de la Caroline du Sud, qui a conduit la colonisation de ce secteur.

    MĂ©dia

    Le Lyttelton Times (en) Ă©tait l’un des principaux journaux de la rĂ©gion de Canterbury pendant plus de 80 ans. Il fut publiĂ© de 1851 et jusqu’en 1929, Ă  l’époque oĂč il devint le Christchurch Times, jusqu’à ce que sa publication cesse en 1935.

    Le , la premiÚre transmission par télégraphe assurée en Nouvelle-Zélande fut réalisée à partir du Bureau de poste du Lyttelton Post Office[13] - [14].

    En 1870, le feu détruisit tous les bùtiments en bois de "Norwich Quay", sur la rue principale de Lyttelton [13].

    La Lyttelton Timeball Station (en) fut Ă©rigĂ©e en 1876 et commença Ă  signaler le Temps moyen de Greenwich ou temps GMT aux bateaux du mouillage Ă  partir de cette annĂ©e-lĂ [15]. Ce fut l’une des cinq Boule horaire ou ‘timeball stations’ fonctionnant dans le monde et qui resta en service jusqu’à ce qu’elle soit dĂ©truite par le SĂ©isme de juin 2011 de Christchurch (en) en . Le bĂątiment en forme de chĂąteau Ă©tait situĂ© dans la partie haute sur une crĂȘte au-dessus du port avec une vue Ă©tendue sur l’ensemble du mouillage.

    Le , l'ExpĂ©dition Nimrod, menĂ©e par Ernest Shackleton pour explorer l’Antarctique partit du mouillage de Lyttelton .

    Gouvernance du port

    Le Lyttelton Harbour Board fut crĂ©Ă© en 1877 pour ĂȘtre chargĂ© de la gestion du port. Il fut dissout en 1989 aprĂšs l’adoption du Port Companies Act, de 1988, qui le força Ă  se scinder en deux organisations sĂ©parĂ©es, l’une commerciale : (la Lyttelton Port Company, actuellement propriĂ©tĂ© de Christchurch City Holdings (en), le bras commercial du Conseil de la City) et l’autre non-commerciale. En 1996, le Lyttelton Port Company fut inscrite au New Zealand Stock Exchange.

    SĂ©ismes de 2010–2011

    Le Lyttelton Timeball Station (en) commençà à signaler le heure de Greenwich aux bateaux du port en 1876.

    Le séisme de 2010 à Canterbury endommagea certains des bùtiments historiques de Lyttelton, comprenant en particulier la station du Timeball de Lyttelton (en) [16].

    Il y eut certains dommages aux infra-structures de la ville, mais les installations du port et le tunnel furent rapidement opĂ©rationnels. L’ensemble des dommages dus aux secousses fut moins significatif que ceux de la ville de Christchurch elle-mĂȘme du fait de l'attĂ©nuation liĂ©e Ă  la soliditĂ© de la roche sur laquelle repose la ville et de la distance par rapport Ă  l’épicentre du sĂ©isme.

    Le , les secousses de magnitude 6.3 du sĂ©isme de 2011 en Nouvelle-ZĂ©lande causĂšrent des dommages bien plus Ă©tendus dans Lyttelton que les secousses prĂ©cĂ©dentes du fait de la proximitĂ© de Lyttelton, de la faible profondeur de l’épicentre (Ă  seulement km de profondeur)[17] - [18]. Certains murs de la Timeball Station (en) s’effondrĂšrent et il y eut des dommages Ă©tendus pour les propriĂ©tĂ©s rĂ©sidentielles et commerciales conduisant Ă  la dĂ©molition d'un grand nombre de bĂątiments de valeurs pour le patrimoine tels que le phare du Harbour Light Theatre et l'"Empire Hote"l. De nombreux autres structures durent bĂ©nĂ©ficier de renforcement de la maçonnerie au niveau des bĂątiments, qui Ă©taient sĂ©vĂšrement endommagĂ©s [19].

    À la suite du sĂ©isme de fĂ©vrier, il fut suggĂ©rĂ© que la "Timeball Station" soit dĂ©mantelĂ©e pour des raisons de sĂ©curitĂ© [20] Bruce Chapman, chef exĂ©cutif du New Zealand Historic Places Trust (NZHPT) dit qu’il y avait des possibilitĂ©s qu’elle puisse ĂȘtre reconstruite. « Si nous pouvons trouver un moyen pour dĂ©manteler la Timeball Station qui nous permette de conserver la plupart des matĂ©riaux constitutifs du bĂątiment, nous pourrons le faire »[20].

    Toutefois, le , une secousse de contrecoup de 6,3 ML fit tomber au sol la tour et les restes des murs alors que les ouvriers étaient en train de préparer son démantÚlement [21].

    La plupart de l’hĂ©ritage architectural de Lyttelton fut ainsi perdu Ă  l'issue des tremblements de terre, car finalement les dommages ont semblĂ© trop Ă©tendus pour permettre une reconstruction.

    Vers le mois de , six bĂątiments de 'London Street' dans la ville de 'Lyttelton' avaient Ă©tĂ© dĂ©molis ainsi que quatre autres bĂątiments sur 'Norwich Quay'[22]. Les plus anciennes Ă©glises de la ville s’étaient effondrĂ©es, comprenant la plus ancienne Ă©glise en pierre de la rĂ©gion de Canterbury, la Holy Trinity[23].

    Gouvernance

    Le , il fut annoncé que 60 % des contribuables du District de la Péninsule de Banks (en) avait voté pour amalgamation avec le conseil de la cité de Christchurch (en) voisin, ce qui prit effet le . Il en résulta la création du nouveau Christchurch City Council établit sur les limites du nouveau ward, correspondant à la Péninsule de Banks, et la création de deux Boards de Communauté, le Lyttelton/Mt Herbert Community Board couvrant Lyttelton, Rapaki, Governors Bay, Diamond Harbour et Port Levy et le Akaroa/Wairewa Community Board, couvrant Akaroa, Little River, Birdlings Flat, et les villages de Eastern et Southern Bays de la péninsule Banks. Le Akaroa/Wairewa Community Board fut ultérieurement divisé en deux subdivisions, nommées la subdivision dAkaroa, et la subdivision de Wairewa.

    Transport

    La ville de Lytelton est reliée à Christchurch par les tunnels ferroviaires et routiers à travers la chaßne de Port Hills.

    Long de 1,9 km, le tunnel routier de Lyttelton (ouvert en ) est le tunnel routier le plus long du pays (en) et le tunnel du chemin de fer (en) de la section de la branche de Lyttelton (en) sur la ligne principale du sud (en), fut officiellement ouvert le et est donc le plus ancien du pays [24].

    Port de Lyttelton

    Lyttelton a longtemps Ă©tĂ© le principal port de la rĂ©gion de Canterbury / Christchurch, ayant Ă©tĂ© ouvert dĂšs 1877 par le Lyttelton Harbour Board, devenant plus tard le Lyttelton Port Company avec l’introduction du Port Companies Act en 1988[25].

    Entre 1958 et 1967, le port vécu une telle prospérité que la ville de Kaiapoi, sur la cÎte nord de Christchurch rouvrit briÚvement les installations de son port, qui avaient été fermées pendant une décennie, pour permettre aux plus petits bateaux de court-circuiter les quais de Lyttelton, qui étaient congestionnés[26].

    En 1970, le port fut choisi comme Ă©tant l’un des principaux ports de l'Ăźle du Sud pour ĂȘtre draguĂ© et mis Ă  niveau pour la Conteneurisation, avec des installations pour traiter les contĂ©naires, qui ouvrirent en 1977, pour le centenaire de son ouverture initiale[27].

    Des quantitĂ©s substantielles de charbon de l’Île du Sud ont Ă©tĂ© transportĂ©es par bateau Ă  partir de ce port au cours des cent derniĂšres annĂ©es. Les installations du port ont aussi fourni du gaz liquĂ©fiĂ© et du pĂ©trole pour les cinquante derniĂšres annĂ©es. Pour ce qui concerne l’essence, le port pourrait ĂȘtre vu (si on se base sur les quantitĂ©s de matĂ©riaux transportĂ©es en entrĂ©e et en sortie) comme le port primaire pour le transport par bateau de l’énergie pour ce qui concerne l'Île du Sud.

    Dans la culture populaire

    Lyttelton fut la localisation de la plupart des scĂšnes d'extĂ©rieur du film d’horreur de Peter Jackson de 1996 nommĂ© The Frighteners [28] - [29].

    Notes et références

    1. (en) D. G. Dyne, « The Railways Magazine: Lyttelton—The Gateway to Canterbury: An Historic Harbour », New Zealand Government Railways Department, Wellington, (consultĂ© le ).
    2. (en) « BPDP Ch.27 'Lyttelton Port Zone », sur resources.ccc.govt.nz (version du 5 mars 2016 sur Internet Archive).
    3. (en) Malcolm Duff, « Lyttelton Township an Historic Area », sur New Zealand Historic Places Trust, (version du 13 mai 2010 sur Internet Archive).
    4. (en) S.J. Hampton et J.W. Cole, « Lyttelton Volcano, Banks Peninsula, New Zealand: Primary volcanic landforms and eruptive centre identification », Geomorphology, vol. 104, nos 3-4,‎ , p. 284–298 (DOI 10.1016/j.geomorph.2008.09.005, Bibcode 2009Geomo.104..284H).
    5. (en) A. H. McLintock, « Lyttelton », Te Ara Encyclopedia of New Zealand, (consulté le ).
    6. (en) Liza Rossie, « Historic Lyttelton Buildings », Christchurch City Council
    7. =14758&tabname=#14876 Statistics New Zealand.
    8. Hight 1957, p. 120.
    9. « Captain Thomas and the streets of Christchurch », Christchurch, de la citĂ© de Christchurch (en) (consultĂ© le ).
    10. Hight 1957, p. 122.
    11. Hight 1957, p. 123.
    12. « 6. Christchurch: 1849–1851 », Canterbury Heritage (consultĂ© le ).
    13. (en) « Digital Photograph: Earthquake Damage to Old Post Office Building on Norwich Quay, Lyttelton », sur collection.canterburymuseum.com
    14. (en) « Chapter 1 - The Tyranny of Distance », sur nethistory.co.nz
    15. (en) « Lyttelton Timeball », sur heritage.org.nz
    16. (en) Martin van Beynen, « Quake devastates Christchurchs heritage », (consulté le ).
    17. (en) « Huge quake strikes Canterbury », journal:The New Zealand Herald, .
    18. (en) « Scores of people killed in Christchurch quake », Radio New Zealand, (consulté le )
    19. (en) « Christchurch quake: Fears toll will rise sharply as night falls », journal:The New Zealand Herald, (consulté le )
    20. (en) Gates, Charlie, « Timeball Station to be demolished », stuff.co.nz (consulté le )
    21. (en) « Timeball Station collapsed », stuff.co.nz, (consulté le )
    22. (en) « Life ebbing for heritage buildings », stuff.co.nz, (consulté le )
    23. (en) « Lyttelton hit hard by aftershocks », tvnz.co.nz, (consulté le )
    24. « The Lyttelton Tunnel », Christchurch City Council (consulté le ).
    25. « The History of Lyttelton Port of Christchurch », Lyttelton Port of Christchurch (consulté le ).
    26. « Ports and harbours - The Victorian era to 1960 » (consulté le ).
    27. « Ports and harbours - The Modern Era » (consulté le ).
    28. Brodie, Ian, « Cemetery in Lyttelton used by Peter Jackson in "The Frighteners" » (consulté le ).
    29. « History of Lyttelton Harbour », Lyttelton Information Centre (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liste des villes de Nouvelle-ZĂ©lande

    Bibliographie

    • (en) James Hight et C. R. Straubel, A History of Canterbury, vol. Volume I : to 1854, Christchurch, Whitcombe and Tombs Ltd,

    Liens externes

    Ressource relative à la géographie :
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