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Langue (anatomie humaine)

La langue est un organe situé dans la cavité buccale, qui sert à la mastication, à la phonation et à la déglutition. C'est aussi l'organe du goût. C'est un organe très vascularisé. Les pressions développées par la langue sur les dents sont capables de les déplacer. La langue est le principal facteur de récidives en orthodontie. Pour cette raison, l'orthodontie fonctionnelle lui accorde une place centrale. Contrairement à la croyance populaire, elle n'a pas de zones spécifiques spécialisée pour détecter les différents goûts.

Langue
Langue humaine
DĂ©tails
Système
Vascularisation
Drainage veineux
Veine linguale
Innervation
Antérieur 2/3: nerf lingual et corde du tympan
Embryologie
Identifiants
Nom latin
lingua
MeSH
A03.556.500.885
Nom MeSH
Tongue
TA98
A05.1.04.001
TA2
2820
FMA
54640
Référence anatomique Gray
Sujet
242
Page
1125

Anatomie

Muscles extrinsèques de la langue. Vue de droite.

La longueur moyenne de la langue est de 10 centimètres[1]. Elle est divisĂ©e en deux sections, la racine de la langue et le corps de la langue qui est, lui aussi, divisĂ© en deux parties : le tiers postĂ©rieur ou segment pharyngien et les deux-tiers antĂ©rieurs ou segment buccal. Elle prend naissance au niveau de l'os hyoĂŻde. Son squelette est ostĂ©o-fibreux : il comprend l'os hyoĂŻde et deux membranes fibreuses, le septum lingual (qui sĂ©pare la langue en deux moitiĂ©s) et la membrane hyo-glossienne.

Plusieurs muscles concourent à la formation de la langue. Ces muscles prennent origine sur l'os hyoïde, la mandibule, l'apophyse styloïde du temporal et le palais. Ils sont dix-sept en tout, et à l'exception d'un seul (le muscle transverse), ils sont présents en paires. Il y a donc huit muscles pairs et un muscle impair.

Muscles extrinsèques

Par définition, les muscles extrinsèques de la langue prennent naissance à l'extérieur de celle-ci et s'insèrent sur elle. Les quatre paires de muscles extrinsèques servent à sa protrusion, sa rétraction, sa dépression ou son élévation.

MuscleFixation externeNerfFonction
Génioglossemandibulehypoglosseprotrusion et dépression de sa partie centrale.
Hyoglosseos hyoïdehypoglossedépression de la langue.
chondro-glosse hypoglosse Complémentaire du Hyoglosse il abaisse et rétracte la langue.
Styloglosseapophyse styloïdehypoglosseélévation et rétraction de la langue.
Palatoglosseaponévrose palatinebranche pharyngée du nerf vaguedépression du palais mou, déplacement des piliers antérieurs vers la ligne médiane et élévation de l'arrière de la langue.

Muscles intrinsèques[2]

Il existe un muscle impair et quatre paires de faisceaux de muscles intrinsèques de la langue[3] :

  • le muscle longitudinal supĂ©rieur (impair) ; Ă©lĂ©vateur et rĂ©tracteur de l'apex de la langue ;
  • les muscles longitudinaux infĂ©rieurs ;
  • les muscles transverses ;
  • les muscles amygdaloglosses ;
  • les muscles pharyngoglosses.

Vaisseaux

La langue est vascularisée par l'artère linguale, une branche de l'artère carotide externe. L'artère linguale se divise en trois branches majeures : l'artère dorsale de la langue, l'artère sublinguale et l'artère linguale profonde.

La veine linguale, ou veine ranine, assure le drainage du territoire de la langue dans le tronc veineux thyro-linguo-facial qui se jette ensuite dans la veine jugulaire interne.

Face antérieure

La partie postérieure (segment pharyngien) de la face antérieure de la langue comprend l'épiglotte, les amygdales linguales, les piliers antérieurs et postérieurs entre lesquels logent l'amygdale palatine et le foramen cæcum. La portion pharyngienne de la langue est peu visible normalement lorsque la bouche est ouverte. Cette partie va jusqu'au sillon terminal de la langue, là où commence la langue comme elle est définie par la majorité des gens, soit la section buccale de la langue.

La section buccale part de l'apex de la langue jusqu'au sillon terminal et est parcourue par un sillon médian. C'est sur cette partie que se trouvent les papilles.

Face inférieure

Vascularisation de la face inférieure de la langue

Sur la face inférieure de la langue, on peut apercevoir le frein lingual qui est une mince membrane qui relie la face inférieure de la langue au plancher de la bouche. Les veines ranines sont également bien visibles dû au fait que la peau (muqueuse) est mince et transparente dans cette région.

Une autre structure visible est la caroncule linguale, située dans le plancher de la bouche, au pied du frein lingual. La caroncule sublinguale est percée de l'ostium ombilical qui est en fait l'orifice du canal de Wharton. Ce dernier est le canal excréteur de la glande salivaire submandibulaire. De chaque côté de la caroncule, on peut aussi voir les orifices des canaux salivaires des glandes sublinguales.

Papilles gustatives

Le V lingual.

Un goût est une composition de saveurs, perçues par la langue, et d'odeurs, perçues par le nez, ce qui se traduit par la notion de flaveur.

Chez l'humain, les papilles gustatives permettent de reconnaître les différentes saveurs : sucré, salé, amer, l'umami et l'acide. Des papilles gustatives recouvrent la langue et sont responsables de la perception des goûts. Les papilles se classent en quatre sortes :

  • les papilles circumvallĂ©es (ou caliciformes), au nombre de 12, formant le V lingual qui dĂ©limite les 2/3 antĂ©rieur du 1/3 postĂ©rieur de la langue ;
  • les papilles fongiformes, dissĂ©minĂ©es sur la pointe et les 2/3 antĂ©rieur de la langue ;
  • les papilles filiformes, celles qui sont prĂ©sentes en plus grand nombre et donnent Ă  la langue sa texture particulière et situĂ©es de part et d'autre du sillon mĂ©dian ;
  • les papilles foliĂ©es (ou coralliformes), situĂ©es sur les bords latĂ©raux et postĂ©rieurs de la langue.

Il existe un demi-million de rĂ©cepteurs gustatifs regroupĂ©s en 7 Ă  8 000 formations compactes appelĂ©es « bourgeons du goĂ»t » ou « bourgeons gustatifs ». 75 % de ces bourgeons sont logĂ©s dans les papilles gustatives mais 25 % sont rĂ©partis dans d'autres rĂ©gions buccales, comme sur la muqueuse des joues, des gencives, du palais et de la luette[4]. Les bourgeons gustatifs sont des structures ovoĂŻdes composĂ©s de 50 Ă  150 cellules Ă©pithĂ©liales appelĂ©es Ă©pithĂ©liocytes. Ils sont continuellement renouvelĂ©s (environ tous les dix jours)[5] par les Ă©pithĂ©liocytes de base (cellules souches), la sensation gustative Ă©tant assurĂ©e par quelques dizaines de cellules sensorielles (Ă©pithĂ©liocytes gustatifs spĂ©cialisĂ©s pour chacun des cinq sens[6]) munis de cils (sur lesquels sont situĂ©s les rĂ©cepteurs gustatifs) reliĂ©s Ă  des nerfs sensitifs[4].

Bourgeons gustatifs.

Il a longtemps été cru à tort que différentes régions de la langue servaient à percevoir différents types de saveurs (amer, acide, sucré, salé, umami détecté dans cinq zones spécialisées, cf carte de la langue), mais des recherches de 2006 invalident cette idée : toutes les parties de la langue perçoivent les 5 saveurs[7].

Seules les 5 saveurs précitées (sucré, salé, acide, amer, umami) sont susceptibles d'être perçues par les bourgeons du goût. Le reste de ce qu'on appelle goût (goût de réglisse, d'anis, de riz, etc.) est une odeur, qui se perçoit par l'odorat.

Innervation

La langue possède une double innervation :

  • motrice : la langue possède des muscles intrinsèques (forme de la langue) et extrinsèques (position de la langue) ;
  • sensorielle : la surface de la langue comporte de nombreux rĂ©cepteurs permettant de transduire plusieurs modalitĂ©s parmi lesquelles : mĂ©canoception, nociception, thermoception (au chaud et au froid), chĂ©moception (les composantes de la gustation).

Nerfs moteurs

Tous les muscles de la langue sont innervés par le nerf hypoglosse (XII) sauf le palato-glosse et le stylo-glosse, innervés par la partie vagale du plexus pharyngien (X) ou par le nerf lingual du VII (ou par le IX si l'anse de Haller est présente).

Nerfs sensitifs

  • Le nerf laryngĂ© supĂ©rieur (provient du nerf vague, X, anciennement "nerf pneumogastrique") innerve l'extrĂ©mitĂ© postĂ©rieure de la langue et l'Ă©piglotte.
  • La base de la langue (tiers postĂ©rieur) est innervĂ©e par le nerf glosso-pharyngien (nerf IX) via le noyau solitaire du noyau de la sensitivite branchiale de la lame alaire pour ce qui est de l'origine rĂ©elle de nerfs crâniens.
  • Le nerf lingual (provient du nerf mandibulaire V3) innerve les 2/3 antĂ©rieurs de la langue.

Nerfs sensoriels (goût)

RĂ´les

  • Mastication : rassemblement du bol alimentaire pour le soumettre aux faces triturantes des dents
  • DĂ©glutition salivaire, dĂ©glutition prandiale (aliments)
  • Papilles gustatives
  • Phonation et expression (mimique, nerf VII) : L'enregistrement numĂ©rique Ă  15 images par seconde (Canon PowerShot G3, 2003) ou 30 images par seconde (Canon PowerShot IS, 2006) de la phonation permet d'apporter des Ă©lĂ©ments objectifs au diagnostic de la malocclusion dentaire et de la dysfonction manducatrice (SADAM, DAM, STM, etc.)

Sources principales des dysfonctions des mâchoires, les deux éléments-clés à repérer sont :

  1. les interpositions linguales entre les deux arcades dentaires (déglutition atypique), facteurs de béances occlusales et d'encombrements dentaires, et
  2. la dimension verticale de l'espace libre depuis la position présumée de repos physiologique de tous les muscles posturaux des mâchoires.

Documentation radiographique : Analyse cinéradiographique de l'articulation des consonnes en chinois de Pékin, par Henri Bach et Bernard Vallancien, Service du film de recherche scientifique, CERIMES (France), 1976[8].

  • Fig.1. Contribution de l'enregistrement vidĂ©onumĂ©rique de la phonation dans l'Ă©tude d'une dysfonction des mâchoires (DAM) - Canon PowerShot S5 IS (2006).
    Fig.1. Contribution de l'enregistrement vidéonumérique de la phonation dans l'étude d'une dysfonction des mâchoires (DAM) - Canon PowerShot S5 IS (2006).
  • Fig.2. PhonĂ©tique, Espace libre et interpositions linguales dans l'Ă©tude d'une dysfonction des mâchoires (DAM).
    Fig.2. Phonétique, Espace libre et interpositions linguales dans l'étude d'une dysfonction des mâchoires (DAM).
  • Fig.3. DĂ©glutition salivaire dysfonctionnelle chez l'adulte et contributions atypiques du nerf facial (n.VII) dans l'Ă©tude d'une dysfonction des mâchoires (DAM).
    Fig.3. Déglutition salivaire dysfonctionnelle chez l'adulte et contributions atypiques du nerf facial (n.VII) dans l'étude d'une dysfonction des mâchoires (DAM).
  • Fig.4. DĂ©glutition salivaire dysfonctionnelle chez l'adulte et contributions atypiques des muscles peauciers (n.VII) dans l'Ă©tude d'une dysfonction des mâchoires (DAM). Suivre les annotations de la Fig.3.
    Fig.4. Déglutition salivaire dysfonctionnelle chez l'adulte et contributions atypiques des muscles peauciers (n.VII) dans l'étude d'une dysfonction des mâchoires (DAM). Suivre les annotations de la Fig.3.
  • Fig.5. DĂ©glutition salivaire infantile, atypique (adulte) et dysfonctionnelle. HypodĂ©veloppement du massif facial. Respirateur buccal.
    Fig.5. Déglutition salivaire infantile, atypique (adulte) et dysfonctionnelle. Hypodéveloppement du massif facial. Respirateur buccal.
  • Fig.6. DĂ©glutition salivaire infantile, atypique (adulte) et dysfonctionnelle. L'Ă©talement horizontal de la langue ne stimule pas le dĂ©veloppement du palais. Chez l'adulte, il en rĂ©sulte un palais Ă©troit et profond, associĂ© Ă  un encombrement dentaire (« contenu »).
    Fig.6. Déglutition salivaire infantile, atypique (adulte) et dysfonctionnelle. L'étalement horizontal de la langue ne stimule pas le développement du palais. Chez l'adulte, il en résulte un palais étroit et profond, associé à un encombrement dentaire (« contenu »).
  • Fig.7. DĂ©glutition salivaire physiologique, dite « en dents serrĂ©es ». Pressions linguales conduisant Ă  la croissance et dĂ©veloppement des os du massif facial.
    Fig.7. Déglutition salivaire physiologique, dite « en dents serrées ». Pressions linguales conduisant à la croissance et développement des os du massif facial.
  • Fig.8. DĂ©glutition salivaire physiologique, dite « en dents serrĂ©es ». DĂ©veloppement mature du massif facial. Respirateur nasal (physiologique).
    Fig.8. Déglutition salivaire physiologique, dite « en dents serrées ». Développement mature du massif facial. Respirateur nasal (physiologique).

Croissance des mâchoires

La déglutition salivaire infantile, atypique (adulte) et dysfonctionnelle est associée à un encombrement dentaire.

La déglutition infantile, ou déglutition primaire, caractérise la fonction linguale chez tous les nourrissons et les enfants : ce réflexe naît au quatrième mois de la grossesse (réflexe inné) et elle se manifeste par une langue qui s'étale horizontalement entre les deux maxillaires, ou « interposition linguale ». Chez plus de 75 % des adultes, un étalement horizontal persistant de la langue devient une dysfonction : c'est la déglutition atypique, ou déglutition dysfonctionnelle. Les logopèdes (Belgique) / orthophonistes (France) tentent, tant bien que mal, de corriger cette interposition linguale via des exercices volontaires, ou myothérapie fonctionnelle (MTF). Mais, face à l'automatisme inné des réflexes de la déglutition salivaire, l'efficacité de la MTF reste sujette à caution. Une déglutition atypique favorise la respiration buccale, accompagnée d'une étroitesse des mâchoires et d'un manque de place pour aligner toutes les dents permanentes. Ceci peut conduire aux malocclusions ou aux dysfonctions des mâchoires : SADAM, DAM, STM, etc.

Via les pressions de la langue sur les parois palatines osseuses (procès alvĂ©olaire), la dĂ©glutition salivaire physiologique, dite « en dents serrĂ©es » (A. Jeanmonod) est rĂ©pĂ©tĂ©e 1 500 Ă  2 000 fois par jour : c'est le principal moteur de la croissance du massif facial osseux. Le rĂ´le premier de la dĂ©glutition est d’éliminer le bol salivaire vers l'Ĺ“sophage, soit une sĂ©crĂ©tion quotidienne totale de 1 500 millilitres. Par an, cela reprĂ©sente un peu moins d'une demi-tonne de liquide. La dĂ©glutition salivaire est le travail le plus contraignant de la cavitĂ© buccale. Dans les conditions physiologiques de la dĂ©glutition salivaire, la langue s'Ă©lève dans le palais et produit des pressions sur les procès alvĂ©olaires et sur la voĂ»te palatine. La dĂ©glutition salivaire contribue Ă  la croissance osseuse et au dĂ©veloppement du palais, des fosses nasales et du sinus maxillaires. La croissance de l'os alvĂ©olaire permet un alignement adĂ©quat des dents permanentes. Le dĂ©veloppement des fosses nasales permet une respiration nasale chez l'adulte et une bonne ventilation des sinus maxillaires. La fonction linguale a donc un rĂ´le majeur dans le dĂ©veloppement et la croissance de l'ĂŞtre humain avant d'aboutir Ă  l'âge adulte.

Langue enroulée

Langue enroulée en forme de U.

Il a longtemps été cru que pouvoir rouler sa langue en forme de U était un caractère génétique. Cette erreur est d'ailleurs présente dans certains manuels scolaires. N.G. Martin a prouvé le contraire dans une étude parue en 1975, notamment en étudiant cette capacité chez des jumeaux. Il s'est avéré que chez certains jumeaux monozygotes (ou vrais jumeaux), l'un pouvait rouler sa langue en U et pas l'autre[9]. Ceci est lié aux muscles transverses de la langue, muscles pairs, inconstant.

Pathologies

Langue noire, due à une infection par un champignon, souvent causée par une antibiothérapie, le tabagisme, l'utilisation trop fréquente de bains de bouche à base d'eau oxygénée ou l'utilisation d'un dentifrice oxydant

Diverses maladies peuvent affecter la langue, dont les symptômes sont des ulcérations, colorations ou décolorations, pustules, excroissances, plaque blanchâtre, langue sèche ou enflammée… Ces symptômes peuvent révéler :

Une dent cassée ou une prothèse dentaire inadaptée peuvent être sources d'irritations, voire d'ulcères et d'infections de la langue.

La sécheresse de la bouche (xérostomie) rend la langue vulnérable aux infections fongiques.

Une asialie (absence de production de salive) peut par exemple faire suite à l'ablation des glandes salivaires après un cancer de la bouche. Une hyposialie (inhibition de la sécrétion salivaire) peut être causée par le tabac et l’alcool, mais aussi par certains médicaments ainsi que par de nombreux produits psychoactifs dont les opiacés (médicaments opiacés de substitution y compris), amphétamines, cannabis. L’hépatite C peut aussi induire une hyposialie (surtout en cas de cryoglobulinémie ou de lésions hépatiques avancées)[10].

La toxicomanie est une cause fréquente de « délabrement dentaire » et de pathologies de la langue[11] - [12] - [13] - [14] - [15].

Notes et références

  1. (en) Robin Kerrod, MacMillan's Encyclopedia of Science, vol. 6, Macmillan Publishing Company, Inc., (ISBN 0-02-864558-8).
  2. Liste des muscles du corps humain
  3. Cooper, S. (1953). Muscle spindles in the intrinsic muscles of the human tongue. The Journal of Physiology, 122(1), 193-202.
  4. (en) D. V. Smith, J. D. Boughter jr, « Neurochemistry of the Gustatory System », in A. Lajtha, D. A. Johnson (éds.) Handbook of Neurochemistry and Molecular Neurobiology, Springer US, 2007, p. 109–135
  5. (en) K. Scott, « Taste Recognition: Food for Thought », Neuron, vol. 48, no 3,‎ , p. 455 (DOI 10.1016/j.neuron.2005.10.015).
  6. (en) Chandrashekar, J., Hoon, M. A., Riba, N. J. P., & Zuker, C. S., « Encoding taste qualities at the periphery », Nature, 444, 2006, p.288–294
  7. J. Chandrashekar et al., The receptors and cells for mammalian taste, Nature 444, 288 (2006) cité sur le blog sciencetonnante
  8. Documentation radiographique : Analyse cinéradiographique de l'articulation des consonnes en chinois de Pékin, par Henri Bach et Bernard Vallancien, Service du film de recherche scientifique, CERIMES (France), 1976
  9. (en) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/omim/189300
  10. Voir sur pistes.fr.
  11. Madinier I., Colloque « L’impact des addictions sur la santé bucco-dentaire », Paris, 5 mai 2007.
  12. Hubert-Grossin K., George Y., Laboux O., « Toxicomanie illicite : manifestations bucco-dentaires et prise en charge odontologiques », Rev. Odont. Stomal, 2003, 32, 119-34.
  13. Madinier I., Harrosch J., Dugourd M. et al., « État de santé bucco-dentaire des toxicomanes suivis au CHU de Nice », Presse Med., 2003, 32, 919-23.
  14. Cohen F., Le Courrier des Addictions, 1999, 1, 32-37.
  15. Nathwani N.S., Gallagher J.E., « Methadone : dental risks and preventive action », Dent Update, 2008, 35(8), 542-4, 547-8 Colloque « Addictologie et santé bucco-dentaire », 5 octobre 2007 (article en ligne sur le site de l’Union française pour la santé bucco-dentaire).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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