La Robine-sur-Galabre
La Robine-sur-Galabre est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
La Robine-sur-Galabre | |||||
Chapelle Saint-Pons. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
DĂ©partement | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Provence-Alpes Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Bruno AcciaĂŻ 2020-2026 |
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Code postal | 04000 | ||||
Code commune | 04167 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
286 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 6,2 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 10′ 12″ nord, 6° 13′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 646 m Max. 1 887 m |
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Superficie | 45,91 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Digne-les-Bains (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Digne-les-Bains-1 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
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Liens | |||||
Site web | larobine.fr | ||||
Le nom de ses habitants est Robinois[1].
GĂ©ographie
La commune est traversée par le Galabre, affluent droit du Bès, lui-même affluent droit de la Bléone.
Relief
Le village est situé à 750 m d'altitude[2].
Le point culminant est la Grande Cloche de Barles (1 887 m).
Hydrographie
La commune est traversée par le Bès, qui forme une partie de la limite avec la commune de Digne-les-Bains[3].
Elle est également traversée par Le Galabre, un affluent du Bes en rive droite, d'une longueur d'environ 15 km et qui prend sa source sur les pentes de la Cloche de Barles à 1887 m d'altitude.
Son bassin versant est d'environ 35 km².
Environnement
La commune compte 800 ha de bois et forĂŞts[1].
Transports
La commune est desservie par la départementale RD 900A, ancienne route nationale 100A. La RD 103 s’embranche sur celle-ci et remonte la vallée du Galabre jusqu’à La Robine. Elle poursuit jusqu’au fond de la vallée, et atteint Ainac. Elle est prolongée par la RD 453 jusqu’au village de Lambert[3].
Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1309 (pro parte castrorum Robine), fait l’objet de différentes interprétations :
- selon Charles Rostaing, il vient du provençal Roubina, désignant une montagne schisteuse[4] ;
- Ernest Nègre propose deux hypothèses, tirées de l’occitan roubino : si on reste au premier degré, on a ravine ; si on prend le deuxième sens, le nom du village signifie canal de dérivation[5].
Le nom de Galabre viendrait d'un ancien *Galauara, basé sur la racine hydronymique pré-celtique gal- complétée du double suffixe locatif -au-ar. Des formations similaires se retrouvent dans les noms de la Galèbre (Beaujeu) ou de la Galaure. Ernest Nègre propose quant à lui une étymologie basé sur un double hydronyme (nom de rivière), tous deux celtiques, *gal et avara[6].
Ainac signifie, selon le couple Fénié, le domaine d’Ainus, nom gaulois latinisé, suivi du suffixe -acos[7].
Quant à Tanaron, le toponyme est probablement antérieur aux Gaulois[8] et se forme sur la racine préceltique *Tan- à valeur oronymique (servant à caractériser le relief)[9].
Hameaux
- Ainac
- Lambert
- Tanaron
Quartier
le clouet
le forest
les lauzes du villard
Les amandiers
Risques naturels et technologiques
Aucune commune du département n’est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Est, auquel appartient La Robine-sur-Galabre, est en zone de risque 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[10], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[11]. La commune de La Robine-sur-Galabre est également exposée à trois autres risques naturels[11] :
- feu de forĂŞt,
- inondation (dans les vallées de la Bléone et de la Galabre),
- mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[12].
La commune de La Robine-sur-Galabre n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[13]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[13] et le Dicrim n’existe pas[14].
Urbanisme
Typologie
La Robine-sur-Galabre est une commune rurale[Note 1] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,9 %), prairies (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), zones urbanisées (0,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Histoire
Antiquité
Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone et celles de ses affluents, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de La Robine-sur-Galabre. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[22].
Moyen Ă‚ge
La localité de la Robine est citée au XIIIe siècle ; elle doit son nom au sol fait d'un schiste tendre se délitant progressivement ("Roubina" en provençal). Auparavant, le lieu-dit le Bouisset est cité en 813-814 (in Buxeto[23]). La communauté de la Robine comptait 19 feux en 1315, et 168 habitants en 1765[24].
La seigneurie était aux Barras (XIVe/XVIIe), puis à partir du XVIIIe siècle aux Thoron.
Ainac est citée au XIIIe siècle (Ainacum) : elle se caractérise par un habitat dispersé, la seigneurie appartenait aux Barras, aux Amalric, puis aux Thomassin.
Lambert est citée au XIIIe siècle (Lambertum) : Lambert et Ainac formaient une seule paroisse, la seigneurie des Amalric. La communauté comptait 16 feux en 1315, et inhabitée en 1471. En 1765, elle avait 119 habitants[25].
Tanaron est cité dans les chartes aux alentours de 1200 ; les évêques de Digne en étaient les seigneurs (avec le hameau de Rocherousse) et y avaient un château[26]. En 1315, la communauté comptait 40 feux, chiffre qui chute à 14 en 1471. La population s’établit à 230 en 1765[26].
Révolution française
Durant la Révolution, les communes de Tanaron, La Robine et Ainac comptent chacune une société patriotique, créées après la fin de 1792[27], ainsi que celle de Lambert, malgré sa petite taille (environ 80 hab. en 1790)[28].
Époque contemporaine
En 1878, une école à classe unique est construite à Pudoyer, village éloigné du chef-lieu de la commune de Tanaron, malgré l'opposition des habitants de Tanaron, qui ne souhaitent pas de concurrence à leur école. Quinze élèves la fréquentent ; mais l'exode rural entraîne sa fermeture dès 1897[29].
Les communes qui ont formé l’actuelle commune de La Robine-sur-Galabre restent enclavées très longtemps. Ce n’est qu’en 1874 que l’entreprise Trotabas commence les travaux du chemin d'intérêt commun no 7. Ce n’est qu’un chemin muletier, et les tunnels ont tout juste la largeur nécessaire à faire passer un mulet chargé d’un bât, mais il est plus facile à emprunter que les chemins passant dans les hauteurs. Si une passerelle est jetée sur le Bès entre Tanaron et Esclangon, la plupart des ravins, ruisseaux et torrents doivent encore être franchis à gué. De plus, la passerelle est emportée par une crue du Bès en 1890[30]. Le projet de construction de la route nationale 100a, voté en 1881 et réalisé pendant les trois décennies suivantes, est accueilli avec enthousiasme par les habitants : le maire d’Ainac écrit ainsi que « la circulation c’est la civilisation »[31] bien que la route passe à 12 km du village.
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture a depuis été abandonnée[32].
La commune est constituée par la fusion en 1973 des communes d’Ainac, de Lambert, de La Robine et de Tanaron[33].
HĂ©raldique
Blason | Fascé d'or et d'azur de six pièces à un écureuil rampant de sable brochant sur le tout[34]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Municipalité
Intercommunalité
La Robine-sur-Galabre fait partie :
- de 2002 à 2013, de la communauté de communes des Trois Vallées ;
- de 2013 à 2017, de la communauté de communes Asse Bléone Verdon ;
- à partir du , de la communauté d'agglomération Provence-Alpes.
DĂ©mographie
La Robine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2020, la commune comptait 286 habitants[Note 3], en diminution de 5,61 % par rapport Ă 2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
L'histoire démographique de La Robine est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1851. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique lent, mais de longue durée. Ce n'est que dans les années 1930 que la commune enregistre la perte de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[42]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu'à la fin des années 1960. En 1973, la création de la commune de La Robine-sur-Galabre par fusion de quatre autres constitue un ensemble plus important, démographiquement parlant, qui a cru fortement depuis.
Ainac
Ainac connaît est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure des années 1810 à 1866. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. Dès 1906, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1861[44]. Le mouvement de baisse se poursuit jusque dans les années 1960 et la fusion.
Lambert
L'histoire démographique de Lambert est marquée par la saignée des XIVe et XVe siècles due à la peste noire et à la guerre de Cent Ans, crise qui détruit complètement la communauté.
Lambert est la seule des quatre communes à ne pas connaître une période d'« étale » où la population serait restée stable. Dès le maximum démographique atteint en 1846, l'exode rural s'amorce de longue durée. En 1901, la commune a définitivement perdu plus de la moitié de sa population[42]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population a crû légèrement.
Tanaron
L'histoire démographique de Tanaron est marquée par la crise des XIVe et XVe siècles due à la peste noire et à la guerre de Cent Ans.
Tanaron connaît son apogée démographique de 1831 à 1846, puis est touchée par l'exode rural. C'est en 1901 que la commune enregistre la perte de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[42]. La baisse de population se poursuit, jusqu'à l'abandon complet dans les années 1960.
Lieux et monuments
L’église Saint-Pons, au lieu-dit la Paroisse, est construite au XIIe siècle, et succède au XIIIe à l'ancienne église Saint-Vincent[47]. Elle abrite une grande reproduction du tableau de Nicolas Poussin Le Ravissement de saint Paul, gravure plus petite que l’original (90 cm de haut sur 73 contre 148 sur 120 pour l’original)[48].
Le grand bâtiment proche de la Robine est un logis seigneurial, construit avant 1750, et appelé localement « château ». Il est construit sur une terrasse rectangulaire, avec un pigeonnier à chaque angle. Une de ses fenêtres possède encore un meneau[49].
À la Robine, la chapelle Saint-Pons, au cimetière, est construite dans un style archaïque campagnard au XVIIe siècle. Elle comporte une nef à deux travées voûtées sous croisées d’ogives. Le chœur est à chevet plat. Les cloches sont logées dans un clocher-mur[50]. Sa restauration dans les années 2000 par l’association Alpes de Lumière a valu à la commune le 1er prix du ministère de la Culture et de la communication en 2009[51].
À Tanaron, la chapelle Saint-Jean est construite sur une crête aiguë au-dessus de la clue de Barles, assez difficile d’accès[52]. Elle est en cours de restauration selon les méthodes de construction traditionnelles[53]. À proximité, se trouvent des vestiges d’une tour de guet[52]. Le village ancien a presque complètement disparu[54]. La cloche de la chapelle de Pudoyer date de 1603 (actuellement conservée à Digne)[55].
À Lambert, l’église possède deux ciboires d’argent signés et datant du XVIIe siècle, classés monuments historiques au titre objet[56].
L’église d’Ainac abrite un tableau de la Sainte Famille, avec saint Jean le Baptiste qui tire la robe de la Vierge Marie[57].
Parmi les curiosités naturelles, on notera la lame de Facibelle, le Rocher Gassendi et la Clue de Barles, où l'on peut rencontrer la sentinelle, une œuvre Land Art d'Andy Goldsworthy.
Voir aussi
Bibliographie
- Maurice Gilly, « La Petite école de Pudoyer, sa naissance difficile et sa fin bien rapide », Annales de Haute-Provence (Digne), no 311, 1990 ; p. 219-226.1 [Pudoyer est un hameau de Tanaron]
- Pierre Bianco, Le Crime de la Robine, éd. Jean Marie Desbois, 2016 (ISBN 9782918754336), récit d'une histoire vraie survenue à La Robine à la fin du XVIIIe siècle.
- Janine Cazères, « La Robine dans la vallée du Galabre », in Chroniques de Haute-Provence no 357, 2006, p. 108-165
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- La Robine-sur-Galabre sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Roger Brunet, « Cantons de Digne-les-Bains », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- « IGN, Carte topographique de La Robine-sur-Galabre » sur Géoportail (consulté le 7 janvier 2014)..
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 240
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne)., § 20789, p 1105
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 1047, p 38
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 47.
- Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
- Fénié & Fénié, op. cit., p. 32
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 13 août 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 13 août 2012
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
- Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 396.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 192.
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 179.
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 202.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- Alphand, p 295
- D.-A. C., « Pudoyer », in Renaud Alberny, Denis-Armand Canal, Thomas Laurenceau, Dominique Voisin, Les Écoles de la République, Niort : Eclectis, 1993. (ISBN 2-908975-15-7), 440 p., p. 19.
- Jean-Christophe Labadie, Irène Magnaudeix, La route de Barles : le centenaire : 1913-2013, Digne-les-Bains, Conseil général des Alpes-de-Haute-Provence, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86-004-017-4), p. 10.
- Labadie, Magnaudeix, op. cit., p. 6.
- André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- M. G., « Les derniers vœux de Jean-Marie Reymond en tant que maire de la commune », La Provence, 29 janvier 2014, p. 4.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ainac », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lambert », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Tanaron », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Janine Cazères, « La Robine dans la vallée du Galabre », in Chroniques de Haute-Provence, no 357, 2006, p. 110.
- Jean-Christophe Labadie, Des Anges, Musée départemental d’art religieux, catalogue de l’exposition à la cathédrale Saint-Jérôme (5 juillet-30 septembre 2013), 2013, (ISBN 978-2-86004014-3), p. 18-19.
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 261-262.
- Raymond Collier, op. cit., p. 189.
- Jessica Chaine, « La Robine: un premier prix national pour la rénovation d'une chapelle du Ve siècle », La Provence, 18 mars 2009, consulté le 16 juillet 2010.
- Raymond Collier, op. cit., p. 147.
- Gabriel Haurillon, « Les bras dans le plâtre à Tanaron », La Provence, 16 août 2013, p. 3.
- Raymond Collier, op. cit., p. 339.
- Raymond Collier, op. cit., p. 529.
- Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 2 décembre 2008.
- Raymond Collier, op. cit., p. 482.