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La Bouilladisse

La Bouilladisse est une commune française située dans le département des Bouches-du-RhÎne, en région Provence-Alpes-CÎte d'Azur. Ses habitants, au nombre de 6 194 en 2017, sont appelés les Bouilladissiens et Bouilladissiennes.

La Bouilladisse
La Bouilladisse
L'hĂŽtel de ville.
Blason de La Bouilladisse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d’Azur
DĂ©partement Bouches-du-RhĂŽne
Arrondissement Marseille
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
José Morales
2020-2026
Code postal 13720
Code commune 13016
DĂ©mographie
Gentilé Bouilladissienne, Bouilladissien
Population
municipale
6 316 hab. (2020 en augmentation de 4,29 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 501 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 23â€Č 43″ nord, 5° 35â€Č 43″ est
Altitude Min. 193 m
Max. 686 m
Superficie 12,61 km2
Unité urbaine Marseille-Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Allauch
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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La Bouilladisse
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La Bouilladisse
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La Bouilladisse
Liens
Site web http://www.ville-bouilladisse.com

    La Bouilladisse est jumelée avec la commune de Brezoi, en Roumanie. Le nom en provençal est La Bouiadisso[1].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Leborina en 1279, du latin lepus, leporis (« liÚvre ») et suffixe -ina), La Bourine en 1880 puis "La Bouilladisse" en 1909 qui évoque une source particuliÚrement « turbulente, bouillonnante ».

    GĂ©ographie

    Situation

    La ville compte 6111 habitants et s'Ă©tend sur 12,6 km2, soit une densitĂ© de 475,4 habitants par km2. La Bouilladisse, situĂ©e Ă  11 km au nord d'Allauch, est entourĂ©e par les communes de La Destrousse, Peypin et BelcodĂšne. Proche du parc national des Calanques (environ 12 km), la ville est situĂ©e Ă  240 mĂštres d'altitude et elle est traversĂ©e par plusieurs cours d'eau, notamment le Merlançon, ainsi que le ruisseau d'Auriguesse.

    La Bouilladisse est située sur l'autoroute A52, sortie Sortie 33, et est traversée par la route départementale 96.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de La Bouilladisse
    BelcodĂšne Peynier Trets
    Peypin La Bouilladisse Auriol
    La Destrousse La Destrousse
    Auriol
    Auriol

    Urbanisme

    Typologie

    La Bouilladisse est une commune urbaine[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[5] et 1 596 326 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Marseille-Aix-en-Provence est la troisiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris et Lyon[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (54,4 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (53,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (40,9 %), zones urbanisĂ©es (22,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (13,5 %), terres arables (2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,6 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[11].

    Histoire

    Faits historiques

    Histoire institutionnelle : 49 ans aprÚs sa premiÚre demande de séparation, la commune a été créée le sous le nom de La Bourine par scission de plusieurs hameaux d'Auriol (commune voisine des Bouches-du-RhÎne). La commune a été baptisée "La Bouilladisse" le .

    AprĂšs la grĂšve des mineurs de 1948, le maire de la commune qui avait soutenu le mouvement est suspendu[12].

    Du débarquement de Provence à la libération de La Bouilladisse

    Dans la nuit du 14 au , l’opĂ©ration Anvil Dragoon coordonnĂ©e par les AlliĂ©s est en cours entre Toulon et Cannes. A vol d’oiseau, Toulon se trouve Ă  une distance de 40 km de La Bouilladisse, la courbure de la voie ferrĂ©e traversant le village rend le site idĂ©al pour que l’armĂ©e allemande y installe une Artillerie Lourde sur Voie FerrĂ©e (AVLF). Par ailleurs, le tunnel de Saint Vincent Ă  Roquevaire (Pont de Joux) d’une longueur de 222 mĂštres offrait non seulement un abri pour protĂ©ger le convoi ferroviaire, dont le wagon supportant le canon mesurait Ă  lui seul 41 mĂštres, mais aussi bĂ©nĂ©ficiait de la protection de la garnison allemande situĂ©e dans les bunkers et fortification de Roquevaire.

    Les AVLF ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es afin d'utiliser des canons de trĂšs gros calibre (280 mm puis 380 mm) Ă  une Ă©poque oĂč les solutions sur route ne permettent pas de transporter des charges si importantes. Les canons sur rail permettaient de tirer des calibres importants pour, par exemple, frapper les navires ou des cibles lointaines peu mobiles. Les AVLF sont des armes hĂ©ritĂ©s de la PremiĂšre Guerre Mondiale, elles concourent au renouveau de l'Allemagne nazie, car compatibles avec la doctrine allemande d'armes d'Ă©lite, dissuasives, impressionnantes par leur taille et leur calibre, mais produites en trĂšs peu d'exemplaires car extrĂȘmement fragiles et peu fiables.

    Le , une AVLF K5(E) Ă©quipĂ©e d’un canon de 28 cm (batterie allemande Eisenbahnbatterie 749) est positionnĂ©e dans la courbe prĂšs du stade (actuel stade Robert Conti, Quartier Les Roquettes). La dĂ©signation officielle de cette arme allemande est 28 cm K5 E oĂč 28 cm indique le calibre de l’obus, K signifie Kanone (canon en allemand), 5 est son type et E pour Eisenbahn (voie ferrĂ©e en allemand).

    Canon allemand sur rail prĂȘt Ă  bombarder Toulon depuis La Bouilladisse (16 aoĂ»t 1944).

    Ainsi, la courbure de la voie ferrĂ©e au niveau du stade permettait d’ajuster l’azimut du tir sur plus de 180°, et l’élĂ©vation du canon permet de dĂ©finir la distance Ă  la cible pour rĂ©aliser un tir en cloche au-dessus de la Sainte-Baume pour frapper les AlliĂ©es dans la rade de Toulon.

    Toute la journĂ©e du , la « Schlanke Bertha » (« Mince Bertha » en français, mais traduite par la « Grosse Bertha » par la RĂ©sistance) tira Ă  une cadence moyenne de 8 coups par heure, chaque obus pesant 255 kg.  Pour les rĂ©sistants de La Bouilladisse, il fallait coĂ»te que coĂ»te empĂȘcher la « Grosse Bertha » de revenir. L’empĂȘcher de bombarder Toulon, c’était non seulement participer Ă  l’effort des AlliĂ©s dans leur reconquĂȘte de la Provence, mais aussi empĂȘcher que le village ne devienne une cible des bombardements alliĂ©s ; c’était Ă©pargner des vies humaines Ă  Toulon mais aussi Ă  La Bouilladisse. Dans le village, les craintes d’attaques sont vives. Par prĂ©caution, la population se rĂ©fugie dans les cabanons Ă©parpillĂ©s dans la campagne. Finalement, c’est au fond d’une mine que la dĂ©cision est prise de faire sauter le pont de chemin de fer situĂ© au quartier Les Playes pour empĂȘcher le canon allemand de reprendre position. Ainsi dans la nuit du 16 au , une Ă©quipe de 6 mineurs, composĂ©e d’Antoine AlbaladĂ©jo, l’aĂźnĂ©, et cinq de ces camarades, Roger Silva, Lucien Eyssautier, Joseph Moreno, Michel Cano, et Joseph Pedreno se glissĂšrent le long de voie ferrĂ©e, placĂšrent les charges de dynamite et les dĂ©tonateurs. Un grand boum dĂ©chira cette nuit-lĂ , le pont du chemin de fer des Playes venait de sauter. Le canon allemand ne tira plus jamais sur Toulon[13] - [14].

    Leur chef, Antoine AlbaladĂ©jo, ĂągĂ© d’à peine 26 ans, Ă©tait natif de CarthagĂšne en Espagne oĂč il a vu le jour le , terre qu’il quitta Ă  l’ñge de cinq ans avec sa famille pour rejoindre la France avec la promesse d’y trouver une vie meilleure. Au moment oĂč en France beaucoup dĂ©sespĂ©raient et avaient baissĂ© les bras face Ă  l’occupation nazie, comme un peu partout dans le pays, il se crĂ©a des groupes de RĂ©sistance. Celui de La Bouilladisse sera constituĂ© en . Antoine AlbaladĂ©jo sera recrutĂ© le et fera partie du dĂ©tachement FTPF du Bassin Minier de Provence (FTPF pour Francs-Tireurs et Partisans Français). Antoine AlbaladĂ©jo Ă©tant dĂ©jĂ  Sous-Officier instructeur d'artillerie lĂ©gĂšre au sein de l’infanterie coloniale durant l’entre-deux-guerres, il prendra la direction du groupe de RĂ©sistance de la Bouilladisse et il en sera responsable jusqu'au .

    Cet acte de la RĂ©sistance Ă©tait dĂ» au courage d'Antoine AlbaladĂ©jo, forgĂ© durant ces annĂ©es passĂ©es au sein de l’infanterie coloniale, mais aussi de ces compagnons d’armes rencontrĂ©s au village et au fond des mines de charbon, dont on sait que la duretĂ© du travail fraternisait les hommes autour de valeurs communes, point de dĂ©part de la patrie.

    Antoine AlabaladĂ©jo nous a quittĂ©s le Ă  Aix-en-Provence Ă  l’ñge de 88 ans, avec le sentiment d’avoir trouvĂ© sa patrie et d’y avoir eu une existence paisible. DiplĂŽmĂ© d’un certificat d’études primaires, il exerça successivement diffĂ©rents mĂ©tiers : manƓuvre, militaire, champignonniste, mineur, puis technicien de maintenance. C’était un homme passionnĂ© par les champignons et le cyclisme, seul un vieux fusil de chasse ornait son hall d’entrĂ©e comme pour se rappeler que la guerre appartenait au passĂ©. Il reçut bien des dĂ©corations : Ex-sous-lieutenant FFI (FFI pour Forces Françaises de l’IntĂ©rieur), Ex-lieutenant de rĂ©serve, dĂ©tenteur de la Croix de guerre avec citation, MĂ©daillĂ© du Travail Argent, Or et grand Or, MutilĂ© du travail, RetraitĂ© Mineur, Volontaire de la RĂ©sistance.

    La ville de La Bouilladisse, et les Ă©lĂšves de CM2 (annĂ©e scolaire 2009-2010) de monsieur Rebuffat (professeur Ă  l’école Paul-Eluard) ont tenu Ă  rendre un hommage mĂ©ritĂ© et respectueux Ă  celui qui a offert une partie de sa vie, de sa jeunesse Ă  cette libertĂ© reconquise, qui nous est si chĂšre aujourd’hui[15]. Ainsi, le , le parking des Roquettes fut baptisĂ© parking Antoine-AlbaladĂ©jo par la commune de La Bouilladisse[16].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Élections municipales 2008 : Le , la liste d'union de la gauche et du rassemblement des dĂ©mocrates conduite par le maire sortant AndrĂ© Jullien est Ă©lue au premier tour (50,44 %) devant la liste Union pour un mouvement populaire menĂ©e par Eric Jouve (36,08 %) et la liste Nouveau Centre conduite par Guy Vincent (13,48%).

    Élections municipales 2014 : Le , la liste Union citoyenne et dĂ©mocrate conduite par le maire sortant AndrĂ© Jullien est Ă©lue au premier tour (60,15 %) devant la liste Union de la droite menĂ©e par Alain Boutboul (39,85 %).

    Élections municipales 2020: le , la liste "La Bouilladisse notre bien commun" conduite par JosĂ© Morales est Ă©lue au premier tour (63.58%) devant la liste "Pour une Bouilladisse dynamique" menĂ©e par Alain Boutboul (36.41%).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[17]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1880 1882 Alphonse Velin
    1882 1888 Joseph Imbert
    1888 1896 Marius Suzanne
    1896 1913 Jean Baptiste Michel
    1913 1922 CĂ©lestin Cazalic
    1922 mai 1945 Nicolas NĂ©grel
    mai 1945 mars 1971 Isidore Gautier PCF Conseiller général du canton de Roquevaire (1957-1976)
    mars 1971 janvier 1998 Francis Pellissier PCF Conseiller général du canton de Roquevaire (1976-2008)
    janvier 1998 mars 2020 André Jullien PCF Retraité
    Vice-prĂ©sident de la CommunautĂ© d’agglomĂ©ration du pays d'Aubagne
    mars 2020 En cours JosĂ© Morales PCF Architecte, maĂźtre de confĂ©rences et prĂ©sident du conseil d'administration de l'École Nationale SupĂ©rieure d’Architecture de Marseille

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1881. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[19].

    En 2020, la commune comptait 6 316 habitants[Note 3], en augmentation de 4,29 % par rapport Ă  2014 (Bouches-du-RhĂŽne : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    1 3781 3151 3041 2361 3291 4101 3321 2431 521
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    1 5751 4001 5071 6011 7151 9592 2313 1174 115
    1999 2006 2008 2013 2018 2020 - - -
    4 9045 5615 7436 0466 2546 316---
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Retrouvez toutes les festivités et manifestations culturelles de la ville de La Bouilladisse dans cet agenda

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Laurent, construite en 1911 ;
    • Chapelle de La Bourine, construite en 1782 ;
    • Oratoire du hameau Le Pigeonnier ;
    • ChĂąteau de Velin-Tournon, XVIIIe siĂšcle ;
    • ChĂąteau de la MalvĂ©sine, XVIIIe siĂšcle ;
    • La grotte du Tonneau ;
    • La grotte de Janet ;
    • La grotte de la Rate-Penade ;
    • La grotte de l’Escargot[22].

    Personnalités liées à la commune

    • FĂ©lix Lescure, poĂšte provençal qui a donnĂ© son nom Ă  une rue Ă  La Bouilladisse et Ă  une place Ă  GrĂ©asque.
    • Laurent Artufel, acteur, a vĂ©cu Ă  la Bouilladisse de 1985 Ă  1995, il fut dĂ©corĂ© par la ville du trophĂ©e des Victoires Ă  la suite de son entrĂ©e au conservatoire national de musique de Marseille.

    Économie

    Un marché est ouvert chaque jeudi matin, de 8 heures à 12 heures 30, sur la place de la Mairie.

    Culture et patrimoine

    HĂ©raldique

    Armes de La Bouilladisse

    Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'or Ă  quatre pals de gueules; au chef d'or Ă  un loriot de sinople perchĂ© sur une branche du mĂȘme, accostĂ© de deux B affrontĂ©s, de sable.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Lou trésor dóu Felibrige / Le trésor du Félibrige, F. Mistral, vol. 1 p. 319, éditions CPM 1979.
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    12. Jean-Louis Vivens, Conflit social ou affrontement politique ? La grĂšve des mineurs en France en 1948 sous les angles de la solidaritĂ© ́et de la rĂ©pression, mĂ©moire de Master 2, 2015, p. 133-134.
    13. René Teulle, Histoire de mon village La Bouilladisse, La Bouilladisse, Imprimerie De Roquevaire, , 151 p. (ASIN B00J7SOC1Y)
    14. Francis Pellissier, La preuve par neuf, CCEE, Collection Villes Et Villages, , 151 p. (ISBN 978-2-9511643-2-1)
    15. Jonctions. Magazine d'information municipale de La Bouilladisse, N°88, Sept. 2005, page 13
    16. Jonctions. Magazine d'information municipale de La Bouilladisse. N°105, Oct./Dec. 2010, page 11.
    17. http://www.ville-bouilladisse.com/fr/la-ville/histoire/index.html Liste des maires
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. https://www.provence7.com/portails/villes-et-villages/communes-a-visiter/la-bouilladisse-a-visiter-13/ Provence 7

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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