La Baume-Cornillane
La Baume-Cornillane est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La Baume-Cornillane | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Dominique Sylvestre 2020-2026 |
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Code postal | 26120 | ||||
Code commune | 26032 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Balmois, Balmoises | ||||
Population municipale |
451 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 49′ 28″ nord, 5° 02′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 320 m Max. 1 014 m |
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Superficie | 14,42 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Crest | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Balmois.
GĂ©ographie
Localisation
La Baume-Cornillane est située à 15 km de Crest, à 18 km de Valence.
Montmeyran Montvendre |
Montvendre | Combovin | ||
Montmeyran | N | Gigors-et-Lozeron | ||
O La Baume-Cornillane E | ||||
S | ||||
Montmeyran Ourches |
Ourches | Ourches Gigors-et-Lozeron |
Relief et géologie
La commune de La Baume-Cornillane s'étage de 320 à 1014 mètres d'altitude[1] , dans la région de la Gervanne, sur les contreforts du Vercors drômois, massif calcaire constitué de roches formées par sédimentation au cours du Jurassique moyen, au fond de la Téthys alpine.
Sites particuliers[2] :
- la Raye (1015 m) ;
- Pas de la Croix (872 m) ;
- Pas du Pont ;
- Peychotard (441 m)
- Serre du Buis (441 m) ;
- Serre Perrier (532 m).
Le « Centre de la Pangée »
Selon le Dauphiné libéré qui évoque des déclarations de spécialistes (sans les nommer), la commune se trouverait à l'emplacement de ce qui a été le centre du très ancien continent appelé la Pangée (du grec ancien πᾶν (pân) « tout », et γαῖα (gaïa) « terre », qui devient en latin pangaea), il y a 240 millions d’années[3]. Ce continent unique a commencé à se disloquer il y a 200 millions d'années, ce qui a donné naissance à la Laurasia (au Nord) et au Gondwana (au Sud). Par la suite, les continents se séparèrent et dérivèrent.
Selon le site officiel de la commune qui utilise le conditionnel[4], la crête rocheuse, relevé lors de la formation des Alpes, qui se dresse derrière les ruines du château, symboliserait ce lieu hypothétique[5]. Bien que la commune de la Baume Cornillane ne soit pas la seule commune à revendiquer sa position de centre de la Pangée, cette originalité a été mise en avant sur le plan touristique[6]. La Communauté d'agglomération Valence Romans n'a pas démenti[7].
Pour commémorer la chose, une association de pâtissiers drômois a eu l'idée d'un gâteau appelé « La Pangée » (élu meilleur biscuit de France en 2004)[8]. Le journal Le Point, ironisait, dans un article publié en 2012, sur cette prétention[9].
- La Pangée.
- La Pangée.
- Panneau explicatif sur le site du « centre de la Pangée ».
- Fragment de couche sédimentaire, initialement horizontale puis redressée par les mouvements tectoniques, présenté symboliquement comme le « centre de la Pangée ».
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[2] :
- la Bionne ;
- la Peyrière ;
- l'Ecoutay ;
- le Rif ;
- ruisseau de Biégaire ;
- ruisseau de Tisserand.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales D208, D208a et D745[2].
Urbanisme
Typologie
La Baume-Cornillane est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [10] - [11] - [12].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13] - [14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,7 %), terres arables (25 %), zones agricoles hétérogènes (15,7 %), prairies (10,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Le territoire de la commune se compose de trois parties : la plaine, le contrefort du massif du Vercors et la montagne.
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[2] :
- Bon Temps
- Chalamet
- Champ de Role
- Champey
- Coli
- Ferme Bouchet
- la Bouchesse
- la CĂ´te
- la Graire
- la Lozière
- la Maladière
- le Barlet
- le Champ du Roure
- le Coquillon
- le Franquet
- le Luc
- le Mazoyer
- le Moutet
- le Prieuré
- les Barlez
- les Bayettes
- les Bertons
- les Bois
- les Chainons
- les Chollières
- les Clabeylauds
- les Comtes
- les Garis
- les Granges
- les Maillets
- les Marais
- les Moulins
- les Perrots
- les Pialoux
- les Pias
- le Vieux Village
- l'Osaret
- Marquet
- Olivière
- Petit Jean
- Terraillon
- Théolet
- Tisserand
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :
- 1298 : mention de la paroisse : cura de Balma Cornillyana (cartulaire de LĂ©oncel, 283).
- 1332 : Balma Cornilliana (Gall. christ., XVI, 129).
- 1391 : La Balme Cornilhe (choix de documents).
- 1438 : Balma Curnilhana (terrier de Montvendre).
- 1442 : Balma Cornillana (choix de documents, 275).
- XVe siècle : mention de la paroisse : cura Balme Cornilhane (pouillé de Valence).
- 1527 : La Balme Cornilhane (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence], 283).
- 1626 : La Baulme Cournilhanne (rĂ´le de tailles).
- 1630 : La Beaume Cornilliane (rĂ´le de tailles).
- 1891 : La Baume Cornillanne, commune du canton de Chabeuil.
Non daté : La Baume-Cornillane.
Étymologie
Le nom de Balma Cornillane serait apparu en 1305 alors qu'Albert de Cornillan était seigneur de cette terre. Ses armoiries portent trois corneilles (du latin populaire cornicula) (voir plus bas : paragraphe héraldique).
La Baume Cornillane (Balma cornillana) doit son nom à la présence d’une grotte (balme / baume) dite de la Dame, cette Dame étant Catherine de Cornillan, grande famille de seigneurs locaux dont les armes sont trois corneilles[17].
Histoire
Préhistoire
Dans son étude historique[18], Théophile Vernier consigne que des vestiges archéologiques, fragments de silex taillés en pointes de flèches, en haches et en couteaux, retrouvés aux alentours de la grotte et dans les champs voisins prouvent une occupation humaine du site depuis l'âge de pierre.
Antiquité
Dans son étude historique[18], Théophile Vernier affirme que le village gallo-romain, dont on a retrouvé des vestiges (tuiles, poteries, cimetière), s'est peu à peu converti à la foi chrétienne, comme en témoigne l'épitaphe de Constantinus (sous-diacre), une inscription datée du VIe siècle, gravée sur une pierre de l'ancien prieuré. Une première église aurait donc été bâtie vers l'an 500.
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
Au Moyen Âge, le village s'établit autour d'une église paléochrétienne qui devient un prieuré clunisien de Marcigny sous le vocable de Saint-Étienne. Le second village, fortifié, s'établit vers l'an 1100 sur la hauteur, autour du donjon dont se dressent encore les vestiges[18].
Les Cornilhan, ou Cornillan, sont les premiers seigneurs du lieu[18].
La seigneurie[16] :
- Au point de vue féodal, La Baume-Cornillane était une terre (ou seigneurie) du fief des comtes de Valentinois.
- Possession des Cornilhan.
- Milieu XVIe siècle : passe (par mariage) aux Eurre.
- 1579 : passe (par héritage) aux Alrics.
- 1685 : passe (par héritage) aux Berton de Crillon, derniers seigneurs.
Refuge des Vaudois puis des protestants[19].
XVIe siècle : Catherine de Cornillan, dernière descendante des Cornillan (ou Cornilhan), adopte la religion réformée. Dans son testament de 1579, elle demande à sa descendance d'associer son nom à celui de leur père Thierry d'Eurre, d'entretenir la réforme protestante sur ses terres et d'être inhumée dans le temple protestant. Une grotte porterait son nom, « la Grotte de la Dame ».
Introduit dans le midi de la France au XVe siècle, le mûrier, dit «l'arbre d'or», très répandu à La Baume-Cornillane au XVIe siècle, apporte aisance à plusieurs foyers[18].
1589 (démographie) : 100 familles[16].
1789 (démographie) : 130 chefs de famille[16].
Avant 1790, la Baume-Cornillanne était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et de la sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence. Son église était sous le vocable des Saints-Philippe-et-Jude et les dîmes appartenaient au prieur du lieu qui présentait à la cure[16].
De la RĂ©volution Ă nos jours
En 1790, la commune fait partie du canton de Chabeuil[16].
La nouvelle répartition de la propriété conduit au déplacement du vieux village dans la plaine au XIXe siècle[18]. Les progrès de l'agriculture apporte prospérité à de nombreux foyers.
L'agriculture et l'Ă©levage restent jusqu'Ă ce jour la ressource principale de l'Ă©conomie locale.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2020, la commune comptait 451 habitants[Note 3], en augmentation de 0,45 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Les communes de la Baume Cornillane et d'Ourches fonctionnent en Regroupement PĂ©dagogique Intercommunal (RPI) depuis 1983. Les classes de petites et moyennes sections sont accueillies Ă Montmeyran. Ourches accueille les enfants de la grande section au CP et La Baume accueille les enfants du CE1 au CM2.
Les collégiens sont accueillis au collège Marcelle Rivier de Beaumont les Valence. Pour le lycée, l’établissement dont dépend la commune est la Cité scolaire Algoud/Laffemas à Valence[25].
Manifestations culturelles et festivités
Le terrain devant la Grotte de la Dame est un lieu de rassemblement pour les joueurs de didgeridoo.
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, arbres fruitiers, ovins, caprins, porcins[19].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ruines féodales (donjon carré) du château des Cornillans bâti au XIIe siècle. Le site est marqué par les destructions de Simon de Montfort (croisade contre les Albigeois) en 1217 et par celles des troupes de Louis XIII en 1626[18].
- Ruines du château et du vieux village de la Baume Cornillane, Drôme
- Château des Cornillans et panneau, La Baume Cornillane, Drôme
- Le château et le vieux village
- Ruines du vieux village, démonté au XIXe siècle, après la nouvelle répartition de la propriété, pour être rebâti dans la plaine[18].
- Fermes fortes[19].
- Temple du XIXe siècle : cloche XVIIe siècle (classement du 5 juillet 1943[26] au titre des monuments historiques)[19] - [27].
Patrimoine naturel
- Panorama sur le Vercors et la plaine de Chabeuil[19].
- Grotte de la Dame[2] - [19].
- La Cascade du Rif
- Panorama depuis le Pas de la Croix, La Raye
- La Grotte de la Dame
- La Cascade du Rif
Personnalités liées à la commune
Catherine de Cornilhan (XVIe siècle) : châtelaine, fervente huguenote, qui donna son nom à la «grotte de la Dame»[18].
Charles des Alrics de Cornillan (XVIe siècle) : petit-fils de Catherine de Cornilhan, «mestre de camp» de l'armée huguenote sous le commandement du Baron des Adrets, gouverneur de Valréas (1563), de Corps et de Nyons (1568), récompensé par Henri IV pour sa bravoure et sa noble conduite[18].
HĂ©raldique, logotype et devise
Blason | De gueules à la bande d'or chargée de trois corneilles de sable[28]. |
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Détails | Le blason de la commune reprend celui de la famille Cornillan, ou Cornilhan, seigneurs du lieu du XIIe au XVIe siècles. Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Annexes
Bibliographie
- 1906 : Théophile Vernier (pasteur), Un village protestant du Dauphiné (étude historique).
- 1966 : Théophile Vernier, La Baume Cornillane, un village du Dauphiné (2ème édition, revue et augmentée).
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- La Baume-Cornillane sur le site de l'Institut géographique national (archive) / page archivée depuis 2007.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Histoire et patrimoine - La Baume Cornillane - Bienvenue sur le site de la Baume Cornillane ».
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Site ledauphine.com, article Plongée au centre du monde, à La Baume-Cornillane, consulté le 17 décembre 2021.
- Site labaumecornillane.fr, page "Tourisme"
- Site terre-horizon.fr, page Voyage au centre de la Pangée.
- « La Pangée, centre de la Terre », sur Drôme Tourisme (consulté le ).
- martinm#ldap, « Rando patrimoine à La Baume Cornillane », sur www.valenceromansagglo.fr, (consulté le ).
- « Gourmandise drômoise - L'Arbre à fils et la Tortue », sur perezannik.canalblog.com, (consulté le ).
- Matthieu Noli, « Ravioles, caillettes, biscuits, chocolat, vive la gastronomie drômoise ! », sur Le Point, Le Point, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 25 (La Baume Cornillanne).
- « Histoire et patrimoine - La Baume Cornillane - Bienvenue sur le site de la Baume Cornillane » (consulté le ).
- Théophile Vernier (pasteur), Un village protestant du Dauphiné, Paris Genève, 1906, 2nd édition 1966 https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb332143453
- Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Baume-Cornillane.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- https://www.labaumecornillane.fr/au-quotidien/enfance-2/
- « Cloche Notice no PM26000011, base Palissy, ministère français de la Culture. », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « La Baume Cornillane : le temple protestant », sur temples.free.fr (consulté le ).
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.