Jean-Max Albert
Jean-Max Albert, est un peintre, sculpteur, Ă©crivain et musicien français nĂ© le Ă Loches. Il a publiĂ© des ouvrages thĂ©oriques, des livres dâartiste, un recueil de poĂšme et des romans inspirĂ©s par la physique quantique. Jean-Max Albert a poursuivi les thĂ©ories initiĂ©es par Paul Klee et Edgar VarĂšse portant sur la transposition de structures musicales dans le domaine visuel. Il a rĂ©alisĂ© des interventions en milieu public et des sculptures vĂ©gĂ©tales apparentĂ©es aux mouvements : Environmental sculpture, Site-specific art et Generative art.
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Biographie
Jean-Max Albert est nĂ© le Ă Loches, Indre et Loire, fils unique de Louis Georges Albert et Edith Albert (nĂ©e Garand). Son pĂšre Ă©tait officier de marine et ingĂ©nieur. DĂšs son enfance, il pratique la peinture et la musique. Ă l'occasion des vacances chez grand-mĂšre voisine d'une entreprise de charpenterie, il s'intĂ©resse au travail des ouvriers et particuliĂšrement aux tracĂ©s utilisĂ©s pour indiquer les angles d'assemblages et les traits de scies selon une technique â l' art du trait de charpenterie â qui, avec Monge au XVIIIe siĂšcle, fonda la gĂ©omĂ©trie descriptive. Cela inspirera plus tard pour ses constructions en treillage et la sĂ©rie Dessin du charpentier[1].
Albert Ă©tudie Ă lâĂcole rĂ©gionale des beaux-arts d'Angers puis Ă lâĂcole des beaux-arts de Paris, c'est un visiteur assidu du musĂ©e du Louvre. Il dĂ©couvre Claude-Nicolas Ledoux, Louis Kahn, Carlo ScarpaâŠ(1958-1964). Dans le mĂȘme temps, trompettiste du quintette Henri Texier, Alain Tabarnouval, il participe aux dĂ©buts du free jazz en Europe[2].
En 1975, il initie l'exposition de groupe « Serres »[3]. organisĂ©e dans les Ă©tablissements horticoles François Ă Magny-en-Vexin. Le sculpteur Mark di Suvero lâinvite pour un sĂ©jour Ă New York. Nombreux sĂ©jours aux Ătats-Unis, confĂ©rences et workshops Ă University of Kentucky et l'Art Center College of Design, Pasadena, Californie. Il est artiste associĂ© Ă la crĂ©ation de Miller House (atelier Wylde-Oubrerie) Lexington, USA[4]. Il voyage en Europe, en Afrique du Nord, au Moyen-Orient[5]. De 1978 Ă 1986, Albert travaille comme graphiste pour des Ă©ditions scientifiques. Cette expĂ©rience influencera sa relation au sujet[6].
Ă partir de 1981,Albert et sa seconde Ă©pouse Sara Holt collaboreront sur diffĂ©rentes rĂ©alisations en milieu public et expositions[7] - [8] - [9] - [10]. Ils se lient avec des artistes comme Meret Oppenheim, Piotr Kowalski, Joan Mitchell[11]. Ils participent aux travaux et collaborent aux publications de lâassociation Ars Technica (liĂ©e)Ă la CitĂ© des Sciences et de l'Industrie qui rĂ©unit des artistes et des scientifiques : Jean-Marc Levy-Leblond, Piotr Kowalski, Claude Faure, Piero Gilardi, Jean-Claude Mocik[12]. Albert cofonde avec Jean-Claude Mocik le projet Midi-Pile dĂ©butĂ© en 1994[13] - [14].
Ćuvre
Albert recours Ă diffĂ©rentes disciplines, mĂ©dias, style et techniques. Il a de nombreux Ă©changes de vues avec des musiciens tels que György Ligeti, qui envisage une « musique statique », ou Steve Lacy, Barney Wilen, François Tusques[15] au sujet des structures du jazz â celles de Thelonious Monk, en particulier â ou encore relatives aux remarques d'Edgar VarĂšse qui Ă©voquait souvent la gĂ©omĂ©trie dans lâespace Ă propos de ses compositions[16]. Ă partir de ces entretiens et de son expĂ©rience dans le domaine musical, il entreprend de poursuivre une rĂ©flexion initiĂ©e par Paul Klee et Edgar VarĂšse pour rĂ©aliser des constructions formelles en s'inspirant de structures musicales. Cela se traduira par la crĂ©ation de sculptures architecturales, comme Iapetus correspondant Ă la structure de Misterioso, une composition de Thelonious Monk ; par la construction en treillage mĂ©tallique Ligeti (1993, rĂ©alisĂ©e pour le rectorat de Rouen) qui se rĂ©fĂšre aux « surfaces sonores statiques » envisagĂ©es par le compositeur ; par le livre et lâexposition Thelonious Monk Architecte (2001) et par la rĂ©alisation, avec le pianiste et compositeur François Tusques d'une sĂ©rie de quatre-vingt films de court-mĂ©trage : Le tour du blues en 80 mondes[17].
Peinture
Image mentale et reprĂ©sentation[6] publiĂ© en 2018, Ă©tudie la relation sujet/style. L'essai s'appuie sur les travaux du Docteur Jean Philippe (1862-1931) l'image mentale, Ă©volution et dissolution[18], et la sĂ©mantique gĂ©nĂ©rale d'Alfred Korzybski : « Un langage pour ĂȘtre efficace doit ĂȘtre similaire dans sa structure Ă la structure de lâĂ©vĂ©nement quâil entend reprĂ©senter ». Albert met de cĂŽtĂ© et reprend au fil des annĂ©es les sujets qui lâoccupent, son Ćuvre peint ne se prĂȘte pas une approche chronologique divisĂ©e en Ă©poques successives.
Treillage
C'est un entretien avec lâarchitecte Louis Kahn portant sur une comparaison de la relation de la peinture sur une toile avec celle de la vĂ©gĂ©tation sur un support en treillage qui conduira Albert Ă visiter la tradition du treillage de jardin et lâarchitecture utopique du XVIIIe siĂšcle[19] - [20] - [21] Des architectures vĂ©gĂ©tales sont rĂ©alisĂ©es qui rejoignent le Land art et lâArchitectural sculpture de Gordon Matta-Clark ou de Nils Udo, (ami et voisin de lâexposition Kunstlergarten au Wissenschaftszentrum de Bonn en 1979)[22],Vicenza, hĂŽtel de Sully Ă Paris en 1975; O=C=O du Parco dâArte Vivente de Turin en 2007[23] - [24] - [25] - [26] - [27]
Calmoduline
Sur un autre plan que celui des structures musicales, il conçoit un projet tournĂ© vers le monde vĂ©gĂ©tal â en termes de processus biologique. Le projet Calmoduline Monument[28] (1991) sâappuie sur la propriĂ©tĂ© dâune protĂ©ine, la Calmoduline, Ă se lier sĂ©lectivement au calcium. Les contraintes physiques extĂ©rieures (vent, pluie, etc.) modifient le potentiel Ă©lectrique des membranes cellulaires de la plante et, de ce fait, le flux de calcium. Or celui-ci contrĂŽle lâexpression du gĂšne de la calmoduline : la plante peut ainsi, Ă partir de ce stimuli, modifier le plan de croissance « type » quâelle contient. Le principe de base de cette sculpture monumentale est de capter, et de transposer dans la mesure du possible, le systĂšme dâinformation de la plante et de lâafficher Ă une large Ă©chelle. Un diagramme simplifiĂ©, formĂ©s de diodes, restitue le plan de croissance dâune plante (qui se dĂ©veloppe sur la sculpture-treillage elle-mĂȘme). Les variations qui interviennent in vivo font spectacle. InstallĂ© dans un lieu public, le dispositif suggĂšre un niveau fondamental de lâactivitĂ© biologique[29].
Sculptures Bachelard
Au contraire des sculptures monumentales qui sont installĂ©es au sein d'un paysage ou d'un ensemble architectural, chacune des Sculptures de visĂ©es entend concentrer le paysage ou lâarchitecture environnante dans la sculpture elle-mĂȘme[30]. Lorsque lâon regarde par le viseur de la sculpture (une ouverture ou des cercles) un cadrage approximatif de lâespace se propose. En combinant les diffĂ©rentes perspectives, la petite sculpture, gĂ©nĂ©ralement en bronze, prĂ©sente un rĂ©sumĂ© gĂ©omĂ©trique de lâespace indiquĂ©. Elle forme, concentrĂ©, agglomĂ©rĂ© en une sorte de noyau, un modĂšle gĂ©omĂ©trique dâun lieu et de son caractĂšre[31] - [32].
Anamorphose
Un carrĂ© pour un square, Cube fantĂŽme et Reflet anamorphose[33], sont trois rĂ©alisations selon le principe dâanamorphose tel que le dĂ©crit Matilde Marcolli : Avec un espace vectoriel inscrit dans un espace Ă trois dimensions dont les vecteurs ont trois coordonnĂ©es v = (x1, x2, x3), et une valeur λ, alors v = (x1, x2, x3) et le vecteur λv = (λx1, λx2, λx3) se situent sur la mĂȘme ligne droite et reprĂ©sentent les mĂȘmes points dans notre espace projectif[34].
Galerie
- Reflet anamorphose
Parc de La Villette, Paris 1986 - Une aprÚs-midi au Louvre «Monk's dream», 2005
- Thelonious Monk Architecte (Eronel), 2001
- Free Jazz, acrylique sur toile, 233 Ă 490 cm, 1973
- Which year are we in, Sara ?, 1983
- Planches, terrasse du musée de la toile de Jouy,1990
- ââNouveaux voyages du capitaine Cookâ,1984
- ââPortrait de la Loire â,1988, MusĂ©e de la Loire, Cosnes-sur-Loire.
- Photon Propagation, maquette 27 Ă 23 x 21 cm, 2014
- Signification as Factor of Order, Aquarelle 20 Ă 20 cm, 2014
Publications
Essais Poésie Théùtre
- Tuteurs Fabuleux, Paris, Ăditions Speed, 1978. FRBNF34609833
- Lithium Migrants, Paris, Ăditions Cheval dâAttaque, 1981. (ISBN 2-86200-017-5)
- Les nouveaux voyages du capitaine Cook, AngoulĂȘme, Ăditions ACAPA, 1984. (ISBN 2-904353-00-3)
- Thelonious Monk Architect[35], New York, Fleeting white Space, 2001.
- L'espace de profil[36] - [37] - [38] - [39], Les Ăditions de La Villette, Paris, 1993. (ISBN 2-903539-21-9)
- La machine à laver le temps, (théùtre) La comÚte. Mise en scÚne de Miguel Borras, Théùtre des Cinquante, .
- Nos mains sous la neige, (théùtre) La comÚte. Mise en scÚne de Fabrice Scott donnée au théùtre du Trianon, Paris, ; théùtre Adyar, Paris, .
- Le tour du blues en 80 mondes, Paris, Sens & Tonka Ăditeurs, 2005 (ISBN 2-84534-118-0)
- Les QuerpĂ©ens I, Emma Qun'q, Paris, Les Ăditions du Quintelaud, 2009[40] (ISBN 978-2-9533484-0-8)
- La camĂ©ra sans film[41] - [42], Paris, Sens & Tonka Ăditeurs, 1994 (ISBN 2-910170-10-1)
- Les QuerpĂ©ens II, Ray Quernöck, Paris, Les Ăditions du Quintelaud, 2012 (ISBN 978-2-9533484-5-3)
- Image mentale et reprĂ©sentation = Mental image and representation, Translation by Helen Arnold, Ăditions Mercier & associĂ©s, Paris 2018 (ISBN 978-2-9563142-1-9)
Articles
- « Soulages », Opus, no 57, 1975.
- « De l'architecture transparente », Opus, no 65, 1978.
- « De l'architecture transparente », Lotus international, no 31, 1982[43].
- « Vuthemas », Ars technica, no 4, 1991.
- « Mathesis singularis », Ars technica, no 7, 1992.
- « Une obscurité infiniment lumineuse », Alliages, no 19, 1994.
- « Jean-Bernard MĂ©tais et Sir George H. Darwin », in Temps imparti, Paris, Ăditions Beaudoin Lebon, 2002.
- « Thelonious Monk architecte », in L'art du jazz, Paris, Ăditions Le FĂ©lin, 2009[44].
- « Piotr Kowalski, A contemporaryâs Insights », in Far-Sited : California International Sculpture Symposium 1965/2015, University Art Museum, California State University, Long Beach, USA, 2018
Chorégraphies et Vidéos
- A treat, Espaces structurés, vidéos d'Hervé Nisic et chorégraphies de Michala Marcus et Jean-Max Albert, musique de Kent Carter[45].
- Morgane Amalia, chorĂ©graphie avec Michala Marcus, 2e symposium d'art contemporain d'AngoulĂȘme, 1980[46].
- Le tour du Blues en 80 mondes, quatre vingts films de court-métrage avec le pianiste et compositeur François Tusques[47] - [48].
- Kaluza[49], vingt et une piÚces pour piano et chorégraphie avec Sarah Berges. Sarah Berges Dance, San Francisco, Dance Mission Theatre, 2013.
Expositions
Participations
Vers une nouvelle architecture, Centre Georges Pompidou, Paris, 1978 ; Sculpture Nature, Centre d'Arts Plastiques Contemporain, Bordeaux, France,1978; KĂŒnstler-Garten, Wissenschaftszentrum, Bonn, Germany, 1979; A la recherche de l'urbanitĂ©[50], Centre Georges Pompidou, Paris, 1980; Actuele Franse Kunst[51], International Cultureel Centrum, Antwerpen, Belgium, 1982; Pavillon d'Europe, Galerie de SĂ©oul, Seoul, Korea, 1982; Images et imaginaires d'architecture, Centre Georges Pompidou, Paris, 1984; Inventer 89[52], Grande halle du Parc de la Villette, Paris, 1987; L'art au dĂ©fi des technosciences? Pavillon Tusquet, Parc de la Villette, Paris, 1992; L'art renouvelle la ville, MusĂ©e National des Monuments Français, Paris, 1992; Ars Technica, ExtraMuseum, Turin, Italy, 1992; Useless Science, MoMa, New York, USA, 2000; Fragmentations a constructed world, MusĂ©e dâArt et dâHistoire de Saint-Brieux[53], 2007; Dalla Land arte alla bioarte[54], Parco d'Arte Vivante, Turin, Italy, 2007; Tables Ă Desseins[55], La tannerie, BĂ©gard France 2013; Du dessin Ă la sculpture[56], MusĂ©e Manoli, La Richardais, France, 2014.
Personnelles
AR CO, Lisbonne, Portugal, 1979; Lithium Migrants, Galerie Françoise Palluel, Paris, 1981 and Galerie Richard Foncke, Gand, Belgium, 1981; Lumen poÚme[57] - [58] CRDC, Rosny-sur-Seine, 1984; Galerie Charles Sablon, Paris, 1987[59] - [60] - [61]; Galerie Intersection 11/20, Paris, 1991; Fleeting White Space, Antwerpen, Belgium, 1994[62]; Galerie Aïda Kebadian, Paris, 2001, 2002, 2010; Galerie Mercier & Associés, Paris, 2018, 2020[10] - [63]
Ćuvres dans l'espace public
Exhibition HĂŽtel de Sully, Paris, 1977
Vicenza, hĂŽtel de Sully, Paris, 1977 * Attique, KĂŒnstler-Garten, Wissenschaftszentrum, Bonn, RFA, 1979 * Iapetus[64] - [65], Parc de l'Ă©cole des beaux-arts, AngoulĂȘme, 1985, 45°39â15.246ââN0°8â54.834ââE * Rayon, Centre culturel français, Damas, Syrie, 1986 * Sculptures de visĂ©es[66] - [67], Parc de La Villette, Paris, 1986, 48°53â33.8ââN2°23â26ââE * Cube fantĂŽme, ZI de Goussainville, 1986 * Autumn in Peking, South Pasadena, USA, 1987, 34°6â40â435ââN118°8â33.619ââW* Vers l'Ă©toile polaire, Parc des Maillettes, Melun-SĂ©nart,1987 * Un carrĂ© pour un square[68] - [69], Place FrĂ©hel, Paris, 1988 * Une horloge vĂ©gĂ©tale, square HĂ©loĂŻse-et-AbĂ©lard, no 24 rue Dunois, Paris , 1988, 48°49â52.745N2°22â13.12ââE * Planches[70], Terrasse du MusĂ©e de la toile de Jouy, Ă Jouy-en-Josas, 1990, 48°46â8.591ââN2°9â5.868ââE * Ligeti, Rectorat de Rouen, 1994, 49°26â35ââN1°5â4.6ââE * Auriga, Rond-point Montaigne, Angers, 1995, 47°27â59ââN 0°31â30ââW * Tombeau de Bartillat, EtrĂ©pilly, 1997, 49°2â18ââN 2°55â53.2ââE
Collections publiques
Paris, Centre Pompidou : ĂlĂ©ments pour Brancusi, 1980[71] * Frac Bretagne, 1982[72] * Fonds national d'art contemporain : Acronesia Mutikos, 1982[73] * Angers, ArtothĂšque : PassĂ© composĂ©, 1984 * Frac Poitou-Charentes : Iapetus, 1984 * Fonds national d'art contemporain : deux Sculptures de visĂ©es, 1989 * Ăvry, musĂ©e Paul-Delouvrier : Que voit-on quand on ne regarde pas ?, 1989[74] * MusĂ©e de la Loire, Cosne-Cours-sur-Loire: Portrait de la Loire , 1988.
Notes et références
- François Lamarre, « Jean-Max Albert illusioniste Ă©clectique », Lâempreinte, no 27, dĂ©cembre 1994.
- Sous la direction de Philippe Carles, Jean-Louis Comolli et AndrĂ© Clergeat, Dictionnaire du jazz, Ăditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1994.
- Michel Cosnil-Lacoste, « Cimaises en rase campagne », Le Monde, 7 juillet 1975.
- José Oubrerie, « Miller House », GA, no 35, Juillet 1992.
- Réalisation pour le centre culturel français de Damas, 1986.
- https://jeanmaxalbert.eu/wp-content/uploads/2019/04/images_mentales.pdf
- Bruno Suner, « Relier ciel et ville », Urbanisme, no 219, 1987
- Carole Naggar, Lumen poĂšme, Centre RĂ©gional d'Art Contemporain, Rosny-sur-Seine, 1984
- Jean-Louis Pradel, Lumen de Sara Holt et Jean-Max Albert, L'ĂvĂ©nement du jeudi, 8 novembre 1984
- http://www.mercieretassocies.com/img/sarah-holt-2018/octobre_2018.pdf
- Patricia Albers, Joan Mitchell : Lady Painter, A life, Knof, 2011.
- ArsMeteo http://www.arsmeteo.org/arsmeteo/main.php?page=evento&id=107&height=640&width=800
- artshebdomedias.com.
- « Holt, Albert, Mocik », sur ArtsHebdoMédias (consulté le ).
- Jedediah Sklower, Free Jazz, la catastrophe féconde, L'Harmattan, Paris, 2006.
- Philippe Lalitte, « Rythme et espace chez VarÚse », Filigrane (en ligne)
- issuu.com/.
- L'image mentale, Ă©volution et dissolution, Paris: FĂ©lix Alcan Editeur, 1903.https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58069835/f85.item.texteImage
- Jean-Louis Pradel, « Les monuments de treillage de Jean-Max Albert », Opus, no 65, 1978.
- Hubert Beylier, BĂ©nĂ©dicte Leclerc, Treillage de jardin du XIV au XXe siĂšcle, Paris, Ăditions du patrimoine, 2000, p. 172-173.
- L'ivre de pierre.
- Wolfgang Becker, Sculpture Nature, Bordeaux, Centre d'Arts Plastiques Contemporain, 1980.
- Jean-Max Albert O=C=O, Franco Torriani, Dalla Land arte alla bioarte, Hopefulmonster editore Torino, 2007, p. 64-70.
- Bruno Suner, « L'art du passage à Saint Nazaire », Urbanisme, no 214, 1986.
- Jean-Paul Pigeat, Jean-Max Albert et Emilio Ambasz, « Le nymphée et la profondeur », Manuel des jardins de Chaumont, 1996.
- Dominique Richir, « Tuteurs Fabuleux », Opus, no 64, octobre 1976.
- Françoise Very, Ce que les sculptures de Jean-Max Albert et Sara Holt donnent Ă voir de lâarchitecture = What Jean-Max Albertâs and Sara Holtâs sculptures show us of architecture.In Situ 32 | 2017 : Le collectif Ă l'Ćuvre. Collaborations entre architectes et plasticiens (XXeâââXXIe siĂšcles)
- Jean-Max Albert, L'espace de profil, Les Ăditions de La Villette, Paris, 1993, p. 144.
- (en) Intra-and Intercellular Communications in Plants, Millet & Greppin Editors, Paris, INRA, 1980, p. 117.
- Bruno Suner, « Les sculptures de visées du Parc de La Villette », Urbanisme, no 215, 1986.
- Jardin-de-la-Treille, wikimapia.
- Las Miras del Jardin de la Parra.
- Matilde Marcolli Lumen Naturae The MIT Press, Cambridge, Massachussetts, 2020, p.54,56
- Matilde Marcolli, The notion of Space in Mathematics through the lens of Modern Art, Century Books, Pasadena, July 2016
- Pablo DurĂ n, « Monk visĂ© par l'objectivitĂ© du rĂ©el », Aurora, no 9, Ăditions Impeccables, 1999.
- Marseille, musĂ©e dâart contemporain, L'Espace de profil/ Space in Profile
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- Frédéric Mialet, Exercice sur le vide, D'A n° 45, mai 1994
- Florence Goyat, Lâespace de profil = Space in Profile, de Jean-Max Albert. Critique dâart n° 3, avril 1994
- Béatrice Nodé-Langlois, "Les Querpéens" de Jean-Max Albert, La Critique parisienne, n°61, avril 2009.
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- Derry O'Sullivan, Ceamara/Camera, Paris, Estepa Ăditions, 2010.
- Lotus international
- L'art du jazz
- Projections : La Vitrine, Paris; American Center, Paris ; Global Village, New York ; The Kitchen, New York, 1981. Julie Gustafson, Global Village Program 1981, New York
- Dominique Richir, Morgane Amalia, Opus no 77, 1980
- Principales projections : Bay area reading, Berkeley University, USA, 2007, et Free Jazz Cinéma journées approxinématives, théùtre de Montreuil, 2007
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- F Reynaert, Inventer 89, Libération, 13 octobre 1987
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- Jean-Louis Pradel, Lumen de Sara Holt et Jean-Max Albert, L'événement du jeudi, 8 novembre 1989
- Jean-Louis Pradel, Jean-Max Albert, LâEvĂ©nement du jeudi, 17 septembre 1987
- France Huser, Jean-Max Albert, Galerie Charles Sablon, Le nouvel observateur, 25 septembre 1987
- Anne Dagbert, Jean-Max Albert, Galerie Charles Sablon, Art Press n°119, 1987
- Sarah Mc Fadden ââJean-Max Albert «Sculptures»ââ, The Bulletin n°24, Bruxelles, June 16th 1994
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- Michel Ragon, Jean-Max Albert «Iapetus», Lâart abstrait vol.5, Ăditions Maeght, Paris, 1989,
- FRAC Poitou-CharentesFRAC Poitou-Charente
- ââLes jardins du parc de la Villetteââ,Les jardins du parc de la Villette
- ââGarden VisitââParc de La Villette (in Englih)
- ââFresques-et-murs-peints-parisiensââFresques et murs-peint parisiens
- Monique Faux, L'art renouvelle la ville, Editions Skira, Paris 1992
- Musée de la toile de Jouy
- Centre Pompidou
- fracbretagne.fr
- cnap.fr
- Musée Paul Delouvrier