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Jean-Max Albert

Jean-Max Albert, est un peintre, sculpteur, Ă©crivain et musicien français nĂ© le Ă  Loches. Il a publiĂ© des ouvrages thĂ©oriques, des livres d’artiste, un recueil de poĂšme et des romans inspirĂ©s par la physique quantique. Jean-Max Albert a poursuivi les thĂ©ories initiĂ©es par Paul Klee et Edgar VarĂšse portant sur la transposition de structures musicales dans le domaine visuel. Il a rĂ©alisĂ© des interventions en milieu public et des sculptures vĂ©gĂ©tales apparentĂ©es aux mouvements : Environmental sculpture, Site-specific art et Generative art.

Jean-Max Albert
Portrait de Jean-Max Albert par Sara Holt (2021).
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Biographie

Dessin du chapentier XI, Bolide statique (1993).

Jean-Max Albert est nĂ© le Ă  Loches, Indre et Loire, fils unique de Louis Georges Albert et Edith Albert (nĂ©e Garand). Son pĂšre Ă©tait officier de marine et ingĂ©nieur. DĂšs son enfance, il pratique la peinture et la musique. À l'occasion des vacances chez grand-mĂšre voisine d'une entreprise de charpenterie, il s'intĂ©resse au travail des ouvriers et particuliĂšrement aux tracĂ©s utilisĂ©s pour indiquer les angles d'assemblages et les traits de scies selon une technique — l' art du trait de charpenterie — qui, avec Monge au XVIIIe siĂšcle, fonda la gĂ©omĂ©trie descriptive. Cela inspirera plus tard pour ses constructions en treillage et la sĂ©rie Dessin du charpentier[1].

Albert Ă©tudie Ă  l’École rĂ©gionale des beaux-arts d'Angers puis Ă  l’École des beaux-arts de Paris, c'est un visiteur assidu du musĂ©e du Louvre. Il dĂ©couvre Claude-Nicolas Ledoux, Louis Kahn, Carlo Scarpa
(1958-1964). Dans le mĂȘme temps, trompettiste du quintette Henri Texier, Alain Tabarnouval, il participe aux dĂ©buts du free jazz en Europe[2].

En 1975, il initie l'exposition de groupe « Serres »[3]. organisĂ©e dans les Ă©tablissements horticoles François Ă  Magny-en-Vexin. Le sculpteur Mark di Suvero l’invite pour un sĂ©jour Ă  New York. Nombreux sĂ©jours aux États-Unis, confĂ©rences et workshops Ă  University of Kentucky et l'Art Center College of Design, Pasadena, Californie. Il est artiste associĂ© Ă  la crĂ©ation de Miller House (atelier Wylde-Oubrerie) Lexington, USA[4]. Il voyage en Europe, en Afrique du Nord, au Moyen-Orient[5]. De 1978 Ă  1986, Albert travaille comme graphiste pour des Ă©ditions scientifiques. Cette expĂ©rience influencera sa relation au sujet[6].

À partir de 1981,Albert et sa seconde Ă©pouse Sara Holt collaboreront sur diffĂ©rentes rĂ©alisations en milieu public et expositions[7] - [8] - [9] - [10]. Ils se lient avec des artistes comme Meret Oppenheim, Piotr Kowalski, Joan Mitchell[11]. Ils participent aux travaux et collaborent aux publications de l’association Ars Technica (liĂ©e)Ă  la CitĂ© des Sciences et de l'Industrie qui rĂ©unit des artistes et des scientifiques : Jean-Marc Levy-Leblond, Piotr Kowalski, Claude Faure, Piero Gilardi, Jean-Claude Mocik[12]. Albert cofonde avec Jean-Claude Mocik le projet Midi-Pile dĂ©butĂ© en 1994[13] - [14].

ƒuvre

Albert recours Ă  diffĂ©rentes disciplines, mĂ©dias, style et techniques. Il a de nombreux Ă©changes de vues avec des musiciens tels que György Ligeti, qui envisage une « musique statique », ou Steve Lacy, Barney Wilen, François Tusques[15] au sujet des structures du jazz — celles de Thelonious Monk, en particulier — ou encore relatives aux remarques d'Edgar VarĂšse qui Ă©voquait souvent la gĂ©omĂ©trie dans l’espace Ă  propos de ses compositions[16]. À partir de ces entretiens et de son expĂ©rience dans le domaine musical, il entreprend de poursuivre une rĂ©flexion initiĂ©e par Paul Klee et Edgar VarĂšse pour rĂ©aliser des constructions formelles en s'inspirant de structures musicales. Cela se traduira par la crĂ©ation de sculptures architecturales, comme Iapetus correspondant Ă  la structure de Misterioso, une composition de Thelonious Monk ; par la construction en treillage mĂ©tallique Ligeti (1993, rĂ©alisĂ©e pour le rectorat de Rouen) qui se rĂ©fĂšre aux « surfaces sonores statiques » envisagĂ©es par le compositeur ; par le livre et l’exposition Thelonious Monk Architecte (2001) et par la rĂ©alisation, avec le pianiste et compositeur François Tusques d'une sĂ©rie de quatre-vingt films de court-mĂ©trage : Le tour du blues en 80 mondes[17].

Peinture

Image mentale et reprĂ©sentation[6] publiĂ© en 2018, Ă©tudie la relation sujet/style. L'essai s'appuie sur les travaux du Docteur Jean Philippe (1862-1931) l'image mentale, Ă©volution et dissolution[18], et la sĂ©mantique gĂ©nĂ©rale d'Alfred Korzybski : « Un langage pour ĂȘtre efficace doit ĂȘtre similaire dans sa structure Ă  la structure de l’évĂ©nement qu’il entend reprĂ©senter ». Albert met de cĂŽtĂ© et reprend au fil des annĂ©es les sujets qui l’occupent, son Ɠuvre peint ne se prĂȘte pas une approche chronologique divisĂ©e en Ă©poques successives.

Treillage

Lumen poĂšme (1985).

C'est un entretien avec l’architecte Louis Kahn portant sur une comparaison de la relation de la peinture sur une toile avec celle de la vĂ©gĂ©tation sur un support en treillage qui conduira Albert Ă  visiter la tradition du treillage de jardin et l’architecture utopique du XVIIIe siĂšcle[19] - [20] - [21] Des architectures vĂ©gĂ©tales sont rĂ©alisĂ©es qui rejoignent le Land art et l’Architectural sculpture de Gordon Matta-Clark ou de Nils Udo, (ami et voisin de l’exposition Kunstlergarten au Wissenschaftszentrum de Bonn en 1979)[22],Vicenza, hĂŽtel de Sully Ă  Paris en 1975; O=C=O du Parco d’Arte Vivente de Turin en 2007[23] - [24] - [25] - [26] - [27]

Calmoduline

Sur un autre plan que celui des structures musicales, il conçoit un projet tournĂ© vers le monde vĂ©gĂ©tal — en termes de processus biologique. Le projet Calmoduline Monument[28] (1991) s’appuie sur la propriĂ©tĂ© d’une protĂ©ine, la Calmoduline, Ă  se lier sĂ©lectivement au calcium. Les contraintes physiques extĂ©rieures (vent, pluie, etc.) modifient le potentiel Ă©lectrique des membranes cellulaires de la plante et, de ce fait, le flux de calcium. Or celui-ci contrĂŽle l’expression du gĂšne de la calmoduline : la plante peut ainsi, Ă  partir de ce stimuli, modifier le plan de croissance « type » qu’elle contient. Le principe de base de cette sculpture monumentale est de capter, et de transposer dans la mesure du possible, le systĂšme d’information de la plante et de l’afficher Ă  une large Ă©chelle. Un diagramme simplifiĂ©, formĂ©s de diodes, restitue le plan de croissance d’une plante (qui se dĂ©veloppe sur la sculpture-treillage elle-mĂȘme). Les variations qui interviennent in vivo font spectacle. InstallĂ© dans un lieu public, le dispositif suggĂšre un niveau fondamental de l’activitĂ© biologique[29].

Sculptures Bachelard

Au contraire des sculptures monumentales qui sont installĂ©es au sein d'un paysage ou d'un ensemble architectural, chacune des Sculptures de visĂ©es entend concentrer le paysage ou l’architecture environnante dans la sculpture elle-mĂȘme[30]. Lorsque l’on regarde par le viseur de la sculpture (une ouverture ou des cercles) un cadrage approximatif de l’espace se propose. En combinant les diffĂ©rentes perspectives, la petite sculpture, gĂ©nĂ©ralement en bronze, prĂ©sente un rĂ©sumĂ© gĂ©omĂ©trique de l’espace indiquĂ©. Elle forme, concentrĂ©, agglomĂ©rĂ© en une sorte de noyau, un modĂšle gĂ©omĂ©trique d’un lieu et de son caractĂšre[31] - [32].

Anamorphose

Un carrĂ© pour un square, Cube fantĂŽme et Reflet anamorphose[33], sont trois rĂ©alisations selon le principe d’anamorphose tel que le dĂ©crit Matilde Marcolli : Avec un espace vectoriel inscrit dans un espace Ă  trois dimensions dont les vecteurs ont trois coordonnĂ©es v = (x1, x2, x3), et une valeur λ, alors v = (x1, x2, x3) et le vecteur λv = (λx1, λx2, λx3) se situent sur la mĂȘme ligne droite et reprĂ©sentent les mĂȘmes points dans notre espace projectif[34].

Galerie

  • Reflet anamorphose Parc de La Villette, Paris 1986
    Reflet anamorphose
    Parc de La Villette, Paris 1986
  • Une aprĂšs-midi au Louvre «Monk's dream», 2005
    Une aprÚs-midi au Louvre «Monk's dream», 2005
  • Thelonious Monk Architecte (Eronel), 2001
    Thelonious Monk Architecte (Eronel), 2001
  • Free Jazz, acrylique sur toile, 233 Ă— 490 cm, 1973
    Free Jazz, acrylique sur toile, 233 Ă— 490 cm, 1973
  • Which year are we in, Sara ?, 1983
    Which year are we in, Sara ?, 1983
  • Planches, terrasse du musĂ©e de la toile de Jouy,1990
    Planches, terrasse du musée de la toile de Jouy,1990
  • ‘’Nouveaux voyages du capitaine Cook”,1984
    ‘’Nouveaux voyages du capitaine Cook”,1984
  • ‘’Portrait de la Loire ”,1988, MusĂ©e de la Loire, Cosnes-sur-Loire.
    ‘’Portrait de la Loire ”,1988, MusĂ©e de la Loire, Cosnes-sur-Loire.
  • Photon Propagation, maquette 27 Ă— 23 x 21 cm, 2014
    Photon Propagation, maquette 27 Ă— 23 x 21 cm, 2014
  • Signification as Factor of Order, Aquarelle 20 Ă— 20 cm, 2014
    Signification as Factor of Order, Aquarelle 20 Ă— 20 cm, 2014

Publications

Essais Poésie Théùtre

  • Tuteurs Fabuleux, Paris, Éditions Speed, 1978. FRBNF34609833
  • Lithium Migrants, Paris, Éditions Cheval d’Attaque, 1981. (ISBN 2-86200-017-5)
  • Les nouveaux voyages du capitaine Cook, AngoulĂȘme, Éditions ACAPA, 1984. (ISBN 2-904353-00-3)
  • Thelonious Monk Architect[35], New York, Fleeting white Space, 2001.
  • L'espace de profil[36] - [37] - [38] - [39], Les Éditions de La Villette, Paris, 1993. (ISBN 2-903539-21-9)
  • La machine Ă  laver le temps, (thĂ©Ăątre) La comĂšte. Mise en scĂšne de Miguel Borras, ThĂ©Ăątre des Cinquante, .
  • Nos mains sous la neige, (thĂ©Ăątre) La comĂšte. Mise en scĂšne de Fabrice Scott donnĂ©e au thĂ©Ăątre du Trianon, Paris, ; thĂ©Ăątre Adyar, Paris, .
  • Le tour du blues en 80 mondes, Paris, Sens & Tonka Éditeurs, 2005 (ISBN 2-84534-118-0)
  • Les QuerpĂ©ens I, Emma Qun'q, Paris, Les Éditions du Quintelaud, 2009[40] (ISBN 978-2-9533484-0-8)
  • La camĂ©ra sans film[41] - [42], Paris, Sens & Tonka Éditeurs, 1994 (ISBN 2-910170-10-1)
  • Les QuerpĂ©ens II, Ray Quernöck, Paris, Les Éditions du Quintelaud, 2012 (ISBN 978-2-9533484-5-3)
  • Image mentale et reprĂ©sentation = Mental image and representation, Translation by Helen Arnold, Éditions Mercier & associĂ©s, Paris 2018 (ISBN 978-2-9563142-1-9)

Articles

  • « Soulages », Opus, no 57, 1975.
  • « De l'architecture transparente », Opus, no 65, 1978.
  • « De l'architecture transparente », Lotus international, no 31, 1982[43].
  • « Vuthemas », Ars technica, no 4, 1991.
  • « Mathesis singularis », Ars technica, no 7, 1992.
  • « Une obscuritĂ© infiniment lumineuse », Alliages, no 19, 1994.
  • « Jean-Bernard MĂ©tais et Sir George H. Darwin », in Temps imparti, Paris, Éditions Beaudoin Lebon, 2002.
  • « Thelonious Monk architecte », in L'art du jazz, Paris, Éditions Le FĂ©lin, 2009[44].
  • « Piotr Kowalski, A contemporary’s Insights », in Far-Sited : California International Sculpture Symposium 1965/2015, University Art Museum, California State University, Long Beach, USA, 2018

Chorégraphies et Vidéos

Kaluza, ballet, 2013.
  • A treat, Espaces structurĂ©s, vidĂ©os d'HervĂ© Nisic et chorĂ©graphies de Michala Marcus et Jean-Max Albert, musique de Kent Carter[45].
  • Morgane Amalia, chorĂ©graphie avec Michala Marcus, 2e symposium d'art contemporain d'AngoulĂȘme, 1980[46].
  • Le tour du Blues en 80 mondes, quatre vingts films de court-mĂ©trage avec le pianiste et compositeur François Tusques[47] - [48].
  • Kaluza[49], vingt et une piĂšces pour piano et chorĂ©graphie avec Sarah Berges. Sarah Berges Dance, San Francisco, Dance Mission Theatre, 2013.

Expositions

Participations

Vers une nouvelle architecture, Centre Georges Pompidou, Paris, 1978 ; Sculpture Nature, Centre d'Arts Plastiques Contemporain, Bordeaux, France,1978; KĂŒnstler-Garten, Wissenschaftszentrum, Bonn, Germany, 1979; A la recherche de l'urbanitĂ©[50], Centre Georges Pompidou, Paris, 1980; Actuele Franse Kunst[51], International Cultureel Centrum, Antwerpen, Belgium, 1982; Pavillon d'Europe, Galerie de SĂ©oul, Seoul, Korea, 1982; Images et imaginaires d'architecture, Centre Georges Pompidou, Paris, 1984; Inventer 89[52], Grande halle du Parc de la Villette, Paris, 1987; L'art au dĂ©fi des technosciences? Pavillon Tusquet, Parc de la Villette, Paris, 1992; L'art renouvelle la ville, MusĂ©e National des Monuments Français, Paris, 1992; Ars Technica, ExtraMuseum, Turin, Italy, 1992; Useless Science, MoMa, New York, USA, 2000; Fragmentations a constructed world, MusĂ©e d’Art et d’Histoire de Saint-Brieux[53], 2007; Dalla Land arte alla bioarte[54], Parco d'Arte Vivante, Turin, Italy, 2007; Tables Ă  Desseins[55], La tannerie, BĂ©gard France 2013; Du dessin Ă  la sculpture[56], MusĂ©e Manoli, La Richardais, France, 2014.

Personnelles

AR CO, Lisbonne, Portugal, 1979; Lithium Migrants, Galerie Françoise Palluel, Paris, 1981 and Galerie Richard Foncke, Gand, Belgium, 1981; Lumen poÚme[57] - [58] CRDC, Rosny-sur-Seine, 1984; Galerie Charles Sablon, Paris, 1987[59] - [60] - [61]; Galerie Intersection 11/20, Paris, 1991; Fleeting White Space, Antwerpen, Belgium, 1994[62]; Galerie Aïda Kebadian, Paris, 2001, 2002, 2010; Galerie Mercier & Associés, Paris, 2018, 2020[10] - [63]

ƒuvres dans l'espace public

Vicenza
Exhibition HĂŽtel de Sully, Paris, 1977

Vicenza, hĂŽtel de Sully, Paris, 1977 * Attique, KĂŒnstler-Garten, Wissenschaftszentrum, Bonn, RFA, 1979 * Iapetus[64] - [65], Parc de l'Ă©cole des beaux-arts, AngoulĂȘme, 1985, 45°39’15.246’’N0°8’54.834’’E * Rayon, Centre culturel français, Damas, Syrie, 1986 * Sculptures de visĂ©es[66] - [67], Parc de La Villette, Paris, 1986, 48°53’33.8’’N2°23’26’’E * Cube fantĂŽme, ZI de Goussainville, 1986 * Autumn in Peking, South Pasadena, USA, 1987, 34°6’40’435’’N118°8’33.619’’W* Vers l'Ă©toile polaire, Parc des Maillettes, Melun-SĂ©nart,1987 * Un carrĂ© pour un square[68] - [69], Place FrĂ©hel, Paris, 1988 * Une horloge vĂ©gĂ©tale, square HĂ©loĂŻse-et-AbĂ©lard, no 24 rue Dunois, Paris , 1988, 48°49’52.745N2°22’13.12’’E * Planches[70], Terrasse du MusĂ©e de la toile de Jouy, Ă  Jouy-en-Josas, 1990, 48°46’8.591’’N2°9’5.868’’E * Ligeti, Rectorat de Rouen, 1994, 49°26’35’’N1°5’4.6’’E * Auriga, Rond-point Montaigne, Angers, 1995, 47°27’59’’N 0°31’30’’W * Tombeau de Bartillat, EtrĂ©pilly, 1997, 49°2’18’’N 2°55’53.2’’E

Collections publiques

Paris, Centre Pompidou : ÉlĂ©ments pour Brancusi, 1980[71] * Frac Bretagne, 1982[72] * Fonds national d'art contemporain : Acronesia Mutikos, 1982[73] * Angers, ArtothĂšque : PassĂ© composĂ©, 1984 * Frac Poitou-Charentes : Iapetus, 1984 * Fonds national d'art contemporain : deux Sculptures de visĂ©es, 1989 * Évry, musĂ©e Paul-Delouvrier : Que voit-on quand on ne regarde pas ?, 1989[74] * MusĂ©e de la Loire, Cosne-Cours-sur-Loire: Portrait de la Loire , 1988.

Notes et références

  1. François Lamarre, « Jean-Max Albert illusioniste Ă©clectique », L’empreinte, no 27, dĂ©cembre 1994.
  2. Sous la direction de Philippe Carles, Jean-Louis Comolli et AndrĂ© Clergeat, Dictionnaire du jazz, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1994.
  3. Michel Cosnil-Lacoste, « Cimaises en rase campagne », Le Monde, 7 juillet 1975.
  4. José Oubrerie, « Miller House », GA, no 35, Juillet 1992.
  5. Réalisation pour le centre culturel français de Damas, 1986.
  6. https://jeanmaxalbert.eu/wp-content/uploads/2019/04/images_mentales.pdf
  7. Bruno Suner, « Relier ciel et ville », Urbanisme, no 219, 1987
  8. Carole Naggar, Lumen poĂšme, Centre RĂ©gional d'Art Contemporain, Rosny-sur-Seine, 1984
  9. Jean-Louis Pradel, Lumen de Sara Holt et Jean-Max Albert, L'ÉvĂ©nement du jeudi, 8 novembre 1984
  10. http://www.mercieretassocies.com/img/sarah-holt-2018/octobre_2018.pdf
  11. Patricia Albers, Joan Mitchell : Lady Painter, A life, Knof, 2011.
  12. ArsMeteo http://www.arsmeteo.org/arsmeteo/main.php?page=evento&id=107&height=640&width=800
  13. artshebdomedias.com.
  14. « Holt, Albert, Mocik », sur ArtsHebdoMédias (consulté le ).
  15. Jedediah Sklower, Free Jazz, la catastrophe féconde, L'Harmattan, Paris, 2006.
  16. Philippe Lalitte, « Rythme et espace chez VarÚse », Filigrane (en ligne)
  17. issuu.com/.
  18. L'image mentale, Ă©volution et dissolution, Paris: FĂ©lix Alcan Editeur, 1903.https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58069835/f85.item.texteImage
  19. Jean-Louis Pradel, « Les monuments de treillage de Jean-Max Albert », Opus, no 65, 1978.
  20. Hubert Beylier, BĂ©nĂ©dicte Leclerc, Treillage de jardin du XIV au XXe siĂšcle, Paris, Éditions du patrimoine, 2000, p. 172-173.
  21. L'ivre de pierre.
  22. Wolfgang Becker, Sculpture Nature, Bordeaux, Centre d'Arts Plastiques Contemporain, 1980.
  23. Jean-Max Albert O=C=O, Franco Torriani, Dalla Land arte alla bioarte, Hopefulmonster editore Torino, 2007, p. 64-70.
  24. Bruno Suner, « L'art du passage à Saint Nazaire », Urbanisme, no 214, 1986.
  25. Jean-Paul Pigeat, Jean-Max Albert et Emilio Ambasz, « Le nymphée et la profondeur », Manuel des jardins de Chaumont, 1996.
  26. Dominique Richir, « Tuteurs Fabuleux », Opus, no 64, octobre 1976.
  27. Françoise Very, Ce que les sculptures de Jean-Max Albert et Sara Holt donnent à voir de l’architecture = What Jean-Max Albert’s and Sara Holt’s sculptures show us of architecture.In Situ 32 | 2017 : Le collectif à l'Ɠuvre. Collaborations entre architectes et plasticiens (XXe – XXIe siùcles)
  28. Jean-Max Albert, L'espace de profil, Les Éditions de La Villette, Paris, 1993, p. 144.
  29. (en) Intra-and Intercellular Communications in Plants, Millet & Greppin Editors, Paris, INRA, 1980, p. 117.
  30. Bruno Suner, « Les sculptures de visées du Parc de La Villette », Urbanisme, no 215, 1986.
  31. Jardin-de-la-Treille, wikimapia.
  32. Las Miras del Jardin de la Parra.
  33. Matilde Marcolli Lumen Naturae The MIT Press, Cambridge, Massachussetts, 2020, p.54,56
  34. Matilde Marcolli, The notion of Space in Mathematics through the lens of Modern Art, Century Books, Pasadena, July 2016
  35. Pablo DurĂ n, « Monk visĂ© par l'objectivitĂ© du rĂ©el », Aurora, no 9, Éditions Impeccables, 1999.
  36. Marseille, musĂ©e d’art contemporain, L'Espace de profil/ Space in Profile
  37. Space in profile/ L'espace de profil,
  38. Frédéric Mialet, Exercice sur le vide, D'A n° 45, mai 1994
  39. Florence Goyat, L’espace de profil = Space in Profile, de Jean-Max Albert. Critique d’art n° 3, avril 1994
  40. Béatrice Nodé-Langlois, "Les Querpéens" de Jean-Max Albert, La Critique parisienne, n°61, avril 2009.
  41. Derry O'Sullivan, Ceamara Jean-Max Albert, Dublin, An Guth, 2008.
  42. Derry O'Sullivan, Ceamara/Camera, Paris, Estepa Éditions, 2010.
  43. Lotus international
  44. L'art du jazz
  45. Projections : La Vitrine, Paris; American Center, Paris ; Global Village, New York ; The Kitchen, New York, 1981. Julie Gustafson, Global Village Program 1981, New York
  46. Dominique Richir, Morgane Amalia, Opus no 77, 1980
  47. Principales projections : Bay area reading, Berkeley University, USA, 2007, et Free Jazz Cinéma journées approxinématives, théùtre de Montreuil, 2007
  48. (en) Clifford Allen, « François Tusques », The New York City Jazz Record, juin 2011, p. 10 ([PDF]en ligne)
  49. http://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=http%3A%2F%2Fwww.sarahbergesdance.com%2Fabout%2Frepertory%2Findex.html
  50. Un pavillon de treillage à Pau, Biennale de Paris, CCI Centre Georges Pompidou, Éditions Academy, Paris, 1980
  51. Jean-Louis Pradel, Actuele Franse Kunst, International Cultureel Centrum-Antwerpen,
  52. F Reynaert, Inventer 89, Libération, 13 octobre 1987
  53. « Archived copy » [archive du ] (consulté le )Fragmentations a constructed world
  54. Dalla Land arte alla bioarte
  55. Tables Ă  Desseins
  56. [Du dessin à la sculpture « Archived copy » [archive du ] (consulté le )
  57. Carole Naggar, Lumen poĂšme, Centre RĂ©gional d'Art Contemporain, Rosny-s-Seine, France, 1984
  58. Jean-Louis Pradel, Lumen de Sara Holt et Jean-Max Albert, L'événement du jeudi, 8 novembre 1989
  59. Jean-Louis Pradel, Jean-Max Albert, L’EvĂ©nement du jeudi, 17 septembre 1987
  60. France Huser, Jean-Max Albert, Galerie Charles Sablon, Le nouvel observateur, 25 septembre 1987
  61. Anne Dagbert, Jean-Max Albert, Galerie Charles Sablon, Art Press n°119, 1987
  62. Sarah Mc Fadden ‘’Jean-Max Albert «Sculptures»’’, The Bulletin n°24, Bruxelles, June 16th 1994
  63. http://www.mercieretassocies.com/img/xforx/Selon3_Livret.pdf
  64. Michel Ragon, Jean-Max Albert «Iapetus», L’art abstrait vol.5, Éditions Maeght, Paris, 1989,
  65. FRAC Poitou-CharentesFRAC Poitou-Charente
  66. ’’Les jardins du parc de la Villette’’,Les jardins du parc de la Villette
  67. ’’Garden Visit’’Parc de La Villette (in Englih)
  68. ’’Fresques-et-murs-peints-parisiens’’Fresques et murs-peint parisiens
  69. Monique Faux, L'art renouvelle la ville, Editions Skira, Paris 1992
  70. Musée de la toile de Jouy
  71. Centre Pompidou
  72. fracbretagne.fr
  73. cnap.fr
  74. Musée Paul Delouvrier

Annexes

Liens externes

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