Institut d'Ă©tudes politiques de Toulouse
L’Institut d’études politiques (IEP) de Toulouse ou Sciences Po Toulouse, est un établissement français d'enseignement supérieur et de recherche, fondé à Toulouse en 1948.
Fondation |
4 mai 1948 |
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Type | |
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Forme juridique |
Autre Ă©tablissement public national d'enseignement (d) |
Nom officiel |
Sciences Po Toulouse |
RĂ©gime linguistique | |
Directeur |
Éric Darras (depuis 2021) |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
1412 en formation initiale et 169 en formation continue[2] |
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Enseignants |
300[2] |
Enseignants-chercheurs |
56[2] |
Budget |
9 millions d'euros (2019[2]) |
Pays | |
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Campus | |
Ville |
Associé à l'université Toulouse-I-Capitole (UT1) et membre de la Communauté d'universités et établissements de l'université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées, l'IEP forme notamment ses étudiants aux sciences humaines ainsi qu'aux relations internationales.
C'est l'un des onze instituts d'études politiques de France et il fait à ce titre partie des grandes écoles. Le , la Conférence des grandes écoles (CGE) approuve la demande d'adhésion de l'établissement[3].
Sciences Po Toulouse est accessible grâce à un concours commun avec six autres IEP[4] ouvert chaque année aux bacheliers de l'année en cours et à ceux de l'année précédente.
Histoire
L'établissement est créé par décret le [5] sous le nom d'« Institut d'études politiques de l'université de Toulouse »[6]. Sciences Po Toulouse est inspiré de l'École libre des sciences politiques, créée par Émile Boutmy en 1872[7]. C'est un établissement public à caractère administratif dont le statut est fixé par le décret du [8].
En 1958, l'établissement s'installe dans des locaux situés rue des Puits-creusés[9], en face de l'université Toulouse-I-Capitole.
Fin 2021, l'établissement s'installe dans une partie de la Manufacture des tabacs de Toulouse, annexe de l'université Toulouse-I-Capitole[10], avec 30 % de surface supplémentaire par rapport aux locaux de la rue des Puits-creusés[11].
Identité visuelle
- Logo jusqu'en avril 2023.
- Logo Ă partir d'avril 2023.
Organisation de Sciences Po Toulouse
Statut
En application de la loi Faure du sur l'enseignement supérieur, l'IEP de Toulouse prend le statut d’unité d'enseignement et de recherche érigée en établissement public à caractère scientifique, culturel et son nom actuel en 1969[12]. Il devient ensuite, en application de la Loi Savary, un établissement public à caractère administratif rattaché à l'université Toulouse-I-Capitole en 1989[13].
L’institut d'études politiques de Toulouse est membre associé du pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) de l'Université de Toulouse depuis sa création, en 2007[14]. Ce PRES est devenu la COMUE de l'Université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées en 2015 et l’institut est alors devenu associé à l’université Toulouse-I et à l’université fédérale[15].
L'IEP de Toulouse est légalement autorisé à se servir de la marque « Sciences Po » en vertu d'un accord signé avec la Fondation nationale des sciences politiques[16]. Il ne peut toutefois le faire sans y accoler le nom de la ville, afin de ne pas entretenir de confusion avec l'Institut d'études politiques de Paris.
Administration
Le conseil d'administration (CA) est « chargé entre autres d'approuver le contrat d'établissement, de voter le budget et d’approuver les comptes, les accords et conventions, et d’adopter le règlement intérieur »[17].
Présidents du Conseil d'administration :
- 1971-1999 : Raymond Guitard[9], inspecteur général de l'équipement, diplômé de la première promotion de l'établissement (promo 1950)[18].
- 1999-2015 : Élisabeth Mitterrand, conseillère régionale PS du Gers[19].
- 2015[20]-2017 : Nicole Belloubet, membre du Conseil constitutionnel, nommée ministre de la Justice en 2017[21] - [22]
- Depuis 2017 : Philippe Bélaval, président du Centre des monuments nationaux[23] et diplômé de l'établissement (promo 1975)[24] - [20]
Directeurs
- 1948-1954[9] : Paul Couzinet
- 1954-1980[25] : Paul Ourliac (historien)
- 1980-1995[25] : André Cabanis (historien du droit)
- 1995-2000[25] : Christian Hen (maître de conférences en droit public, diplômé de l'établissement, promo 1967)[26] - [27]
- 2000-2010 : Laure Ortiz (professeure agrégée des universités en droit public)[28]
- 2010-2016 : Philippe Raimbault (docteur en droit public, professeur des universités, diplômé de l'établissement, promo 1995)[29] - [30]
- 2016-2021 : Olivier Brossard (docteur en économie, professeur des universités)[31]
- Depuis 2021 : Éric Darras (professeur agrégé en science politique)[32]
Enseignement
Formations
En 2019, Sciences Po Toulouse accueille 1412 étudiants en formation initiale (dont 13 % d’internationaux et 61 % de filles) et 169 en formation continue, avec 56 enseignants-chercheurs et 300 chargés d’enseignement vacataires[2].
Le cursus principal de Sciences Po Toulouse s'Ă©tale sur cinq ans et s'articule en trois Ă©tapes[33] :
- Les deux premières années, à caractère généraliste, sont consacrées à l'acquisition d'une culture générale de base, avec des matières très diverses (économie politique, histoire, sociologie, droit constitutionnel, droit administratif, philosophie politique, science politique, géographie urbaine, microéconomie, macroéconomie).
- La troisième année est consacrée à la mobilité thématique (stages, études dans une université à l'étranger...) ou à la préparation d'une licence d'administration publique.
- Les deux dernières années sont équivalentes à celles du master (M1 et M2)
Pour conférer le grade de master dans le cadre de la réforme dite du LMD, le diplôme de Sciences Po Toulouse est passé en quatre ans en 2003[9] puis en cinq ans en 2008[9].
Un double diplôme avec la TBS Education a été créé en 2013[9], un autre avec l'université complutense de Madrid en 2017[9].
Par ailleurs, Sciences Po Toulouse propose d'autres formations, notamment pour préparer aux concours administrations via le Centre de préparation à l'administration générale depuis 1976[9] et le Centre de préparation à la Haute fonction publique depuis 2000[9].
Admission
L'admission au diplôme en cinq ans se déroule via un concours commun avec six autres IEP ouvert chaque année aux bacheliers de l'année en cours et à ceux de l'année précédente[4]. À la suite de la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, le réseau Sciences Po annule son concours commun, au profit d'une sélection par dossier pour la rentrée universitaire 2020-2021[34].
En 2022, Sciences Po Toulouse est le huitième Sciences Po le plus sélectif, avec un taux d'admission de 17 %[35].
Depuis , l'admission est aussi possible en quatrième année (M1), après au moins une licence dans le domaine des sciences sociales[36].
Recherche
Sciences Po Toulouse comporte deux laboratoires, « reconnus au niveau national » selon La Dépêche du Midi[37] et La Tribune[38] :
Programme d'égalité des chances
À la suite de la loi du pour l'égalité des chances, Sciences Po Toulouse développe le programme Dynamiques de l’Innovation Sociale et Politique (DISPO). Le programme, labellisé Cordée de la réussite en 2008 par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche[41], s’inscrit dans la politique de démocratisation nationale du réseau des sept IEP de région sous l’égide du programme PEI (Programme d'études intégrées)[42].
Associations Ă©tudiantes
Plusieurs associations Ă©tudiantes et syndicats animent la vie Ă©tudiante de l'Ă©tablissement[43].
Parmi elles, Cactus organise, depuis sa création en 2004[44], des conférences, des débats et des simulations, en présence de personnalités publiques, d'universitaires et d'élus, notamment Benoît Hamon[45] puis Christiane Taubira[46] en 2017 et Laurent Fabius en 2019[47].
Personnalités liées à Sciences Po Toulouse
Élèves
L'IEP de Toulouse a notamment formé Laurence Arribagé (femme politique), Céline Charlès (dessinatrice), Audrey Crespo-Mara (journaliste), Bernard Maris (économiste), Philippe Folliot (homme politique), Gérard Mestrallet (chef d'entreprise), Isabelle Sima (haute-fonctionnaire), Jacques de Peretti (chef d'entreprise), et Claude Jorda (Président du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie).
Insertion professionnelle
L'IEP de Toulouse est le premier institut d'études politiques à s'être doté d'une cellule d'insertion professionnelle permettant à l'établissement de proposer un maximum d'offres d'emploi à ses étudiants[48].
Association Sciences Po Toulouse Alumni
Créée en 1957, Sciences Po Toulouse Alumni, l'association des diplômés de Sciences Po Toulouse, structure le réseau des diplômés de l'établissement : elle fédère « les anciens étudiants afin de renforcer les liens entre diplômés, constituer un réseau d’entraide et concourir à la promotion de Sciences Po Toulouse »[49]. L'association est notamment présente à la cérémonie de remise des diplômes[50].
Nom de promotion
Depuis la promotion 2006, les étudiants de Sciences Po Toulouse choisissent un nom pour leur promotion à la fin de leur quatrième année[51] - [52] - [53].
- 2006 : Olympe de Gouges[51]
- 2007 : Anna PolitkovskaĂŻa[51]
- 2008 : Pas de promotion (année de transition avec l'allongement du diplôme de quatre à cinq ans)[51]
- 2009 : Pierre Desproges[52] - [51]
- 2010 : Boris Vian[52] - [51]
- 2011 : Antoine de Saint-Exupéry[51] - [54]
- 2012 : Simone de Beauvoir[52] - [55]
- 2013 : Aung San Suu Kyi[55] - [50]
- 2014 : Rosa Parks[52] - [56]
- 2015 : Gisèle Halimi[57]
- 2016 : Bernard Maris[51] - [58]
- 2017 : Malala Yousafzai[59] - [51]
- 2018 : Angela Davis[60] - [52]
- 2019 : Latifa Ibn Ziaten[61] - [53]
- 2020 : Marielle Franco[62] - [63]
- 2021 : Simone Veil[62] - [64]
- 2022 : Nelson Mandela[65]
- 2023 : Marguerite Yourcenar[66]
- 2024 : Mahsa Amini[67]
Par ailleurs, la promotion 1989 a choisi de se baptiser a posteriori André Malraux[68].
Notes et références
- ÉTABLISSEMENTS MEMBRES
- « Les chiffres clés », sur sciencespo-toulouse.fr (consulté le )
- « Sciences Po Toulouse et NYU Paris (association NYU in France), nouveaux membres de la CGE », sur CGE (consulté le )
- « Sciences Po Concours Communs », sur www.sciencespo-concourscommuns.fr (consulté le )
- DĂ©cret no 48-780 du CREATION DE L'INSTITUT D'ETUDES POLITIQUES DE L'UNIVERSITE DE TOULOUSE
- DĂ©cret du
- François Leblond et Renaud Leblond, Emile Boutmy, le père de Sciences Po, Anne Carrière, , 229 p. (ISBN 978-2-84337-698-6 et 2-84337-698-X).
- Décret no 89-902 du 18 décembre 1989 relatif aux instituts d'études politiques dotés d'un statut d'établissement public administratif rattachés à une université, (lire en ligne).
- Sciences Po Toulouse, 1948-2018 : Sciences Po Toulouse fĂŞte ses 70 ans, 3e trimestre 2018, 92 p., p. 90-91
- « Toulouse : le grand déménagement de Sciences Po à la Manufacture des Tabacs », sur La Dépêche du Midi,
- David Saint-Sernin, « Après dix ans d'attente, Sciences-Po Toulouse débute un long déménagement dans un lieu historique », sur actu.fr, 7 décembre 202o
- Décret no 69-56 du relatif aux instituts d'études politiques d'Aix, de Bordeaux, de Grenoble, de Lyon, de Strasbourg et de Toulouse (abrogé), publié au JO le
- DĂ©cret du
- Décret no 2007-385 du 21 mars 2007 portant création de l'établissement public de coopération scientifique « Université de Toulouse »
- DĂ©cret no 2016-468 du 14 avril 2016 portant association d'Ă©tablissements du site toulousain
- « Sciences po : les IEP signent un accord pour utiliser ce nom », digiSchool media,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Conseil d'Administration », sur sciencespo-toulouse.fr (consulté le )
- Annuaire des diplômés : Édition du cinquantenaire 2007-2009, Association des diplômés de l'Institut d'études politiques de Toulouse, 3e trimestre 2009, 488 p., p. 223
- « Qui sont vos six nouveaux conseillers régionaux », sur La Dépêche du Midi,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « Philippe Bélaval (promo 1975) élu président du Conseil d’administration de Sciences Po Toulouse »,
- « Quand Nicole Belloubet siégeait au conseil municipal de Toulouse », sur ladepeche.fr (consulté le )
- « La Toulousaine Nicole Belloubet nommée ministre de la Justice », sur France 3 Occitanie (consulté le )
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- « Philippe Bélaval élu président du conseil d'administration de Sciences Po Toulouse », sur ladepeche.fr (consulté le )
- André Cabanis, « Éléments d'archives de la direction de l'IEP Toulouse, de 1980 à 1995 », sur univ-tlse1.fr (consulté le )
- Le Parefeuille, « Christian Hen », sur www.le-parefeuille.com (consulté le )
- Annuaire des diplômés : Édition du cinquantenaire 2007-2009, Association des diplômés de l'Institut d'études politiques de Toulouse, 3e trimestre 2009, 488 p., p. 154
- « Laure ORTIZ: biographie et actualités sur EducPros », sur www.letudiant.fr (consulté le )
- « Philippe RAIMBAULT: biographie et actualités sur EducPros », sur www.letudiant.fr (consulté le )
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- « Olivier Brossard, nouveau directeur de Sciences Po Toulouse », La Tribune,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Arrêté du 22 juillet 2021 portant nomination du directeur de l'Institut d'études politiques de Toulouse », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
- Caractères (journal des étudiants), « Projet de réforme du diplôme de l’IEP », sur Caractères,
- « Parcoursup : le recrutement sur dossier dans sept Sciences Po de région critiqué », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
- Paul-Henri Wallet, « Sciences Po: quels sont les IEP les plus sélectifs? », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
- Isabelle Meijers, « Sciences Po Toulouse fait le plein de nouveautés », sur ToulÉco, (consulté le )
- Sylvie Roux, « Toulouse. Sciences Po va ouvrir une section franco-espagnole et une boutique en ligne », sur ladepeche.fr
- Sophie Arutunian, « 5 choses inattendues à savoir sur Sciences Po Toulouse », sur latribune.fr,
- « Le Laboratoire des Sciences Sociales du Politique », sur lassp.sciencespo-toulouse.fr (consulté le )
- « LEREPS », sur lereps.sciencespo-toulouse.fr (consulté le )
- dossier de presse du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, « Les Cordées de la réussite », sur enseignementsup-recherche.gouv.fr,
- Banc d’essai des IEP : pourquoi choisir Sciences po Toulouse
- Sciences Po Toulouse, « Vie étudiante - Associations », sur sciencespo-toulouse.fr (consulté le )
- « Cactus », sur sciencespo-toulouse.fr (consulté le )
- « Toulouse. Benoît Hamon devant 250 étudiants de Sciences po », sur ladepeche.fr (consulté le )
- « Toulouse. Taubira : «J'investis un espoir colossal en la jeunesse» », sur ladepeche.fr,
- « Toulouse. Sciences Po : Laurent Fabius explique le Conseil constitutionnel », sur ladepeche.fr,
- Nicolas Guerrero, Bien préparer Sciences Po, Levallois-Perret, Studyrama, , 411 p. (ISBN 978-2-7590-2061-4), p. 193
- Sciences Po Toulouse Alumni, « L’association », sur sciencespotoulouse-alumni.fr (consulté le )
- « Sciences Po Toulouse : les nouveaux promus de 2014 », sur La Dépêche du Midi,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « La promo 2017 baptisée Malala Yousafzai », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- « Toulouse. Science Po donnera à sa promotion 2019 le nom de Latifa Ibn Ziaten », sur actu.fr,
- Cyril Brioulet, « La prochaine promo de Science-Po Toulouse portera le nom de Latifa Ibn Ziaten », sur La Dépêche du Midi,
- « Sciences Po Toulouse : la promo 2011 s’appellera Saint-Exupéry », sur antoinedesaintexupery.com (consulté le )
- « Les étudiants de 4e année ont choisi leur nom de promo », sur sciencespo-toulouse.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « Cérémonie de remise des diplômés pour la promo 2014 », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « Cérémonie de remise des diplômes pour la promo 2015 », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- « Patrick Pelloux à Toulouse le 29 avril pour Bernard Maris », sur ladepeche.fr,
- « Toulouse. IEP : la promotion «Malala Yousafzai» diplômée », sur ladepeche.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « La promo 2018 baptisée Angela Davis », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « La promo 2019 baptisée Latifa Ibn Ziaten », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- « Sciences Po Toulouse, la promo 2021 nommée Simone Veil », sur toulouse7.com,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « La promo 2020 baptisée Marielle Franco », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « La promo 2021 baptisée Simone Veil », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « La promo 2022 baptisée Nelson Mandela », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « La promo 2023 baptisée Marguerite Yourcenar », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « La promo 2024 baptisée Mahsa Amini », sur sciencespotoulouse-alumni.fr,
- Sciences Po Toulouse Alumni, « Promo 1989, des retrouvailles au passé, présent et futur », sur sciencespotoulouse-alumni.fr, (consulté le )
Annexes
Liens externes
- Site officiel
- « Décret no 48-780 du 4 mai 1948 portant création de l’Institut politique de l’université de Toulouse »
- « Décret no 69-56 du 18 janvier 1969 relatif aux instituts politiques d’Aix, de Bordeaux, de Grenoble, de Lyon, de Strasbourg et de Toulouse »
- Décret no 89-901 du 18 décembre 1989 relatif aux instituts d'études politiques et décret no 89-902 du 18 décembre 1989 relatif aux instituts d'études politiques dotés d'un statut d'établissement public administratif rattachés à une université
- Article D719-190 du code de l’Éducation
Articles connexes
- Institut d'Ă©tudes politiques
- Système éducatif français - Études supérieures en France
- Élève de l'Institut d'études politiques de Toulouse