Ingwiller
Ingwiller (prononcé [iŋvilɛr]) est une commune française de la plaine d'Alsace située à 37,8 km au nord-ouest de Strasbourg, dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Ingwiller Ingweiler | |
Mairie d'Ingwiller. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Saverne |
Intercommunalité | Communauté de communes de Hanau-La Petite Pierre |
Maire Mandat |
Hans Doeppen 2020-2026 |
Code postal | 67340 |
Code commune | 67222 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Ingwillerois [1] |
Population municipale |
4 029 hab. (2020 ) |
Densité | 223 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 48° 52′ 25″ nord, 7° 28′ 40″ est |
Altitude | Min. 185 m Max. 371 m |
Superficie | 18,05 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Ingwiller (ville-centre) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton d'Ingwiller (bureau centralisateur) |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ingwiller.fr |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
En 2014, la population légale est de 4 148 habitants. Bourg de milieu rural, Ingwiller est intégrée dans la communauté de communes de Hanau-La Petite Pierre.
La commune est le chef-lieu du canton d'Ingwiller.
GĂ©ographie
Localisation
Ingwiller est située à 37,8 km au nord-ouest de Strasbourg, à mi-chemin sur la ligne de chemin de fer entre Strasbourg et Sarreguemines, non loin de Bouxwiller (5,4 km)[2] dans la plaine d'Alsace.
GĂ©ologie et relief
La commune fait partie du parc naturel régional des Vosges du Nord.
Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan : Géologie ; Carte géologique
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité 3 modérée[3].
Urbanisme
Typologie
Ingwiller est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ingwiller, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[11] et 5 109 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12] - [13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14] - [15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), zones urbanisées (11 %), terres arables (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), prairies (2,3 %), cultures permanentes (1,5 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].
Toponymie
Pendant longtemps, le nom de la commune a été rattaché à la mention Ingoniwillare ou Ingoniuuilare, qui apparaît dans une charte de l’abbaye de Wissembourg du . Le sens de cette dénomination aurait été « le domaine d’Ingo », ce nom étant le diminutif d’un patronyme débutant par cet élément, comme Ingolf, Ingofried, etc. Une étude plus minutieuse de la manière dont les différents scribes écrivent et énumèrent les toponymes en Alsace au Haut Moyen Âge a toutefois établi que cette lecture est erronée[18].
Il apparaît ainsi que Ingoniwillare fait en fait référence à Ingenheim et que la première mention d’Ingwiller se trouve dans une charte du sous la forme Ilunwilare. Ce nom, qui se retrouve dans une charte de 797, est composé de deux éléments : -wilare est roman et dérive du bas latin villare, qui désigne une exploitation agricole ; ilun- est quant à lui là encore le diminutif d’un nom germanique, probablement Ulo, pour Udalrich[19].
Le premier élément évolue ultérieurement par dissimilation et devient ing-[20]. Le toponyme est ainsi Ingevilre dans une bulle papale de 1178, puis Ingwiler dès 1332[18]. Il n’évolue ensuite plus, les seules différences étant mineures : on trouve ainsi Ingweiller en 1793 et Ingwiller en 1801[21].
Histoire
Antiquité
La première trace humaine sur le territoire de la commune est une hache en pierre du néolithique qui se rattache à la culture rubanée. C’est toutefois surtout à partir de la fin de l’âge du bronze et du début de l’âge du fer que les découvertes — principalement des sépultures — se font suffisamment nombreuses pour pouvoir parler d’occupation permanente[22]. Cet habitat se trouve alors le long d’une voie de circulation liée au commerce du sel et reliant la région de Haguenau à celle de la Seille en suivant le cours de la Moder[23].
La chronologie exacte de l’établissement antique demeure assez mal connue. Il est possible que la zone habitée se trouvait au Ier siècle au nord du centre urbain actuel, près du lieu-dit Gichweiler, où les traces d’une nécropole ont été découvertes[24]. Ce site aurait été abandonné au IIe siècle, peut-être en raison de son exposition aux crues de la Moder, au profit d’un établissement situé autour de l’emplacement occupé ultérieurement par l’église protestante. Cet autre établissement, qui est peut-être un vicus, est cependant détruit par le feu vers 160-180, ce qui correspond à des traces de destruction dans la plupart des autres villes de la région et est probablement à mettre en relation avec une incursion germanique[25].
L’importance du site croît toutefois au IIIe siècle sous le Bas-Empire, du fait de son implantation sur le tracé de la route reliant Strasbourg à Trêves, capitale de l’empire à cette époque. La ville comporte alors au moins un sanctuaire, bien que l’identité de la divinité à laquelle il est consacré est sujette à débat[26]. Le vicus est très probablement détruit dans le chaos des invasions germaniques des IVe et Ve siècles[24].
Moyen Ă‚ge
L’établissement médiéval est mentionné pour la première fois le sous le nom d’Ilunwilare, « le domaine d’Udalrich ». Il s’agit d’un domaine à vocation agricole, qui pourrait être la propriété du frère de la première épouse de Charlemagne, Hildegarde de Vintzgau, et qui dispose de nombreuses possessions sur les deux rives du Rhin[27].
Le Ingwiller fut élevée au rang de ville et peut ainsi tenir marché et s'entourer de remparts.
Époque moderne
En 1570, le comté passe à la lignée des Hanau-Lichtenberg. La ville est alors élevée au rang de chef-lieu d'un bailliage qui englobe une vingtaine de villages. La maison du bailli, qui abritait l'administration seigneuriale, subsiste encore de nos jours, rue des Étoiles.
Au XVIIe siècle pâtit de la Guerre de Trente ans, ce qui incita le comte de Hanau-Lichtenberg à se placer sous la protection de la France en 1633. Lors de la révolution française de 1789, la ville connut l'occupation autrichienne.
Époque contemporaine
À la fin du XIXe siècle, avec l’ouverture de la ligne de chemin de fer reliant Strasbourg à Sarreguemines en 1895, et le raccordement à la ligne Saverne - Haguenau en 1889, Ingwiller, va se développer progressivement sur le plan industriel notamment avec l’implantation d’une manufacture de chaussures, d’une fabrique de thermomètres ou encore d’un établissement produisant des appareils de chauffage et des cuisinières.
Épargnée pendant la Première Guerre mondiale, Ingwiller est bombardée lors du second conflit mondial, le par l'aviation allemande. La ville est occupée par la Wehrmacht le et finalement libérée le par des éléments de la 45e Division d'Infanterie américaine.
Politique et administration
Liste des maires
Budget et fiscalité 2021
En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :
- total des produits de fonctionnement : 2 950 000 €, soit 723 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 670 000 €, soit 652 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 2 979 000 €, soit 728 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 914 000 €, soit 223 € par habitant ;
- endettement : 3 970 000 €, soit 970 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 14,64 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 26,96 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 56,93 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2019 : médiane en 2019 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 410 €[32].
Économie
Agriculture
- Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules[33].
- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
- Élevage d'ovins et de caprins.
- Élevage de chevaux et d'autres équidés.
- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Élevage d'autres animaux.
- Exploitation forestière.
Tourisme
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2020, la commune comptait 4 029 habitants[Note 3], en diminution de 2,87 % par rapport Ă 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements[46] :
- École maternelle et primaire 3 rue des Étoile [47]
- Collèges à Ingwiller, Bouxwiller, Wingen-sur-Moder,
- Lycées à Bouxwiller, Éguelshardt, Saverne.
Santé
Professionnels et établissements de santé[48] :
- MĂ©decins Ă Ingwiller, Wimmenau, Offwiller, Zinswiller, Dossenheim-sur-Zinsel, Pfaffenhoffen, La Walck, Wingen-sur-Moder,
- Pharmacies à Ingwiller, Neuwiller-lès-Saverne, La Walck, Pfaffenhoffen, Wingen-sur-Moder,
- HĂ´pitaux Ă Ingwiller, Niederbronn-les-Bains, Saverne, Phalsbourg.
Cultes
- Culte catholique, Communauté de paroisses Sources de la Moder[49], Diocèse de Strasbourg.
- Culte protestant, Paroisse d’Ingwiller (Menchhoffen)[50].
- Culte juif[51].
Culture locale et patrimoine
Église protestante
(XVe – XIXe siècle).Chaire pastorale (1617) de l'église protestante. Synagogue d'Ingwiller. Église catholique Sainte-Madeleine (1891). Fonts baptismaux (XVe-XVIe). Grotte de Lourdes.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux :
- Église protestante (XVe – XIXe siècle)[52] ;
- Synagogue d'Ingwiller datant de 1822, dont le sous-sol contient les derniers vestiges du château d'Ingwiller[56] - [57] - [58];
- Cimetière juif[59] ;
- Église catholique Sainte-Madeleine (1891)[60];
- Croix.
- Grotte de Lourdes[64].
Autres patrimoines :
- HĂ´tel de ville[65] ;
- Gare d'Ingwiller ;
- Vestiges de l'enceinte fortifiée urbaine[66] ;
- Le Rauschenbourg, château fort détruit au début du XIXe siècle[67].
- Établissement de bienfaisance dit asile de Neuenberg[68].
- Banc-reposoir de l'impératrice, reconstruction récente, style 2e Empire.
Personnalités liées à la commune
- Henri Baulig, né à Paris en 1877, mort dans la commune en 1962, géographe spécialiste de la géomorphologie.
- Frédéric Théobald Guerrier, pasteur et campanologue né à Ingwiller en 1913.
- André Birmelé, né à Ingwiller en 1949, théologien protestant.
- Michel Bury (1952-), vice-champion olympique de tir.
- Philippe Richert, né à Ingwiller en 1953 homme politique français, président du conseil régional d'Alsace et ancien ministre chargé des collectivités territoriales du gouvernement Fillon.
- Célyne Durand, née à Ingwiller en 1983, actrice et présentatrice française.
HĂ©raldique
Blason | Bandé d'azur et d'or ; au chef de gueules[69]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Histoire et patrimoine d’Ingwiller (Bas-Rhin)
- Albert Kiefer, « Aux origines du bourg médiéval (VIIe siècle-VIIIe siècle) », Pays d’Alsace, vol. 159,‎ , p. 9-14 (lire en ligne, consulté le )
- Georges Levy, « Les origines d’Ingwiller : le vicus gallo-romain », Pays d’Alsace, vol. 159,‎ , p. 3-7 (lire en ligne, consulté le )
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Ingwiller du passé au présent - Chronique d'un bourg au fil de l'histoire d'Alsace - 297 pages - Hugues Danner (2018)
Articles connexes
- Liste des communes du Bas-Rhin
- Engwiller, commune du canton de Niederbronn-les-Bains
- Hengwiller, commune du canton de Marmoutier
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel de l'Office de Tourisme du pays de Hanau et du Val de Moder
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- Lion 1906, « Orthodromie », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- fiche communale d'information risques et sols
- La Moder
- Ruisseau le Mittelbach
- Ruisseau le Seelbach
- Ruisseau le Weinbaechel
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Ingwiller », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Kiefer 1992, p. 9.
- Kiefer 1992, p. 10.
- Kiefer 1992, p. 11.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Levy 1992, p. 3.
- Levy 1992, p. 4.
- Levy 1992, p. 6.
- Levy 1992, p. 3-4, 6.
- Levy 1992, p. 6-7.
- Kiefer 1992, p. 10-11.
- [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- Résultats officiels des élections municipales 2008 à Ingwiller sur le site officiel du Ministère de l'Intérieur
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Annuaire
- Logis HĂ´tel Aux Comtes De Hanau
- « Maison de cantonnier, hôtel-restaurant Aux comtes de Hanau », notice no IA67009779, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison, restaurant Les Cigognes », notice no IA67009783, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Le cadre de vie des Territoires
- « Moulin, 3, 3 A rue du Fossé », notice no IA67009804, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Moulin », notice no IA67009805, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Moulin, ferme, actuellement entreprise de traductions », notice no IA67009807, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Brasserie Froelich, puis malterie Haag », notice no IA67009803, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Brasserie Haag », notice no IA67009802, base Mérimée, ministère français de la Culture
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Établissements d'enseignements
- « École 3 rue des Étoile », notice no IA67009763, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Professionnels et établissements de santé
- Communauté de paroisses Sources de la Moder
- Paroisse d’Ingwiller (Menchhoffen)
- Culte juif
- « Église paroissiale Sainte-Barbe puis Sainte-Marie-Madeleine puis église protestante », notice no IA67009757, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IM67014168, base Palissy, ministère français de la Culture cloche
- Orgue de l'Ă©glise protestante
- « Communs du château, presbytère protestant », notice no IA67009767, base Mérimée, ministère français de la Culture
- La synagogue se trouve dans la « Cour du Château »
- « Château puis synagogue », notice no IA67009766, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Château détruit, ferme », notice no IA67009806, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cimetière juif », notice no IA67009760, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine », notice no IA67009758, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IM67014183, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue
- « Presbytère catholique », notice no IA67009768, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cimetière chrétien », notice no IA67009759, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Liste de répliques de la grotte de Lourdes
- « Hôtel de ville », notice no IA67009761, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Rempart est, vue partielle », notice no AP99L002979, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Château détruit, ferme », notice no IA67009806, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Établissement de bienfaisance dit asile de Neuenberg », notice no IA67009762, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).