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INRS-Institut Armand-Frappier

Le Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie (AFSB) est un des quatre centres de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS). Il contribue aux efforts québécois de recherche, de formation et de transfert technologique dans le domaine de la santé humaine, animale et environnementale. Regroupant une cinquantaine de professeurs chercheurs, le Centre met à profit son importante expertise en immunologie et en microbiologie pour comprendre, par exemple comment les microbes, les cellules cancéreuses ou les greffes influent sur le système immunitaire.

L'Institut national de la recherche scientifique (INRS) est un établissement universitaire québécois voué à la recherche, aux études de cycles supérieurs et à la formation de chercheurs. Il a aussi pour mandat le développement de la recherche fondamentale et appliquée dans des secteurs jugés prioritaires pour le Québec, et ce, tout en s'assurant le transfert des connaissances et des technologies dans l'ensemble des secteurs où il œuvre.

La création de l'Institut Armand-Frappier

L'Institut a été fondé par Armand Frappier et s'appelait à l'origine l'Institut de microbiologie et d'hygiène de Montréal (IMHM).

Dès 1933, le docteur Armand Frappier entourĂ© de quelques collègues et Ă©tudiants commence Ă  Ă©laborer ce qui deviendra, par les soins de ses successeurs, Ă  la fin du siècle, le Centre INRS–Institut Armand-Frappier. Se joignent Ă  lui des mĂ©decins, vĂ©tĂ©rinaires, pharmaciens et chimistes curieux de dĂ©couvrir l'univers des microorganismes. Le combat contre la tuberculose occupera une place importante dans son Ĺ“uvre. Son audace le mène Ă  prĂ©senter un projet au nouveau premier ministre de la province, monsieur Maurice Duplessis, qui se rallie Ă  cette idĂ©e et lui octroie les fonds pour la crĂ©ation de l’Institut[1]. Ce projet permettra d'assurer l'autonomie du QuĂ©bec en matière de vaccins et de certains produits biologiques (dont des gĂ©loses nutritives et, par la suite, des antibiogrammes). Avec un investissement de 75 000 $ du gouvernement du QuĂ©bec, l'Institut de microbiologie et d’hygiène de l’UniversitĂ© de MontrĂ©al (puis, en 1962, l'Institut de microbiologie et d’hygiène de MontrĂ©al, IMHM) devient une rĂ©alitĂ© qui progresse rapidement malgrĂ© les temps difficiles de la pĂ©riode de guerre.

L'Institut occupe dans un premier temps des locaux de l'Université de Montréal, au sein de laquelle le groupe de chercheurs travaille jusqu'en 1963. Les locaux sont situés sur la rue Saint-Denis puis sur le Mont-Royal lorsque l'Université de Montréal y emménage dans ses nouveaux bâtiments en 1942. De 1950 à 1963, il occupe aussi des locaux à l'Université de Montréal sur le Chemin de la Côte-des-Neiges. Dès 1951, l'Institut offre aux hôpitaux et aux médecins un service de diagnostic des maladies à virus, l'un des rares au Canada et le premier au Québec. Dans ce service, les recherches conduisent à la production des vaccins Salk et Sabin contre la poliomyélite dans les années 1950.

Implantation Ă  Laval et production de vaccins

L'Ă©pidĂ©miologie et la lutte contre la tuberculose occupent une place importante pendant de nombreuses annĂ©es, mais l'Ă©volution rapide de la microbiologie et de l'immunologie offre au nouvel institut des occasions de dĂ©veloppement et une renommĂ©e mondiale. Dès 1938, en ce temps de guerre, les besoins en dĂ©rivĂ©s sanguins sont importants pour les soins des soldats blessĂ©s. On met rapidement en place des laboratoires capables de lyophiliser les sĂ©rums et les prĂ©parations de gamma-globulines qui sont livrĂ©s Ă  la Croix-Rouge pour distribution partout dans le monde. Il en est de mĂŞme pour les anatoxines et antitoxines diphtĂ©riques et tĂ©taniques, qui seront produites pendant de nombreuses annĂ©es. En 1939, ces laboratoires seront dĂ©mĂ©nagĂ©s Ă  Laval-des-Rapides, oĂą l'Institut a fait l'achat d'une ferme et dont les champs permettent la culture des lĂ©gumes pour les Ă©levages des animaux de laboratoire. Des centaines de moutons fournissent du sang pour la production d’antisĂ©rums et de gĂ©loses au sang. Des chevaux et veaux servent Ă  la production des antisĂ©rums, anatoxines (diphtĂ©riques et tĂ©taniques) et vaccins antiviraux Ă  usage humain ou vĂ©tĂ©rinaire. 

En 1947, la lutte Ă  la poliomyĂ©lite bat son plein, mais il n'existe alors aucun moyen de combattre cette maladie virale. Les prĂ©parations de gamma-globulines humaines sont proposĂ©es en inoculation Ă  titre prĂ©ventif et l'Institut est en mesure de fournir ces prĂ©parations aux autoritĂ©s. 

L’Institut fait l'acquisition d'autres terrains Ă  Laval et dispose alors d’un vaste terrain qui longe, Ă  l'ouest, ce qui devient l'Autoroute des Laurentides. On y entreprend dès 1951 la construction d'un laboratoire moderne destinĂ© Ă  la production du vaccin antivariolique, d'un laboratoire de statistiques mĂ©canisĂ©es pour le fichier de donnĂ©es du BCG et d'un caveau rĂ©frigĂ©rĂ© pour la conservation des produits de la ferme. Un autre bâtiment sert  Ă  la fabrication de la gamma-globuline et comprend un laboratoire froid très bien outillĂ© et une centrale d'eau exempte de corps pyrogènes

La production des vaccins viraux s'amorce avec la production du vaccin anti-poliomyĂ©litique de type Salk (vaccin inactivĂ©). En 1957, l’Institut rĂ©ussit Ă  produire ses premiers lots de vaccin anti-poliomyĂ©litique Salk et de vaccin contre la grippe asiatique. Ă€ la mĂŞme pĂ©riode, le chercheur amĂ©ricain Albert Bruce Sabin autorise l'utilisation de ses souches de poliovirus attĂ©nuĂ© pour la production du vaccin Sabin anti-poliomyĂ©litique au QuĂ©bec. L'Institut produit aussi du vaccin antivariolique et les chercheurs effectuent des travaux sur des vaccins contre d'autres virus. La vaccination par le BCG se poursuit et des cliniques mobiles sont en mouvement pour assurer la vaccination. 

En 1962, son bail n'Ă©tant pas renouvelĂ© Ă  l'UniversitĂ© de MontrĂ©al, l’Institut regroupe tous ses laboratoires et services Ă  Laval-des-Rapides (Ville de Laval). Ă€ partir de ce moment, l’Institut est dĂ©sormais chez lui dans des laboratoires modernes, conçus pour ses fins propres. 

Le Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie et l'Université du Québec

Au dĂ©but des annĂ©es 1970, le centre est divisĂ© en dĂ©partements de recherche et en services. Cette structure est entièrement compatible avec les objectifs de l'institution. Les liens sont Ă©troits entre l'exploitation, les services Ă  la communautĂ© et les chercheurs qui soutiennent ces activitĂ©s par leurs expertises et leurs travaux. 

En 1972, l'Institut est intĂ©grĂ© Ă  l'UniversitĂ© du QuĂ©bec, Ă  titre de constituante Ă  part entière, et prend le nom de son fondateur : Institut Armand-Frappier (IAF). Cette pĂ©riode est marquĂ©e par l'intensification et la diversification des activitĂ©s de production de biens et services, par le dĂ©veloppement de la microbiologie appliquĂ©e et industrielle surtout orientĂ©e vers l'alimentation et l'utilisation des ressources naturelles. 

En 1974, après 37 ans à la direction de l'Institut, le docteur Frappier[2], à l'âge de 70 ans, doit quitter son poste régulier. Son successeur, le docteur Aurèle Beaulnes[3], prend en charge la restructuration de l'Institut. Le développement de la recherche et de programmes d'enseignement supérieur prend une place importante au cours de la décennie qui suit. Six centres de recherche sont créés : le Centre de recherche en virologie (CRV), le Centre de recherche en bactériologie (CRB), le Centre de recherche en immunologie (CRI), le Centre de recherche en épidémiologie et médecine préventive (CREMP), le Centre de recherche en médecine comparée (CRMC) et, provenant de l'UQAM, le Centre de recherche en sciences appliquées à l'alimentation (CRESALA).

L'exploitation et les services

L'Institut a alors un caractère unique parmi les institutions universitaires quĂ©bĂ©coises. On y produit 20 vaccins ou sĂ©rums, humains ou vĂ©tĂ©rinaires, 300 produits diagnostiques, milieux de culture bactĂ©riologiques, cultures cellulaires de diffĂ©rentes espèces animales ainsi qu'une variĂ©tĂ© de produits biologiques, tels que le sang et ses dĂ©rivĂ©s. 

Les services de diagnostic et de mĂ©decine prĂ©ventive rĂ©unissent : un service de vaccination BCG effectuĂ©e par des Ă©quipes mobiles dans les Ă©coles de la province; un service de diagnostic des maladies virales chez l'homme; un laboratoire d'histocompatibilitĂ© pour les patients en attente de greffes rĂ©nales; un service de diagnostic immunologique spĂ©cialisĂ©; un service de diagnostic viral vĂ©tĂ©rinaire Ă  l'Ă©chelle de toute la province; et un service  de dĂ©pistage des pathologies des animaux de laboratoire.

En 1984, Francesco Bellini est accueilli Ă  l'Institut et se joint Ă  Bernard Belleau et Gervais Dionne. Leurs travaux portent sur la lamivudine (aussi connue sous le nom de 3TC), un antirĂ©troviral qui deviendra essentiel Ă  la lutte contre le virus de l'immunodĂ©ficience humaine (VIH). 

Dès 1984-1985, l'Institut crée une Division des produits biochimiques et Francesco Bellini en assure la direction. Très rapidement, en association avec la direction de l'Institut, ces chercheurs-entrepreneurs créent une compagnie biopharmaceutique qui fera histoire au Québec et ailleurs (MDEIE, 2009). Cette société à but lucratif est formée en 1986 sous le nom de I.A.F. BioChem International Inc. dans laquelle l'Institut détient un nombre important d'actions. La valeur des actions de la société croît rapidement en quelques années. L'Institut devra ultérieurement s'en départir à perte.

Ă€ la fin de 1986, le campus couvre 57 hectares et comprend une vingtaine de pavillons. Plus de 400 personnes y travaillent, dont 94 scientifiques soutenus par des assistants de recherche, techniciens, aides technique, employĂ©s de bureau et personnel de soutien. L'Institut accueille aussi des Ă©tudiants de 2e et de 3e cycles, stagiaires et stagiaires post-doctoraux. Le budget de fonctionnement s'Ă©tablit alors Ă  28 millions de dollars dont 50 % proviennent de la production et de la vente de biens et services. 

Les entitĂ©s qui constituent l'Institut sont maintenant dĂ©signĂ©es comme le Groupe Frappier qui regroupe trois corporations distinctes soit l'Institut Armand-Frappier (UniversitĂ© du QuĂ©bec), la Fondation Armand-Frappier (crĂ©Ă©e en 1978) et IAF Production Inc. Cette dernière a acquis le programme des produits diagnostiques, soit environ la moitiĂ© des activitĂ©s de production de biens de l'Institut. L'Institut Armand-Frappier jouit alors d'un double statut : celui de constituante de l'UniversitĂ© du QuĂ©bec pour sa mission de recherche et d'enseignement et celui d'entreprise engagĂ©e dans la production de divers biens et services de haute technologie dans les domaines mĂ©dical, bio-alimentaire et environnemental. 

En collaboration avec Énergie Atomique du Canada, l’Institut crĂ©e en 1985 le Centre d'irradiation du Canada (CIC) et construit sur ses terrains des laboratoires au coĂ»t de plusieurs millions de dollars. En collaboration avec MDS Nordion, le centre a pour but de dĂ©montrer l’innocuitĂ© de la technique d’irradiation des aliments et de la promouvoir Ă  l’échelle semi-industrielle, en vue d'aider les entreprises Ă  se prĂ©valoir de ce mode de conservation des aliments. 

La fin des activités commerciales et l’intégration à l'INRS

Les activités commerciales rapportent de moins en moins et un déficit de plus en plus important oblige les responsables de l'Université du Québec et de l'Institut à chercher une solution pour satisfaire le ministère de l'Éducation et le gouvernement. La pression des instances politiques est forte. La solution proposée est la vente des activités commerciales de l'Institut incluant les actions détenues dans IAF BioChem International Inc. et la produc¬tion de vaccins, sous le nom d'IAF Biovac.

IAF-Biochem devient BioChem Pharma, dirigée par Francesco Bellini poursuit sa montée fulgurante. Cette société est un exemple de réussite pour de nombreux entrepreneurs et pour d’autres sociétés bio-pharmaceutiques et de biotechnologie. La société britannique Shire Pharmaceuticals va acquérir en 1990 les brevets de BioChem Pharma pour 6 milliards de dollars et mettra fin en 2001 aux activités localisées dans le Parc scientifique et de haute technologie de Laval. Au Québec, seules les activités de R-D et de production de vaccins contre la grippe survivent après avoir été reprises par la compagnie GlaxoSmithKline (GSK Biologicals).

La vente des actions détenues dans IAF-BioChem International Inc. n’ayant rapporté que la moitié des sommes escomptées, le budget de l’Institut affiche toujours un déficit accumulé important. La seule réduction des dépenses ne pouvant pas suffire à l’enrayer, d’autres mesures sont alors envisagées dont la vente d’actifs, notamment dans le périmètre où est projetée l’implantation d'un Parc scientifique et de haute technologie que Ville de Laval compte développer en partenariat avec l’Institut et dont ce dernier sera le pivot scientifique. Au fil du temps, le Parc se développe, mais très peu de liens réels s'établissent entre l'Institut et les industries qui s’y implantent. En outre, peu d'entreprises de Laval naissent dans ce contexte (D. Doloreux, 1999, p. 228)

Le MusĂ©e Armand-Frappier est inaugurĂ© en grâce au soutien financier du gouvernement du QuĂ©bec, de la Ville de Laval, de l'Institut Armand-Frappier et de la Fondation Armand-Frappier. En plus de mettre en lumière l’œuvre du fondateur de l’Institut, cette institution musĂ©ale a pour mission de diffuser les progrès de la recherche en biosciences Ă  un plus large public et d’attirer les jeunes vers les carrières en recherche. DĂ©signĂ© aujourd’hui sous le nom de Centre d’interprĂ©tation des biosciences Armand-Frappier, le MusĂ©e diversifie progressivement son offre d’activitĂ©s, dont plusieurs sont dĂ©veloppĂ©es en collaboration avec des chercheurs de l’Institut Armand-Frappier. 

En , la situation financière de l’Institut Armand-Frappier est jugĂ©e si dĂ©sastreuse qu’elle est devenue ingĂ©rable. L’INRS fait aussi face Ă  une situation financière difficile avec son centre INRS-SantĂ© situĂ© Ă  Pointe-Claire oĂą Ĺ“uvrent une dizaine de chercheurs et oĂą opère un laboratoire de contrĂ´le du dopage sportif. L’Institut Armand-Frappier et l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) du QuĂ©bec conviennent donc, d’un commun accord, de joindre leurs forces.  Les activitĂ©s de l’INRS-SantĂ© passent d’abord dans le giron de l’Institut Armand-Frappier, puis les recherches en cours sont regroupĂ©es en deux centres : le Centre de recherche en santĂ© humaine et le Centre de recherche en microbiologie et biotechnologie.  Deux ans plus tard, les deux centres sont fusionnĂ©s en un seul centre qui porte le nom d'INRS–Institut Armand-Frappier Ă  la mĂ©moire du fondateur. 

Le nouveau centre se consacre essentiellement à l’avancement de la recherche et au développement de l’enseignement supérieur, tout en maintenant certains services à la collectivité. Il jouit toujours aujourd’hui d’une renommée qui répond aux espoirs qu’avait le Dr Frappier concernant la poursuite de cette double mission au sein de l’Institut qu’il a créé.

RĂ©trospection

  • Alain StankĂ©, Armand Frappier, Jean Louis Morgan (1970) Ce combat qui n’en finit plus. Les Éditions de l’Homme.
  • AssemblĂ©e nationale du QuĂ©bec. Journal des dĂ©bats – 34e lĂ©gislature, 2e session ( – ) — Commission permanente de l’éducation Fascicule no 62, , pages 3029-3030.
  • AssemblĂ©e nationale du QuĂ©bec. Journal des dĂ©bats 34e lĂ©gislature, 1re session ( au ) — Le jeudi – Vol. 31 no 7.
  • Doloreux, D. (1999) « Technopoles et trajectoires stratĂ©giques : le cas de la ville de Laval (QuĂ©bec) », Cahiers de gĂ©ographie du QuĂ©bec, 43, no 119, p. 211-235.
  • Ferretti, L. (1994) L’UniversitĂ© en rĂ©seau : Les 25 ans de l’UniversitĂ© du QuĂ©bec. Presses de l’UniversitĂ© du QuĂ©bec.
  • Frappier, A. Un rĂŞve, une lutte. Presses de l’UniversitĂ© du QuĂ©bec (Ă©ditions 1992 et 2009).
  • IMHUM (1958) RĂ©trospection 1938-1958. Institut de microbiologie et d’hygiène de l’UniversitĂ© de MontrĂ©al. (Archives IRNS)
  • IMHUM (1963) RĂ©trospection 1959-1963. Institut de microbiologie et d’hygiène de l’UniversitĂ© de MontrĂ©al. (Archives IRNS)
  • IMHUM (1971) RĂ©trospection 1964-1971. Institut de microbiologie et d’hygiène de l’UniversitĂ© de MontrĂ©al. (Archives IRNS)
  • INRS–Institut Armand-Frappier – Microbiologie et biotechnologie. Rapport annuel 1998-1999. (Archives IRNS)
  • INRS–Institut Armand-Frappier – Microbiologie et biotechnologie. Rapport annuel 1999-2000. (Archives IRNS)
  • INRS–Institut Armand-Frappier – SantĂ© humaine. Rapport d’activitĂ©s scientifiques 2000-2001. (Archives IRNS)
  • Institut Armand-Frappier – UQ. Quarante-troisième et Quarante-quatrième Rapport Annuel 1980-1982. (Archives IRNS)
  • Institut Armand-Frappier – UQ. Rapport biennal 1982-1984. Institut Armand-Frappier – UQ. Rapport biennal 1984-1986
  • Institut Armand-Frappier. 1995. Institut Armand-Frappier. Brochure de 23 pages. (Archives IRNS)
  • Institut Armand-Frappier. Centre de recherche en microbiologie appliquĂ©e : Rapport des activitĂ©s scientifiques 1996-1997. (Archives IRNS)
  • Institut de microbiologie et d’hygiène de MontrĂ©al (Institut Armand-Frappier). 37e Rapport annuel : 1974-1975. (Archives IRNS)
  • Marois, P. et A. Chagnon (1978) Institut Armand-Frappier : Quarante ans au service de la collectivitĂ©. Institut Armand-Frappier (UniversitĂ© du QuĂ©bec), Laval, QuĂ©bec, 45 pages. (Archives IRNS)
  • MDEIE (Ministère du DĂ©veloppement Ă©conomique, de l’Innovation et de l’Exportation) (2009) StratĂ©gie biopharmaceutique quĂ©bĂ©coise : Poursuivre dans l’excellence en crĂ©ant la richesse du QuĂ©bec de demain. Gouvernement du QuĂ©bec, p. 29.

Notes et références

  1. https://ici.radio-canada.ca/communication/207/inrs-50-armand-frappier-epidemies-tuberculose
  2. « Armand Frappier (1904-1991) », sur federationgenealogie.qc.ca/base-de-donnees/avis-de-deces, décembre 1991.
  3. « Aurèle Beaulnes (1928-2015) », sur federationgenealogie.qc.ca/base-de-donnees/avis-de-deces, mars 2015.

Voir aussi

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