Henri Begouën
Le comte Napoléon-Henri Begouën, né le à Chùteauroux et mort le au chùteau des Espas à Montesquieu-AvantÚs, est un préhistorien français.
Conservateur de musée Muséum de Toulouse | |
---|---|
- | |
Gaston Astre (d) | |
Secrétaire général Institut international d'anthropologie (d) | |
Ă partir de | |
Maire de Montesquieu-AvantĂšs | |
- | |
Directeur Le Télégramme (d) | |
- | |
Directeur Société archéologique du Midi de la France | |
Président Société préhistorique française | |
Président Société de Géographie de Toulouse (d) |
Comte |
---|
Naissance | |
---|---|
DĂ©cĂšs |
(Ă 92 ans) Montesquieu-AvantĂšs |
Nationalité | |
Formation | |
Activités | |
RĂ©dacteur Ă | |
Fratrie |
Marcel Begouën (d) |
Enfants |
A travaillé pour | |
---|---|
Membre de | |
Distinctions |
Il est licenciĂ© en droit, diplĂŽmĂ© de l'Ăcole libre des sciences politiques et docteur honoris causa des universitĂ©s de Porto et de Tartu.
Il est renommé entre autres pour la découverte (en partie due à ses fils) des grottes du Volp avec leurs superbes sculptures, art mural et artefacts ; et pour les remarquables innovations concernant la conservation des dites grottes, en quoi il est un précurseur fort en avance sur son temps.
Biographie
Famille
Issu d'une vieille famille normande[1] - [n 1], il est l'arriÚre-petit-fils de Jacques-François Begouën et de Marie François Auguste de Caffarelli du Falga[2] par son pÚre ; et par sa mÚre, Léonie Chevreau, le petit-fils de Jean-Henri Chevreau (député) et neveu de Henri Chevreau (ministre de l'Intérieur)[3].
Son pĂšre, Maximilien BegouĂ«n, est trĂ©sorier-payeur gĂ©nĂ©ral et un homme cultivĂ© Ă l'esprit curieux. Il porte un intĂ©rĂȘt Ă la gĂ©ologie et Ă la prĂ©histoire[4] et possĂšde un os gravĂ© provenant de Laugerie-Basse, dont Henri hĂ©rite plus tard. Il envoie ses enfants en voyages d'Ă©tudes Ă l'Ă©tranger pendant leurs vacances scolaires ; Henri visite ainsi les mines de sel de Salzbourg, dont il ramĂšne le manche en bois d'une hache de bronze[1].
Maximilien BegouĂ«n est aussi l'ami d'Ămile Cartailhac, une relation qui va profondĂ©ment marquer la deuxiĂšme partie de la vie d'Henri[5].
Il a un frÚre aßné, Marcel (1862-1900), qui épouse Claire de Cholet avec qui a pour enfants :
- Marie Léonie Begouën (1891-), épouse le le marquis Jean-Marie de Liencourt (1884-1916)[6] avec qui elle a pour enfants :
- une fille qui épouse en premiÚres noces Alain de Rohan-Chabot, duc de Rohan-Chabot, et en secondes noces André Rodocanachi[7] (ambassadeur, officier de la Légion d'honneur)[8] ;
- François de Liencourt (1916-1965)[6].
Marcel meurt de la fiÚvre jaune au Sénégal[1].
Enfance, période formatrice
Henri Begouën naßt à Chùteauroux, suivant les hasards des affectations paternelles[9].
En 1868 la famille dĂ©mĂ©nage Ă Toulouse. Henri y commence ses Ă©tudes Ă Sainte-Marie du Caoussou. Quand son pĂšre prend sa retraite en 1877, Henri le rejoint Ă Paris et y termine ses Ă©tudes[1] : collĂšge Stanislas, facultĂ© de droit oĂč il obtient sa licence, puis Ă l'Ăcole libre des sciences politiques dont il sort Ă©galement diplĂŽmĂ©. Pendant ses annĂ©es Ă Sciences Po, il partage avec Raymond PoincarĂ© le secrĂ©tariat de la confĂ©rence MolĂ©-Tocqueville[9]. Il fait une thĂšse en Allemagne sur le Kultur Kampf, avant ou pendant son emploi au Journal des dĂ©bats[10] (paragr. suivant).
à cette époque il est intéressé par la poésie décadente[9]. En co-auteur avec Louis de Germon il publie en 1886 les Vers de Couleurs sous le pseudonyme collectif « Noël Loumo »[11] chez Vanier, éditeur d'avant-garde[5]. Il fréquente les centres littéraires et artistiques : Moréas, Steinlen, Toulouse-Lautrec, Henri de Régnier, José-Maria de Heredia[1], Boutmy (fondateur de la future Sciences Po), Albert Sorel, et Taine qui le fait entrer au Journal des débats[5].
DĂ©buts professionnels
Son pÚre meurt en 1885. Comme Henri parle bien l'allemand[1], le Journal des débats le charge peu aprÚs d'étudier et commenter les événements qui agitent alors l'Europe centrale et l' Allemagne[5] (Kultur Kampf, le Septennat)[1].
En 1888 il est candidat malheureux aux élections de député de l'AriÚge. Il commence à s'attacher à ce département[1].
Mariage, descendance
En 1892 il Ă©pouse Marie JosĂ©phine ThĂ©rĂšse Mignon[6], niĂšce de Paul Riant[n 2]. Sa femme apporte au patrimoine familial le chĂąteau des Espas[n 3] sur Montesquieu-AvantĂšs (AriĂšge), oĂč la famille s'installe de plus en plus[1]. En 1893 il achĂšte le manoir de Pujol[12], Ă©galement sur Montesquieu-AvantĂšs.
Ils ont trois fils[13], et une fille qui dĂ©cĂšde de la typhoĂŻde en 1902 en mĂȘme temps que sa femme[1] :
- Maximilien (1893[n 4]-1981), qui Ă©pouse [6] (le Ă Paris) Simone Ălie de Beaumont[14] puis Ă©pouse Henriette Rey en 1966 Ă Toulouse, qui est actuellement Comtesse BegouĂ«n et propriĂ©taire du chĂąteau les Espas oĂč elle continue Ă vivre. Ă la suite de la dĂ©claration de guerre en , il commence avec son frĂšre Jacques son service militaire en dĂ©cembre Ă la caserne de Perpignan puis au camp d'entraĂźnement de Millas[15].
- Jacques (1894[n 4]-?), qui épouse Marguerite Coup de Conty ; ils ont cinq enfants[6]. En 1914, à la suite de la déclaration de guerre en août, i il s'engage pour la PremiÚre Guerre mondiale, qu'il termine avec le rang de lieutenant, chevalier de la Légion d'Honneur, croix de guerre, médaille de Verdun, officier de l'ordre royal de Saint-Sava de Serbie et de l'ordre du roi Léopold de Belgique[16].
- Louis (1897[n 4]-1981), qui Ă©pouse Marcelle Dol[6] avec qui il a :
Tunisie, les prémices de l'archéologue
Il est nommĂ© en 1896 contrĂŽleur civil stagiaire Ă la RĂ©sidence gĂ©nĂ©rale de Tunisie[1], poste qu'il occupe jusqu'en 1898[10] ou 1900[5]. Dans ce pays, il s'intĂ©resse aux nombreux tombeaux mĂ©galithiques (El Maktar) et fait quelques fouilles[1]. Il en fait les premiĂšres descriptions, qu'il adresse Ă Ămile Cartailhac.
Retour en France, deuils
RentrĂ© dans la rĂ©gion toulousaine, il s'occupe de politique locale et d'Ă©levage agricole[1]. Il devient maire de Montesquieu-AvantĂšs et prend la direction du quotidien toulousain Le TĂ©lĂ©gramme de 1905 Ă 1909[n 5] ou 1910[17] - occupations qui conviennent certes Ă ses aptitudes mais peut-ĂȘtre pas Ă ses inclinaisons, selon la comtesse de Saint-PĂ©rier qui a bien connu la famille. Mais surtout il se rapproche de Cartailhac, Ă©rudit et prĂ©historien de premiĂšre classe qui connaĂźt extrĂȘmement bien toute la rĂ©gion toulousaine[5]. Il est aussi en relation avec le pĂšre Delattre [peut-ĂȘtre datant de sa pĂ©riode tunisienne ?], grande figure du site archĂ©ologique de Carthage aux fouilles duquel BegouĂ«n s'intĂ©resse.
Il a déjà écrit une histoire de la régence au temps de Charles Quint[1].
En 1900 son frÚre aßné Marcel, capitaine d'état-major au Sénégal, meurt de la fiÚvre jaune.
En 1902 il perd sa femme et sa fille, mortes de la typhoĂŻde[1].
Dans les annĂ©es 1900 il commence Ă suivre les cours de PrĂ©histoire d'Ămile Cartailhac Ă Toulouse. Ces Ă©tudes sont pimentĂ©es par les travaux de Cartailhac sur Marsoulas (1902), Gargas, Niaux (1907)âŠ[13].
Rencontre avec Henri Breuil
En Henri Begouën rend visite à Cartailhac sur le chantier de fouilles de la grotte de Gargas et y rencontre pour la premiÚre fois l'abbé historien Henri Breuil ; ils vont collaborer pendant quarante années mais aucun ne le sait. Cartailhac a préalablement décrit Henri Begouën à Breuil comme « un ami de large culture, intéressé spéculativement aux recherches préhistoriques et catholique déclaré, aux idées fort ouvertes ». Breuil voit « un homme mondain, brillant polémiste, et récemment encore directeur d'un journal politique catholique libéral (Le Télégramme) », apparemment pas du tout prédisposé à devenir le successeur de Cartailhac à la chaire de Préhistoire de l'université de Toulouse[1]. Et pourtant.
Le tournant : découvertes des grottes du Volp
La rĂ©gion oĂč la famille vit est riche en grottes et dĂ©jĂ un certain nombre se sont rĂ©vĂ©lĂ©s de grands sites archĂ©ologiques. Henri suit les cours de prĂ©histoire de Emile Cartailhac Ă Toulouse, et comme il est proche de ses enfants[13] il les emmĂšne visiter le chantier de fouilles que dirige Ădouard Piette au Mas d'Azil. Leur intĂ©rĂȘt est doublement Ă©veillĂ© quand Max y trouve dans des dĂ©blais une dent de renne portant les marques d'une perforation[4].
- « Découverte » d'EnlÚne
EnlÚne est connue de longue date dans la région. En 1882, elle appartient à Mr Moulis de Méritens[18] et a déjà été fouillée par l'abbé Jean-Jacques Pouech, M. Filhol[19], l'abbé Cabibel[20], Dom David Cau-Durban avec Mr Baron[19]⊠Elle est notée comme grotte sépulcrale en 1884[21] et 1893[22].
Aux vacances de PĂąques 1912[n 6], Henri BegouĂ«n et ses trois fils explorent EnlĂšne et dĂ©couvrent fortuitement un beau propulseur figurant un quadrupĂšde. AprĂšs cette trouvaille, le mĂȘme MĂ©ritens, ne pouvant croire qu'un trĂ©sor puisse ĂȘtre autre chose que monĂ©taire, interdit l'entrĂ©e de sa grotte Ă tout le monde y compris au comte et maire Henri BegouĂ«n - et Ă ses enfants -[23], lui adressant un courrier le suivant pour lui demander de faire cesser leurs explorations de peur de « dĂ©valuer sa propriĂ©tĂ© »[24].
Qu'Ă cela ne tienne - il y a d'autres grottes dans la rĂ©gionâŠ
- « Découverte » du Tuc d'Audoubert
LĂ aussi l'existence de la grotte est connue, avec son grand porche d'oĂč s'Ă©coule le Volp. Mais elle n'a pas Ă©tĂ© explorĂ©e scientifiquement. En , sur un radeau de fortune, Max, Jacques et Louis y pĂ©nĂštrent par sa seule voie accessible - le Volp, et dĂ©couvrent les premiers grands volumes intĂ©rieurs. Ils ont respectivement 19 ans, 17 ans et 16 ans[25].
Le groupe statuaire des bisons d'argile est dĂ©couvert le [26]. L'abbĂ© Breuil, alertĂ© par lettre, arrive aux Espas le . Ămile Cartailhac, prĂ©venu par tĂ©lĂ©gramme[27], arrive le lendemain ; la visite commune se fait le dimanche , huit jours aprĂšs la dĂ©couverte[28].
La résurgence du Volp et entrée de la grotte
- DĂ©couverte des Trois-FrĂšres
Le , jour anniversaire de la dĂ©couverte du Tuc d'Audoubert deux ans auparavant[29], Henri et ses trois fils cĂ©lĂšbrent l'occasion en traçant en surface le cours souterrain du Volp. Sont de la partie l'abbĂ© Auguste, prĂ©cepteur des jeunes et chargĂ© de la baguette de coudrier, et le jeune cocher François Camel. Alors que tous scrutent le terrain entre la perte du Volp et sa rĂ©surgence[30], Rey de Pujol, un fermier voisin[31], leur indique un trou par oĂč souffle de l'air frais, bouchĂ© intentionnellement avec des pierres pour empĂȘcher les moutons de tomber dedans. Le trou, qui prend bientĂŽt le nom d'« aven François », est dĂ©sobstruĂ© sur deux jours. Les premiĂšres explorations ont des rĂ©sultats assez limitĂ©s[30], jusqu'Ă l'Ă©poustouflante dĂ©couverte de la salle du Sanctuaire le , ainsi que de la galerie des mains blanches sur fond rouge[32]. La salle du Sanctuaire des Trois-FrĂšres abrite le cĂ©lĂšbre chamane dansant. Breuil (1958) cite la grotte parmi les six gĂ©antes de l'art palĂ©olithique.
Conservation des grottes - naissance d'un précurseur
Lors des dĂ©couvertes Henri BegouĂ«n ne possĂšde aucune des grottes. Nous avons vu plus haut le problĂšme du propriĂ©taire d'EnlĂšne interdisant l'accĂšs Ă sa grotte. Pour le Tuc, la grotte appartient Ă la commune. Instruit par l'expĂ©rience, juste aprĂšs la premiĂšre exploration et la dĂ©couverte des premiers vestiges archĂ©ologiques au Tuc, avant mĂȘme la dĂ©couverte du groupe statuaire des bisons d'argile, le comte-maire loue la grotte du Tuc Ă Ămile Cartailhac en tant que dĂ©lĂ©guĂ© du ministĂšre de l'Instruction publique pour les monuments historiques[33]. Quelques difficultĂ©s s'Ă©lĂšvent lors de la dĂ©couverte des bisons d'argile, qualifiĂ©s de « trĂ©sor » artistique, ce qui induit les montesquivais Ă penser qu'un trĂ©sor monĂ©taire - leur hĂ©ritage commun - risque de leur ĂȘtre dĂ©robĂ© ; ce problĂšme est rĂ©solu grĂące au « petit bison » (dĂ©tails dans l'article « Grotte du Tuc d'Audoubert », section « Les bisons d'argile », paragraphe « Le petit bison »).
L'amitié avec Cartailhac s'avÚre décisive. Sur ses conseils, des mesures inhabituelles sont prises qui vont à contre-sens des habitudes de l'époque : limitation stricte des visites réservées à quelques scientifiques triés sur le volet, cheminement unique, balisage et protection des sols à empreintes, pas d'aménagement du site et refus de toute exploitation pécuniaire[26]. Fait absolument exceptionnel pour l'époque, la trÚs grande majorité du mobilier archéologique est laissée en place[34].
Le remarquable état de conservation ainsi préservé jusqu'à nos jours, fournit aux méthodes de recherche moderne un site pratiquement intact[35].
Le préhistorien
Ă cinquante-deux ans, il consacre tout son temps Ă la PrĂ©histoire[36]. Il suit les cours d'Ămile Cartailhac Ă l'universitĂ© de Toulouse, et entreprend la visite des divers sites prĂ©historiques de France.
Il dĂ©veloppe pour expliquer l'art pariĂ©tal la thĂ©orie de « la magie de la chasse ». Cette thĂ©orie a depuis Ă©tĂ© fortement contestĂ©e mĂȘme si elle est reprise par quelques prĂ©historiens modernes dont le sud-africain Francis Thackeray.
En 1921, Ă la mort d'Ămile Cartailhac, il lui succĂšde Ă la tĂȘte du cours de PrĂ©histoire de l'universitĂ© et au MusĂ©um d'histoire naturelle de Toulouse. Il devient, la mĂȘme annĂ©e, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l'Institut international d'anthropologie. Il est Ă©lu membre correspondant de l'Institut de France.
En juillet et l'université de Toulouse mÚne des recherches à Marsoulas, Tarté et RoquecourbÚre (Betchat, AriÚge), conjointement avec l'institut Smithsonien. Henri Begouën est responsable pour la partie française et rencontre James Townsend Russel, son homologue américain à cette occasion. La coopération est si satisfaisante[37] qu'un accord de prolongation pour 10 ans est signé entre les deux institutions[38].
En 1949 il est élu correspondant français de l'Académie des inscriptions et belles-lettres[39].
Académie des Jeux floraux
Il est mainteneur de l'Académie des Jeux floraux de 1920 à 1956[40].
Publications
La liste dans le menu déroulant ci-dessous n'est pas exhaustive : Henri Begouën a publié environ 250 articles et ouvrages sur la Préhistoire et l'ethnographie[10]. Nombre de ces publications sont consultables au Muséum de Toulouse)
- [1886] Henri Bégouën et Louis de Germon (publ. sous le pseudonyme collectif « Noël Loumo »), Vers de couleurs, (présentation en ligne).
- [1888] Henri BĂ©gouĂ«n, « Mirabeau : rapport au nom du ComitĂ© des Lettres de Cachet » (publiĂ© pour la premiĂšre fois avec une introduction et des notes), Revue d'Ăconomie politique,â .
- [1900] Henri BĂ©gouĂ«n, « Ăloge du docteur Bordes-PagĂšs, 1815-1897 » (prononcĂ© Ă la rĂ©union tenue Ă Seix, le 19 juillet 1900, par le Vte Begouen), SociĂ©tĂ© des Ă©tudes du Couserans,â .
- [1901] Henri Bégouën, Le Couserans aux XVIIe et XVIIe siÚcles (conférence publique faite à la Mairie de St Girons, le 30 décembre 1900), Foix, impr. Vve PomiÚs, , 48 p..
- [1901] Henri Bégouën, L'aiguillÚre et le plat dits de Charles-Quint, Tunis, impr. Rapide, , 8 p..
- [1904] Henri BĂ©gouĂ«n, « Ă propos des chemins de fer transpyrĂ©nĂ©ens », Questions Diplomatiques et Coloniales,â .
- [AvantÚs-Bégouën 1910] Henri AvantÚs (pseudonyme), Adélaïde, épisode de la crise viticole, [n 7].
- [1911] Henri Bégouën, Lettre d'un critique à un de ses amis membre du Comité formé pour élever un monument à Esclarmonde de Foix, Toulouse, impr. du Centre, , 36 p..
- [1912] Henri BĂ©gouĂ«n, « Une nouvelle grotte Ă gravures dans l'AriĂšge, la caverne du Tuc d'Audoubert », XIIe CongrĂšs International d'Anthropologie, GenĂšve,â , p. 489â497.
- [1912] Henri BĂ©gouĂ«n, « Quelques observations sur la dĂ©capitation aux temps prĂ©historiques », Bul. de la Soc. PrĂ©historique Française,â (lire en ligne [sur persee]).
- [1912] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les statues prĂ©historiques de la caverne du Tuc dÂŽAudoubert (AriĂšge) », Comptes-rendus de l'Acad. des Sc., Insc. et B-L de Toulouse, no 23,â , p. 657â665 (ISSN 0003-5521, lire en ligne [sur persee]).
- [1912] Henri BĂ©gouĂ«n, « Une sculpture en bois de renne provenant de la caverne d'EnlĂšne (AriĂšge) », l'Anthropologie, t. 23,â , p. 289.
- [1912] Henri BĂ©gouĂ«n, « Peintures et gravures prĂ©historiques dans la grotte du Mas-d'Azil », Bulletin de la SociĂ©tĂ© ArchĂ©ologique française,â 1912-13.
- [1912] Henri BĂ©gouĂ«n, « Notes d'archĂ©ologie prĂ©historique », Bull. de la Soc. Arch. du Midi,â .
- [1912] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les statues d'argile prĂ©historiques de la caverne du Tuc d'Audoubert (AriĂšge) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, vol. 56, no 7,â , p. 532-538 (lire en ligne [sur persee]).
- [1912] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les statues prĂ©historiques de la caverne du Tuc d'Audoubert (AriĂšge) », L'Anthropologie, no 23,â , p. 658-667 (lire en ligne [sur persee]).
- [BĂ©gouĂ«n & Breuil 1913] Henri BĂ©gouĂ«n et Henri Breuil, « Peintures et gravures prĂ©historiques dans la grotte du Mas-d'Azil », Bull. de la Soc. Arch. du Midi,â .
- [1913] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les statues d'argile prĂ©historiques de la caverne du Tuc d'Audoubert (AriĂšge) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© AriĂ©geoise des Sciences, Lettres et Arts, vol. 13,â , p. 244-246.
- [1913] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les statues de bison du Tuc d'Audoubert », Bulletin de la SociĂ©tĂ© d'ArchĂ©ologie du Midi de la France, vol. 42,â , p. 61-62.
- [1913] Henri BĂ©gouĂ«n, « Anne d'Autriche et Mazarin d'aprĂšs quelques passages inĂ©dits des MĂ©moires de Pierre de la Porte », Bull. historique et philologique,â .
- [1913] Abbé Alph. Auguste (préf. Henri Bégouën), La Compagnie du Saint-Sacrement à Toulouse : notes et documents, Paris, A. Picard, .
- [1913] Henri Bégouën, Une Société secrÚte émule de la Compagnie du Saint-Sacrement. L'AA de Toulouse aux XVIIe et XVIIIe siÚcles, Paris, éd. Picard, , VII-131 p..
- [1915] Henri Bégouën, La guerre actuelle devant la conscience catholique, Paris, éd. Bloud et Gay, .
- [1915] Henri Bégouën, Les catholiques allemands jadis et aujourd'hui, Paris, éd. Bloud et Gay, .
- [1915] Henri BĂ©gouĂ«n, « Rapport gĂ©nĂ©ral sur les concours de 1915 », MĂ©m. de l'Acad. des Sc. de Toulouse,â , p. 491-512.
- [1918] Henri BĂ©gouĂ«n, « Photographies des gravures rupestres de la grotte dite des trois frĂšres dĂ©couverte par lui Ă Montesquieu-AventĂšs (AriĂšge) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, vol. 62, no 4,â , p. 308 (lire en ligne [sur persee]).
- [1920] Henri BĂ©gouĂ«n, « DĂ©couvertes faites dans les cavernes de Montesquieu-AvantĂšs en 1920 », Bulletin de la SociĂ©tĂ© AriĂ©geoise des Sciences, Lettres et Arts, vol. 13,â .
- [1920] Henri BĂ©gouĂ«n et abbĂ© Breuil, « Un dessin relevĂ© dans la caverne des Trois-frĂšres, Ă Montesquieu-AvantĂšs (AriĂšge) », bulletin de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, vol. 64, no 4,â , p. 303-310 (lire en ligne [sur persee]).
- [1920] Henri BĂ©gouĂ«n, « Fouilles et dĂ©couvertes dans les cavernes de Montesquieu-Avantes », Bulletin de la Soc. des Ătudes du Couserans,â .
- [1921] Henri BĂ©gouĂ«n, « DĂ©couvertes faites dans les cavernes de Montesquieu-AvantĂšs en 1920 », Bulletin de la SociĂ©tĂ© AriĂ©geoise des Sciences, Lettres et Arts, vol. 13,â .
- [1921] Henri BĂ©gouĂ«n, « L'Ă©bauche de bison en argile du Tuc d'Audoubert », Revue Anthropologique, t. 21, nos 1-2,â .
- [1922] Henri BĂ©gouĂ«n, « Quelques notes de voyage en Yougoslavie », Revue de l'Alliance française, no 8,â .
- [1922] Henri BĂ©gouĂ«n, « Ămile Cartailhac, 1845-1921 » (note biographique - nĂ©crologie), Annales du Midi, vol. 34, nos 133-134,â , p. 349-352 (lire en ligne [sur persee]).
- [1923] Henri BĂ©gouĂ«n, « Ăloge de M. Ămile Cartailhac » (allocution prononcĂ©e Ă la sĂ©ance publique de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique du Midi de la France le 15 avril 1923), Bulletin de la SociĂ©tĂ© ArchĂ©ologique du Midi de la France, nouvelle sĂ©rie no 46,â , p. 7-24 (lire en ligne, consultĂ© le ).
- [1923] Henri BĂ©gouĂ«n, « La caverne de Montespan (Haute-Garonne) », Revue Anthropologique, nos 11-12,â .
- [1923] Henri BĂ©gouĂ«n, « MĂąchoires de renne provenant de gisements dÂŽEnlĂšne, du Tuc-d'Audoubert et des Trois-FrĂšres », Revue Anthropologique, no 33,â , p. 49-50.
- [1923] Henri BĂ©gouĂ«n, « DĂ©couverte de modelages en argile de l'Ă©poque magdalĂ©nienne dans la caverne de Montespan (Haute-Garonne) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, vol. 67, no 5,â , p. 401-402 (lire en ligne [sur persee]).
- [1923] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les modelages en argile de la caverne de Montespan (Hte-Garonne) » (lecture faite Ă l'AcadĂ©mie), Comptes-rendus des sĂ©ances de l'Acad. des Sc., Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, Ă©d. Douladoure,â (lire en ligne [sur tpsalomonreinharch.mom.fr]).
- [1923] Henri BĂ©gouĂ«n, « Quelques souvenirs sur H. Taine et ses amis » (lecture faite Ă l'Acad. des Jeux floraux), Acad. des Jeux floraux, Toulouse, Ă©d. Douladoure,â .
- [1923] Henri BĂ©gouĂ«n, « La magie aux temps prĂ©historiques, d'aprĂšs les dĂ©couvertes rĂ©centes » (CongrĂšs d'histoire des religions, discours prononcĂ© Ă la sĂ©ance publique du 9 dĂ©cembre 1923), AcadĂ©mie des Sc. de Toulouse,â (lire en ligne [sur dielektrischenvorspiele.wordpress.com]).
- [1925] Henri Bégouën, « Observations nouvelles dans les grottes des Pyrénées », dans Mélanges Gorjanovik-Krambergera, Zagreb, 1925-1926.
- [1925] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les dĂ©buts des Cent jours Ă Toulouse d'aprĂšs les « Souvenirs » de la Comtesse de Saint-Aulaire », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Inscriptions et Belles-Lettres, no 3,â , p. 483-531.
- [1926] Henri BĂ©gouĂ«n, « Quelques nouvelles figurations humaines prĂ©historiques dans les grottes de l'AriĂšge », Revue anthropologique, Paris, libr. Ămile Nourry, nos 4-6,â .
- [1927] Henri BĂ©gouĂ«n, « Une vue de l'intĂ©rieur de la cathĂ©drale de Toulouse », Bull. de la Soc. ArchĂ©ol. du Midi de la France,â .
- [1927] Henri BĂ©gouĂ«n, « A propos des fouilles de Glozel » (Lettre au Mercure de France), Mercure de France,â .
- [BĂ©gouĂ«n (H.) & BĂ©gouĂ«n (L.) 1928] Henri BĂ©gouĂ«n et Louis BĂ©gouĂ«n, « TĂȘte de capridĂ© en bois de rennes Ă l'Ćil incrustĂ© dĂ©couverte dans la caverne des Trois-FrĂšres (AriĂšge) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, vol. 72, no 4,â , p. 306-307 (lire en ligne [sur persee]).
- [1928] Henri BĂ©gouĂ«n, « Note sur les peintures de la grotte de BĂ©deilhac (AriĂšge) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, vol. 71, no 3,â , p. 231-233 (lire en ligne [sur persee]).
- [1928] Henri BĂ©gouĂ«n et Louis BĂ©gouĂ«n, « Compte rendu des fouilles effectuĂ©es dans les cavernes de Montesquieu AvantĂšs (AriĂšge) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, vol. 72, no 3,â , p. 296-299 (lire en ligne [sur persee]).
- [1929] Henri BĂ©gouĂ«n, « Ă propos de l'idĂ©e de fĂ©conditĂ© dans l'iconographie prĂ©historique », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, vol. 26, no 3,â , p. 197-199.
- [1929] Henri BĂ©gouĂ«n, « Sur quelques objets nouvellement dĂ©couverts dans les grottes des Trois FrĂšres (Montesquieu-AvantĂšs, AriĂšge) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, t. 26, no 3,â , p. 188-196.
- [1930] Henri BĂ©gouĂ«n, « La technique des gravures pariĂ©tales de quelques grottes pyrĂ©nĂ©ennes » (XVe Cong. Intern. d'Anthrop. et d'Arch. PrĂ©historique), IVe Ses. de l'Inst. Int. d'Anthr. du Portugal,â .
- [1930] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les nouvelles dĂ©couvertes de M. Mandement dans la grotte de Bedeilhac (AriĂšge) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse,â (lire en ligne [sur persee]).
- [1930] Henri BĂ©gouĂ«n, « Nouvelles dĂ©couvertes dans la grotte de BĂ©deilhac (AriĂšge) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse,â (lire en ligne [sur persee]).
- [1932] Henri BĂ©gouĂ«n, « De quelques poĂštes du Hoggar et de la poĂ©sie des Touareg, d'aprĂšs le R. PĂšre de Foucault », MĂ©moire de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, Impr. Toulousaine, XII, t. 10,â .
- [1932 ?] Henri BĂ©gouĂ«n, « Des dendrites comme preuve d'authenticitĂ© et de la possibilitĂ© de travailler l'ivoire fossile » (observations prĂ©sentĂ©es Ă propos de la Venus II de VistonitzĂ©), Impr. Monnoyer,â .
- [1932] Henri BĂ©gouĂ«n, « Un cubitus percĂ© d'un[e] flĂšche en silex », Anthropologie, Prague, t. 10,â .
- [1932] Henri BĂ©gouĂ«n, « La « cucurutte », maison gauloise prĂšs de Varilhes (AriĂšge) », Bull. ArchĂ©ologique,â 1932-1933.
- [1932] Henri BĂ©gouĂ«n, « Faits nouveaux concernant les Damans de l'Ahggar », Bulletin du MusĂ©um de Toulouse, 2e sĂ©rie, t. 4, no 5,â .
- [1932] Henri BĂ©gouĂ«n, « Annonce de la dĂ©couverte de peintures et gravures prĂ©historiques dans la grotte de la Bastide (Hautes-PyrĂ©nĂ©es) », Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse,â (lire en ligne [sur persee]).
- [1933] Henri Bégouën, Discours prononcé à Auch à l'occasion de l'inauguration du buste de Dastros le 5 juin 1932, Douladoure, .
- [BĂ©gouĂ«n & Lobsiger-Dellenbach 1933] Henri BĂ©gouĂ«n et Marguerite Lobsiger-Dellenbach, « Deux modĂšles de tatouage pyrogravĂ©s sur bambou provenant des Ăźles Marquises », Archives suisses d'anthropologie gĂ©nĂ©rale, GenĂšve, A. Kundig, t. 4, nos 1-2,â .
- [BĂ©gouĂ«n & Townsend Russell 1933] Henri BĂ©gouĂ«n et J. Townsend Russell, La campagne de fouilles de 1931, Ă Marsoulas, TartĂ© et RoquecourbĂšre, Toulouse, Ă©d. Ă. Privat, , 19 p. (prĂ©sentation en ligne). Lire en ligne le rapport de Russell sur ces fouilles (1933).
- [1933] Henri BĂ©gouĂ«n, « Le Couserans prĂ©historique », (manuscrit 12 p.),â .
- [1933] Le Tricentenaire de l'Université de Tartu (Esthonie), Impr. Lion et fils, .
- [1933] Henri BĂ©gouĂ«n, « Ă propos d'un os ornĂ© de la caverne des Trois FrĂšres : quelques rĂ©flexions de psychologie artistique », Revue Anthropologique, nos 1-3,â .
- [1933] Henri Bégouën, « Affûtoirs pour pointes d'os en France et en Portugal », dans Homenagem a Martius Sarmento, éd. Sociedade Martino Sarmento, .
- [1933] Henri BĂ©gouĂ«n, « Sur deux gravures rupestres profondĂ©ment incisĂ©es du Hoggar (In Ekker) » (CongrĂšs de ChambĂ©ry - juil. 1933), Assoc. Franç. pour l'Avanc. des Sc.,â .
- [1933] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les tumuli du Hoggar (Tjedest) » (note prĂ©liminaire), Comptes-rendus du XVe Congr. Intern. d'Anthropologie et d'ArchĂ©ologie prĂ©historique, 20-27 septembre 1931,â .
- [1934] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les vestiges des terrasses de l'oued Igharghar [sic pour : Igharghar], et le dessĂšchement du Sahara » (XVe CongrĂšs international d'Anthropologie et d'ArchĂ©ologie prĂ©historique (1933)), Bulletin de la SociĂ©tĂ© GĂ©ographique de Toulouse, E. Nourry,â .
- [1934] Henri BĂ©gouĂ«n, « Figures hybrides de la caverne des Trois-FrĂšres (AriĂšge) », Revue Anthropologique, nos 4-6,â .
- 1934 - A propos des Vénus paléolithiques, Librairie Félix Alcan / 1934
- [1934] Henri BĂ©gouĂ«n, « Dessins inĂ©dits de la grotte de Niaux », Jahrbuch fur prahistorische und ethnographische Kunst (IPEK), t. 9,â .
- [1935] Henri BĂ©gouĂ«n, « Quelques plaquettes de pierres gravĂ©es ou peintes des cavernes pyrĂ©nĂ©ennes ; de quelques galets coloriĂ©s aziliens provenant de gisements autres que le Mas D'Azil », Cong. PrĂ©h. de Fr., XIe session,â .
- [1935] Henri Bégouën, L'aspect de l'humanité préhistorique, Toulouse, éd. E. Privat, .
- [1935] Henri BĂ©gouĂ«n, « Le SolutrĂ©en dans les PyrĂ©nĂ©es » (Congr. des Soc. Savantes, Toulouse 1933), Revue Anthrop., nos 4-6,â .
- [1935] Henri BĂ©gouĂ«n, « Ăloge de M. le PrĂ©sident Bussieres - Ătude sur N.D. de Paris » (RĂ©ponse de M. le Comte BegouĂ«n), SĂ©ance Publique de l'AcadĂ©mie des Jeux Floraux du 26 mai 1935,â (lire en ligne [sur gallica]).
- [1935] Henri Bégouën, Les SirÚnes, impr. du Sud-Ouest, .
- [1935] Henri Bégouën, Femmes préhistoriques, .
- [1935] Henri Bégouën, Les Eyzies : capitale de la préhistoire, .
- [1936] Henri BĂ©gouĂ«n, « Un nouveau grand atelier neolithique de surface dans le Bergeracois », Compte-rendu du XVIe CongrĂšs Intern. d'Anthropologie (Bruxelles, 1935),â .
- [1936] Henri BĂ©gouĂ«n, Les grottes de Montesquieu-AvantĂšs (AriĂšge) : Tuc d'Audoubert, EnlĂšne, Trois FrĂšres : Le musĂ©e de Pujol, vol. 1936, Ăd. du travail (prĂ©sentation en ligne).
- [1936] Henri BĂ©gouĂ«n, « Une pendeloque faite d'un fragment de mandibule humaine (Ăpoque Magdalenienne) », CongrĂšs PrĂ©historique de France - XIIe session,â .
- [1936] Henri BĂ©gouĂ«n, « La salle d'art prĂ©historique du musĂ©e de Toulouse », XVIe CongrĂšs internat. d'Anthropologie, Bruxelles, 1935,â .
- [1936] Henri BĂ©gouĂ«n, « Sur un squelette de bison quaternaire de la caverne des Trois FrĂšres Ă Montesquieu-AvantĂšs », Berichte der internat Ges zur Erhaltung des Wisents, t. 3, no 4,â .
- [D'Armagnac 1936] Lt D'Armagnac (préf. Henri Bégouën), Le Sahara, carrefour des races, Alger, Baconnier, .
- [1937] Impressions de voyage en Tchécoslovaquie, 1879-1932, Imprimerie du Sud-Ouest, .
- [1937] Henri BĂ©gouĂ«n, « Quelques oiseaux inĂ©dits ou mĂ©connus de l'art prĂ©historique », Compte-rendu du Congr. prĂ©historique de France (XIIe session, 1936),â .
- [1937] Henri BĂ©gouĂ«n, « A propos des huitres de St Michel en Lherm », Revue du Bas-Poitou « Livres 1 et 2 »,â .
- [1937] Henri BĂ©gouĂ«n et Louis BĂ©gouĂ«n, « Deux petites statuettes magdalĂ©niennes de la Caverne des Trois FrĂšres (p. 297-299). Quelques esquilles d'os du MagdalĂ©nien travaillĂ©es comme des silex », Congr. prĂ©hist. de France, XIIe session, imp. Monnoyer,â (lire en ligne [sur prehistoire.org], consultĂ© le ).
- [1937] Henri BĂ©gouĂ«n, « Un crĂąne trĂ©panĂ© provenant d'une nĂ©cropole de Montesquieu-AvantĂ©s (AriĂšge) », CongrĂšs PrĂ©historique de France - XIIe Session, impr. C. Monnoyer,â .
- [1938] Henri Bégouën, Boucher de Perthes, économiste et homme politique, impr. Monnoyer, .
- [1938] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les plaquettes de pierre gravĂ©es de la grotte de Labastide (Hautes-PyrĂ©nĂ©es) », Jahrbuch fĂŒr prĂ€historische und etnographische Kunst (IPEK), vol. 12,â .
- [1939] Henri BĂ©gouĂ«n, Les Ă©lections aux Ătats-GĂ©nĂ©raux de 1789 dans la SĂ©nĂ©chaussĂ©e de Castelnaudary : Max Caffarelli du Jalga et la DĂ©claration des Droits de l'Homme, Ă©d. RoudiĂšre, .
- [1939] Henri Bégouën, Un amour malheureux de Napoléon, la comtesse Auguste Caffarelli, Impr. du Temps, .
- [1939] Henri Bégouën, à propos de Marie Walewska, Impr. toulousaine Lion & fils, .
- [1939] Henri BĂ©gouĂ«n, « DĂ©couverte d'un souterrain-refuge au lieu dit "La Cassagne", commune de Forgues, Haute-Garonne. Suivi de "Inventaire des souterrains-refuges de la Haute-Garonne" », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, impr. Monnoyer, vol. 36, no 5,â , p. 260-266 (lire en ligne [sur persee]).
- [1939] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les bases magiques de l'art prĂ©historique », Scientia,â .
- [1940] Henri BĂ©gouĂ«n, « Les grottes prĂ©historiques des PyrĂ©nĂ©es » (allocution prononcĂ©e lors d'une visite du Centre Universitaire Belge au MusĂ©um d'histoire naturelle de Toulouse, le samedi 27 Juillet 1940), Bulletin municipal de la ville de Toulouse,â (lire en ligne [sur rosalis.bibliotheque.toulouse.fr], consultĂ© le ).
- [1940] Henri Bégouën, Leçon d'ouverture du cours d'archéologie préhistorique professée à la Faculté des lettres de Toulouse, le mercredi 13 novembre 1940, éd. Stendhal, .
- [1940] Henri BĂ©gouĂ«n, « La Baltique d'Helsinki Ă Gdynia » (confĂ©rence faite Ă la SociĂ©tĂ© de gĂ©ographie de Toulouse le 19 novembre 1939), SociĂ©tĂ© de gĂ©ographie de Toulouse,â .
- [1941] Henri BĂ©gouĂ«n, « La grotte de Labaume-Latrone Ă Russan, Sainte-Anastasie (Gard) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© gĂ©ologique de France, E. Privat, 5e sĂ©rie,â .
- [1941] C. Chabbert (préf. Henri Bégouën), Patua : ScÚnes vécues de Mooréa-Tahiti, Paris, éd. Les livres nouveaux, .
- [1942] Henri BĂ©gouĂ«n, La VallĂ©e de Bethmale (AriĂšge) : maisons, ustensiles, costumes, Ăditions du Museum, .
- [1943] Henri Bégouën, De la mentalité spiritualiste des premiers hommes, éd. Douladoure, (réimpr. 1945), sur persee (présentation en ligne).
- [1944] Henri Bégouën, Les "Jugos et cangas" du Nord du Portugal, Ed. du Museum, .
- [1945] Henri Bégouën, Quelques souvenirs sur le mouvement des idées transformistes dans les milieux catholiques, Bloud et Gay, , 83 p. (présentation en ligne).
- [1946] Henri BĂ©gouĂ«n, « L'Atrichosis de l'Homme ou Comment l'anthropopithĂšque promu Ă la dignitĂ© d'homme a pu perdre sa toison », pĂ©riodique ?,â [n 8].
- [Bégouën & Breuil 1958] Henri Bégouën (conservateur des grottes du Volp) et Henri Breuil, Les cavernes du Volp : Trois FrÚres, Tuc d'Audoubert, Paris, Arts et métiers graphiques, coll. « Travaux de l'Institut de paléontologie humaine », (réimpr. 1999, American rock art research association), 1re éd., 120 p., XXXII p. de planches hors-texte (OCLC 301400118).
- [Chambert 1948] André Chambert (préf. Henri Bégouën), Le Désert refleurira, Paris, éd. Les livres nouveaux, .
- [Solages 1967] B. de Solages (préf. Henri Bégouën), Teilhard de Chardin : témoignage et étude sur le développement de sa pensée, Toulouse, éd. E. Privat, , 397 p..
Distinctions
- Commandeur de la Légion d'honneur (10 février 1951)
- Officier de l'Instruction publique
Notes et références
Notes
- Un fonds d'archives « Bégouen-Demeaux » existe concernant le Havre, aux archives départementales de la Seine-Maritime à Rouen. Voir [Chabannes 2013] Hervé Chabannes, Les passeurs de la mémoire havraise, vol. 1 (thÚse de doctorat d'histoire moderne), Université du Havre, (lire en ligne [PDF] sur tel.archives-ouvertes.fr), p. 28, 40, 41, etc.
- Paul Riant : il s'agit du comte Paul-Ădouard-Didier Riant. Voir par exemple LĂ©on d'Hervey de Saint-Denys, « Ăloge funĂšbre de M. le comte Paul-Ădouard-Didier Riant, membre de l'AcadĂ©mie [des Inscriptions et Belles-Lettres] » (note biographique), Comptes-rendus des sĂ©ances de l'AcadĂ©mie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 32, no 6,â , p. 473-476 (lire en ligne [sur persee]).
- Chùteau des Espas, façade et vue d'angle, cartes postales.
- En juillet 1912 Max, Jacques et Louis ont respectivement 19 ans, 17 ans et 16 ans. Voir Centenaire de la découverte (2012) 2013, sur Inora, p. 24.
- Quand Breuil rencontre H. Begouën en octobre 1909, il dit de ce dernier qu'il était, « récemment encore », directeur du Télégramme ; c'est donc qu'à cette date H. Bégouën ne l'est plus depuis peu. Voir Breuil 1957, p. 78.
- Sur l'annĂ©e de "dĂ©couverte" d'EnlĂšne : BegouĂ«n (R.) 2004, p. 1, donne 1911 pour annĂ©e de visite du chantier d'Ădouard Piette au Mas d'Azil. De plus il dit (BĂ©gouĂ«n (R.) 2004, p. 2) que pĂšre et enfants visitent EnlĂšne le lendemain de leur visite au Mas d'Azil. Or les trois frĂšres dĂ©couvrent l'archĂ©ologie d'EnlĂšne et du Tuc en 1912, date donnĂ©e par tous les documents consultĂ©s (dont le journal de Louis Ă l'Ă©poque), sauf celui-ci (BegouĂ«n 2004) et les documents qui l'ont copiĂ©. Cette visite au Mas d'Azil ne peut donc s'ĂȘtre dĂ©roulĂ©e qu'aux vacances de PĂąques 1912. Par ailleurs on voit mal pour quelle raison des jeunes gens en bonne santĂ©, sans Ă©vĂ©nements familiaux marquants pour la pĂ©riode concernĂ©e, moyennement dĂ©sĆuvrĂ©s et ouvertement encouragĂ©s Ă l'exploration par leur pĂšre, auraient attendu quinze mois entre PĂąques 1911 et l'Ă©tĂ© 1912 pour chercher une autre grotte qu'EnlĂšne.
- Henri Bégouën a publié Adélaïde, épisode de la crise viticole sous le pseudonyme « Henri AvantÚs ».
- GĂ©o Beltrami, correspondant de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française (SPF), envoie en 1948 une note Ă la SPF concernant la publication de l'article d'Henri BĂ©gouĂ«n, « L'Atrichosis de l'Homme (âŠ) ». Il en cite un passage dans lequel H. BĂ©gouĂ«n « avoue que la considĂ©ration de la membrane hymen chez la femelle de l'Homme "gĂȘne son Ă©volutionnisme aux entournures"⊠». Voir « Note de GĂ©o Beltrami » (communiquĂ©e pour lecture Ă la SPF), Bull. de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, vol. 45, nos 3-4,â , p. 65-76 (lire en ligne [sur persee]).
Références
- Breuil 1957, p. 78.
- « Jacques-François, Comte Begouën », sur gw.geneanet.org (consulté en ).
- « Jean Henri Chevreau », sur gw.geneanet.org (consulté le ).
- [Bégouën (R.) 2004] « Discours de Robert Bégouën à l'Académie des Sciences, Inscriptions et Belles Lettres de Toulouse, pour la Commémoration du centenaire de la Société Préhistorique Française », sur cavernesduvolp.com, (consulté le ), p. 1.
- Saint-PĂ©rier 1957, p. 761.
- « Léonie Chevreau », sur gw.geneanet.org (consulté le ).
- « Descendants de Léonie Chevreau », sur gw.geneanet.org (consulté le ).
- « André Rodocanachi », sur gw.geneanet.org (consulté le ).
- Saint-PĂ©rier 1957, p. 759.
- Begouën et al. 2014, p. 20.
- « Noël Loumo », sur catalogue.bnf.fr (consulté le ).
- [2010] Robert Begouën, « Grottes habitées et grottes-sanctuaires du Volp », sur volvestre-patrimoine.info, (consulté le ).
- Breuil 1956, p. 79.
- « Max Begouën », sur gw.geneanet.org (consulté le ).
- Begouën et al. 2014, p. 21.
- Begouën et al. 2014, p. 22.
- « Bégouen, Henri (1863-1956) », sur persee (consulté le ).
- [Cau-Durban 1888] David Cau-Durban, « Nouvelles fouilles Ă la grotte d'EnlĂšne - Montesquieu-AvantĂšs (AriĂšge) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© ariĂ©geoise des sciences, lettres et arts, no 1,â , p. 207-211 (lire en ligne [sur gallica], consultĂ© le ), p. 207, note 1.
- Cau-Durban 1888, p. 207.
- Cau-Durban 1888, p. 211, note 1.
- EnlĂšne notĂ©e comme grotte sĂ©pulcrale en 1884 : article par Mr L'Homme, 1884, p. 209. CitĂ© dans Philippe Salmon, « Ethnologie prĂ©historique », Revue mensuelle de l'Ăcole d'anthropologie de Paris, Association pour l'enseignement des sciences anthropologiques, vol. 5,â , p. 214-220 (lire en ligne [sur archive.org], consultĂ© le ), p. 215.
- EnlÚne notée comme grotte sépulcrale en 1893 : lettre de l'archiviste de Foix. Cité dans Salmon 1895, p. 215.
- [BĂ©gouĂ«n (R.) 1977] Robert BĂ©gouĂ«n, Jean Clottes et H. Delporte, « Le retour du petit bison au Tuc d'Audoubert », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, vol. 74, no 4,â , p. 112-120 (lire en ligne [sur persĂ©e]), p. 113.
- [BĂ©gouĂ«n (R.) 2012] Robert BĂ©gouĂ«n, Hubert Berke et Andreas Pastoors, « L'Abri du RhinocĂ©ros Ă Montesquieu-AvantĂšs (France) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© PrĂ©historique AriĂšge-PyrĂ©nĂ©es, t. 67,â , p. 15-26 (lire en ligne [sur reserachgate.net], consultĂ© le ), p. 16.
- Centenaire de la découverte (2012) 2013, sur Inora, p. 24.
- « Centenaire de la dĂ©couverte de la grotte du Tuc d'Audoubert (AriĂšge) et de ses « bisons d'argile » », International newsletter on rock art (INORA), no 65,â , p. 25 (ISSN 1022-3282, lire en ligne, consultĂ© le ). La page 26 inclut un fac-simile complet de la lettre inĂ©dite Ă©crite Ă Jean Clottes par Henri BĂ©gouĂ«n (avec post-scriptum signĂ© de Max et Louis), sur papier Ă en-tĂȘte de la mairie, le soir mĂȘme de la dĂ©couverte le 10 octobre 1912.
- Centenaire de la dĂ©couverte (2012) 2013, sur Inora, p. 27, fig. 5 : tĂ©lĂ©gramme adressĂ© par le comte BĂ©gouĂ«n Ă Ămile Cartailhac le 11 octobre 1912.
- Bégouën 1977, p. 27.
- Centenaire de la découverte (2012) 2013, sur Inora, p. 18-19 : journal de Louis Begouën du 16 au 22 juillet 1912 (transcription) ; p. 14-15 : photo de l'agenda pour la page du 21 au 24 juillet.
- Begouën et al. 2014, p. 18-19.
- Begouën et al. 2014, p. 18.
- Begouën et al. 2014, p. 19.
- Begouën (R.) et al. 1977, p. 113.
- « La grotte du Tuc d'Audoubert (AriĂšge) », sur creap.fr, Centre de Recherche et d'Ătudes pour l'Art PrĂ©historique Ămile Cartailhac (consultĂ© le ).
- [Bégouën (R.) 1993] Robert Bégouën, « Projet d'étude globale les cavernes du Volp : EnlÚne, les Trois-FrÚres, le Tuc d'Audoubert », dans L'art pariétal paléolithique. Techniques et méthodes d'étude (textes réunis par le GRAPP - Groupe de réflexion sur l'art pariétal paléolithique), Paris, Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS) et MinistÚre de la recherche, , 427 p., sur cavernesduvolp.com (présentation en ligne, lire en ligne), p. 161-162. Cité dans « Grotte d'EnlÚne », sur donsmaps.com.
- Begouën (R.) 2004, p. 2.
- [Petraglia & Potts 2004] Michael Petraglia et Richard Potts (ill. Marcia Baky), The Old world Paleolithic and the development of a national collection [« Le Paléolithique du Vieux monde et le développement d'une collection nationale »], coll. « Smithsonian contributions to anthropology » (no 48), , 168 p. (lire en ligne), p. 36.
- [Townsend Russell 1932] (en) James Townsend Russell, « Report on archaeological research on the foothills of Pyrenees », Smithsonian miscellaneous collections, Washington, vol. 87, no 11,â (lire en ligne [PDF] sur babel.hathitrust.org, consultĂ© en ).
- [Gran-Aymerich 2001] Ăve Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archĂ©ologie : 1798-1945, Paris, CNRS Ăditions, , 741 p. (ISBN 2-271-05702-7 et 978-2-271-05702-0, OCLC 299638564, lire en ligne), p. 56.
- « Site internet de l'Académie des jeux floraux »(Archive.org ⹠Wikiwix ⹠Archive.is ⹠Google ⹠Que faire ?). (cliquer sur archive.is pour accéder à la liste des mainteneurs.)
Annexes
Bibliographie
- [BĂ©gouĂ«n (M.) et al. 1939] Max BĂ©gouĂ«n, A. Alimen, K. Absolon et al., MĂ©langes de prĂ©histoire et d'anthropologie offerts par ses collĂšgues, amis et disciples au Professeur Comte H. BegouĂ«n, Toulouse, Ăditions du Museum, , XXXIX- 403 p..
- [BĂ©gouĂ«n (R.) 1977] Robert BĂ©gouĂ«n, « L'abbĂ© Breuil et le livre d'or des cavernes du Volp », Bulletin de la SociĂ©tĂ© MĂ©ridionale de SpĂ©lĂ©ologie et de PrĂ©histoire (SMSP), vol. XVIII, no 9,â , p. 27-31 (lire en ligne [sur docs.google.com], consultĂ© le ).
- [BĂ©gouĂ«n (R.) 2012] Robert BĂ©gouĂ«n, Hubert Berke et Andreas Pastoors, « L'Abri du RhinocĂ©ros Ă Montesquieu-AvantĂšs (France) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© PrĂ©historique AriĂšge-PyrĂ©nĂ©es, t. 67,â , p. 15-26 (lire en ligne [sur researchgate.net], consultĂ© le ).
- [Bégouën (R.) et al. 2014] Robert Bégouën, Jean Clottes, Valérie Feruglio, Andreas Pastoors, Sébastien Lacombe (coop.), Jörg Hansen (coop.), Hubert Berke (coop.) et al. (préf. Henry de Lumley), La caverne des Trois-FrÚres : anthologie d'un exceptionnel sanctuaire préhistorique, Association Louis Begouën, , 248 p., sir issuu.com (présentation en ligne, lire en ligne), p. 16.
- [Bon et al. 2010] François Bon, SĂ©bastien Dubois et Marie-Dominique Labails, Le MusĂ©um de Toulouse et l'invention de la PrĂ©histoire (publiĂ© Ă l'occasion de l'exposition « PrĂ©histoire(s) : l'enquĂȘte », MusĂ©um de Toulouse, octobre 2010-juin 2011), Toulouse, Ăd. du MusĂ©um de Toulouse, , 228 p. (ISBN 978-2-906702-18-9).
- [Breuil 1957] Henri Breuil, « Henri BĂ©gouĂ«n (1863-1956) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique de France, vol. 54, nos 1-2,â , p. 78-81 (lire en ligne [sur persee]).
- [Saint-PĂ©rier 1957] Comtesse de Saint-PĂ©rier, « Le Comte BĂ©gouĂ«n » (nĂ©crologie) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique de France, vol. 54, no 1,â , p. 78-81 (lire en ligne [sur persee]).
Liens externes
- Ressources relatives Ă la recherche :
- Ressource relative aux militaires :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- « Comte Henri Bégouën, préhistorien - Biographie », sur hominides.com (consulté en ).
- [audio] « Trois frĂšres, trois grottes », Avec Robert BĂ©gouĂ«n (petit-fils du comte Henri BĂ©gouĂ«n), Ăric BĂ©gouĂ«n (fils de Robert), son Ă©pouse Marie-Brune et leurs enfants Alix, Diane et Paul, Jean Clottes et Jacques AzĂ©ma, sur franceculture.fr, (consultĂ© en ).