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Gilad Shalit

Gilad Shalit ou Guilad Schalit[note 1], (hĂ©breu : Ś’ŚœŚąŚ“ Ś©ŚœŚ™Ś˜), nĂ© le Ă  Nahariya, en IsraĂ«l, est un soldat de l’armĂ©e israĂ©lienne et citoyen franco-israĂ©lien. Le , il est capturĂ© par un commando de palestiniens Ă  Kerem Shalom. Son enlĂšvement est revendiquĂ© par les Brigades Izz al-Din al-Qassam, les ComitĂ©s de rĂ©sistance populaire (CRP) et un groupe inconnu se faisant appeler l’« ArmĂ©e de l’islam », annonçant leur intention d’échanger Gilat Shalit contre des prisonniers palestiniens dĂ©tenus en IsraĂ«l. Le Premier ministre israĂ©lien Ehud Olmert refuse toute nĂ©gociation et lance, le , l’opĂ©ration Pluies d'Ă©tĂ©, qui ne permettra pas la libĂ©ration de l'otage. Puis, avec l’aide des Égyptiens et d’un mĂ©diateur allemand, des nĂ©gociations s’ouvrent. Le Hamas propose alors d’échanger Gilad Shalit contre prĂšs de 1 000 prisonniers palestiniens. Les IsraĂ©liens refusent initialement de libĂ©rer les dĂ©tenus « avec du sang sur les mains » mais ils acceptent en Ă  condition qu’ils soient interdits de sĂ©jour en Cisjordanie. La proposition est rejetĂ©e par le Hamas.

Guilad Schalit
Gilad Shalit
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Gilad Shalit

Naissance
Nahariya, Drapeau d’IsraĂ«l IsraĂ«l
Origine nationalités israélienne et française
Grade Sergent-major

Selon le Hamas, qui a refusé de laisser le Comité international de la Croix-Rouge le voir, il aurait été détenu à Gaza, aucune preuve de vie n'étant fournie entre le et sa libération. Le , le gouvernement israélien approuve une proposition sérieuse de libération[1]. Il est libéré le [2].

Biographie

La tente de Noam et Aviva Shalit Ă  JĂ©rusalem.

Gilad Shalit naĂźt Ă  Nahariya, oĂč il vit jusqu’à l’ñge de deux ans. Il dĂ©mĂ©nage alors avec ses parents Ă  Mitzpe Hila en GalilĂ©e occidentale. Il obtient son diplĂŽme avec mention Ă  Kabri Manor High School. À 19 ans, Gilad commence alors son service militaire dans les Forces de dĂ©fense israĂ©liennes et ce, « malgrĂ© un faible profil mĂ©dical ». Il obtient le grade de caporal tankiste au sein de l’armĂ©e israĂ©lienne et sera promu sergent pendant sa captivitĂ©[3].

Capture

Le dimanche , il est capturĂ© par des combattants palestiniens qui attaquent un poste armĂ© Ă  la frontiĂšre sud d’IsraĂ«l via un tunnel prĂšs de Kerem Shalom, au sud de la bande de Gaza.

Les combattants palestiniens lancent une grenade dans un tank Merkava[4] de l’armĂ©e israĂ©lienne, deux soldats sont tuĂ©s, et Gilad Shalit, qui s'Ă©tait endormi selon ses dĂ©clarations aux autoritĂ©s militaires[5] sort blessĂ© et est fait prisonnier[6]. Deux autres soldats israĂ©liens ont Ă©tĂ© blessĂ©s, et deux combattants palestiniens sont tuĂ©s par les soldats israĂ©liens durant l’attaque. Mohammed Abdel Al, un porte-parole des ComitĂ© de rĂ©sistance populaire, a rĂ©vĂ©lĂ© que l’attaque de ce lieu Ă©tait planifiĂ©e depuis deux mois. L’armĂ©e israĂ©lienne estime pour sa part qu’il avait fallu entre 3 et 6 mois pour creuser le tunnel.

L’attaque est revendiquĂ©e conjointement par les Brigades Ezzedine Al-Qassam (branche armĂ©e du Hamas), le ComitĂ© de rĂ©sistance populaire et « l’ArmĂ©e de l’islam », un groupe crĂ©Ă© fin 2005 avec l’aide du Hamas et se rĂ©clamant du courant d’Al-QaĂŻda, ce qui conduit depuis le Hamas Ă  une certaine circonspection Ă  son Ă©gard[7].

Dans un article du quotidien Haaretz daté du et basé sur des extraits de son interrogatoire par la sécurité militaire, Gilad Shalit a été critiqué pour sa passivité devant l'attaque dont son char a été la cible. Il aurait décidé de rester dans son char, au lieu de combattre ses assaillants[4].

Réaction israélienne

Les efforts des forces israĂ©liennes et de l’AutoritĂ© palestinienne pour le localiser pendant les deux jours suivants ayant Ă©tĂ© vains, IsraĂ«l lance l’OpĂ©ration Pluies d’étĂ© le . Celle-ci comporte bouclages, incursions, arrestations et frappes aĂ©riennes sur la bande de Gaza qui font plus de 200 morts et plus de 800 blessĂ©s. Des centaines de dĂ©tenus dont des parlementaires palestiniens et des ministres Hamas de l’AutoritĂ© palestinienne sont ajoutĂ©s aux quelque 10 000 emprisonnĂ©s en IsraĂ«l[8]. Des dizaines de logements, bĂątiments publics, routes, ponts et la principale centrale Ă©lectrique du territoire sont dĂ©truits[9]. Toutefois Gilad Shalit n’est pas retrouvĂ©.

Le , l’ancien chef d’état-major israĂ©lien Gabi Ashkenazi reconnaĂźt qu’IsraĂ«l ne sait pas oĂč est dĂ©tenu Gilad Shalit[10].

Ś’ŚœŚąŚ“ ŚąŚ“Ś™Ś™ŚŸ Ś—Ś™ : « Gilad est toujours vivant », affiche en IsraĂ«l.

Signes de vie

C’est un an aprĂšs son enlĂšvement, le lundi , que le Hamas diffuse sur Internet un enregistrement audio de Gilad Shalit. Ce dernier y dĂ©clare notamment que « son Ă©tat de santĂ© ne cesse de se dĂ©grader »[11]. Lors de sa visite Ă  la famille du soldat, le prĂ©sident israĂ©lien MoshĂ© Katsav appelle les ravisseurs Ă  permettre une visite de la Croix-rouge auprĂšs de leur prisonnier[12].

Le , le Hamas Ă©change une vidĂ©o, datĂ©e du , montrant Gilad Shalit, apparemment en bonne santĂ©, contre 20 prisonniĂšres palestiniennes retenues en IsraĂ«l[13] - [14] - [15].

Demandes du Hamas et négociations

Graffiti pour Gilad Shalit, Tel Aviv

Le , le dirigeant du Hamas, Khaled Machaal, appelle les autoritĂ©s israĂ©liennes Ă  libĂ©rer plusieurs centaines de prisonniers palestiniens en Ă©change du soldat Gilad Shalit, utilisĂ© comme monnaie d’échange selon Le Monde[16] - [17], LibĂ©ration[18] ou le Point[19]. Si IsraĂ«l est disposĂ© Ă  cet Ă©change, il refuse nĂ©anmoins que cette mesure soit appliquĂ©e Ă  ceux qui auraient « du sang sur les mains », ce qui est le cas pour beaucoup d’entre eux, selon les IsraĂ©liens[20].

Selon Al Jazeera, Ă  la mi-2008, un Ă©change de prisonniers palestiniens contre Gilad Shalit aurait Ă©tĂ© empĂȘchĂ© par le lobbying de l’AutoritĂ© palestinienne, qui ne voulait pas laisser la part belle au Hamas[21].

En , aprĂšs la guerre de Gaza, le Hamas demande la libĂ©ration d’environ 980 prisonniers palestiniens dans les prisons israĂ©liennes . Le Hamas refusant tout changement dans cette liste, la nĂ©gociation Ă©choue encore. En 2009, des nĂ©gociations sont menĂ©es en Égypte entre les IsraĂ©liens et le Hamas sous l’égide d’un mĂ©diateur allemand. Le projet d’accord dĂ©battu le prĂ©voit contre la libĂ©ration de Gilad Shalit, celle d’un millier de prisonniers palestiniens, certains ayant participĂ© Ă  des attentats meurtriers en IsraĂ«l. Ce projet divise fortement le cabinet israĂ©lien et l’opinion du pays, d’autant qu’un accord renforcerait encore le Hamas vis-Ă -vis de l’AutoritĂ© palestinienne de Mahmoud Abbas[22] - [23] - [24]. IsraĂ«l demande alors que 100 Ă  130 prisonniers qui sont responsables de la mort d’IsraĂ©liens soient expulsĂ©s vers la bande de Gaza ou en tout cas interdits de sĂ©jour en Cisjordanie[25]. Le , le Hamas rejette cette offre[26].

Gilad Shalit à sa libération, entouré de son pÚre, de Benjamin Netanyahu et d'Ehud Barak, 18 octobre 2011

Le , le cabinet israĂ©lien approuve un Ă©change de prisonniers agrĂ©Ă© avec le Hamas grĂące Ă  la mĂ©diation Ă©gyptienne[27], permettant la libĂ©ration prochaine de Gilad Shalit contre celle de 1 027 prisonniers palestiniens en IsraĂ«l. Trois ministres votent cependant contre cet accord, dont le ministre des Affaires Ă©trangĂšres Avigdor Lieberman et le vice-premier ministre Moshe YaÊżalon[1]. Le , IsraĂ«l publie la liste des premiers 477 prisonniers qui devraient ĂȘtre libĂ©rĂ©s le avant Gilad Shalit. Parmi eux figurent plus de 280 condamnĂ©s Ă  perpĂ©tuitĂ© pour des crimes de sang, et notamment pour leur participation Ă  des attentats meurtriers, ce qui dĂ©clenche un vif Ă©moi en IsraĂ«l[28] - [29].

Shalit est finalement libĂ©rĂ© le en mĂȘme temps que 477 prisonniers palestiniens sont libĂ©rĂ©s par IsraĂ«l (dont 27 femmes)[2] - [30]. 550 autres prisonniers palestiniens sont libĂ©rĂ©s le .

RĂ©actions internationales

Depuis son accession Ă  la prĂ©sidence de la RĂ©publique française, Nicolas Sarkozy appelle Ă  la libĂ©ration de Gilad Shalit, qui a la double nationalitĂ©[31]. La diplomatie française qualifie de « nĂ©cessaire » sa libĂ©ration et insiste auprĂšs de ses partenaires de la rĂ©gion pour l’obtenir[32].

Cette position suscite parfois la controverse ; les associations palestiniennes comparent la situation du caporal Shalit Ă  celle de l’étudiant franco-palestinien Salah Hamouri arrĂȘtĂ© en 2005 et condamnĂ© Ă  7 ans de prison pour avoir eu l’intention de commettre un attentat, fait qu’il a acceptĂ© de reconnaĂźtre sur les conseils de son avocat aprĂšs trois ans de dĂ©tention sans jugement[33] et s’indignent de ne pas recevoir des autoritĂ©s françaises le mĂȘme soutien que celui exprimĂ© Ă  la famille Shalit[34].

Gilad Shalit affiché sur le bùtiment du Capitole à Rome, 2011

Gilad Shalit a Ă©tĂ© fait citoyen d’honneur de la Ville de Paris le [35], du Raincy en [36], de Miami en [37], de Rome le [38] de La Nouvelle-OrlĂ©ans en [39], de Baltimore en [40] et de Pittsburgh en [41]. En , le pape BenoĂźt XVI rencontre les parents de Gilad Shalit, lors d’une visite officielle en IsraĂ«l[42].

Le , plusieurs milliers de personnes manifestent Ă  Paris, au TrocadĂ©ro, en faveur de la libĂ©ration de Gilad Shalit sur le Parvis des droits de l’homme[43]. Le , lors d’une sĂ©ance du Conseil de sĂ©curitĂ© des Nations unies, M. Lynn-Pascoe, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint des Nations unies aux affaires politiques, « soulignant que le soldat Gilad Shalit en est Ă  sa cinquiĂšme annĂ©e de captivitĂ©, a demandĂ© sa libĂ©ration immĂ©diate et jugĂ© inacceptable l’absence d’accĂšs humanitaire Ă  ce soldat israĂ©lien. Notant que 9 000 Palestiniens sont dĂ©tenus dans les prisons israĂ©liennes, il a demandĂ© que des mesures soient prises pour assurer leur libĂ©ration et de parvenir Ă  un accord sur un Ă©change de prisonniers ». La reprĂ©sentante des États-Unis a aussi demandĂ© la libĂ©ration de Gilad Shalit[44].

Le jour suivant, le , le pĂšre de Gilad Shalit est reçu par le Premier ministre grec Georges PapandrĂ©ou qui dĂ©clare vouloir « aider Ă  apporter la paix dans la rĂ©gion[45] ». Le , sur Europe 1, aprĂšs l’assassinat de Michel Germaneau, le Premier ministre, François Fillon, rappelle que la France a « quatre Français encore dĂ©tenus » en incorporant Ă  la liste le Franco-israĂ©lien Gilad Shalit[46]. Le , le prĂ©sident de la RĂ©publique française, Nicolas Sarkozy, apporte son soutien Ă  une manifestation organisĂ©e Ă  JĂ©rusalem en faveur de Gilad Shalit en faisant lire une dĂ©claration Ă  un membre de l’ambassade de France : « Gilad n’est pas un prisonnier de guerre, car les prisonniers de guerre ont des droits. Celui de recevoir la visite d’organisations humanitaires, celui d’échanger du courrier avec leurs proches. Gilad n’a pas ces droits car Gilad - disons les choses - est un otage[47]. »

Le , le ministre français des Affaires Ă©trangĂšres, MichĂšle Alliot-Marie rend visite au pĂšre de Gilad Shalit qui dĂ©clare que « dĂ©tenir un otage sans le laisser rencontrer des reprĂ©sentants de la Croix-Rouge, c’est un crime de guerre ». MichĂšle Alliot-Marie s’engage Ă  intervenir auprĂšs de l’Union europĂ©enne et « de faire passer le message pour que le prisonnier reçoive des visites de la Croix-Rouge ».

Le lendemain, attribuant Ă  tort la qualification de « crime de guerre » au ministre, des manifestants palestiniens conspuent MichĂšle Alliot-Marie lors de sa visite Ă  Gaza. Elle est la cible de jets de chaussures. Les protestataires attirent l’attention sur le fait qu’en face du cas de « Gilad Shalit, [il y a] aussi 7 000 prisonniers palestiniens » dĂ©tenus en IsraĂ«l[48]. Le , Angela Merkel et Nicolas Sarkozy demandent dans une dĂ©claration commune la libĂ©ration de Gilad Shalit[49].

La libération de Gilad Shalit suscite des manifestations de satisfaction parmi lesquelles celle du président de la République, Nicolas Sarkozy qui fait part du « bonheur » et de « l'émotion » des Français dans une lettre personnelle au soldat franco-israélien[50] ou celle du maire de Paris, Bertrand Delanoë qui déclare : « J'accueille avec un immense soulagement la nouvelle de la libération de notre compatriote Gilad Shalit. [...] Ce jeune soldat franco-israélien a été, pendant plus de cinq années, soustrait au monde et au droit »[51].

Action en justice : plainte déposée à Paris

Le , Noam Shalit, le pĂšre de Gilad, a dĂ©posĂ© plainte contre X devant le procureur de Paris, pour enlĂšvement et sĂ©questration. Cette plainte engage la justice française Ă  mener une enquĂȘte et notamment, rĂ©duire la libertĂ© de mouvement des ravisseurs[52].

CarriÚre aprÚs sa captivité

En 2012, un an aprĂšs sa libĂ©ration, Guilad Shalit donne sa premiĂšre interview Ă  une tĂ©lĂ©vision israĂ©lienne oĂč il Ă©voque ses 1 942 jours de captivitĂ©. La mĂȘme annĂ©e, il entame une carriĂšre de journaliste sportif[53] - [54] et en septembre, il est invitĂ© par le club de football de Barcelone Ă  assister Ă  l'un de ses matchs, club que des Palestiniens appellent Ă  boycotter[54].

Il reprend en des études en sciences économiques à l'université d'Herzliya[4] et travaille à partir de 2016 dans une banque israélienne, la Discount Bank.

RĂ©percussions

DÚs la libération de Gilad Shalit, l'opinion israélienne est préoccupée par le risque de récidive des prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de cet échange[24] - [55] - [56] - [57]. En effet, selon Almagor, l'association israélienne de victimes du terrorisme, 180 Israéliens avaient déjà perdu la vie entre 2000 et 2011, dans des attentats provoqués par des prisonniers palestiniens libérés lors de précédents accords d'échange[56].

En 2012, des données sont publiées indiquant que des dizaines de prisonniers libérés lors de l'échange de Palestiniens contre Gilad Shalit ont repris leurs activités paramilitaires contre des civils israéliens, dont certains en lien avec le Hamas[58].

Le rapport annuel du service de sécurité d'Israël précise que le Shin Bet a contrecarré 190 attaques terroristes en 2013, dont 40 étaient coordonnées par des terroristes libérés dans le cadre de l'échange de prisonniers palestiniens avec Gilad Shalit[59] - [60].

En 2015, les sources israéliennes indiquent que six Israéliens ont été tués dans des incidents impliquant des prisonniers libérés lors des accords Shalit et qui étaient revenus à leur activisme[61] - [62] - [63]. En 2019, le nombre monte à dix Israéliens tués dans ce cadre[64]

  • L'otage Gilad Shalit sur une affiche du Hamas. Inscriptions : « Nos hĂ©ros prisonniers, puissions-nous avoir un nouveau Gilad chaque annĂ©e... Ils (les prisonniers palestiniens) ne sont pas seuls », 2007
    L'otage Gilad Shalit sur une affiche du Hamas. Inscriptions : « Nos héros prisonniers, puissions-nous avoir un nouveau Gilad chaque année... Ils (les prisonniers palestiniens) ne sont pas seuls », 2007
  • Manifestation de soutien Ă  Gilad Shalit, le 23 novembre 2008 Ă  Neuilly-sur-Seine. On reconnaĂźt Marek Halter, Jean-Christophe Fromantin, Élie Chouraqui et Arnaud TeullĂ©.
    Manifestation de soutien Ă  Gilad Shalit, le Ă  Neuilly-sur-Seine. On reconnaĂźt Marek Halter, Jean-Christophe Fromantin, Élie Chouraqui et Arnaud TeullĂ©.
  • MĂȘmes circonstances : on reconnaĂźt ici Patrick Bruel et Élie Chouraqui.
    MĂȘmes circonstances : on reconnaĂźt ici Patrick Bruel et Élie Chouraqui.

Notes et références

Notes

  1. Guilad Schalit pour l’administration française comme en tĂ©moignent ses papiers français

Références

  1. (en) « Israel cabinet approves Gilad Shalit prisoner swap », sur Haaretz, .
  2. « Gilad Schalit est de retour en Israël », sur Le Monde,
  3. Jeffrey Heller et Jean-Loup FiĂ©vet, « La Cour suprĂȘme israĂ©lienne dĂ©boute les parents de Gilad Shalit », Challenges,‎ (lire en ligne).
  4. Laurent Zecchini, « L'image ternie du soldat israélien Gilad Shalit », sur lemonde.fr, (consulté le )
  5. L'image ternie du soldat israélien Gilad Shalit, Le Monde, 30 mars 2013
  6. Tim Butcher, Soldier kidnapped and two killed in Gaza tunnel attack, Kerem Shalom, (lire en ligne).
  7. P. S.-P., « Cette ArmĂ©e de l’islam issue du clan Doghmosh », Le Figaro, (consultĂ© le ).
  8. Dominique Vidal, « Dix yeux pour un seul Ɠil... », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  9. Victoire relative pour les Palestiniens, La Libre Belgique, publié le 18 août 2006.
  10. « Gaby Ashkenazi admet son échec pour retrouver Gilad », sur le site du CRIF, .
  11. « Un signe de vie du soldat Shalit », sur Le Figaro, (consulté le ). Cette information a été reprise trÚs rapidement par tous les médias.
  12. « Gilad Shalit, dans un trou noir depuis trois ans », sur France-Soir, (consulté le ).
  13. « Le soldat Shalit apparaßt en bonne santé sur une vidéo », sur Boursier.com, agence Reuters, (consulté le ).
  14. « La vidéo du soldat Shalit échangée contre des détenues palestiniennes », sur France Info, (consulté le ).
  15. Une vingtiÚme prisonniÚre est libérée le 4 octobre 2009. Voir « Israël/Shalit : une prisonniÚre relùchée », sur Le Figaro, AFP, (consulté le )
  16. « Une lettre du soldat Shalit, otage à Gaza, a été envoyée à sa famille », sur Le Monde, (consulté le ) (texte complet payant).
  17. « Israël envisagerait de libérer des Palestiniens en échange du soldat Shalit », sur Le Monde, (consulté le ).
  18. « La vidéo de Gilad Shalit sous-titrée en français », sur Libération.fr, (consulté le ).
  19. « Gilad Shalit, le seul Français encore retenu en otage », sur Le Point, (consulté le ).
  20. « Israël déçue par la liste du Hamas », sur Infolive.TV (consulté le ).
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  22. Marc Henry, « La libération de Gilad Shalit divise le cabinet israélien », sur Le Figaro, (consulté le ).
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  30. « IsraĂ«l publie la liste des dĂ©tenus palestiniens Ă©changĂ©s contre Gilad Shalit », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consultĂ© le )
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  32. « Nicolas Sarkozy veut libérer le dernier otage français, le soldat Shalit », sur 20 minutes, (consulté le )
  33. Thierry Reboud, « Un Franco-Palestinien en prison : Salah Hamouri existe-t-il ? », sur Rue89, (consulté le ).
  34. AprÚs Ingrid Bétancourt, femme politique, pourquoi Gilad Schalit, caporal tankiste et pas Salah Hamouri, étudiant, civil non armé ?, par François Leroux, Association France Palestine Solidarité, publié le 9 juillet 2008.
  35. Compte rendu sommaire - Séances des 15, 16 et 17 décembre 2008.
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  51. « Bertrand Delanoë: la libération de Gilad Shalit est un "immense soulagement" », sur L'Express,
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Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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