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François Alix (né le à Chinon) est un sculpteur, peintre et plasticien français, Il est aussi connu pour avoir créé un environnement visionnaire à Verrue (Loudunais).
Naissance |
SommaireBiographieOriginesFrançois Alix naît à Chinon de parents agriculteurs. Il obtient un CAP d’ajusteur (1983), puis un CAP d’ébéniste (1987). Dans les années 90, il travaille la céramique et le raku avec sa compagne de l’époque, la peintre Marie-Pierre Albert[1]. LibraireParallèlement, il ouvre à Verrue, dans la forêt de Scévolles (Vienne) une librairie de livres anciens et d'occasion[2],[3]. Ses clients cinéastes l’entrainent sur les tournages comme conseiller historique et lui confie la conception des bibliothèques des décors et la fourniture des livres que tiennent en main leurs héros et héroïnes. C’est ainsi qu’il participe à Van Gogh (Maurice Pialat), L’homme au masque de fer (Randall Wallace), Innocents : the dreamers (Bernardo Bertolucci), Betty (Claude Chabrol), Jefferson à Paris (James Ivory). ArtisteIl présente en 2006 une exposition de livres sculptés[4]. Il expose à Paris, La Riche (2007)[5], Tours (2007), Saumur (2008), Angers (2008). Il abandonne progressivement le travail du papier pour le métal. »[6] L'environnement visionnaireSa première œuvre d'architecture naïve, en tant qu'architecte-paysagiste, le « sommier-tableau », est un arbre métallique qui s'érige à 12 mètres de haut [7],[8]. Il part s'installer en Suisse en 2014, et y travaille au bord du Léman. Suite à un dépit amoureux il se lance dans un projet d'environnement visionnaire. Il entreprend alors la construction de son "mausolée" - repérable au totem de vélos qui le signale en bordure de la départementale 347, à 20 km de Loudun - jardin anarchique d'arbres métalliques, de végétation de fer, surplombés d'une architecture[9]. Il annonce vouloir vouer le reste de sa vie cette "œuvre finale" se composant à la manière d'un village imaginaire, d'un tombeau, où il enterre ses histoire passées, d'une terrasse qu'il dit inspirée de la high line New-Yorkaise, et de larges bâtisses métalliques inspirées de l'architecture des châteaux de son enfance. Depuis 2016, il travaille quotidiennement à bâtir son jardin imaginaire, une œuvre de pierre et de métal où s'entremêlent la ferraille sculptée, l'architecture, et la nature qui sans cesse reprend ses droits. EngagementEntre 2001 et 2003, un projet de parc d’attraction porté par des élus locaux et régionaux - le Naturascope[10] - menace l’écosystème de la forêt de Scévolles (Vienne)[11]. L’affaire soulève l’indignation des habitants et le soutien de nombreuses personnalités (Edith Cresson, José Bové, Noël Mamère, Ségolène Royal, Gérard Blanchard, Claude Chabrol, Umberto Eco, Richard Anconina…)[12]. François Alix est un des leaders de la contestation[13],[14] qui aboutira à l’abandon du projet durant l’été 2003[15]. Principales réalisations et expositionsIl alterne les installations éphémères et les sculptures inamovibles.
Références
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