ForĂȘt de Chailluz
La forĂȘt de Chailluz est un massif boisĂ© situĂ© dans la commune de Besançon, dans le dĂ©partement du Doubs et la rĂ©gion Bourgogne-Franche-ComtĂ©.
ForĂȘt de Chailluz | ||||
![]() Localisation (en surbrillance) dans la commune de Besançon. | ||||
Localisation | ||||
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CoordonnĂ©es | 47° 18âČ 00âł nord, 6° 04âČ 00âł est | |||
Pays | ![]() |
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Région | Bourgogne-Franche-Comté | |||
DĂ©partement | Doubs | |||
GĂ©ographie | ||||
Superficie | 1 673 ha | |||
Altitude · Maximale · Minimale |
619 m 319 m |
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GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Doubs
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Présentation
Chailluz est le nom de l'un des quatorze quartiers de Besançon ; il est occupĂ© en totalitĂ© par une forĂȘt communale de 1 673 ha. Deux richesses y ont Ă©tĂ© exploitĂ©es durant des siĂšcles : la pierre et le bois. Si l'on n'extrait plus la pierre calcaire pour la chaux, les laves et les pierres de taille, la ressource en bois indispensable autrefois Ă la construction, au chauffage et Ă la production de charbon, est de nos jours destinĂ©e Ă l'industrie, aux scieries et chaufferies.
Les gestionnaires municipaux ont maintenant pour mission de concilier cette exploitation avec deux objectifs : l'accueil du public et la prĂ©servation de la biodiversitĂ©. L'intĂ©rĂȘt des Bisontins pour leur forĂȘt est tel que l'on dĂ©nombre jusqu'Ă 3 000 personnes sur l'ensemble du site certains jours, en dĂ©but d'Ă©tĂ©.
GĂ©ologie, hydrologie
La forĂȘt de Chailluz est la partie occidentale d'un espace boisĂ© de plus de 8 000 ha qui couvre le faisceau jurassien des avant-monts, une zone montagneuse d'orientation nord-est/sud-ouest bordĂ©e par le plateau de Besançon-Thise et la vallĂ©e de l'Ognon. Au niveau de Besançon, les avant-monts prĂ©sentent un relief plus accentuĂ© dĂ» Ă la prĂ©sence d'un anticlinal dĂ©versĂ© dont le flanc normal est inclinĂ© vers Thise et Besançon, le flanc inverse formant une barre qui domine la vallĂ©e de l'Ognon. L'altitude de la forĂȘt varie de 319 m sur le plateau prĂšs de Thise Ă 619 m au sommet de la crĂȘte oĂč se situe le fort de Chailluz appelĂ© localement « fort de la Dame blanche ».
En incluant cette forĂȘt, Besançon totalise 2 408 ha d'espaces verts dont 2 000 de forĂȘt et est reconnue comme une des premiĂšres villes vertes de France avec 206 m2 de verdure par habitant en 2013.
Les éléments qui la caractérisent sont :
- un sol pauvre ne se prĂȘtant pas Ă la culture avec une omniprĂ©sence de dolines (plus de cinq cents), caractĂ©ristiques du relief karstique ;
- la quasi absence de ruisseaux (celui de Combe à l'eau est de faible débit et n'a que 600 m). Seules deux sources significatives sont connues et aménagées de longue date : la fontaine Sainte-Agathe et la confidentielle fontaine des Acacias ;
- un peuplement quasi exclusif en feuillus tels que : chĂȘnes, hĂȘtres, Ă©rables, charmes, tilleuls, alisiers⊠les rĂ©sineux n'ayant Ă©tĂ© introduits que dans les annĂ©es 1960 ;
- un sous-sol accueillant une nappe phréatique qui alimente notamment le ruisseau de la MouillÚre dont la source est proche du centre-ville. Cette nappe fait l'objet de captages pour l'alimentation en eau de Besançon[1].
Origine du nom
Le nom Chailluz donnĂ© Ă la forĂȘt dĂ©rive de celui d'une concrĂ©tion partiellement silicifiĂ©e, datĂ©e du jurassique, que l'on trouve dans son sol et qui s'appelle chaille. Proches du silex, ces pierres de petite taille ont Ă©tĂ© utilisĂ©es durant le PalĂ©olithique pour confectionner des pointes de flĂšches et des outils bifaces.
Ă partir du XVIe siĂšcle, des gisements de pierre de taille ont Ă©tĂ© exploitĂ©s, en particulier dans la forĂȘt. Il s'agit d'une roche en calcaire oolithique de teinte trĂšs spĂ©cifique, sans rapport avec la prĂ©cĂ©dente et connue comme pierre de Chailluz.
C'est la chaille qui a donnĂ© son nom Ă la forĂȘt[2], et la forĂȘt qui a donnĂ© son nom Ă la pierre.
Faune et flore
Le fond de la vĂ©gĂ©tation est dominĂ© par la hĂȘtraie-chĂȘnaie-charmaie avec prĂ©dominance du charme. Sur les lapiaz du plateau, le hĂȘtre devient secondaire, avec un fort recouvrement d'espĂšces saxicoles. On rencontre Ă©galement des placages de limons Ă chailles propices Ă une chĂȘnaie-hĂȘtraie acidophile. L'abondance de dolines (dont le fond est couvert de fougĂšres) gĂ©nĂšre une forte hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© d'habitat.
La forĂȘt abrite une population de polystics Ă cils raides. Des groupements plus ponctuels se rencontrent en bas de versant : une chĂȘnaie pĂ©donculĂ©e Ă nivĂ©ole de fond de vallon, une hĂȘtraie-chĂȘnaie-charmaie et une hĂȘtraie-chĂȘnaie-charmaie de bas de versant Ă ail des ours. Cependant les conditions de vĂ©gĂ©tation sont mĂ©diocres dĂšs que le substrat affleure. C'est alors le domaine de la chĂȘnaie-hĂȘtraie thermophile.
Depuis le dĂ©but des annĂ©es 2010, un champignon(la chalarose) provoque le dĂ©pĂ©rissement de frĂȘnes d'Europe qui reprĂ©sentaient 10% du peuplement des forĂȘts de l'Est de la France. A Chailluz ce sont 4000 arbres (nombre en 2019) qui ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© abattus. Les Ă©picĂ©as sont attaquĂ©s par les scolytes et la sĂ©cheresse provoque le dĂ©pĂ©rissement des hĂȘtres par stress hydrique. La forĂȘt est menacĂ©e par les consĂ©quences du rĂ©chauffement climatique.
Outre la jonquille, les plantes les plus rares sont l'iris fétide, la laßche appauvrie (protection régionale), le fragon petit-houx, (protection communautaire) et le polystic à frondes soyeuses. On rencontre également la sanguisorbe et la mauve.
Les animaux de la forĂȘt sont, outre les chamois[3], des cerfs, blaireaux, renards, chats sauvagesâŠ
Parmi les oiseaux forestiers on observe la présence du milan royal, des pics noir, cendré et mar. Le faucon pÚlerin nidifie réguliÚrement dans la falaise de la Dame Blanche.
Exploitation
Autrefois
Une douzaine de carriĂšres de laves, employĂ©es autrefois Ă la couverture des habitations, ont Ă©tĂ© localisĂ©es sur diffĂ©rents secteurs dont deux parmi les plus Ă©tendues (plus de quatre hectares sur les douze au total), sont situĂ©es prĂšs des « dessus de Chailluz » dans la partie occidentale de la forĂȘt. Les autres se trouvent sur le plateau karstique Ă lâest des « Grandes baraques ».
Les fours Ă chaux (XVe-dĂ©but XVIIe). Plus de deux cents fours produisant de la chaux vive par calcination du calcaire ont Ă©tĂ© identifiĂ©s sur l'ensemble de la commune dont la majoritĂ© dans la forĂȘt. Les chaufourniers les installaient Ă proximitĂ© de petites carriĂšres, ce qui limitait le transport de la pierre. Leurs dimensions sont plus rĂ©duites que celles des fours du XIXe siĂšcle (cf. Chalezeule).
Les carriÚres de pierre de taille ont principalement été exploitées, à partir du XVIe siÚcle, dans le secteur des « Fonds de Chailluz ». Il s'agit d'un calcaire oolithique du bajocien qui présente deux teintes : beige-ocre avec des taches bleus-grises. Les façades des immeubles du centre-ville de Besançon ont été réalisées avec cette pierre emblématique, dont les gisements sont épuisés.
InstallĂ©es dans la forĂȘt pour disposer directement de la ressource, les plates-formes de charbonniers (datĂ©es du XVIIe au milieu du XIXe) ont produit du charbon de bois, combustible indispensable aux forges jusqu'Ă son remplacement par le charbon de terre quand celui-ci est devenu facilement livrable par voie ferrĂ©e.
Actuellement
La Ville de Besançon propriĂ©taire de la forĂȘt assure sa gestion avec la collaboration rĂ©glementaire et technique de lâOffice National des ForĂȘts. Plus de cinq mille m3 de bois sont exploitĂ©s chaque annĂ©e suivant un plan de coupe qui ne dĂ©passe pas le taux d'accroissement. Outre le bois pour le chauffage, les clients sont les entreprises d'ameublement, de fabrication d'agglomĂ©rĂ© et les papeteries.
Voirie, constructions
Hormis l'autoroute A36 qui la traverse sur 6 km depuis 1986, et la route de Marchaux (D 486) qui la borde, Chailluz n'est parcourue que par des chemins, laies et routes forestiÚres, dont une partie seulement est ouverte à la circulation des véhicules motorisés. Six parkings facilitent le stationnement.
Les vestiges de la chapelle Saint-Gengoul sont situĂ©s au sommet de la crĂȘte qui domine le village de Tallenay. La chapelle est citĂ©e en 1049 dans un pouillĂ© qui rapporte une confirmation faite par le pape LĂ©on IX.
Des fouilles archĂ©ologiques y ont eu lieu en et la ville de Besançon a financĂ© ensuite la mise en valeur assistĂ©e par lâassociation ARESAC[4]. Elles ont permis de dĂ©couvrir les vestiges d'un village du haut Moyen Ăge.
Les seules constructions rencontrĂ©es se situent aux Grandes et Petites Baraques. C'est ici que vivaient autrefois les exploitants de la forĂȘt : agents de la maĂźtrise des eaux et forĂȘts et familles de bĂ»cherons. Au XVIe siĂšcle, il y avait mĂȘme une auberge.
à la fin du XIXe siÚcle, le fort de la Dame blanche a été construit au nord, et deux magasins à poudre ont été creusés le long du chemin de la CharriÚre et de la route forestiÚre de Genau, l'ex chemin stratégique d'accÚs au fort. Ces constructions sont des propriétés communales.
Aujourd'hui, deux familles d'agents de l'O.N.F. sont logées aux Grandes Baraques. Ce sont les seuls habitants du « quartier ».
Deux arrĂȘts de la ligne â20 du rĂ©seau de transport en commun Ginko desservent l'entrĂ©e de la forĂȘt.
Accueil du public
Sentiers pédestres
Les Fonds de Chailluz (7,4 km)
Le Cul des Prés (8,5 km) Cet itinéraire passe au pied de la Fontaine Sainte-Agathe
Dame Blanche et Vieux Tilleul (14 km) Câest la grande boucle de Chailluz qui nous fait monter sur âla cĂŽteâ pour passer de lâancien Fort de Chailluz, au vieux tilleul en suivant la crĂȘte sur toute sa longueur.
La Fontaine des Acacias (5,7 km) Parcours entre les parcelles de résineux. Découverte de la fontaine creusée à flanc de doline.
La Dame Blanche (8,1 km) Une ascension de 270 m pour dĂ©couvrir devant le fort un magnifique point de vue sur la vallĂ©e de lâOgnon. Retour par les Petites Baraques.
Le Vieux Tilleul (12,3 km) Le sentier Saint-Nicolas conduit aux âFonds de Chailluzâ. On dĂ©couvre le plus vieil arbre de la forĂȘt, un tilleul quadricentenaire.
Sentiers VTT
Quatre circuits au départ des Grandes Baraques sont balisés (fin 2017) [5]:
- N°121, facile, 7,8 km avec 80 m de dénivelé positif.
- N°122, moyen, 14,8 km avec 320 m de dénivelé positif.
- N°123, moyen, 8,1 km avec 150 m de dénivelé positif.
- N°124, difficile, 23,4 km avec 650 m de dénivelé positif.
Aménagements
Un parc animalier d'une vingtaine d'hectares, accueillant des cerfs, daims et sangliers, a été créé au nord des Grandes baraques à la fin des années 1970 ; les chevreuils initialement présents ont été remis en liberté. Un sentier floristique a été aménagé au Creux-Vivier à l'est.
Il existe des aires de pique-nique ; on peut s'adonner à la cueillette des champignons, et la chasse est possible dans le cadre d'une convention entre la ville et l'Association communale de chasse agréée de Besançon.
La forĂȘt est aussi un espace privilĂ©giĂ© pour les randonnĂ©es non motorisĂ©es et le jogging, et un parcours de santĂ© a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© au Cul des PrĂ©s prĂšs de Palente.
Un centre d'accueil et Ă©ducation scolaire sur le thĂšme de l'environnement « La petite Ă©cole dans la forĂȘt » fonctionne depuis la fin des annĂ©es 1990 aux Grandes baraques.
Mesures de protection
En limite de commune, une rĂ©serve biologique intĂ©grale[6] de 65 ha a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en sur la pente nord de la crĂȘte de la Dame blanche couverte notamment d'une Ă©rabliĂšre Ă scolopendres.
Une ZNIEFF de deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration[7] de 3124 ha a Ă©tĂ© dĂ©limitĂ©e au sein du massif des avants-monts ; une partie de la forĂȘt de Chailluz est intĂ©grĂ©e Ă cette zone. naturelle.
Histoire
De petites fermes Ă©taient implantĂ©es sur une quart environ de la forĂȘt Ă l'Ă©poque gallo-romaine.
Des tombes des Ve et VIe siÚcles (occupation Burgonde) ont été mises au jour lors de l'aménagement du chemin stratégique du fort.
La propriĂ©tĂ© de la forĂȘt de Chailluz a Ă©tĂ© contestĂ© jusqu'en 1721. Les premiers Ă©crits officiels datant de 1442 font Ă©tat de litiges entre la ville impĂ©riale et le comte de Bourgogne Philippe V, litiges rĂ©glĂ©s par un arbitrage : Besançon dĂ©tiendra la partie de forĂȘt lui faisant face et le comte celle qui fait face Ă ChĂątillon-le-Duc. En 1701, aprĂšs l'annexion, les commissaires remettent en cause les droits de la ville sur Chailluz, dĂ©cision abrogĂ©e par la chambre des eaux et forĂȘts du Parlement quatre ans plus tard. L'administration royale fait appel, et il faudra attendre 1721 pour que la propriĂ©tĂ© de Besançon sur sa forĂȘt, telle qu'elle est quasiment dĂ©limitĂ©e aujourd'hui encore, lui soient reconnue.
Sur un plan de 1738, la forĂȘt apparaĂźt partagĂ©e en trente parcelles plus un-quart en rĂ©serve.
Des bornes royales marquĂ©es de trois fleurs de lys ont Ă©tĂ© implantĂ©es vers 1720 (rĂšgne de Louis XV) pour dĂ©limiter une parcelle forestiĂšre crĂ©Ă©e sur le versant nord et ouest de la colline bordant la forĂȘt de Chailluz. Afin de lever les incessants litiges avec les communes limitrophes, ces bornes Ă©taient destinĂ©es Ă marquer la limite territoriale entre la forĂȘt de Chailluz appartenant Ă la ville de Besançon et celles de Tallenay, ChĂątillon-le-Duc et Ecole-Valentin.
En 2014, des archĂ©ologues locaux et reprĂ©sentants de l'O.N.F. parcourent sur plus de 6 km l'ancienne limite et localisent vingt bornes situĂ©es dans des propriĂ©tĂ©s privĂ©es, mais il est constatĂ© leur absence sur une section du bois de la Lave Ă hauteur de Tallenay. Renseignement pris, c'est le propriĂ©taire du terrain qui les avait dĂ©posĂ©es en 1966. Neuf de ces bornes, pesant prĂšs de 300 kg, ont finalement Ă©tĂ© remises en place en par l'association ARESAC avec l'aide financiĂšre du propriĂ©taire du bois de la Lave. Un Ă©lĂ©ment important du patrimoine paysager de la forĂȘt de Chailluz est ainsi identifiĂ© et prĂ©servĂ©.
Mythe et légende
Le lieu-dit sur la crĂȘte sommitale est appelĂ© localement "la Dame blanche" en relation avec des apparitions de ce spectre de femme vĂȘtue d'un voile blanc signalĂ© Ă des multiples endroits en occident depuis le XIVe siĂšcle. Le fort mais Ă©galement le belvĂ©dĂšre et la falaise situĂ©s Ă cet endroit portent le qualificatif de Dame blanche.
Une lĂ©gende de Franche-ComtĂ© situe en forĂȘt de Chailluz une grotte ouverte dans une combe dans laquelle se serait retirĂ© un ermite[8]. On le supposait trĂšs riche de sorte qu'un certain Colbus, pactisant avec le diable, l'assassina pour lui dĂ©rober son trĂ©sor. L'ermite ne possĂ©dait rien et l'on retrouva plus tard Colbus recroquevillĂ© prĂšs de la grotte brĂ»lĂ© par les flammes de l'enfer. Le lieu s'appelle depuis la combe de l'homme mort.
Ăconomie
- Chaufferie automatique au bois alimentant les locaux et habitations des Grandes baraques.
- Jadis, les carriĂšres de la forĂȘt ont fourni la pierre de Chailluz avec laquelle sont construits la majoritĂ© des Ă©difices du centre ancien de Besançon.
Voir aussi
Galerie
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- Borne royale de Chailluz, bois de la Lave
- Borne royale de Chailluz
- Chapelle Saint Gengoul
- Grandes baraques
- Panneau indicateur
- Plaque commémorative
- Tilleul quadricentenaire
- Pierre de Chailluz
- Plan de la forĂȘt
- Panorama depuis le belvédÚre du Fort de la Dame Blanche.
Bibliographie
Analyse spatiale et temporelle des paysages de la forĂȘt de Chailluz, Catherine Fruchart ; https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-01099184v2/document
Les sols de la forĂȘt de Chailluz : balades naturalistes, AndrĂ© Guyard ;http://baladesnaturalistes.hautetfort.com/archive/2014/07/08/les-sols-de-la-foret-de-chailluz-5406681.html
Articles connexes
Notes et références
- Quatre forages de prĂšs de 200 m sur la commune de Thise en limite de forĂȘt. La station de potabilisation de Chailluz, situĂ©e Ă proximitĂ©, alimente le chĂąteau d'eau du chemin des Relançons qui constitue la limite entre Chailluz et le quartier St Claude de Besançon.
- Il existe aussi un bois de la Chaille entre Besançon et Pirey.
- Sur la cĂŽte de Bonnay
- Association de Recherche et dâĂtude des Sites ArchĂ©ologiques Comtois
- http://www.besancon.fr/index.php?p=1959
- Museum national d'Histoire naturelle, « INPN - Dame Blanche (De La), Réserve biologique intégrale », sur mnhn.fr (consulté le ).
- Museum national d'Histoire naturelle, « Inpn, znieff 430007781 - foret de chailluz et falaise de la dame blanche », sur mnhn.fr (consulté le ).
- « Mythes et légendes de Franche-Comté : « Colbus » », sur macommune.info (consulté le ).