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Fontaine-au-Pire

Fontaine-au-Pire est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Fontaine-au-Pire
Fontaine-au-Pire
Église de Fontaine-au-Pire.
Blason de Fontaine-au-Pire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Caudrésis - Catésis
Maire
Mandat
Jean-Claude Gérard
2020-2026
Code postal 59157
Code commune 59243
Démographie
Gentilé Fontenois, Fontenoises
Population
municipale
1 217 hab. (2020 en augmentation de 1,33 % par rapport à 2014)
Densité 161 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 07′ 50″ nord, 3° 22′ 32″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 129 m
Superficie 7,57 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Caudry
(banlieue)
Aire d'attraction Caudry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cateau-Cambrésis
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Fontaine-au-Pire
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Fontaine-au-Pire
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Fontaine-au-Pire

    Géographie

    Ce village se situe dans le canton de Carnières, dans l'arrondissement de Cambrai.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 771 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étreux », sur la commune d'Étreux, mise en service en 1956[7] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 839,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Fontaine-au-Pire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Caudry, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[17] et 18 627 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caudry dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81 %), prairies (9,8 %), zones urbanisées (9,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    On trouve le village mentionné au long des XIe au XVIIe siècles sous les différents noms de Wicart de la fontaine (1065), Fonte wicardi (1174) ou Wicardi de fonte (1184), Fontanæ le Gobierto (1222), Fontaine les Wambaix (1690), mais aussi Fontaine le wicart, Fontanæ wauberti, Fontaine les Aubert, Fontaine les Gobert, Altare de fontanis oleri, Fontaine à Beauvois ou Fontaine les trois tours[24] et finalement Fontaine au Pire (dite le Wambres) à partir de 1608.

    Un seigneur du nom de Wicart fit construire près de l'église actuelle un château dont les murs dominaient une fontaine. Les noms Wambaix et Beauvois sont ceux de communes proches.

    Boniface[24] fait dériver le nom pire du roman pierge (« grand chemin », « chaussée ») ou pire (« chemin empierré ») et du bas-latin perecium (« chaussée de pierres »), de la chaussée reliant Cambrai au Cateau qui traversait encore Fontaine au début du XVIIIe. Cette rue s'appelle encore la rue du Pire (Lamartine). Fontaine se situait aussi sur le trajet d'un chemin très ancien menant de Saint-Quentin à Valenciennes.

    Histoire

    Fontaine-au-Pire existe depuis plus de 1200 ans. Une paroisse y était déjà installée en l'an 878. Des sites de l'époque du silex (haches en silex), du temps des Romains et des Mérovingiens ont été découverts.

    L'emplacement de l'ancienne ferme Bezin, qui n'existe plus depuis longtemps, a dû être occupé par les Romains. Il y fut en effet découvert des aqueducs romains en ciment, d'anciens puits, d'anciens tombeaux, des médailles romaines en or et des monnaies datant du règne de Diocletien (284-305).

    Plus près de nous, le 15 août 1793, le village fut pillé par les troupes d'occupation autrichiennes.

    Politique et administration

    Maire de 1802 à 1807 : Fr. Senez[25] - [26].

    Depuis janvier 2010, la commune a intégré la Communauté de communes du Caudrésis - Catésis.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1964 mars 2008 Jean-Marie Lemaire DVD Ancien conseiller général du canton de Carnières
    Mars 2014 En cours Jean Claude Gérard DVD

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

    En 2020, la commune comptait 1 217 habitants[Note 8], en augmentation de 1,33 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8067407589961 1161 1981 1821 2431 174
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2661 3801 4561 4451 6461 9342 0502 2402 337
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3792 4602 4861 8951 8371 7491 6821 4771 505
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 3741 3311 2601 2171 1271 1111 1741 1941 213
    2020 - - - - - - - -
    1 217--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 585 hommes pour 633 femmes, soit un taux de 51,97 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,4
    90 ou +
    4,0
    7,2
    75-89 ans
    12,2
    13,5
    60-74 ans
    13,8
    21,4
    45-59 ans
    19,2
    21,1
    30-44 ans
    19,2
    15,4
    15-29 ans
    13,5
    19,9
    0-14 ans
    18,1
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Vie associative

    Festirolls - Club cyclotouriste avec section randonneurs - Star Club - Moto Club - Société de Chasse - Country Dance Connexion - Les Passionnés des jeux d'adresses - Société Colombophile Beauvois-Fontaine-Carnières - Groupement des Travailleurs Retraités - Comité d'Expansion - Amicale Laïque - Harmonie Mutualiste Beauvois-Fontaine - Gymanstique Volontaire Féminine - Section UNC.AFN - Le Clocher Le contrat enfant-jeunesse comprenant l'accueil péri-scolaire et l'accueil de loisirs s'est étoffé, en 2010, par l'ouverture d'un Lalp pour adolescents de 11 à 17 ans.

    Sport

    Football : le village comporte un club de foot qui actuellement évolue en Ligue District du Nord-Pas-de-Calais, Star C Fontaine-au-Pire dans sa pelouse du Stade Fernand Basquin.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église
      L'église

    Fontaine-au-Pire dans les arts

    Fontaine-au-Pire est citée (orthographiée « Fointaine-au-Pire »)[33] dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[34].

    Héraldique

    Les armes de Fontaine-au-Pire se blasonnent ainsi :"D'azur à une étoile à cinq rais d'or, accompagnée en chef d'un lambel à trois pendants du même."

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
    • Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Étreux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Fontaine-au-Pire et Étreux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Étreux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Fontaine-au-Pire et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Caudry », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caudry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Boniface 1866, p. 134.
    25. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
    26. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163)
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fontaine-au-Pire (59243) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    33. Probablement une erreur typographique dans le recueil de Pierre Seghers. L'édition originale de La Diane Française orthographie correctement Fontaine-au-Pire
    34. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
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