Accueil🇫🇷Chercher

Fontaine-Bellenger

Fontaine-Bellenger est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Les Bérengeois en sont les habitants.

Fontaine-Bellenger
Fontaine-Bellenger
Blason de Fontaine-Bellenger
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Eure
Maire
Mandat
Jean-Claude Duplouis
2020-2026
Code postal 27600
Code commune 27249
Démographie
Gentilé Bérengeois
Population
municipale
1 161 hab. (2020 en augmentation de 6,03 % par rapport à 2014)
Densité 234 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 11″ nord, 1° 15′ 43″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 151 m
Superficie 4,96 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Louviers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gaillon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fontaine-Bellenger
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fontaine-Bellenger
Géolocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Fontaine-Bellenger
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Fontaine-Bellenger

    Géographie

    Localisation

    Fontaine-Bellenger est localisée à l'extrême pointe nord du plateau de Madrie qui est situé à l'est du département de l'Eure. Le plateau de Madrie sépare les vallées de la Seine et de l'Eure. Le village est construit sur un plateau culminant à plus de 150 mètres d'altitude. La superficie de la commune est de 496 hectares. Diverses sources sont localisées dans le village dont l'une alimente le lavoir. Ces points d’eau ont favorisé le déplacement du village qui était situé à l’origine à côté de l’actuel cimetière.

    Hameaux : Gournay, Ingremare.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 698 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Louviers », sur la commune de Louviers, mise en service en 1960[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 723,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 17 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Fontaine-Bellenger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Louviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), zones urbanisées (11,6 %), prairies (5,6 %), forêts (5,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Fontana Berengerii vers 1025 (charte de Richard II)[23], Fontana Berengarii en 1027, Fontaine Béranger en 1738, Fontaine Bellinger en 1782 (Dictionnaire des postes)[24].

    Une fontaine est d'abord le lieu d'une source, d'une « eau vive qui sort de terre », selon le premier dictionnaire de l'Académie française.

    Bellenger: variante de Bérenger et de Béranger, nom de personne d'origine germanique[25].

    Histoire

    Fontaine-Bellenger, autrefois « Berranger Â», fut érigée en paroisse sous la dédicace de saint Eutrope et saint Quentin. La première église de Fontaine-Bellenger était au centre du cimetière actuel et le village était bâti autour ; on peut voir encore de nos jours les vestiges des fondations de l’église. Tout ceci est très ancien puisqu’on a trouvé des restes mérovingiens en creusant les sépultures. Pour mémoire, le fondateur de la dynastie des Mérovingiens, Clovis Ier est mort en 511. Le dernier des Mérovingiens, Childéric III, roi en 743, fut enfermé en 751 par Pépin le Bref fondateur de la dynastie des Carolingiens. C’est au XVe siècle que l’église fut transférée où elle se trouve actuellement, à km de la première. La grande fenêtre du chevet date de cette époque. Deux petits collatéraux surajoutés pour son agrandissement lui ont retiré son caractère ancien. Dans le mobilier de l’église, nous trouvons une toile du XVIIe siècle représentant le martyre de saint Quentin, une autre du XVIIIe siècle représentant la crucifixion et un bénitier du XVe siècle.

    Dans la liste des nombreuses donations faites à l’abbaye de Fécamp en 1207 par le duc de Normandie Richard II, on trouve le domaine de Fontaine-Bellenger. L’année suivante, Jean, abbé de Fécamp, échangea la terre de Fontaine-Bellenger avec Emma, fille d’Eudes, comte de Chartres, mariée à Guillaume IV, dit « Fier-à-bras », comte de Poitiers. Cet échange n’eut pas de suite (ou ne concernait qu’une faible partie de son territoire) car ce village est resté constamment annexé à la baronnie d'Heudebouville, que l’abbaye de Fécamp conserva jusqu’à la Révolution de 1789.

    Les différents fiefs de Fontaine-Bellenger étaient les suivants : Bon Val, Gournay, Grestain, Ingremare, Le Val Tesson.

    Français de Caradas, sieur de Bonval, figure sur les registres paroissiaux de Venables, le 18 octobre 1628. Marguerin de Caradas était parrain à Louviers le 14 mai 1628. Marguerin de Caradas, sieur de Bonval, avait épousé Jeanne Thorel, qui fut marraine à Louviers en 1638. Il contracta une seconde alliance avec Jeanne Auber. Hilaire Français de Caradas, sieur de Bonval, est cité en 1655 ; il mourut le 11 mai 1702. Âgé d’environ 70 ans, il fut inhumé dans la chapelle seigneuriale de Fontaine-Bellenger. Le blason des Caradas représentait trois croissants argent sur fond azur.

    Gournay était une vavassorie, appartenant en 1531 à Gilles Du Mesnil, qui la vendit à Antoine Caradas. Elle passa ensuite aux chanoines de Beauvais qui donnaient chaque année, à la Saint-Michel, 50 sous aux moines de Fécamp.

    L'abbaye de Grestain possédait à Fontaine-Bellenger un fief dit « Le Petit Grestain » qu'elle conserva jusqu'à la Révolution.

    Il en est fait mention dans une charte de 1245. Gabriel Le Page, sieur de Fiamare et probablement d'Ingremare fut maintenu de noblesse le 23 juillet 1666. Il portait « blason d'azur à quatre burelles d'or, au lion de sable armé de gueules ». Son fils Robert, sieur d'Ingremare, épousa le 8 juillet 1672 Anne Langlois. Le 12 mai 1700, cette dame était séparée quant aux biens de son mari. Nicolas Le Page, sieur d'Ingremare, est cité dans un acte de 1723 (était vraisemblablement le fils de Thomas Le Page, frère de Gabriel, cité en 1666). Il eut pour seul héritier messire Charles Le Page, prêtre, curé de Condé-Northen, diocèse de Metz, qui vendit en 1739 à Jean-Pierre Le Pesant, seigneur de Maupertuis, des terres à Ailly et Fontaine-Bellenger.

    Le 24 janvier 1631, Jacques de Caradas, sieur de Val Tesson, âgé de 35 ans environ, fut inhumé dans l'église Notre-Dame de Venables.

    Dépendances de Fontaine-Bellenger[26]
    • Le Bonval
    • Grestain
    • Le Bout de la Ville
    • Ingremare
    • Les Bruyères
    • Marinette
    • Les Cabots
    • Le Pisallet
    • Le Clos de Gournay
    • Le Val d'Ailly
    • Le Galardon
    • Le Val Tesson
    • Gournay

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2008 En cours Jean-Claude Duplouis SE Retraité agricole
    2001 2008 Loïc Chauvière
    1983 2001 Paulette Laroche
    1955 1983 Etienne Lemeilleur
    1929 1955 Marcel Artus
    1919 1929 Georges Picard
    1904 1919 Léon Renoult
    1884 1904 Jules Marquais
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1820/1830 Pinchon
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2020, la commune comptait 1 161 habitants[Note 8], en augmentation de 6,03 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    425462470445437418421382384
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    381337318322271260269245237
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    234232233189196227229253206
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2472632655597128129459641 061
    2017 2020 - - - - - - -
    1 1501 161-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Quentin [31] XIVe siècle, remaniée XVIIe siècle : toiles XVIIe siècle et XVIIIe siècle, bénitier et statues du XVe siècle. Vestiges de l'ancienne église dans le cimetière.
    • Manoir [32] à Ingremare. Colombier du XVIIIe siècle.
    • Prieuré de Bénédictins [33], cité en 1577 (pour mémoire car détruit), dépendant de l'abbaye de Lyre
    • Lavoir.

    Site classé

    Site inscrit

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    d’azur au croissant d’argent surmonté de deux mitres d’or ornées de gueules.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Louviers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Fontaine-Bellenger et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Louviers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Fontaine-Bellenger et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Droz, , p. 1663.
    24. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 86.
    25. Gérard Boutet, La France en héritage : Dictionnaire encyclopédique : métiers, coutumes, vie quotidienne, 1850-1960, Perrin, , p. 154.
    26. Louis-Étienne Charpillon avec la collaboration de l'abbé Caresme, op. cit..
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Église Saint-Quentin », notice no IA00017707, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Manoir », notice no IA00017709, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Prieuré », notice no IA00018323, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « L'if situé dans le cimetière », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    35. « Les Falaises de l'Andelle et de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.