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Fabrice Hybert

Fabrice Hybert, également connu sous le pseudonyme Fabrice Hyber, est un plasticien français né le à Luçon (Vendée). Il est élu à l'Académie des beaux-arts le 25 avril 2018, à l'âge de 56 ans.

Fabrice Hybert
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Attaché à la nature, à l'économie, au commerce et aux sciences, il a créé des systèmes autour de la production artistique avec les entreprises, des scientifiques et des laboratoires à travers le monde. Fabrice Hyber revendique un attachement aux mathématiques, aux sciences, mais également à la philosophie de Gilles Deleuze[1].

Biographie

Après une enfance à Château-Guibert en Vendée, Fabrice Hyber étudie les mathématiques et la physique. De 1979 à 1985, il est formé à l'école des beaux-arts de Nantes. En 1981, il produit sa première peinture, le Mètre carré de rouge à lèvres, et expose dès 1984 à la Biennale internationale du dessin de Saint-Étienne et en 1986 lors des Ateliers internationaux des Pays de la Loire à l'abbaye royale de Fontevraud. Cette même année, il présente sa première exposition personnelle, Mutation, à la Maison de l'avocat de Nantes[2].

Depuis 1986, il présente des expositions personnelles à Montréal, Limoges, Poitiers, Strasbourg, Tokyo, New-York, San Francisco, Zurich, Bruges, Sète ou encore Guadalajara.

En 2000 un projet sur l'Arc de Triomphe lui est confié. En 2001, le Sidaction lui passe commande d'une œuvre monumentale, L'Artère, dédiée à la mémoire des victimes du sida et en hommage à ceux qui se consacrent à la lutte contre l'épidémie, installée dans le parc de la Villette et à laquelle il se consacre de 2002 à 2006. En 2004, Fabrice Hyber annonce : « À partir du 1er mai 2004, j’ai décidé, en pleine possession de mes moyens, c’est-à-dire en pleine santé, de supprimer le “t” de Hybert »[3].

En 2007 c'est dans le jardin du Luxembourg qu'il installe Le Cri, l'Écrit, une commande publique commémorant l'abolition de l'esclavage[4]. Dans le même temps, il poursuit une démarche lancée autour dès 1990 en semant des arbres dans la vallée vendéenne de son enfance[5].

Développant ses expérimentations et travaux artistiques, Fabrice Hyber installe un jardin de sculptures au Japon, un autre au Texas. Il collabore également avec l'agence d'architecture Jakob + MacFarlane pour la résille du siège d'Euronews à Lyon (2015).

En 2018, Fabrice Hyber livre le décor peint de la verrière du palace parisien Lutetia, il réalise également, pour Beaupassage rue de Grenelle, Les Deux Chênes à partir du double moulage d'un arbre tricentenaire de sa vallée vendéenne[6].

Officier dans l'ordre des Arts et des Lettres depuis janvier 2012, Fabrice Hyber est élu à l'Académie des beaux-arts en 2018 au fauteuil de Chu Teh-Chun. Il est reçu sous la Coupole le par Régis Campo. En 2021 également, Fabrice Hyber devient ambassadeur du fonds « ONF-Agir pour la forêt »[7].

Le , Fabrice Hyber est nommé président du conseil d'administration du Centre national des arts plastiques par un arrêté de la ministre de la culture[8].

Ĺ’uvre

Fabrice Hyber dessinant dans son atelier en 2022

Artiste prolifique, Fabrice Hyber construit peu à peu une production faite de peintures, dessins au fusain, collages, vidéos, etc.

Fabrice Hyber signant le revers d'une assiette de la poterie de Nesmy (Vendée)

« L'ensemble de l'œuvre de Fabrice Hybert, apparue au milieu des années 1980, se construit sur un principe d'échos, de dérives, d'échafaudages. Chaque œuvre refuse d'être autonome, elle n'est qu'une étape intermédiaire et évolutive d'un work in progress conçu sous la forme d'un gigantesque rhizome dont les articulations naissent chaque fois de la volonté d'établir des liens tout en représentant la prolifération de la pensée : un ars combinatoria[9]. »

Lion d'or à la biennale de Venise en 1997[10], il crée une œuvre multiforme à partir de la pratique de la peinture. Artiste en dialogue, il a collaboré avec des entreprises[11], lancé le programme Organoïde à l'Institut Pasteur[12], et développe depuis 2012 le réseau de production « les réalisateurs »[13].

Art et sciences

Sensible à la biologie, l'astronomie ou encore aux mathématiques et à la physique, Fabrice Hyber transpose la question scientifique dans son œuvre, tant par les sujets traités que par la mise à nu du processus créatif, à l'image de tableaux de recherches[14]. Rhizomatiques, les Peintures homéopathiques de Fabrice Hyber mettent en évidence le corps, le paysage ou l'objet, en écho avec l'acte de création qui est explicité du début à la fin[15]. Ainsi, calculs, documents de recherches, croquis, ou états d'âme de l'artiste sont constitutifs de chaque œuvre autant qu'ils en sont la matrice visible.

Installation pour les trente ans de L'Homme de Bessines en 2022 au Palais Royal de Paris

Fabrice Hyber s'attache à travailler avec le corps scientifique. Il collabore par exemple en 2007 avec le biotechnologiste américain Robert S. Langer autour de la question des cellules souches[16], ou, régulièrement, avec l'Institut Pasteur et le professeur Olivier Schwartz[17]. Souvent présentes dans le travail de Fabrice Hyber, les notions virales sont également traitées par l'artiste lors de la crise du Covid-19[18]. En 2021, Fabrice Hyber travaille avec Pascale Cossart de l'Institut Pasteur pour l'illustration d'un ouvrage scientifique consacré aux microbes unicellulaires[1]. Intitulé Le Monde invisible du vivant, ce livre est publié le 28 avril 2021 aux éditions Odile Jacob[19].

La réalité des questions environnementales est également saillante dans l'œuvre de Fabrice Hyber. Semant des arbres dans sa vallée vendéenne, il voue une partie de son travail à la recherche d'écosystèmes en plusieurs points du globe. La place des énergies renouvelables et des usages électriques est tout autant au cœur de sa réflexion[20]. En 2022 et 2023, les expositions présentées à la Fondation Cartier et au domaine de Chaumont-sur-Loire illustrent la problématique environnementale qu'interroge Fabrice Hyber dans son travail[21]. À la Fondation Cartier, la transmission se joue également dans un processus d'éducation à l'environnement par la mise en place d'une école avec cycle de cours et de conférences au sein du dispositif[22].

Ted Hyber, fontaine située à Osaka

Art et entreprise

Artiste-entrepreneur, Fabrice Hyber noue des partenariats avec des entreprises dès le début de sa carrière. Quand il crée le Mètre carré de rouge à lèvres en 1981, il développe un projet avec le fabricant de cosmétiques Liliane France. Depuis, il multiplie les collaborations avec des groupes privés[23].

Emblématique de ce travail, le Plus Gros Savon du monde est créé en 1991. Avec la Compagnie des Détergents et du Savon de Marseille, il produit un savon moulé de vingt-deux tonnes homologué par le Guinness des records. Objet artistique, performatif et industriel, le Plus Gros Savon du monde est également un acte commercial dans la mesure où, en partenariat avec le groupe E.Leclerc et les transports LOcation-VEhicule France, il voyage sur les parkings de supermarchés partout en France[24] puis en Belgique, en Allemagne et en Espagne[25]. Abordé dans le livre 1-1=2, le commerce est important pour Fabrice Hyber, notamment en ceci qu'il est à considérer comme un moyen d'échanges et non seulement comme un élément strictement économique.

Désireux de nouer des partenariats avec des sociétés privées et de garder une forme d'indépendance dans ses projets, leur production et leur diffusion, Fabrice Hyber fonde la SARL UR : Unlimited Responsibility (responsabilité illimitée) en 1994[14]. Utilisée par Fabrice Hyber, la SARL UR est également ouverte à d'autres créateurs. Alors peu présente dans les milieux artistiques, la question entrepreneuriale y est vue comme l'objet de rencontres et d'expérimentations autant que de production. Reprenant les codes du commerce (valorisation, communication, mise en vente), notamment en commercialisant les POF, l'un des objectifs d'UR est le financement de projets artistiques[24].

En 1995, le musée d'Art moderne de la ville de Paris accueille l'exposition Hybertmarché en collaboration avec l'université de Lunebourg. Impliquant l'entreprise UR, pour Fabrice Hyber le projet consiste à : faire inventorier des objets présents dans son œuvre, les commander ou les faire parvenir, les réceptionner et les disposer en rayon publiquement après l'ouverture de l'exposition, les modifier selon ce qu'ils sont dans sa pensée, les mettre en vente[26].

Entre autres projets en partenariat avec des entreprises, Fabrice Hyber contribue à développer en 2021 le gin Frisson d'Hyber avec la société Conquérant Spirits[27]. En mars 2022, il collabore avec le maroquinier de luxe Camille Fournet et crée une capsule en édition limitée et numérotée de produits utilisant son vert Hyber[28].

Les POF

Nés en 1991, les POF (prototypes d'objets en fonctionnement) sont inspirés de la vie quotidienne. Hybrides, saugrenus, subversifs et pourtant très proches des objets usuels, les POF partent du réel et le font glisser vers le stade où la perception logique est mise à mal. Conçus comme des invitations à l'appropriation et au détournement de l'ordinaire, les POF sont dans un premier temps commercialisés par UR et peuvent être fabriqués par chaque personne suivant une indication donnée par Fabrice Hyber. En interrogeant son quotidien ou en fabriquant, le spectateur devient partie prenante de l'œuvre. L'Escalier sans fin, la Balançoire ou le Ballon carré sont parmi les plus emblématiques des 160 POF créés depuis 1991.

En 2018, la Maison des POF est créée dans le cadre du 1 % artistique pour le nouveau bâtiment de l'École des beaux-arts de Nantes. Lieu d'expérimentations, la Maison des POF est un cabinet évolutif qui invite le public à manipuler, essayer et s'interroger[29].

L'Homme de Bessines

L'Homme de Bessines à Bessines (Deux-Sèvres)

RĂ©pondant Ă  une commande publique pour la commune de Bessines (Deux-Sèvres)[4], Fabrice Hyber entreprend de disperser six hommes de bronze peints en vert dans le village. D'une hauteur de 87 cm, soit la moitiĂ© de la taille de l'artiste, chaque sculpture est percĂ©e par onze orifices d'oĂą jaillissent des filets d'eau. En lien avec la notion de mutation traitĂ©e par l'artiste en 1986, L'Homme de Bessines est Ă©galement une Ĺ“uvre virale en ceci qu'elle est prĂ©vue pour ĂŞtre diffusĂ©e de manière illimitĂ©e. Ainsi, depuis la première installation Ă  Bessines en 1991, la sculpture a Ă©tĂ© diffusĂ©e Ă  plusieurs centaines d'exemplaires, de tailles et d'apparences variables, sur l'ensemble de la planète (Shanghai, Lisbonne, Tokyo, Londres...). En 2022, le trentième anniversaire de L'Homme de Bessines est l'occasion d'une installation dans les jardins du Palais Royal Ă  Paris.

Eau d'or, eau dort, Odor et Spiral TV

Invité à investir le pavillon français lors de la 47e Biennale de Venise en 1997, Fabrice Hyber transforme l'espace en lieu de création en mutation permanente et non en un lieu de présentation d'œuvres d'art. Nommée Eau d'or, eau dort, Odor, la manifestation transforme le pavillon français en un studio de tournage expérimental avec la participation de personnalités diverses (Albert Jacquard, Jean Rouch, Uri Tzaig, made in Eric…) et du public. En direct ou en différé, les émissions produites calquent et transgressent les codes de la télévision tout en plaçant la question du corps au centre du projet[30] - [31]. Pour Fabrice Hyber, le processus de création est alors plus important que le produit final. Remarqué, le projet vaut à l'artiste d'être récompensé d'un Lion d'or[32].

En 1999, c'est au Wacoal Art Center de Tokyo que Fabrice Hyber développe une proposition selon le dispositif vénitien. À travers Spiral TV, l'artiste réalise et diffuse en direct (sur câble et internet), douze heures de programmes quotidiens sous le vocable « It's Tomorrow Now », c'est demain maintenant, durant cinq jours.

Inconnu.net

De septembre à novembre 2000, Fabrice Hyber investit l'Arc de Triomphe de l'Étoile et ses abords dans le cadre d'une manifestation nationale confiant sept monuments nationaux à sept artistes. Désirant créer un écrin végétal autour du monument, Fabrice Hyber déploie une ceinture d'une centaine de bouleaux en opposition au caractère minéral du lieu. Un éclairage évolutif vert est projeté sur l'Arc de Triomphe tandis que la salle des Palmes est dédiée à la consultation du site internet inconnu.net[33].

Développant la question née de la tombe commémorative de la Première Guerre mondiale, Fabrice Hyber transforme le monument parisien en une porte ouverte vers l'inconnu, tant par le dispositif extérieur que par le portail internet qui invite les visiteurs à poser des questions dont les réponses apportées sont d'autres questions émanant de contributions d'artistes, écrivains, scientifiques, etc.[34]

L'Artère

L'Artère dans le parc de la Villette

« Un « monument aux victimes » n'était pas exact, ce type de sculpture d'un académisme mortifère ne reflétait pas la vitalité de la lutte quotidienne. J'ai imaginé autre chose : un anti-monument, une œuvre à part entière qui propose des dizaines d'images à utiliser pour continuer et fédérer les luttes dans un des lieux publics les plus visités de Paris. En espérant que les dessins de ce jardin-chantier puissent disparaître par l'excès d'utilisation : je rêve que L'Artère épuise le virus. »[35]

En 2001, Ă  l'occasion des vingt ans de l'apparition du Sida, l'association Sidaction lance un appel Ă  projets pour la rĂ©alisation d'un monument commĂ©moratif. DĂ©tachĂ© de l'esthĂ©tique de la commĂ©moration, le projet de Fabrice Hyber tĂ©moigne des aspects sociaux, affectifs ou mĂ©dicaux liĂ©s au virus. Sur 1 001 m2, l'ensemble est composĂ© de cĂ©ramiques dessinĂ©es par l'artiste et rĂ©alisĂ©es Ă  Monterrey au Mexique. RĂ©alisĂ©e de 2002 Ă  2006, l'Ĺ“uvre installĂ©e dans le parc de la Villette s'apparente, par son cĂ´tĂ© rhizomatique Ă  un vaste storyboard[35].


Le Cri, l'Écrit

« Le cri c'est la marque de l'abolition de l'esclavage mais aussi la mise en garde contre l'esclavage moderne. Le cri est de peur, de larmes mais aussi de joie. Le cri est une métaphore de cet asservissement qui a été aboli par les textes. Le cri c'est un dessin dans l'espace ; pour le jardin devant le Sénat, il fallait un écrit ! L'abolition de l'esclavage, c'est l'anneau de chaîne ouvert, l'anneau fermé c'est que tout peut recommencer, et le piétement c'est le retour aux racines, mais c'est aussi la Terre qui est un boulet[36]... »

AnnoncĂ©e en 2006 par le prĂ©sident Chirac, la commande d'une Ĺ“uvre publique dĂ©diĂ©e Ă  l'abolition de l'esclavage est confiĂ©e Ă  Fabrice Hyber. InaugurĂ©e en 2007, la sculpture en bronze polychrome de 3,7 m de hauteur reprĂ©sente trois anneaux d'une chaĂ®ne tenus Ă  la verticale par des cales dorĂ©es reprĂ©sentant les institutions françaises et la fragilitĂ© d'une situation qui peut basculer. Sombre, l'une des faces de la sculpture prĂ©sente les mots « Ailleurs », « DĂ©cimĂ© », « ExterminĂ© », « DĂ©portĂ© », « Mort », « Inhumain », « Esclave ». L'autre face dĂ©voile un système sanguin se rattachant au vivant[37].

C'Hybert Rallye

Désireux de voir l'art sortir des musées et centres dédiés, Fabrice Hyber développe son premier C'Hyber(t) Rallye à Tokyo en 2001 – cette même année il expose également au Watari Hum[38]. Développé depuis à Vassivière, Paris, La Réunion, Toulon, etc., le dispositif invite les spectateurs à prendre part à une vaste chasse au trésor destinée à retrouver des POF dissimulés dans des espaces du quotidien.

Le Cri, l'Écrit au Jardin du Luxembourg

Adaptés à leur territoire d'exécution, les C'Hyber(t) Rallyes ont également un objectif de révélation des paysages ou des constructions humaines. La recherche d'une œuvre d'art hors de son emplacement traditionnel sert de médium entre le lieu et les personnes qui s'y trouvent[39].

Ĺ’uvres principales

  • Un Mètre carrĂ© de rouge Ă  lèvre, 1981[40]
  • L'Homme de Bessines, 1991[41]
  • Le Plus Gros Savon du monde, 1991[42]
  • L'HybertmarchĂ©, 1995[43]
  • Eau d'or, eau dort, odor[44], 47e biennale de Venise, juin 1997 : Lion d'or[44]
  • POF no 65 : Ballon carrĂ©, 1998[45]
  • POF no 51 : Ted Hybert, 1998[46]
  • POF no 3 : Balançoire, 1991[47]
  • L'Artère, 2003-2004, Paris, parc de la Villette[48]
  • Le Cri, l'Écrit, 2007, commande publique rĂ©alisĂ©e pour la commĂ©moration de l'abolition de l'esclavage, Paris, jardin du Luxembourg[49]
  • Peintures homĂ©opathiques, depuis 1986[50].

Collections

Collections publiques (sélection)

Collections privées (sélection)

  • Fondation Carmignac
  • Fondazione Guastalla
  • Fondation Francès
  • Fondation Maeght
  • Bredin Prat foundation
  • Dolorès et Claude Bonan
  • Michel Poitevin
  • François Meyer
  • Masathis
  • Guy Savoy
  • Maya et Fared Hariri
  • Emmanuelle et JĂ©rĂ´me de Noirmont
  • Mona Hamilton

Expositions

Expositions personnelles (sélection)[51]

L'exposition Pasteur Spirit en 2010.
1986
  • Mutation, Maison de l'avocat, Nantes, France
1987
  • Pollution, galerie Arlogos, Nantes, France
  • Fabrice Hybert, HĂ´tel de ville d'Ussel, Ussel, France
  • DRAC Limousin, Limoges, France
1988
  • Galerie Riverin-Arlogos, MontrĂ©al, Canada
1989
  • Change, D.R.A.C., Poitiers, France
  • Refaire le monde, Théâtre municipal de Caen, Caen, France
  • Fabrice Hybert, Galerie Arlogos, Nantes, France
1990
  • Fabrice Hybert, Galerie Froment-Putman, Paris, France
  • CREDAC, Ivry-sur-Seine, France
1991
  • Fabrice Hybert, galerie Interface, NĂ®mes, France
  • Galerie Arlogos, Nantes, France
  • Vis-Ă -vis, le miroir des galeries, Anciens Ă©tablissements sacrĂ©s, Liège, Belgique
1992
  • Les Deux Étages, Centre d'art du Creux de l'enfer, Thiers, France
  • Larve d'entreprise, Galerie Arlogos, Nantes, France
  • Conversation, Centre d'art contemporain de la CriĂ©e, Rennes, France
  • Artsonje center, SĂ©oul, CorĂ©e du Sud
  • MusĂ©e Robert Walser, Gais, Suisse
1993
  • Fabrice Hybert : Ĺ“uvres de 1981 Ă  1993, musĂ©e d'Art contemporain C.A.P.C., Bordeaux, France
  • Programme d'entreprise indĂ©terminĂ©e, musĂ©e des beaux-arts de Nantes, France
1994
  • Fabrice Hybert, Kunstalle Lophem, Bruges, Belgique
  • Galerie ZenoX, Anvers, Belgique
  • Contemporary Art Center, Moscou, Russie
  • 500e anniversaire de Rabelais, Le Confort moderne, Poitiers, France
1995
  • L'HybertmarchĂ© (1-1=2), ARC musĂ©e d'Art moderne de la Ville de Paris, France
  • Plus lourd Ă  l'intĂ©rieur, musĂ©e de Saint-Étienne, France
  • Plus lourd Ă  l'intĂ©rieur, musĂ©e de Strasbourg, France
  • Galerie Froment-Putman, Paris, France
1996
  • Testoo, Kunstraum Luneburg, Allemagne
  • Testoo, Jack Tilton Gallery, New York, États-Unis
  • EIGEN+ART, Leipzig, Allemagne
  • Kunsthalle Lophem, Bruges
  • Testoo, Vleeshal, Middelburg, Pays-Bas
  • Station u 841 - Berlin, Allemagne
1997
  • 25-52, Galerie Erna Hecey, Luxembourg
  • Eau d'or, eau dort, ODOR, Pavillon français, 47e Biennale de Venise, Italie
  • Muster Testoo, Leipzig, Allemagne
  • Et POF, École des beaux-arts, Nantes, France
  • EIGEN+ART, Berlin, Allemagne
  • Deep Narcissus, Haus, Anvers, Belgique
  • Discipline, Galerie Peter Kilchmann, Zurich, Suisse
1998
  • DiĂ©tĂ©tique, Le Confort moderne, Poitiers, France
  • Citoxe, Fondation De Appel, Amsterdam, Pays-Bas
  • Fabrice Hybert, Kunsthalle Saint Gall, Suisse
  • Jack Tilton Gallery, New York, États-Unis
  • Certificat, universitĂ© de Kanazawa, Japon
1999
  • Spiral TV, it's tomorrow now, Tokyo, Japon
  • At your own risk, CCAC Institute, San Francisco, États-Unis
  • MusĂ©e de Bergen, Bergen, Norvège
  • Galerie Erna HĂ©cey, Art Fair Basel, Suisse
  • IPM, Art Fair Basel, Suisse
  • Mind map, Galerie Eigen+Art, Berlin, Allemagne
  • Galerie Peter Kilchmann, Zurich, Suisse
  • POF shop", Tokyo, Japon
2000
  • Parpadeantes eyes, Museo de las Artes, Guadalajara, Mexique
  • Inconnu.net, Changements de temps, Arc de Triomphe, Paris, France
  • Inconnu.net, Ace Galery, Los Angeles, États-Unis
  • Listaasafn Reykjavik, Reykjavik, Islande
  • At your own risk, Porin Taidemuseoon, Pori, Finlande
  • At your own risk, Götenborg Kunstmuseum, Göteborg, Suède
  • Les Loisirs de Fabrice Hybert, Notre-Dame des Fleurs, Vence, France
  • Kunsthalle Lophem, Bruges, Belgique
2001
  • Watari-um, Tokyo, Japon
  • Ace Gallery, Mexico, Mexique
  • Push Corner, Kunsthalle Lophem, Bruges, Belgique
  • C'Hybert, Centre d'art contemporain de Vassivière en Limousin, France
  • c'hybert rallye, Tokyo, Japon
  • c'hybert rallye, Vassivière, France
2002
  • Juste après la plage, Galerie du Dourven, TrĂ©dez-LocquĂ©meau, France
  • POF Cabaret, Kunsthalle Lophem, Bruges, Belgique
  • Voix d'eaux, Châteauneuf-en-Auxois, France
  • Fabrice Hybert, Jack Tilton Gallery, New York, États-Unis
  • Fabrice Hybert, HĂ´tel du dĂ©partement, Évreux, France
  • c'hybert rallye, Paris, France
  • Fabrice Hybert, The Box Associati, Turin, Italie
2003
  • Entrejambe – Espace privĂ©/Espace public, Espace Gustave Fayet, SĂ©rignan, France
  • Les Hommes cellulaires, Château comtal, Carcassonne, France
  • Pof, Pof, Pof, Kunstraum leuphana universitat LĂĽneburg, Allemagne
  • L'Artère, 1re partie, Marco, Monterrey, Mexique
  • L'Artère, Alliance Française, Monterrey, Mexique
2004
  • Heimspiel, Francfort, Allemagne
2005
  • MĂ©tĂ©o Villa Arson, Nice, France
  • L'Atelier d'hiver d'Hyber, Domaine Pommery, Reims, France
  • Nord-Sud, Frac des Pays de la Loire, Nantes, France
  • FĂ©e maison, La Briqueterie, Ciry-le-Noble, Le Creusot, France
2006
  • Les Éclats, MusĂ©e de Herzliya, Tel Aviv, IsraĂ«l
  • PĂ©trole, Galerie JĂ©rĂ´me de Noirmont, Paris, France
  • Voix d'eaux et +, MABA, Nogent-sur-Marne, France
2007
  • Matière Ă  penser / Food for thought, Le Laboratoire, Paris, France
  • C'Hyber Rallye de la RĂ©union, Ile de La RĂ©union, France
2008
  • Du pur Hyber, Galerie JĂ©rĂ´me de Noirmont, Paris, France
  • Power plants, la puissance des plantes, Espace F-A Ducros, Grignan, France
  • Seed and Grow Je s'aime. Watari-Um, Tokyo, Japon
2009
  • Seed and Grow, Vangi Sculpture Garden Museum, Tokyo, Japon
2010
  • ImmortalitĂ© Moscou, Nijni Novgorod, Krasnoyarsk, Russie[52]
  • Pasteur' Spirit Institut Pasteur, Paris, France[53]
2011
2012
  • Matières premières Palais de Tokyo, Paris, France[55]
  • POF, Prototype d'objets en fonctionnent, MAC VAL, Vitry-sur-Seine, France
  • Essentiel, peintures homĂ©opathiques Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence, France
2013
  • Raw materials, Baltic Centre for contemporary art, Newcastle, Angleterre[56]
  • Essentiel peintures homĂ©opathiques, Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence, France
2014
  • Interdit aux enfants, Galerie Nathalie Obadia, Paris, France[57]
  • Homeopathic paintings, Galerie der Stadt Tuttlingen, Tuttlingen, Allemagne
2015
  • Mutations acquises, Galerie Nathalie Obadia, Bruxelles, Belgique
  • Forme des mots, M HKA, Anvers, Belgique[58]
  • 271 643 795 m2, CRAC Languedoc Roussillon, Sète, France[59]
2016
  • L'Homme Éponge, MUP IDF, Bondy/Cachan/Boulogne-Billancourt, France
  • « L'entier » par Fabrice Hyber, Cyrille Putman et galerie quatre, Arles, France[60]


2017[21]

  • hyberDUBUFFET, Jean Dubuffet et Fabrice Hyber, Galerie Nathalie Obadia, Paris
  • OVNI, École des Beaux-Arts, Nantes

2019[21]

  • RĂ©sidence Yishu 8, PĂ©kin, Chine
  • Prototypes, Appartement 22, Rabat, Maroc
  • “Coool” #greenbear, Gare d’Osaka, Osaka, Japon
  • Homme(s) de Bessines GĂ©ants, Marfa, États-Unis
2020
2021
  • Frisson d'Hyber, Gilles Drouault, galerie/multiples, Paris, France[62]
  • Fresh Air, galerie RX, New-York, États-Unis[63]
  • L'Artère 2021, La Villette, Paris, France[64]
    L'Homme de Bessines en 2022 au Palais Royal
2022
  • Limited Edition Hyber Fournet, boutique Camille Fournet, Paris, France[65]
  • L'Homme de Bessines, jardin du Palais-Royal, Paris, France[66]
  • POF, LasĂ©cu, Lille, France[67]
  • La VallĂ©e, Fondation Cartier, Paris, France[68]


2023

  • Sous la forĂŞt, des vies, Domaine de Chaumont-sur-Loire

Expositions collectives (sélection)

1986

  • Ateliers internationaux des Pays de la Loire 1986, Abbaye royale de Fontevraud, Fontevraud, France

1987

  • 1st international Istanbul Contemporary Art Exhibitions, Ankara, Istanbul, Turquie

1990

  • Espaces internationaux, CREDAC, Ivry-sur-Seine, France
  • Des ateliers, une collection du FRAC des Pays de la Loire, FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand, France
  • BaquiĂ©-Faure-Hybert, Galerie Arlogos, Nantes, France
  • Ateliers de la fondation Cartier, Fondation Cartier, Paris, France

1991

  • Les Couleurs de l'argent, musĂ©e de la Poste, Paris, France
  • Collection du CAPC musĂ©e : Absalon, Richard Fauguet, Fabrice Hybert, Didier Marcel, CAPC-musĂ©e d'Art contemporain, Bordeaux, France

1992

  • PĂ©rils et Colères, CAPC-musĂ©e d'Art contemporain, Bordeaux, France
  • Il faut construire l'hacienda, C.C.C, Tours, France
  • France troisième gĂ©nĂ©ration Exposition internationale, SĂ©ville, Espagne

1993

  • Nouveaux Augures, FRAC Languedoc-Roussillon, Montpellier, France
  • L'Image dans le tapis, Arsenale, Venise, Italie
  • L'Autre Ă  Montevideo, Museo Nacional de Artes Visuales, Montevideo, Uruguay
  • Eros, c'est la vie, Le Confort moderne, Poitiers, France
  • Chambre 763, HĂ´tel Carlton, Paris, France

1994

  • This is the show and the show is many things, Museum van Hedendaagse kunst, Gand, Belgique
  • Hors-limites, Centre Georges Pompidou, Paris, France
  • Cloaca maxima, Museum der Stadtenwässerung, Zurich, Suisse

1995

  • Take me I'm yours, Serpentine Gallery, Londres, Angleterre
  • Shift, De Appel, Amsterdam, Pays-Bas
  • Maisons-cerveaux, FRAC Champagne Ardenne, Reims, France
  • Le DĂ©peupleur, Galerie Froment Putman, Paris, France
  • Laboratoires, Damien Hirst, Fabrice Hybert, Kiki Smith, Patrick Van Caeckenberg, pour une expĂ©rience du corps, Galerie Art et Essai (universitĂ© Rennes 2), Rennes, France
  • FĂ©minin Masculin le sexe de l'art, Centre Georges-Pompidou, Paris, France
  • Biennale de Kwangju, Kwangju, CorĂ©e du Sud

1996

  • We (Fabrice Hybert et Uri Tzaig), musĂ©e d'IsraĂ«l, JĂ©rusalem, IsraĂ«l
  • Collection : Absalon, Hyber, MouillĂ©, CAPC-musĂ©e d'Art contemporain, Bordeaux, France
  • Cabines de bain, piscine de la Motta, Fribourg, Suisse

1997

  • Kunst in der stadt, Kunstverein, Bregenz, Autriche
  • FenĂŞtre sur cour, Galerie Almine Rech, Paris, France
  • Do it, New-York, États-Unis
  • Connexions implicites, École nationale supĂ©rieure des beaux-arts, Paris, France
  • Biennale de Kwangju, Kwangju, CorĂ©e du Sud
  • 47e biennale de Venise ; Eau d'or, eau dort, ODOR Venise - Pavillon de la France, Italie

1998

  • Tu parles/J'Ă©coute, Fine arts museum, Taipei, TaĂŻwan
  • To the living room, Watari-um museum, Tokyo, Japon
  • Premises, Guggenheim, New-York, États-Unis
  • MĂ©tissages, MusĂ©e du Luxembourg, Paris, France
  • Jef Geys-Fabrice Hybert, Z33, Hasselt, Belgique
  • Indoor, Centro civico La Grancia, Serre de Rapolano, Italie
  • H2O, Galerie Erna HĂ©cey, Luxembourg
  • Cet et Ă©tĂ© lĂ ... Exposition des variĂ©tĂ©s, CRAC, Sète, France

1999

  • Spiral TV it's tomorow now (3e Ă©dition du festival art life), Spiral, Tokyo, Japon
  • Picnic, Museo de las artes, Guadalajara, Mexique
  • Passage, new french art, Hiroshima - MOCA / Sapporo - Hokkaido museum of modern art / Tokyo - Setagaya museum, Japon
  • Made in France, Artsonje center, SĂ©oul, CorĂ©e du Sud
  • Indoor, musĂ©e des beaux-arts, Lyon, France

2000

  • VoilĂ  le monde dans la tĂŞte, musĂ©e d'Art moderne, Paris, France
  • Passage, new french art, City museum, Nagoya, Japon
  • Narcisse blessĂ©, autoportraits contemporains, Passage de Retz, Paris, France
  • La Ville, le Jardin, la MĂ©moire, Villa MĂ©dici, Rome, Italie
  • Air air, celebrating inflatables, Grimaldi forum, Monaco

2001

  • Somewhere over the rainbow, FRAC Haute-Normandie, Sotteville-lès-Rouen, France
  • Simulacres et DĂ©tournements dans les annĂ©es 1980 et 90, CAPC-musĂ©e d'Art contemporain, Bordeaux, France
  • Le Ludique, musĂ©e du QuĂ©bec, QuĂ©bec, Canada

2002

  • Objets de rĂ©flexion, FRAC Ile-de-France / Le plateau, Paris, France

2003

  • TrĂ©sors publics 20 ans de crĂ©ation dans les Fonds rĂ©gionaux d'art contemporain. L'État des choses. L'Objet dans l'art de 1960 Ă  aujourd'hui, musĂ©e des Beaux-Arts, Nantes, France
  • Sexe, sexe, etc., Galerie Beaubourg, Château Notre-dame-des-Fleurs, France
  • Pour l'amour de VĂ©nus, Donjon de Vez, France
  • Les 20 ans des FRAC, musĂ©e des Beaux-Arts, Nantes, France
  • Le Ludique, musĂ©e d'Art moderne, Villeneuve-d'Ascq, France

2004

  • Mix Max, Artsonje center, SĂ©oul, CorĂ©e du Sud
  • L'Art Ă  la plage, Ramatuelle, France
  • Frantisek Kupka, MusĂ©e Fabre, Montpellier, France
  • F2004@Shanghai, AnnĂ©e de la France en Chine, La Fabrique, Shanghai[69]

2005

  • Supernova, Domaine Pommery, Reims, France
  • MĂ©tĂ©o, Villa Arson, Nice, France
  • Dionysiac, Centre Georges Pompidou, Paris, France
  • 3rd world ceramix biennale, Incheon, CorĂ©e du Sud

2006

  • We Humans are Free : from the collection of SMAK, The 21st century museum of contemporary art, Kanazawa, Japon
  • Une proposition de Mathieu Mercier, FRAC Basse-Normandie, Caen, France
  • Peinture Malerei, Martin-Gropius-Bau, Berlin, Allemagne
  • L'Art Ă  la plage, Ramatuelle, France
  • La Force de l'art, Grand Palais, Paris, France

2007

  • Suite française, Institut français, Vienne, Autriche
  • Rouge Baiser, Hangar Ă  bananes, Nantes, France
  • Le MusĂ©e cĂ´tĂ© jardin, musĂ©e d'Art et d'Histoire, Saint-Brieuc, France
  • Estuaire, Canal Saint Felix, France
  • Airs de Paris, Centre Georges Pompidou, Paris, France

2008

  • Sens dessus dessous, CRAC Languedoc-Roussillon, Sète , France
  • Mobile Art Chanel, New York ; Tokyo ; Hong Kong

2009

  • MĂ©tissages, MusĂ©e Baron-GĂ©rard, Bayeux, France
  • La Force de l'art, Grand Palais, Paris, France
  • Collection Florence et Daniel Guerlain, Fondation Guerlain, Les Mesnuls, France

2010

  • Nos meilleurs souvenirs, Domaine Pommery, Reims , France
  • MĂ©tissages, HĂ´tel Hèbre de Saint-ClĂ©ment, Rochefort, France
  • L'ExpĂ©rience du monde, Contemporary art center, Moscou, Russie
  • Le Sourire du chat (opus 1), Hangar Ă  bananes, Nantes, France
  • Le Mont analogue, Centro cultural metropolitano, Quito, Équateur
  • Circuit cĂ©ramique Ă  Sèvres. La Scène française contemporaine, Manufacture de Sèvres, Sèvres, France
  • Biennale de Lodz, Lodz, Pologne

2011

  • Paris, Delhi, Bombay, Centre Georges Pompidou, Paris, France
  • InquiĂ©tantes ÉtrangetĂ©s, musĂ©e des Beaux-Arts, Nantes, France
  • Dessins exquis, Slick, Paris, France
  • Already-made, Galerie JĂ©rĂ´me de Noirmont, Paris, France

2012

  • To be with art is all we ask, Astrup Fearnley Museet, Oslo, Norvège
  • Retour Ă  l'intime la collection Giuliana et Tommaso Setari, La Maison rouge, Paris, France
  • L'Ă‚ne musicien (DĂ©chire tout et recommence), FRAC Languedoc-Roussillon, Montpellier, France
  • Estuaire, Canal Saint Felix, France
  • Camere 17, Rome, Italie
  • Abu Dhabi Art's Arts, Talks and sensations, Abu Dhabi, Émirats arabes unis

2013

  • PoĂ©tique d'objets, Lieu d'art et d'action contemporaine, Dunkerque, France
  • La Tyrannie des objets Galeries Lafayette, Galerie des galeries, Paris, France
  • La Donation Florence et Daniel Guerlain, Centre Georges Pompidou, Paris, France
  • Entre-temps... Brusquement et ensuite (12e biennale de Lyon), Lyon, France
  • De Chaissac Ă  Hyber, Historial de la VendĂ©e, Les Lucs-sur-Boulogne, France

2014

  • Procession, CAPC-musĂ©e d'art contemporain, Bordeaux, France
  • L'Image dans l'onde, Fondation François-Schneider, Wattwiller, France
  • Le Mur. La collection Antoine de Galbert, La Maison rouge, Paris, France
  • Donaugalerie ein skulpturenprojekt der stadt Tuttlingen, Tuttlingen, Allemagne
  • Brave new world, Metropolitan museum, Manille, Philippines
  • Biennale de Busan 2014 : Habiter le monde, Busan, CorĂ©e du Sud

2015

  • Take me I'm yours, La Monnaie, Paris, France
  • Cosa mentale, Centre Georges-Pompidou, Metz, France
  • CONTOUR 7 biennale voor bewegend beeld a moving image biennale in Mechelen, Mechelen, Belgique

2016

  • PAD Paris Art Design, France - Paris - Jardin des Tuileries

2019

2020

2021

2022

  • Vous ĂŞtes un arbre, Les Franciscaines, Deauville, France[75]

2023

  • Ĺ’uvres choisies, Galerie RX, New-York, États-Unis

Notes et références

  1. Pierre de Gasquet, « Fabrice Hyber, l'artiste qui plantait des arbres », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  2. Bernard Marcadé, Bart de Baere, Pierre Giquel, Hyber, Flammarion, , 287 p., p. 280.
  3. Elisabeth Lebovici, Ce que le sida m'a fait, Art et activisme à la fin du XXe siècle, Génève, JRP éditions, seconde édition, février 2021, 360 p. (ISBN 978-3-03764-499-7), p. 15
  4. Caroline Cros, Laurent Le Bon (dir.), L'art Ă  ciel ouvert, Flammarion, .
  5. Claire Haubry, « Fabrice Hyber, l'académicien qui sème des arbres », sur Ouest-France, .
  6. « Fabrice Hyber, pour Emerige, Paris 7ème (Beaupassage) », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Le fonds « ONF-Agir pour la forêt » accueille son premier ambassadeur, l'artiste-semeur Fabrice Hyber », sur ONF - Agir pour la forêt, (consulté le )
  8. « Journal officiel de la République Française, Arrêté du 7 mars 2022 portant nomination au conseil d'administration du Centre national des arts plastiques », sur Legifrance,
  9. Pascal Rousseau, Fabrice Hybert, Paris, Hazan, .
  10. « Fabrice Hybert: «généreux générique».Le savant désordre du pavillon français a obtenu le lion d'or. Pavillon français «Eau d'or, eau dort, odor». », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. « Fabrice Hyber, ce drôle d'artiste entrepreneur », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Organoïde », sur www.organoide-pasteur.fr (consulté le ).
  13. (fr-fr) « les réalisateurs | Un programme artistique pour permettre à de jeunes artistes de trouver de nouveaux moyens de production de leurs oeuvres en partenariat avec des entreprises et avec le soutien d'écoles d'art et de commerce du monde entier. », sur lesrealisateurs.com (version du 4 mars 2021 sur Internet Archive).
  14. Françoise Ninghetto, « Hybert Fabrice (1961- ) », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 26 août 2020. URL : http://www.universalis.fr/encyclopedie/fabrice-hybert/
  15. Bernard Marcadé, Bart de Baere, Pierre Giquel, Hyber, Flammarion, , 287 p., p. 22-26.
  16. « Le couple explosif Robert Langer-Fabrice Hyber », sur Le Figaro, .
  17. « Fabrice Hyber rencontre Pierre-Marie Lledo et Olivier Schwartz », sur www.organoide-pasteur.fr (consulté le ).
  18. « ENTRETIEN. Fabrice Bousteau : « On a besoin d'art et d'air ! » », sur Ouest-France, .
  19. « Monde invisible du vivant », sur www.odilejacob.fr (consulté le ).
  20. Myriam Lefraire (dir.), Alexandrine Dhainaut, Vendée, regards sur la création contemporaine, lelivredart, , p. 6-9.
  21. « Fabrice Hyber - « Sous la forêt, des vies » »
  22. Emmanuelle Jardonnet, « Le peintre Fabrice Hyber fait école à la Fondation Cartier à Paris », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  23. « Fabrice Hyber », sur Stratégies, (consulté le ).
  24. Catherine Millet, L'Art contemporain en France, Flammarion, , p. 319-320.
  25. Bernard Marcadé, Bart de Baere, Pierre Giquel, Hyber, Flammarion, , 287 p., p. 41-43.
  26. Bernard Marcadé, Bart de Baere, Pierre Giquel, Hyber, Flammarion, , 287 p., p. 57-62.
  27. « Un gin aux frontières de l'œuvre », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Fabrice Hyber fait le printemps pour la maison Camille Fournet », Connaissancedesarts.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. La Maison des POF de Fabrice Hyber (dossier de presse), Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire, (lire en ligne).
  30. « Fabrice Hybert - Biénale de Venise », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
  31. Bernard Marcadé, Bart de Baere, Pierre Giquel, Hyber, Flammarion, , 287 p., p. 71-74.
  32. « À Venise, une 47e Biennale sans audace… - 4 juillet 1997 - Le Journal des Arts - n° 41 », sur Le Journal Des Arts (consulté le ).
  33. (en) « E. T. • ARC DE TRIOMPHE PARIS, Changement de temps un... », sur E. T. (consulté le ).
  34. Bernard Marcadé, Bart de Baere, Pierre Giquel, Hyber, Flammarion, , 287 p., p. 75-76.
  35. « L'Artère Le jardin des dessins Une œuvre de Fabrice Hyber Paris, Parc de la Villette », .
  36. « 107 - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le ).
  37. Comité national pour la mémoire et l'histoire de l'esclavage, « Paris, jardin du Luxembourg. Inauguration : Le cri, l'écrit de Fabrice Hyber », .
  38. Eriko Arita, « Watari-um, where the world of art is accessible to 'ordinary people' », .
  39. « Hybert en pôle position ».
  40. archives.hyber.tv
  41. archives.hyber.tv
  42. archives.hyber.tv
  43. archives.hyber.tv
  44. archives.hyber.tv
  45. archives.hyber.tv
  46. archives.hyber.tv
  47. archives.hyber.tv
  48. archives.hyber.tv
  49. archives.hyber.tv
  50. archives.hyber.tv
  51. Pour les expositions personnelles jusqu'en 2008 : Bernard Marcadé, Bart de Baere, Pierre Giquel, Hyber, Flammarion, 2009, 287 p., p. 282-283
  52. http://www.ekaterina-foundation.ru/fr/exhibitions/2010/hyber/ (consulté le 11 août 2021)
  53. https://www.paris-art.com/pasteurspirit/ (consulté le 11 août 2021)
  54. https://toutelaculture.com/arts/inventions-fabrice-hyber-expose-chez-jerome-de-noirmont-du-9-septembre-au-27-octobre/ (consulté le 11 août 2021)
  55. https://www.paris-art.com/matieres-premieres-4/ (consulté le 11 août 2021)
  56. https://baltic.art/whats-on/exhibitions/fabrice-hyber (consulté le 11 août 2021)
  57. « Galerie Nathalie Obadia: Current Show », sur www.nathalieobadia.com (consulté le ).
  58. http://ensembles.org/items/la-forme-des-mots?locale=de (consulté le 11 août 2021)
  59. https://www.nathalieobadia.com/show.php?show_id=2850&showpress=1&language=2&p=1&g=3 (consulté le 11 août 2021)
  60. https://galeriequatre.wordpress.com/2016/08/30/lentier-par-fabrice-hyber/ (consulté le 11 août 2021)
  61. « Galerie Nathalie Obadia: Current Show », sur www.nathalieobadia.com (consulté le ).
  62. https://www.gillesdrouault.com/en/expositions/presentation/231/frisson-d-hyber
  63. https://www.artnewspaper.fr/news/fabrice-hyber-fait-son-retour-a-new-york-a-la-galerie-rx
  64. https://lavillette.com/programmation/fabrice-hyber_e1093
  65. https://www.connaissancedesarts.com/arts-expositions/art-contemporain/fabrice-hyber-fait-le-printemps-pour-la-maison-camille-fournet-11171800/
  66. https://www.lefigaro.fr/arts-expositions/au-palais-royal-a-la-decouverte-de-la-joyeuse-troupe-des-petits-hommes-verts-de-fabrice-hyber-20220416
  67. https://www.lille.fr/La-culture-en-continu/content/view/full/252167
  68. « Fabrice Hyber La Vallée » Accès libre, sur Fondation Cartier pour l'art contemporain (consulté le )
  69. « Blod de renaud Donnedieu de Vabres », sur http://www.rddv.fr/, (consulté le ).
  70. « « Coup de Foudre » de Fabrice Hyber et Nathalie Talec », mars à octobre 2019.
  71. « Exposition Nous les arbres », sur Fondation Cartier.
  72. « Galerie Nathalie Obadia: Current Show », sur www.nathalieobadia.com (consulté le ).
  73. https://www.musee-armee.fr/au-programme/expositions/detail/napoleon-encore-de-marina-abramovic-a-yan-pei-ming.html
  74. https://www.fondation.cartier.cn/exhibitions/international/trees
  75. https://www.indeauville.fr/exposition-vous-etes-un-arbre

Annexes

Monographies

  • Frederic Bougle, 1-1 = 2 Entretiens avec Fabrice Hybert, Nantes, Éditions Joca Seria, 1992-1994
  • Pascal Rousseau, Fabrice Hybert, Paris, Hazan, 1999
  • Guy Tortosa, POF HYBERT, Paris, UR Ă©ditions, 1999
  • Thierry Laurent, Il est interdit de mourir, Paris, Au mĂŞme titre Ă©ditions, 2003
  • Fabrice Hyber, Richesses, Paris, Éditions Jannink, 2004
  • Bernard MarcadĂ©, Baert de Baere, Pierre Giquel, Hyber, Paris, Flammarion, 2009.
  • Philippe Forest, Bernard MarcadĂ©, Olivier Schwartz, Yves Jammet, L'Artère - Le Jardin des dessins, Nantes, Éditions CĂ©cile Defaut, 2009.
  • Gilles Coudert, Alice Dautry, Pascal Rousseau, Olivier Schwartz, Fabrice Hyber Sans gĂŞne livre DVD, Paris, Après Ă©ditions, 2012.
  • Donatien Grau, Hans Ulrich Obrist, Hyber… Hyber, Paris, Bernard Chauveau Ă©diteur, 2014.

Catalogues d'expositions personnelles

  • Pierre Giquel, Fabrice Hybert Mutation, Nantes, La Maison de l'avocat, 1986.
  • Guy Tortosa, Pierre Giquel, Fabrice Hybert, Direction rĂ©gionale des affaires culturelles du Limousin, 1987.
  • Jean-Louis Froment, Pierre Giquel, Catherine Strasser, Fabrice Hybert, Ĺ“uvres de 1981 Ă  1993, CapcMusĂ©e d'Art contemporain de Bordeaux, 1993.
  • Bernard Ceysson, Friedemann Malsch, Plus lourd Ă  l'intĂ©rieur, Éditions du musĂ©e d'Art moderne de Saint-Étienne, 1995.
  • Jean-Pierre Changeur, Alice Dautry, Annick Perrot, Olivier Schwartz, Fabrice Hyber Ă  l'Institut Pasteur, Paris, Institut Pasteur, 2010.
  • Jacqueline Frydman, Pascal Rousseau, Fabrice Hyber, Moscou, Maison de la photographie de Moscou, 2010.
  • Nicolas Setari, POF Prototypes d'objets en fonctionnement 1991-2012, Vitry-sur-Seine, MAC VAL, 2012.
  • Olivier Kaeppelin, Bernard Marcade, Pascal Rousseau, Essentiel peintures homĂ©opathiques, Saint-Paul de Vence, Fondatien Maeght, 2012.

Articles

Documentaires

  • Fabrice Hyber, Nuancier, film de Gilles Coudert (52 min / 2013 / a.p.r.e.s production) Ce documentaire prĂ©sente les quatre expositions simultanĂ©es de l'artiste Fabrice Hyber Ă  l'automne-hiver 2012 : « Essentiel, Peintures homĂ©opathiques » Ă  la Fondation Maeght, « P.O.F. / Prototypes d'Objets en Fonctionnement » au MAC/VAL, « Matières premières » au Palais de Tokyo et « Sans gène » Ă  l'Institut Pasteur. Des entretiens de l'artiste dans chaque lieu ainsi que de Olivier Kaeppelin (Fondation Maeght), de Frank Lamy (MAC/VAL), de Jean de Loisy (Palais de Tokyo) ou encore de Olivier Schwartz (Institut Pasteur) permettent de comprendre la richesse et la diversitĂ© des interventions de Fabrice Hyber dans ces diffĂ©rents lieux.
  • Fabrice Hyber, Sans gĂŞne, film de Gilles Coudert (26 min / 2012 / a.p.r.e.s production/Institut Pasteur) Deux ans après l'exposition « Pasteur'Spirit », l'Institut Pasteur accueille Ă  nouveau Fabrice Hyber sur son campus avec une Ĺ“uvre pĂ©renne intitulĂ©e Sans gĂŞne, offerte par l'artiste et rĂ©alisĂ©e au sein d'un nouveau bâtiment dĂ©diĂ© aux maladies Ă©mergentes. Le film de Gilles Coudert nous livrent en images le processus d'Ă©laboration de l'Ĺ“uvre et donnent ses enjeux Ă  travers la parole de l'artiste, celle des chercheurs et acteurs du projet.
  • L'artère, le Jardin des dessins, film de Gilles Coudert (13 min / 2005 / a.p.r.e.s production) Ce documentaire prĂ©sente un entretien entre Pierre-AndrĂ© Boutang et l'artiste Fabrice Hyber autour de la rĂ©alisation Ă  Monterrey au Mexique et de l'installation au Parc de la Villette Ă  Paris de l'Ĺ“uvre permanente sur le thème du Sida commanditĂ©e par Sidaction. Fabrice Hyber raconte l'histoire de cette lutte contre le sida et pour la vie.
  • L'Hyber, film de Gilles Coudert & SĂ©bastien Pluot (52 min / 2004 / a.p.r.e.s production) RĂ©trospective du travail de Fabrice Hyber par lui-mĂŞme, au fil de la crĂ©ation d'une peinture homĂ©opathique. Cette peinture reprend les diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de son travail sous forme de Storyboard, ce film se replonge dans les Ĺ“uvres de l'artiste depuis les annĂ©es 1980.
  • Fabrice Hyber, Ur, film de Gilles Coudert & SĂ©bastien Pluot (12 min / 2004 / a.p.r.e.s production) PrĂ©sentation de Unlimited Responsibility, SARL crĂ©Ă©e en 1994 par Fabrice Hyber : dialogue entre l'artiste et son avocat, Cyril Bonan.
  • Fabrice Hyber : L'Artère, le jardin des dessins, film de Gilles Coudert (30 min / 2004 / a.p.r.e.s production) Documentaire sur la rĂ©alisation Ă  Monterrey (Mexique) et l'installation au Parc de la Villette (Paris 2004) de l'Ĺ“uvre permanente de Fabrice Hyber sur le thème du Sida commanditĂ©e par Sidaction.
  • Pof Cabaret, Bruges, film de Gilles Coudert (10 min / 2003 / a.p.r.e.s production) Mise en scène des Pof (Prototype d'objet en fonctionnement) de Fabrice Hybert dans un spectacle prĂ©sentĂ© par Eliane Pine Carringhton et Greeny.
  • C'Hyber Rallye Paris, film de SĂ©bastien Pluot (20 min / 2003 / a.p.r.e.s production) Documentaire sur la version urbaine du C'Hyber rallye : des centaines de participants sillonnent la capitale Ă  la recherche des Pof de Fabrice Hyber.
  • C'Hyber Rallye Vassivière, film de Gilles Coudert & SĂ©bastien Pluot (21 min / 2002 / a.p.r.e.s production) Documentaire sur le projet de Fabrice Hyber : une chasse au trĂ©sor et un itinĂ©raire en compagnie d'une Ă©quipe partie Ă  la recherche des Pof…
  • SignalĂ©tique, tercera estaciĂł, film de Gilles Coudert & SĂ©bastien Pluot (25 min /2002 / a.p.r.e.s production) Documentaire retraçant l'intervention pĂ©renne de l'artiste Fabrice Hyber sur les plaques des rues du village de Benifallet en Catalogne (Espagne) dans le cadre du projet tercera estaciĂł.
  • Hybercour, film de Gilles Coudert (14 min / 2001 / a.p.r.e.s production) Dialogue entre Fabrice Hyber et Pierre-AndrĂ© Boutang autour de l'Ĺ“uvre de l'artiste.

Liens externes

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