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FĂ©cocourt

Fécocourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

FĂ©cocourt
FĂ©cocourt
Croix de cimetière classée.
Blason de FĂ©cocourt
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois
Maire
Mandat
David Bruggmann
2020-2026
Code postal 54115
Code commune 54190
DĂ©mographie
Gentilé Fecocurtiens, Fecocurtiennes
Population
municipale
111 hab. (2020 en stagnation par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 14 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 24′ 18″ nord, 6° 00′ 32″ est
Altitude Min. 305 m
Max. 499 m
Superficie 7,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Meine au Saintois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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FĂ©cocourt
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FĂ©cocourt
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FĂ©cocourt
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FĂ©cocourt

    GĂ©ographie

    D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 799 hectares comprend en 2011, plus de 53 % de terres arables et de prairies, près de 37 % de forêt, 10 % de surfaces agricoles diverses[1].

    Fig. 1 - FĂ©cocourt (ban communal).

    Le ban communal est arrosé par les cours d'eau suivants : le Brenon (1,915 km) le Ruisseau du Moulin (0,037 km) , le Ruisseau de l'Etang de Vandeleville (0,003 km) et le Ruisseau du Conrottes (3,236 km)[2].

    Le territoire prĂ©sente une particularitĂ© gĂ©ologique dĂ©jĂ  mise en avant en 1936 :  «Dans toute la rĂ©gion de Grimonviller-FĂ©cocourt-VandĂ©lĂ©ville-Battigny, le Toarcien affleure Ă  flanc de coteau, s'avance par endroits en larges Ă©perons et forme mĂŞme des buttes isolĂ©es dans la plaine. Le sous-sol immĂ©diat des communes de Grimonviller et de FĂ©cocourt est constituĂ© par du schiste, visible dans tous les chemins creux et sur les bords du ruisseau le BrĂ©non. »[3]

    La même situation a entrainé la naissance d'une industrie d'exploitation de l'huile de schiste en Haute-Saône : l'Exploitation de schiste de Creveney.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Fécocourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,3 %), forêts (37 %), terres arables (10,7 %), zones agricoles hétérogènes (10 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Les différentes graphies recensées par le Dictionnaire topographique de la Meurthe sont : Ecclésia Faucaudi curtis en 1044 - Focoucort en 1272 - Foucocourt en 1295 - Ficocourt en 1373 – Ficoncourt et Fouconcourt en 1408 - Fecoucourt en 1699 - Fecolcourt en 1782[11].

    Le nom est formé d'un suffixe latin COHORTIS transformé en bas latin CURTIS, utilisé par les francs romanisés en CORT puis COURT qui a remplacé les EY, AY tombés en désuétude à partir du VIe siècle. Utilisé avec un nom de personne d'origine germanique (franc) quelquefois latinisé propriétaire ou attributaire d'une ferme, d'un petit domaine, d'un enclos avec le système germanique caractérisé par l'antéposition du nom (Faucus ou Féco). Ce suffixe courant permet de situer la création du village entre le VIe et le Xe siècle (époque carolingienne)[12].

    Histoire

    Le répertoire archéologique de Meurthe (Beaupré) recense quelques découvertes non attribuées à une période ou une culture attestant d’une occupation ancienne du territoire communal :

    « Au lieu-dit Argenterie entre les bois de la Couge (Conge) et ceux des Trois-Fontaines vase de cuivre contenant des monnaies (époque incertaine). Dans le même canton, vestiges d'une voie romaine en pierres debout, allant de Vaudémont à Vicherey, appelée Chemin des Romains. A la Grande maison, débris gallo-romains (Olry. ) Sur la Côte, en 1820, en Trimolot en 1850, trouvailles de monnaies antiques d'époques incertaines. »[13]

    Ces éléments militent en faveur de l’existence d’un site d’habitat sur le plateau au nord-ouest du village.

    L'histoire du village est méconnue jusqu’au Moyen Âge pour lequel les historiens nous apprennent que les habitants de ce lieu, (ainsi que ceux de Dommarie et Chaouilley) , :

    « étaient sujets du roi de corps et de cris (le roi y pratiquait la chasse à courre, à cor et à cris ?) ; leur taille annuelle était de 55 fr. 10 gros 7 deniers. Ils étaient tenus, en temps de guerre, de faire le guet en personne au château de Vaudémont, et, en temps de paix, ils devaient 10 fr. au roi en échange de ce service. »[14]

    C'était, dans l'origine, dit H. Lepage, un franc-alleu, dont il est parlé dans l'acte confirmatif de la fondation du prieuré de Deuilly, par Brunon, évêque de Toul (1045), futur Pape, et dans la fondation du monastère de Saint-Léon de cette ville (1091) :

    « Ce village avait, au XIIIe siècle, des seigneurs particuliers qui portaient son nom ; on en voit figurer un dans un titre de 1295. En 1597, Henri de Fauconcourt déclare tenir en fief et hommage de Ferry de Lorraine, comte de Vaudémont, ce qu'il a à Fauconcourt depuis 1292 »[14]

    En 1707, Benoit Picart indique dans son ouvrage que le seigneur du lieu est Cardon de Vidampierre cousin de Louis Charles d'Ourches, (1662-1728), fils de Jacques d'Ourches et de Claude Louise de la Vallée[15], originaires de Vandeléville et Neuville-sur-Ornain.

    Anecdote

    «Dans les villages de Grimonviller, de Fécocourt, de Vandéleville. etc., pas une femme, depuis la jeune fille jusqu'à la grand' mère, n'eût, jadis, manqué à un usage aujourd'hui disparu avec les lugubres appareils qui l'avaient déterminé. Dès qu'il arrivait à l'une ou à l'autre de passer, — ce qu'elles redoutaient fort, — devant les bois de justice, potences plantées par les seigneurs à un angle de leur territoire, vite elles se signaient en prononçant cette exclamation répulsive : « Dieu me préserve de tes pieds et de tes mains ! » En ces mots, jetés avec un effroi sincère, elles faisaient allusion et s'adressaient mentalement au bourreau, qui s'aide des pieds et des mains pour lancer le patient dans l'éternité. »

    F. FERTIAULT[16].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Jean-Jacques Denisart UMP
    mars 2008 2014 Brigitte Oster
    avril 2014 En cours
    (au 3 juillet 2020)
    David Bruggmann[17] - [18]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    Ingénieur ou cadre technique d'entreprise

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

    En 2020, la commune comptait 111 habitants[Note 3], en stagnation par rapport Ă  2014 (Meurthe-et-Moselle : +0,06 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    468475534606582655612620598
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    463492447451453407404371361
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    356320246250204211200177156
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    1471259385101106104117111
    2019 2020 - - - - - - -
    112111-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Fécocourt possédait un moulin mu par le Brénon, assez considérable, et d’après les historiens (Grosse, Lepage) l’activité rurale et viticole était assez florissante au XIXe siècle :

    « Surf, territ 395 à 407 hect., dont 187 à 215 en bois, 82 en terres labour., 18 à 52 en prés et 18 en vignes dont les produits sont peu recherchés. L'hectare semé en blé, orge et seigle, peut rapporter 12 hectol., en avoine 27 hectol. 50 litres ; planté en vignes 66 hectol. Chevaux, vaches, brebis et porcs »[14] - [23].

    Secteur primaire ou Agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

    D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[24]), la commune de FĂ©cocourt Ă©tait majoritairement orientĂ©e[Note 4] sur la production de bovins  (auparavant production de bovins et de lait) sur une surface agricole utilisĂ©e[Note 5] d'environ 627 hectares (supĂ©rieure Ă  la surface cultivable communale) en hausse depuis 1988 - Le cheptel en unitĂ© de gros bĂ©tail s'est renforcĂ© de 570 Ă  786 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 5 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 8 unitĂ©s de travail[Note 6]. (10 exploitations/13 unitĂ©s de travail en 1988).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Remy.
    • Église Saint-Remy, tour romane remaniĂ©e, nef et chevet du XVe remaniĂ©s XVIIIe siècle.
    • Chapelle Notre-Dame-de-PitiĂ©, du XIXe siècle.
    • Croix du XVIe siècle, dans le cimetière, objet d’un classement au titre des monuments historiques par arrĂŞtĂ© du [25].

    Personnalités liées à la commune

    • Famille noble de FĂ©cocourt ou Feconcourt[26].
    • Familles nobles D'Ourches et de Vidampierre[15].
    • Bernard Perrin, Ă©crivain rĂ©gionaliste. Il a publiĂ© de nombreux ouvrages Histoire mĂ©connue de nos villages et de ma vallĂ©e, (imprimerie Christmann) dans les annĂ©es 80 et 90, jusqu'Ă  sa disparition Ă  FĂ©cocourt. Il fut laurĂ©at du prix Louis Marin en 1994, dĂ©cernĂ© par l'acadĂ©mie Stanislas.

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Blason de FĂ©cocourt Blason
    DĂ©tails

    Voir aussi

    Bibliographie

    • G. Hamm, Carte ArchĂ©ologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    4. Orientation technico-Ă©conomique de la commune :  production dominante de la commune, dĂ©terminĂ©e selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune Ă  la production brute standard.
    5. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    6. UnitĂ© de travail annuel : mesure  en Ă©quivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisĂ© comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
    2. « Ruisseau du conrottes [A5400390] - Cours d'eau », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    3. (Note de M. Louis LONGCHAMBON. 1936 ), « Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères », sur Gallica, (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : rédigé sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, Paris, Imprimerie impériale, coll. « Dictionnaire topographique de la France », (lire en ligne).
    12. Toponymie générale de la France: Tome 2 - Ernest Nègre
    13. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 62-63.
    14. Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 183,618.
    15. Pouillié ecclésiastique et civil du diocèse de Toul. Imprimé par ordre de Monseigneur Tome premier, / A Toul : Chez Loüis & Etienne Rolin , 1711 - P 356
    16. Société des traditions populaires (Paris) Auteur du texte et Musée de l'homme (Paris) Auteur du texte, « Revue des traditions populaires », sur Gallica, (consulté le ).
    17. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    18. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Grosse, Dictionnaire statistique de la Meurthe, p. 22.
    24. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'Ă©valuation et la prospective agricole - RĂ©sultats - DonnĂ©es chiffrĂ©es », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consultĂ© le ) : « Principaux rĂ©sultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
    25. « Croix de cimetière de Fécocourt », notice no PA00106029, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie lorraine Auteur du texte et MusĂ©e lorrain (Nancy) Auteur du texte, « MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie lorraine », sur Gallica, (consultĂ© le ) : « Il existe, en effet, aux mĂŞmes archives du dĂ©partement 54 (H. 2988) l'original du testament d'Henri de FĂ©cocourt, bailli du comtĂ©, dans lequel il Ă©lit sa sĂ©pulture dans la collĂ©giale de VaudĂ©mont ».
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