AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Ecchi

Ecchi (スッチ, etchi, se prononce /etːt͡ɕÉȘ/) est un mot japonais signifiant « indĂ©cent », « lubrique » ou encore plus souvent « pervers ». Au Japon, le terme est aussi utilisĂ© avec une connotation sexuelle pouvant avoir le sens de « sexuellement inappropriĂ© », « sexe », « Ă©rotique » ou « pornographique ». En Occident, le mot ecchi est utilisĂ© pour dĂ©finir un genre de manga et de dessins animĂ©s japonais Ă  connotation sexuelle.

Les vĂȘtements courts ou transparents sont des Ă©lĂ©ments caractĂ©ristiques des Ɠuvres considĂ©rĂ©es comme Ă©tant ecchi en Occident.

Origine et utilisation au Japon

La transcription correcte[1] de スッチ est etchi, il sera Ă©crit comme tel pour indiquer son utilisation au Japon.

Le sens actuel du mot etchi dĂ©pend fortement de celui du mot hentai (ć€‰æ…‹). Pendant l’ùre Meiji, le mot hentai, qui a pour sens premier « changement de forme » ou « transformation », est utilisĂ© en science et en psychologie. Il est d’abord utilisĂ© pour parler de troubles tels que l’hystĂ©rie ou des phĂ©nomĂšnes jugĂ©s paranormaux tels que l’hypnose et la tĂ©lĂ©pathie[2]. Le terme prend alors une connotation de « hors norme ». Dans les annĂ©es 1910, il est utilisĂ© en sexologie dans l’expression hentai seiyoku (ć€‰æ…‹æ€§æŹČ, dĂ©sir sexuel anormal)[3] et est popularisĂ© avec la thĂ©orie de la dĂ©viance sexuelle (Hentai seiyoku ron) publiĂ©e en 1915 par Eiji Habuto et Jun'ichirƍ Sawada[4] - [5]. Dans les annĂ©es 1920, de nombreuses publications ayant pour cible un grand public traitant de sexualitĂ© dĂ©viante apparaissent, dont des publications associĂ©es au mouvement ero-guro-nansensu. Cette pĂ©riode est qualifiĂ©e de « hentai boom » par Matsuzawa[6]. Dans les annĂ©es 1930, les publications traitant de sexologie sont progressivement censurĂ©es et vers la fin des annĂ©es 1930, la publication est arrĂȘtĂ©e[7].

AprĂšs la guerre, dans les annĂ©es 1950, de nouveaux journaux s’intĂ©ressent au hentai. Avec ce regain d’intĂ©rĂȘt, le mot hentai est parfois Ă©crit en rƍmaji et c’est Ă  ce moment que H, prononcĂ© スッチ (comme nom de la lettre en anglais, /eÉȘtʃ/), a commencĂ© Ă  ĂȘtre utilisĂ© pour dire hentai[8]. En 1952, le magazine Shukan asahi rapporte qu’une femme qui se faisait peloter par un inconnu dans un cinĂ©ma s’est Ă©criĂ©e « ara etchi yo », pouvant ĂȘtre traduit en « hey, c’est pervers »[2]. Dans ce contexte, etchi (et pervers dans la traduction) doit ĂȘtre compris comme « sexuellement inappropriĂ© » et est synonyme de iyarashii (ć«Œă‚‰ă—ă„, sexuellement dĂ©placĂ©) ou sukebe (すけăč, un pervers). DĂšs ce moment, le sens de hentai et de etchi a Ă©voluĂ© de façon indĂ©pendante. Dans les annĂ©es 1960, etchi commence Ă  ĂȘtre utilisĂ© par les jeunes pour faire rĂ©fĂ©rence au sexe en gĂ©nĂ©ral. En 1965, un journal rapporte que les enfants d’école primaire connaissent des etchi kotoba (mot sexy). Dans les annĂ©es 1980, etchi commence Ă  ĂȘtre utilisĂ© pour dire sexe, comme dans l’expression « etchi suru » (faire l’amour)[2] - [8].

Le mot etchi peut servir de qualificatif pour tout ce qui est Ă©rotique ou pornographique (films, jeux vidĂ©o, anime, etc.), bien que de nos jours, on lui prĂ©fĂšre l'adjectif ero (ero-manga (スロマンガ), ero-game, etc.) ou des expressions tel que adult anime (ă‚ąăƒ€ăƒ«ăƒˆă‚ąăƒ‹ăƒĄ) ou anime/manga interdit aux moins de 18 ans (18穁ケニメ ‱ 18犁挫画), manga pour adulte (成äșșć‘ă‘æŒ«ç”» ‱ 成ćčŽă‚łăƒŸăƒƒă‚Ż ‱ 成äșș挫画, Seijin muke manga ‱ seijin komikku ‱ seijin manga).

Il semblerait que le mot puisse aussi ĂȘtre utilisĂ© dans l’expression H-baito, comme synonyme de enjo kƍsai[9].

Usage en Occident

En Occident, l’orthographe ecchi est la plus couramment employĂ©e[10], bien que cette orthographe ne respecte pas la mĂ©thode Hepburn, selon laquelle il faudrait Ă©crire etchi. Nous pouvons supposer que le mot a initialement Ă©tĂ© mal transcrit ou transcrit en utilisant une autre technique[11] lorsqu’il a Ă©tĂ© introduit dans la langue anglaise et française par les amateurs de manga et d’anime.

Le mot ecchi est utilisĂ© pour qualifier une catĂ©gorie de manga et d’anime qui prĂ©sentent du contenu Ă  connotation sexuelle. Les Ɠuvres ecchi s’adressent Ă  un public cible majoritairement masculin que ce soit shƍnen ou seinen. Certaines Ɠuvres destinĂ©es Ă  un lectorat fĂ©minin prĂ©sentent Ă©galement des caractĂ©ristiques du ecchi, tel que R-18 Love Report! de Emiko Sugi pour un public shƍjo et Ebichu pour un public josei. Par contre, plusieurs Ɠuvres pour un public fĂ©minin proposent un contenu Ă  caractĂšre sexuel Ă  des fins romantiques plutĂŽt que comique comme c'est le cas dans le ecchi. Enfin les Ă©lĂ©ments ecchi sont normalement absents de toute Ɠuvre destinĂ©e aux enfants (kodomo).

La catĂ©gorie ecchi regroupe les Ɠuvres qui exploitent le thĂšme de la sexualitĂ©. Les moyens gĂ©nĂ©ralement utilisĂ©s sont des rĂ©fĂ©rences ou des quiproquos Ă  propos de la sexualitĂ© dans les dialogues (phrases Ă  double sens, propos pris hors contexte), ainsi que la reprĂ©sentation visuelle de la sexualitĂ©, par des quiproquos visuels (personnage dans une position Ă©voquant une relation sexuelle), les vĂȘtements (sous-vĂȘtements, cosplay, vĂȘtements fĂ©tiches, etc.), la nuditĂ© et la reprĂ©sentation de certains gestes (toucher ou regarder certaines parties du corps). DiffĂ©rents personnages (hĂ©ros obsĂ©dĂ© sexuel ou pĂ©dophile) et certains Ă©lĂ©ments (harem) sont aussi rĂ©currents dans les ecchi.

La sexualitĂ© y est gĂ©nĂ©ralement utilisĂ©e pour crĂ©er un effet comique. Dans certains cas, la sexualitĂ© y est utilisĂ©e de façon plus Ă©rotique que comique, tel que dans Mademoiselle mĂ©tĂ©o ou Kekkƍ Kamen. Par contre, les Ɠuvres proposant des reprĂ©sentations explicites de relations sexuelles et les Ɠuvres de nature pornographique sont couramment appelĂ©es hentai en occident.

Le ecchi est un concept trĂšs proche du fan service. Le fan service est utilisĂ© pour qualifier des Ă©lĂ©ments destinĂ©s Ă  plaire aux amateurs, sans qu’il y ait de lien nĂ©cessaire avec l’histoire ou la trame narrative. Dans les Ɠuvres ecchi, ces Ă©lĂ©ments sont souvent justifiĂ©s par la trame narrative, ou influencent le dĂ©roulement de l’histoire. Ils occupent une place prĂ©pondĂ©rante dans l’Ɠuvre. Il est donc possible de dire que le ecchi est une forme poussĂ©e de fan service.

Caractéristiques

Bien que de nombreux Ă©lĂ©ments caractĂ©risent les Ɠuvres ecchi, il ne s’agit que d’élĂ©ments suggestifs qui se retrouvent de façon plus ou moins importante dans chaque Ɠuvre.

Pour ĂȘtre qualifiĂ©e de ecchi, une Ɠuvre doit contenir plusieurs de ces Ă©lĂ©ments, ou qu'ils soient rĂ©pĂ©tĂ©s de façon trĂšs rĂ©guliĂšre (par exemple, dans tous les Ă©pisodes d'un anime). Ainsi, malgrĂ© quelques Ă©lĂ©ments observables dans Naruto (techniques sexy de Naruto, dont le harem no jutsu, ou le cĂŽtĂ© obsĂ©dĂ© sexuel de Jiraya), ils ne sont pas assez prĂ©sents pour que l'Ɠuvre puisse ĂȘtre qualifiĂ©e de ecchi.

Nudité

Sur le plan graphique, différentes techniques sont utilisées pour montrer des images sexy, généralement en dévoilant des parties du corps féminin.

Certains motifs sont rĂ©currents, tels que les scĂšnes dans une douche, un onsen ou un lit, ou des scĂšnes de combat dans lesquelles les vĂȘtements sont dĂ©chirĂ©s par des armes ou de la magie. Il est alors possible de voir de la nuditĂ©, que ce soit le dos, les fesses et mĂȘme les seins. Dans certains cas, les circonstances dans lesquelles le corps est exposĂ© relĂšvent plutĂŽt de la fantaisie, puisque n’importe quelle excuse est bonne pour montrer un personnage partiellement ou complĂštement nu.

Selon le public cible, l’annĂ©e de production et les prĂ©fĂ©rences de l’auteur, le niveau de nuditĂ© peut varier Ă©normĂ©ment. Dans certains cas, bien que les seins soient montrĂ©s Ă  l’écran, les mamelons et les parties gĂ©nitales sont voilĂ©s par de la fumĂ©e, de la mousse, les cheveux, un vĂȘtement, un Ă©lĂ©ment du dĂ©cor, un effet de lumiĂšre, etc. (Blair dans Soul Eater). Dans d’autres cas, les mamelons sont clairement visibles, soit Ă  travers les vĂȘtements trĂšs ajustĂ©s des personnages (Re: Cutie Honey), oĂč tout simplement dĂ©nudĂ©s (Kekkƍ Kamen).

De façon gĂ©nĂ©rale, les parties gĂ©nitales ne sont pas affichĂ©es Ă  l’écran, entre autres car il est interdit, en raison de la censure, de montrer les parties gĂ©nitales Ă  l’écran au Japon. NĂ©anmoins, dans certains cas, les parties gĂ©nitales sont cachĂ©es par de la mosaĂŻque ou un effet de lumiĂšre (Golden Boy, Kekkƍ Kamen) et de façon trĂšs rare, les parties gĂ©nitales sont montrĂ©es Ă  l’écran, mais de façon trĂšs simpliste (Ebichu).

Bien que ce soient généralement les personnages féminins qui soient présentés nus, il arrive parfois de voir de la nudité masculine. On peut citer ainsi les personnages de Penis-man et Balls-man dans Re: Cutie Honey, Kaishounachi dans Ebichu ou Retto EnjÎ dans Super HxEros.

Le saignement de nez, qui représente l'excitation sexuelle résulte donc parfois de la vision de corps dénudés ou par les fantasmes de personnages masculins et plus rarement de personnages féminins (R-18 Love Report!).

Relations sexuelles

De façon gĂ©nĂ©rale, le ecchi ne montre pas de relations sexuelles, puisqu’il est plus suggestif que la catĂ©gorie hentai, terme utilisĂ© par les fans occidentaux pour parler d’Ɠuvres sexuellement explicites ou pornographiques.

Les actes sexuels sont donc gĂ©nĂ©ralement suggĂ©rĂ©s ou supposĂ©s, parfois Ă  tort, via des quiproquos visuels (Kyƍ no go no ni). Plus rarement, les relations sexuelles sont montrĂ©es de façon Ă©rotique, par exemple dans Step up, Love Story, ou de façon comique comme dans Ebichu.

Pantsu

Pantsu (パンツ) est la prononciation japonaise du mot pants (culotte en anglais britannique). La vision des sous-vĂȘtements, gĂ©nĂ©ralement blanc ou de couleur pĂąle, et parfois stylisĂ© de motifs jugĂ©s kawaii comme des fraises (Ichigo 100%), ou des cƓurs est frĂ©quente dans les Ɠuvres ecchi. Ils sont gĂ©nĂ©ralement plus jolis et mignons (kawaii) que sexys.

Les sous-vĂȘtements peuvent ĂȘtre un objet important dans la trame narrative d’un Ă©pisode (Chobits Ă©pisode 4) ou d’une sĂ©rie (Passion panties dans Arcade Gamer Fubuki ou sous-vĂȘtements de Yuki dans G-On Riders).

DiffĂ©rents contextes peuvent entraĂźner la vision des sous-vĂȘtements. Il peut s’agir d’un Ă©vĂ©nement naturel (vent qui soulĂšve la jupe), d’un accident ou d’un acte volontaire. Dans le cas d’un accident ou d’un acte volontaire, un personnage masculin ou fĂ©minin peut ĂȘtre la cause, mais c’est gĂ©nĂ©ralement le personnage masculin, qui a vu les sous-vĂȘtements, qui est puni pour les avoir vus, mĂȘme s’il n’est qu’un agent passif dans la scĂšne. Si le dĂ©voilement des sous-vĂȘtements est souvent une source de gĂȘne pour les personnages fĂ©minins, il arrive que ceux-ci les montrent de façon volontaire (Aya dans Enfer et paradis).

Bien que de nombreux gags soient basĂ©s sur le fait qu’un garçon voit les sous-vĂȘtements, il arrive aussi qu'ils soient tout simplement montrĂ©s au spectateur, sans qu’il y ait le moindre lien avec l’histoire. Ces plans sont souvent appelĂ©s panties shot et sont trĂšs prĂ©sents dans le ecchi.

Poitrine

La poitrine des personnages fĂ©minins est le sujet de nombreux gags. Les seins sont entre autres le sujet de commentaires concernant leur taille, qu’ils soient petits ou gros. De tels commentaires de la part de personnages masculins provoquent gĂ©nĂ©ralement la colĂšre de la principale concernĂ©e.

Dans de nombreux cas, la poitrine des personnages fĂ©minins se dĂ©marque par leur taille impressionnante (Eiken (en), Enfer et paradis). Il arrive parfois qu’un personnage fĂ©minin s’amuse Ă  toucher la poitrine d’un autre personnage, parfois mĂȘme de façon abusive (Eiken, Amaenaide yo!!). La situation est parfois inversĂ©e lorsqu’un personnage fait toucher ses seins Ă  une autre fille (Melody Honey dans Arcade Gamer Fubuki).

Il arrive parfois qu’un garçon voit, touche, ou tombe sur la poitrine d’une fille. Tel que pour les sous-vĂȘtements, que ce soit volontaire ou non, le garçon est gĂ©nĂ©ralement puni pour avoir vu ou touchĂ© le corps d’une fille, ce qui est mĂȘme rĂ©current dans certaines Ɠuvres (Asu no Yoichi!, Amaenaide yo!!, Bokusatsu tenshi Dokuro-chan et To Love Ru).

VĂȘtements

Les vĂȘtements des personnages fĂ©minins sont souvent sexy et ne cachent parfois que superficiellement le corps, que ce soit des jupes trĂšs courtes ou des chandails trĂšs ajustĂ©s. Les vĂȘtements peuvent aussi ĂȘtre trĂšs ajustĂ©s, laissant ainsi voir toutes les formes du corps, dont la forme des seins, des mamelons, des fesses, etc.

Outre les sous-vĂȘtements qui sont trĂšs souvent visibles, diffĂ©rents types de vĂȘtements sont souvent prĂ©sentĂ©s. C’est entre autres le cas de vĂȘtements qui font l’objet de fĂ©tiches, tel que les costumes de servantes, les uniformes d’écoliĂšre (Sailor fuku, buruma et costume de bain) et costumes de type cosplay.

Il ne sera pas rare de voir les vĂȘtements des personnages fĂ©minins ĂȘtre dĂ©chirĂ©s lors de combats, ce qui permet de reprĂ©senter plus de nuditĂ©.

Autre éléments

D’autres Ă©lĂ©ments sont aussi souvent utilisĂ©s dans les Ɠuvres ecchi.

Bien qu’il ne soit pas exclusif au ecchi, le motif appelĂ© « harem » est souvent prĂ©sent. Il s’agit de situations dans laquelle un garçon est entourĂ© par un nombre important de filles avec qui il doit cohabiter, ou qui sont simultanĂ©ment amoureuses de lui (Rosario + Vampire, High School DxD, Love Hina, Amaenaide yo!!, ou To Love-ru).

Lorsque le hĂ©ros est masculin, il est parfois pervers (portĂ© vers la porno, tel que Hideki dans Chobits) ou lolicon (Sakura dans Bokusatsu tenshi Dokuro-chan), et se dĂ©fendent d'ĂȘtre pervers ou pĂ©dophile. Lorsque le hĂ©ros est fĂ©minin, il est parfois suivi par un paparazzi ou un rĂŽdeur (stalker) (Sanpeita dans Arcade Gamer Fubuki et Mitsuru dans Ghost Talker’s Daydream). Les blagues concernant la perversitĂ© ou la dĂ©viance sexuelle supposĂ©e de ces personnages masculins sont donc courantes.

Bien qu’il s’agisse d’un genre principalement populaire chez un jeune public fĂ©minin, quelques Ɠuvres reprennent l’idĂ©e du genre magical girl (é­”æł•ć°‘ć„ł, mahƍ shƍjo), dans lequel le personnage principal est une jeune fille possĂ©dant des pouvoirs magiques leur permettant de se transformer en super hĂ©ros. Dans le ecchi, le genre peut alors ĂȘtre transformĂ© en parodie (Papillon Rose).

Galerie d'images

Sur internet, plusieurs sites spĂ©cialisĂ©s proposent des galeries de dessins dit ecchi. Les dessins reprĂ©sentent des personnages tirĂ©s d'Ɠuvres japonaises, que ce soit de jeux vidĂ©o, d'anime ou de manga, mais aussi des dessins originaux reprenant la mĂȘme esthĂ©tique. Ces images reprennent certain concepts du ecchi et du moe, proposant ainsi une gamme de contenu allant de mignon Ă  sexy Ă  Ă©rotique lĂ©ger, mais certain sites offrent aussi du contenu pornographique (hentai). Si le mode de fonctionnement de ces sites peut ĂȘtre variable (blog, board, forum
), la provenance des images envoyĂ©es par les contributeurs est gĂ©nĂ©ralement douteuse et va possiblement Ă  l'encontre des droits des auteurs originaux des images, que ce soit des Ɠuvres commerciales, des dƍjinshi ou des dessins amateurs trouvĂ©s sur d'autres sites internet, puisque le nom de l'auteur ou la source de l'image est souvent introuvable.

Quelques Ɠuvres ecchi

Manga et anime

Anime

Visual novel

Notes et références

  1. Selon la MĂ©thode Hepburn
  2. (ja) Hikaru Saitƍ, Hentai-H, Sei no yƍgoshĆ«, Tokyo, Kƍdansha gendaishinsho, , p. 45-58
  3. Jennifer Robertson, « Theatrical Resistance, Theatres of Restraint: The Takarazuka Revue and the "State Theatre" Movement in Japan », Anthropological Quarterly, The George Washington University Institute for Ethnographic Research, vol. 64 « Gender and the State in Japan », no 4,‎ , p. 165-177, p. 172
  4. Jennifer Robertson, « Dying to Tell: Sexuality and Suicide in Imperial Japan », Signs, The University of Chicago Press, vol. 25, no 1,‎ , p. 1-35, p. 21
  5. Jim Reichert, « Deviance and Social Darwinism in Edogawa Ranpo's Erotic-Grotesque Thriller "Kotƍ no oni" », Journal of Japanese Studies, The Society for Japanese Studies, vol. 27, no 1,‎ , p. 113-141, p. 128
  6. Goichi Matsuzawa, Meiji, Taishƍ, Shƍwa, kindai fĆ«zoku shuppan no rekishi, Ero no hon, Tokyo, Wani no ana, , p. 55
  7. Sabine FrĂŒhstĂŒck, Colonizing Sex : Sexology and Social Control in Modern Japan, University of California Press,, , 267 p. (ISBN 0-520-23548-7, lire en ligne), p. 15
  8. Mark McLelland, « A Short History of 'Hentai' », Intersections: Gender, History and Culture in the Asian Context, vol. 12,‎ (lire en ligne)
  9. JérÎme Mérieux, Des filles, des magasins et des snack-bars : premiÚre expérience japonaise, Paris/Budapest/Torino, L'Harmattan, , 133 p. (ISBN 2-7475-5104-0, lire en ligne), p. 45
  10. Une recherche de ecchi et de etchi sur un moteur de recherche donne des résultats concluants.
  11. Par exemple les mĂ©thodes Nihon-shiki ou Kunrei ou encore wāpuro rƍmaji.

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.