D'Ambricourt
D'Ambricourt ou Dambricourt est un patronyme originaire du plateau de Fruges, dans les collines de l'Artois, attaché au lieu-dit de Crépieul[1].
Patronyme
Moyen-Âge
En 1150, Crépieul a conservé le nom d’un seigneur du haut Moyen Âge (Ve – VIIIe siècles), Amalrich, qui y avait un domaine, Amalrici cortis[2]. En 1900, une cheminée monumentale conservée dans une chaumière de Crépieul atteste de la disparition d'une demeure remarquable. Les terres de ce domaine étaient proches de l'abbaye royale de Blangy-sur-Ternoise, fondée au VIIe siècle par Berthe de Blangy, petite-fille de Clovis II. L'abbaye, pillée et détruite par les Vikings en 887, fut rétablie en 1053 comptant parmi les bienfaiteurs, Robert d'Ambricourt. C'est la première mention connue du patronyme.
Un siècle plus tard, en 1150, un hameau édifié aux limites de Crépieul prend le nom de Ambricourt qui devient un village en 1250 grâce à la construction d'une église financée par Adam Boulenc, propriétaire de quatre fiefs sur le territoire. Au XIVe siècle, le hameau fut surnommé «la terre des nobles hommes» en raison de la concentration de fiefs indépendants, au moins douze parmi lesquelles les familles Lejosne, Boulenk, de Froideval et de Crépieul, se partageaient le titre de seigneur d'Ambricourt[3].
Le patronyme précède d'un siècle au moins, le nom du village.
Les archives départementales du Pas-de-Calais réunies par Michel Champagne[4] ont permis de retrouver la trace du patronyme jusque vers 1370 à Canlers, limitrophe d'Ambricourt. Il s'écrit indifféremment d'Ambricourt ou Dambricourt. Andieu Dambricourt nait vers 1370 à Canlers, témoin de la bataille d'Azincourt, le 24 octobre 1415, les troupes françaises étant basées entre l'abbaye de Ruisseauville, Canlers et Ambricourt. En 1416, il «tient en arrentement du Seigneur de Canlers Jehan de Mailly dit Maillet, 3 mesures en lepieche du bout des Riez, 3 mesures tenant à le voye de le coupelle, 3 mesures en le pieche du camp soilleux ». Son fils Mollinet Dambricourt est visible dans les archives vers 1450.
Époque moderne
Mollinet quitta sans doute Canlers pour Saint-Omer où il eut au moins un fils, Messire Jehan d’Ambricourt visible en 1521 dans un document de justice. En 1535, Jehan d’Ambricourt est marchand, bourgeois et échevin de la cité où il acquiert avec son épouse Antoinette Dubois, ou Du Bos, une propriété appartenant au « haut et puissant seigneur » Jean de Croÿ. Il reste maneglier de l’église de Canlers et y possède un manoir amazé (archives de 1541) ; dans le Haut-Artois, c'est une parcelle close de haies en général située dans les villages, lieu de jardins, de prés et de vergers ; il est amazé s’il est construit de maisons, de granges et d’étables. Gérard d’Haméricourt, soixante-neuvième abbé de Saint-Bertin et premier évêque de Saint-Omer, s’enquiert d’un domaine dans la cité audomaroise pour y construire le premier collège jésuite wallon. Jehan et Antoinette d’Ambricourt lui cèdent leur propriété en 1546 pour 1 300 florins[5]. Leur fils aîné Sire Bauduin Dambricourt est prêtre à Canlers, vice-curé de la paroisse, vit de la rente de ses terres en 1538.
On dénombre alors de nombreuses familles aux environs de Canlers : Ruisseauville, Avondance, Beaulieu, Sains, Planques, Fressin ; vers le nord à Coupelleneuve, Coupellevielle, Fruges voire Senlis, ou encore vers le sud à Azincourt et Béalancourt et Rollancourt sur la Ternoise. Denise d’Ambricourt, décédée vers 1616, est une petite-fille de Jehan, elle possède le manoir du Sauchoy ou Sausoie sur le chemin de Canlers à Ambricourt. Mathieu Franchois d’Ambricourt demeurant à Avondance, baille en 1649. En 1650 Pierre Dambricourt est «laboureur » à Béalancourt, à 7 km au sud d'Ambricourt ; âgé de 32 ans, il figure parmi les représentants de la communauté dans un accord passé à Rollancourt (Gros de Saint-Omer en date 24 janvier 1650, accord no 29). En 1658, Nicolas Dambricourt, laboureur, élit domicile dans les ruines de l'« Abbaye Sainte-Marie-au-Bois de Ruisseauville » ; Antoine d’Ambricourt, natif d’Ambricourt, meurt le au service du Roy. Le sieur Louis François d’Ambricourt, fermier-propriétaire, est parrain, en 1784, de la nouvelle cloche de l’église Saint-Nicolas d’Avondance.
Une dynastie de papetiers
Vers 1650, naît à Béalancourt, Philippe Dambricourt, très probablement un fils de Pierre, laboureur. Il est l'ancêtre d'une longue lignée de minotiers et de marchands de grains établis à Saint-Omer[6], et de la dynastie des papetiers Dambricourt-frères [7] dont les moulins jalonnent les berges de l'Aa à Hallines, Wizernes, Esquerdes et Wavrans-sur-l'Aa[8] - [9]. En 1900, les papeteries Dambricourt-frères figurent parmi les premiers producteurs français de papier[10]. Le papier des moulins d'Hallines est apprécié par les éditeurs de livre de qualité "filigrane : DAMBRICOURT Frères, usine d’HALLINES avec lettres [H P] dans un écusson, papeterie du Nord-Pas-de-Calais, premier quart du dix-neuvième siècle"[11], Victor Hugo utilisait aussi ce papier vergé pour ses lavis à la plume et à l'encre de Chine, comme pour "Navire dans la tourmente"[12] - [13] - [14] ou l'écriture de son discours à la gloire de Voltaire[15] puis par Van Gogh pour ses fusains « En 1911 la Sté des papeteries de l’Aa est la deuxième productrice de papier d’impression et d’écriture en France. En 1917, la Sté compte quatre moulins à pâte à papier. Jusqu'en 1934, les papeteries produisaient du papier journal et du papier qualité supérieure comme le montrent de nombreux fusains de Van Gogh[16]. »
Parmi les descendants de Philippe Dambricourt apparaît Géry Dambricourt (1797-1845) « Juge au Tribunal de Commerce de Saint Omer, les lumières spéciales de Mr. Géry Dambricourt étaient estimées de ses collègues qui aimaient à consulter son expérience. Conseiller municipal, il avait été nommé pour ainsi dire à l’unanimité sans distinction d’opinion ni de parti, on savait bien en effet qu’il ne voterait jamais que pour ce qui lui paraîtrait bon ou utile à ses concitoyens : négociant, sa probité était proverbiale, à la tête d’établissements industriels considérables, il était aimé et respecté de ses nombreux ouvriers auxquels il se montrait toujours bienfaisant et juste[17]. »
- Son frère, Auguste Dambricourt (1801-1872), fonde l'usine à papier de Wizernes DAMBRICOURT et fait installer en 1836 la première machine à papier en continu du Nord de la France[18].
- Son cousin germain Louis-Albert Bellart Dambricourt (1796-1864), natif de Saint-Omer, prit part à la Révolution de 1848, élu député du Pas-de-Calais pour siéger à l’Assemblée Constituante[19]. Partisan de la majorité (monarchie républicaine), il vota pour l’impôt à la proportionnelle et se rapprocha des socialistes et des démocrates en votant la suppression de l’impôt du sel. Il ne se rallia pas à Louis-Napoléon Bonaparte élu Président de la République le . Il quittera son siège à la fin de la session en 1849 et se retira de la politique.
- Son cousin germain Alexandre Dambricourt (1798-1832) est élu à la Société des Sciences, de l’Agriculture et des Arts de Lille en 1826 (Société Royale à l'époque) âgé de 28 ans, il y publie une étude sur la législation des grains en France[20] et se lie d'amitié avec Gaspard-Themistocle Lestiboudois, botaniste réputé. La même année Alexandre Dambricourt publie un mémoire intitulé : Essai sur la définition des mots Richesse et Valeur dans les Recueils des Travaux de la Société. Son mémoire est étudié en 1828 par des membres de l’Institut de France Un mémoire de Mr Dambricourt intitulé : Essai sur la définition des mots Richesse et Valeur avertira les auteurs d’écrits sur l’économie politique de la nécessité de fixer le sens des mots. [21] Le rapport est publié dans La Revue encyclopédique « considérée, avec Le Globe, comme un des organes importants de la gauche de l'époque, elle eut une grande influence sur l'opinion progressiste »[22], la revue comptait parmi ses collaborateurs scientifiques Étienne Geoffroy Saint-Hilaire et Pierre Flourens. Engagé en politique, Alexandre Dambricourt participe à la révolution de juillet de 1830, il se lie également d’amitié avec Adolf Thiers encore inconnu[23] et époux d'une lilloise, et le député Nicolas Martin du Nord, futur Ministre de la Justice et du Culte sous Louis Philippe. Il est membre de la chambre de Commerce et premier adjoint au maire de Lille. Alexandre Dambricourt se distingua par des enquêtes confiées par le Gouvernement sur la régularisation du cours de la Scarpe, cause de nombreuses inondations, ainsi que par une étude de l’impôt sur le sel[24]. Il meurt à l’âge de 39 ans des suites d’une pneumonie contractée lors d'inondations en portant assistance à la population lilloise. « Homme nouveau, il ne date dans la vie publique que depuis la révolution de juillet. À cette époque, on le vit, comme nous tous, jeunes hommes, soldat de l’ordre et de la liberté ; mais bientôt ses vastes connaissances, son aptitude aux affaires et sa haute moralité le firent entrer en qualité d’adjoint dans cette administration municipale, c’est là que nous avons pu apprécier cette rare indépendance qu’il puisait dans la fermeté de son caractère qui lui permettait de rester toujours lui. C’est là que nous avons pu admirer en lui une autre vertu non moins rare, la tolérance. » Pierre Legrand 1837, président du Conseil de préfecture du Nord.
« Ces deux discours, plusieurs fois interrompus par l’émotion des orateurs, ont été écoutés dans un profond recueillement, et ont produit d’autant plus d’impression sur les assistants qu’ils retraçaient d’une manière plus touchante et plus vraie toute l’étendue de la perte que la ville vient de faire[25]. »
Les nombreux descendants d'Alexandre Dambricourt comptent entre autres :
- sa petite-fille Thérèse Bernard Dambricourt (1856-1940), première abbesse de Notre-Dame de Wisques[26] fondée en 1889 à la suite de la rencontre entre Dom Guéranger et sa tante et mère adoptive Anna Dambricourt (1837-1900)[27]
- le Père Géry Dambricourt s.j., (1886 à Hallines -1964 à Amiens)[28], Provincial de la Compagnie de Jésus (région Champagne), directeur du chantier de reconstruction du collège jésuite « La Providence » d'Amiens où plusieurs neveux suivront leur scolarité[29] ,
- le Père abbé Georges Dambricourt (1923-1982), docteur en théologie du Séminaire Saint Sulpice d'Issy les Moulineaux et théologien[30] - [31], petit-neveu de l'évêque de Versailles Benjamin-Octave Roland-Gosselin (1870-1952)[32]
- la paléoanthropologue Anne Dambricourt[33]
- la claveciniste Aline d'Ambricourt[34], auteure et productrice du film documentaire "Domenico Scarlatti l'Intemporel" diffusé sur la chaîne de télévision W.D.R[35] en septembre 2016
- Olivier Dambricourt, polytechnicien et diplômé de l’École Nationale Supérieure de l'Aéronautique et de l'Espace[36] - [37], conseiller technique des Ministres Francis Mer, Nicole Fontaine et François Loos.
Occurrences
- Mado d'Ambricourt (Madeleine Delvigne), personnage historique de la série de la bande dessinée «Les Amours célèbres» et petite-fille de Benoit Dambricourt[38].
- Albert Verley Dambricourt (1867-1959), petit-fils de Benoit Dambricourt et fils d'Anna Dambricourt (1846-1933 )[39] "haute figure de la chimie organique française" [40], docteur en chimie de l'Université de Paris, auteur de "Nouvel aspect de la théorie des probabilités", en 1958 et célèbre en France comme aux États-Unis pour son invention des parfums de synthèse, également compositeur proche d'Erik Satie[41] « Mécène, pour favoriser le développement de la musique française contemporaine, il avait institué un prix de composition, qui fut attribué à Arthur Honegger pour son œuvre « Pastorale d'été ». Il avait aussi organisé des festivals de musique où de jeunes compositeurs purent se faire connaître[40]. »
- D'Ambricourt est une marque de parfum créée dans les années 1930 « Les parfums d'Ambricourt de Paris »[42], le parfum "Sulaïca"[43]
- André Parenty Dambricourt (1895-1983), professeur de philosophie et de théologie, évêque d'Arras et de Boulogne-sur-Mer[44]
- Ulrich Dambricourt, inventeur du mammouth d'Arques exhumé de sa ballastière par le Dr. Georges Pontier et Paul de Givenchy président de la Société préhistorique de France devenue la Société préhistorique française.
- Château Dambricourt à Hallines[45]
- L'oratoire dédié à la Vierge Marie construite par la famille Dambricourt en 1842 à Lompret.[46]
- Le marais Dambricourt de Saint-Omer : "Ce fut vers la renaissance que les habitants du marais empruntèrent aux Hollandais des techniques de poldérisation, afin de rendre exploitables les terres les plus basses. C’est ainsi que de nombreuses terres furent « mises en casiers » et que de nombreux moulins à vent, munis de vis d’Archimède, étaient disposés à divers endroits stratégiques dans le but de pomper l’eau. Le premier essai de ces techniques eut lieu, avec succès, dans le marais Dambricourt."[47]
- L'abbé Dambricourt "Même l’abbé Dambricourt, modèle du tableau de Jules-Alexis Muenier (La Retraite de l’aumônier, éd. Invenit, 2011)[48] porte un nom typiquement artésien."[49]
- Le curé d'Ambricourt, personnage central du roman de Georges Bernanos, « Journal d'un curé de campagne » publié en 1936, Grand prix du roman de l'Académie française.
- Adrienne D'Ambricourt (1878, Paris-1957, Hollywood) est une actrice française née Adrienne Dumontier qui a choisi le patronyme comme nom d'artiste.
Notes et références
- « Dambricourt », sur www.thierryprouvost.com (consulté le ).
- Derisbourg F., Monographie de la commune d’Ambricourt, Arras, Imprimerie Gaillard et Finet, , 62 p., p. 27-29.
- François Derisbourg, Monographie de la commune d’Ambricourt, Arras, .
- « Michel Champagne », sur wikipasdecalais.
- G. Delahotte et J. Loisel, Les origines du lycée de Saint-Omer : histoire de l'ancien collège (1565-1845), Calais, .
- André Delavenne, Le Recueil de la Bourgeoisie ancienne, Paris, Éditions S.G.A.G., .
- « usine de papeterie des établissements Dambricourt frères, puis Société des Papeteries de l'Aa, puis Arjo Wiggins », sur Inventaire général du patrimoine culturel.
- Bernard Level, Les moulins à eau de l'Aa et de ses affluents, Saint Omer, Société académique des antiquaires de la Morinie, .
- Frédéric Barbier, Le patronat du Nord de la France sous le Second Empire, Genève, Librairie Droz, École Pratique des Hautes Études, , p. 142-144.
- Philippe May, Les anciens établissements Dambricourt Frères à Wizernes (1834-1985), Plein Nord. La gazette de la région du Nord, n°201, , pages 17-32.
- « Louis LEMETTEIL. Les Oiseaux de la Seine inférieure UN TRÈS BEAU RECUEIL COMPLET DE DESSINS ORIGINAUX D'UNE EXQUISE ÉLÉGANCE D'ATTITUDE ET TRÈS ACHEVÉS », sur www.librairieherodote.com (consulté le ).
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- « Aucun autre périodique ne peut être comparé à celui-là pour l'abondance et la précision des renseignements. » Charles Marc Des Granges, La Presse littéraire sous la Restauration, Paris, Mercure de France, , 2e éd., 386 p. (lire en ligne), p. 82.
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