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Cultures de Qujialing et Shijiahe

Les cultures de Qujialing (汈柶ć¶șæ–‡ćŒ–, hanyu pinyin QĆ«jiālǐng WĂ©nhuĂ ) (3400-2500 av. J.-C.) et Shijiahe (çŸłćź¶æČłæ–‡ćŒ–, hanyu pinyin ShĂ­jiāhĂ© WĂ©nhuĂ ) (2500-2000 av. J.-C.) sont plus prĂ©cisĂ©ment les deux sites principaux correspondant Ă  deux Ă©poques, qui se recoupent partiellement, mais relevant d'une seule culture : Quijialing-Shijiahe, au cours du NĂ©olithique final en Chine, et elle est centrĂ©e sur le Hubei. Ce sont deux sites voisins dans l’espace, Ă  17 km l'un de l'autre, sur le moyen Yangzi, quoique sĂ©parĂ©s dans le temps, et reprĂ©sentatifs d’un ensemble qui s’est Ă©tendu sur une trĂšs vaste surface. Elles ont Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©es par une autre culture, du NĂ©olithique ancien : la culture de Daxi, qui s’était Ă©tendue sur une zone moins vaste et plus Ă  l’Ouest.

Localisation, datation, historique des dĂ©couvertes et relation Ă  l’environnement

Les cultures du néolithique final en Chine

Les premiers indices de la culture de Quijialing-Shijiahe ont tout d'abord Ă©tĂ© identifiĂ©s sĂ©parĂ©ment, comme deux cultures bien diffĂ©rentes, dans le milieu des annĂ©es 1950, mais en 2013 ils sont associĂ©s comme deux moments d'une mĂȘme culture, sur des sites peu Ă©loignĂ©s[1]. Le site initial de Qujialing, la phase la plus ancienne, a Ă©tĂ© dĂ©couvert dans le xian de Jingshan, au Hubei. Le site initial de Shijiahe a Ă©tĂ© dĂ©couvert dans le xian de Tianmen, au Hubei aussi. Les premiĂšres fouilles ont eu lieu de 1955 Ă  1957.

PĂ©riode : les phases initiale et finale de Quijialing ainsi que les phases initiale, moyenne et finale de Shijiahe sont situables autour de 3000-2100 pour certains auteurs[2] qui interprĂštent les indices antĂ©rieurs comme devant ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme la phase ultime (3400-3000) de la culture de Daxi.

Le site de Qujialing se trouve dans les plaines de Jianghan [3], une rĂ©gion du moyen Yangzi, entre les monts Dabie Ă  l’Ouest, le lac Dongting au Nord et la rĂ©gion des Trois Gorges Ă  l’Est et le bassin de Nanyang au Sud. La majoritĂ© des sites se trouve au Nord du Yangzi, entre les villes modernes de Yichang et Wuhan, et au Sud-ouest de cette zone, sur le cĂŽtĂ© sud du fleuve Yangzi, jusqu'au pied des monts. Mais ce sont tous des sites de plaine : le dĂ©veloppement de l'agriculture Ă  la fin du NĂ©olithique nĂ©cessitait des zones faciles Ă  travailler entre les petites collines et les plaines[2]. Et le Yangzi permettait les Ă©changes. Dans ces temps reculĂ©s la rĂ©gion Ă©tait couverte de zones humides, riviĂšres, lacs et marais, pour cette raison les sites sont tous sur des zones surĂ©levĂ©es par rapport Ă  la plaine environnante.

Quant aux berges des lacs, l'exemple du lac Dongting qui a Ă©tĂ© rĂ©cemment trĂšs endiguĂ© afin d'augmenter les zones cultivables, elles ont rĂ©vĂ©lĂ© par les fouilles qui y ont Ă©tĂ© effectuĂ©es des signes d'implantations qui remontent Ă  la culture de Pengtoushan et Ă  celle de Daxi, des constructions sur pilotis au bord du lac. Le contexte vĂ©gĂ©tal se composait de forĂȘts d'arbres Ă  feuilles caduques et persistantes de type subtropical. Certaines algues indiquent que ces zones Ă©taient submersibles. C'Ă©tait un climat chaud et humide[4]. AprĂšs quoi il fit plus sec, le paysage se couvrit de prairies et de broussailles; l'activitĂ© humaine dĂ©crut en consĂ©quence.

Alimentation

Dans cette rĂ©gion l'implantation des pratiques agricoles est ancienne[5]: sur certains sites de la culture de Daxi on a dĂ©couvert des traces de riziĂšres et d'une culture extensive du riz. Les premiĂšres cultures du riz sont uniquement obtenues par drainage[6]. Ce n'est qu'avec le troisiĂšme millĂ©naire qu'apparaissent les premiĂšres riziĂšres irriguĂ©es. On a mĂȘme trouvĂ© sur le site de Chengtoushan cette forme de culture irriguĂ©e, avec ses rĂ©servoirs ! Dans celle de Qujialing-Shijiahe, ce sont des balles de riz et la trace des grains eux-mĂȘmes. Des grains de riz Oryza sativa (le riz asiatique) et des grains de millet Setaria italica (Millet des oiseaux) Ă©taient cultivĂ©s. On trouve aussi le Panicum miliaceum (Millet commun), des lĂ©gumes, des amaranthes et des plantes qui sont aujourd’hui considĂ©rĂ©s comme des mauvaises herbes diverses et variĂ©es.

L'émergence de nombreuses petites villes enceintes associées les unes aux autres

De nets changements dans les taux de population s'opĂšrent avec l'apparition de cette culture: on assiste Ă  une expansion des installations de grande taille de forme plus ou moins circulaire[4] et leur nombre pourrait avoir, localement, quadruplĂ©[7] tandis que leur taille allait quintupler ou sextupler jusqu’à la phase moyenne de Shijiahe, aprĂšs quoi on assiste Ă  une dĂ©croissance considĂ©rable, en dessous du niveau de ce qu’il Ă©tait Ă  l’époque Daxi.

Les sites prĂ©sentent de fortes affinitĂ©s par groupes associĂ©s (peut-ou parler de petites communautĂ©s ?), et certains lieux –au moins huit, actuellement dĂ©couverts- Ă©taient entourĂ©s d’une enceinte de terre, ou d'un rempart et n'ont cessĂ© de s'Ă©tendre jusqu'Ă  la phase moyenne de Shijiahe. Tous ne se dĂ©veloppĂšrent pas pendant cette pĂ©riode. Alors que l'un des plus grands sites de la culture de Daxi, Chengtoushan, ne dĂ©passait pas 6-8 ha ce mĂȘme site, pendant la pĂ©riode Qujialing, ne dĂ©passait toujours pas les 8 ha . Mais les autres sites furent en gĂ©nĂ©ral nouvellement crĂ©Ă©s et purent s'Ă©tendre: pour ne citer que les plus grands, Qujialing atteignit 263 ha et Shijiahe 800 ha[8]. Les enceintes peuvent s'expliquer en tant que dĂ©fense[9] et comme cette Ă©poque correspond Ă  l'Ă©mergence des États, dont les Shang, et Ă  de probables rivalitĂ©s entre citĂ©s si l'on se rĂ©fĂšre au nombre important de villes entourĂ©es de fossĂ©s emplis d'eau. D'ailleurs on a trouvĂ© sur un site du complexe de Shijiahe, Ă  Xiaojia Wuji, l'image d'un guerrier tenant une hache d'arme de type yue. Et l'Ă©mergence de grandes communautĂ©s pourrait ĂȘtre attribuĂ©e Ă  ces tensions entre groupes, liĂ©es aussi Ă  une pression croissante sur les ressources due Ă  l'accroissement de la population, et la rĂ©organisation des structures communautaires en aurait Ă©tĂ© la consĂ©quence.

Les sites de Qujialing et Shijiahe

Sur le site de Qujialing le mur n'a pas Ă©tĂ© identifiĂ©, bien que le fossĂ© soit consĂ©quent. Une zone urbaine centrale de 70 ha est enclose d'un fossĂ© de 25-30 m de large sur m. de profondeur. Autour de ce centre il y a dix autres zones rĂ©sidentielles et des traces d'habitations au-delĂ  du fossĂ©[10].

Le complexe de Shijiahe se prĂ©sente comme une quarantaine de sites dispersĂ©s sur des terrasses sur km2, entre deux riviĂšres. Mais avec la « forme presque parfaite d'un carrĂ© d'un kilomĂštre de cĂŽtĂ© c'est la plus grande agglomĂ©ration de ce genre que l'on ait dĂ©couverte en Chine Ă  ce jour » (2002)[11]. C’était un petit village Ă  l’époque de Daxi, puis un grand ensemble protĂ©gĂ© d’une enceinte Ă  la fin de l’époque Quijialing, et qui fut abandonnĂ© Ă  la fin de la pĂ©riode Shijiahe. Avec le groupe de villages associĂ©s on arrive Ă  120 ha, Ă  l’intĂ©rieur d’un ensemble de protections [7]. Ces terrasses sont toutes protĂ©gĂ©es par des sections de murs de terre, derriĂšre lesquelles un second mur plus petit est protĂ©gĂ© par un fossĂ© qui peut atteindre les 100 m. de large ! L’ensemble, entre les riviĂšres est plus haut au Nord-ouest et les ouvertures dans la premiĂšre enceinte permettent de laisser Ă©couler le surplus d’eau en cas d’inondation du fossĂ© en direction du Sud-est, plus bas, vers ce qui Ă©tait autrefois un lac. Il y avait donc des inondations Ă  contrĂŽler dans cette rĂ©gion depuis la riviĂšre Han mais aussi avec les deux cours d’eau proches. En 1935, l’inondation a touchĂ© 1 570 km2 dans cette rĂ©gion.

Les maisons de Shijiahe ont plusieurs structures simples [12]: la maison de forme semblable au signe āo (ć‡č) Ă  Xiaojia Wuji et Luojia Bailing (Shijiahe), la cour fermĂ©e Ă  Mengbanwan, la construction imbriquĂ©e Ă  Chengtoushan, oĂč la cour donne sur trois ou quatre bĂątisses, plutĂŽt que sur un seul bĂątiment. Chaque groupe de ce type contient trois ou quatre bĂątiments isolĂ©s, et chacun possĂšde deux Ă  quatre rangĂ©es de piĂšces. Si Ă  chaque piĂšce correspond deux ou trois personnes, la cour typique contient entre 20 et 30 personnes. Ce qui correspond Ă  l'unitĂ© de base minimale du groupe social dans ces communautĂ©s. Mais des maisons Ă  la surface bien plus grande sont des indices de bĂątiments destinĂ©s Ă  des personnes « spĂ©ciales » qui vivaient Ă  l'intĂ©rieur de la partie enclose ou destinĂ©s Ă  des usages « spĂ©ciaux ». Et ce dispositif se retrouve partout ailleurs dans les installations, mĂȘme les plus petites. On peut imaginer que les habitants de ces unitĂ©s centrĂ©es sur une cour faisaient partie de la mĂȘme famille Ă©largie ou du mĂȘme clan. Et la sociĂ©tĂ© de Quijialing-Shijiahe ressemble, pour rĂ©sumer, Ă  une confĂ©dĂ©ration de clans. Les cimetiĂšres associĂ©s Ă  ces cours contenaient une vingtaine de tombes.

Pratiques artisanales, funéraires et symboliques (?)

Objet de céramique sacrificielle tubulaire, sans rapport tout type d'objet rituel ultérieur[N 1]. Dengjiawan, Tianmen

Plusieurs lieux semblent avoir eu des fonctions diffĂ©renciĂ©es. Certains spĂ©cialisĂ©s dans une production artisanale. Le plus Ă©trange Ă©tait dans l’un d’entre eux, Ă  Dengjiawan, au sein d’une zone essentielle : dix-sept fosses contenaient dans des scories dix mille petites figurines d’argile[13] de 5 Ă  10 cm de haut. On y trouve des reprĂ©sentations simples, mais bien caractĂ©risĂ©es, d’oiseaux, de poules, de chiens, de moutons, de tortues, de porcs, d’élĂ©phants, de tigres et des ĂȘtres humains dont l’un au moins porte un poisson, d'autres sont en position de danse. Le consensus actuel (2013) en fait des objets Ă  destination religieuse. Des figurines animales de Shijiahe ont Ă©tĂ© trouvĂ©es au Hubei et au Hunan, ainsi que des oiseaux Ă  longues queues au Henan central. Dans un autre site, ce sont des milliers de poteries rouges, des coupes, suggĂ©rant un atelier de potier. Ailleurs ce sont des espĂšces de forets qui font penser Ă  un site de travail du jade ou de la pierre. Certaines fosses d’inhumation contenaient jusqu’à plus de 100 poteries du mĂȘme modĂšle, suggĂ©rant la tombe d’un potier. Enfin un grand nombre de petits cimetiĂšres d'une vingtaine de tombes prĂšs d'une maison (Ă  Xiao Wuji) semblent correspondre Ă  un cimetiĂšre privĂ©, familial[14]. Les tout petits cimetiĂšres peuvent correspondre Ă  de petits groupes vivant en dehors de la ville, Ă  proximitĂ©.

Les cĂ©ramiques propres Ă  la culture de Qujialing [15] reprennent les pratiques ancestrales de la culture de Daxi en incluant des pratiques de Yangshao et de Dawenkou. La pratique la plus novatrice dĂšs les dĂ©buts consista Ă  introduire une vaisselle de moyenne et petite taille, des bols (de type wan), des plats (de type dou) et des jarres (de type guan) montĂ©es au tour [wheel-thrown] : Ă  une demande plus grande correspondrait alors une productivitĂ© croissante et des potiers spĂ©cialisĂ©s[5]. La pratique de l'urne funĂ©raire Ă©tait courante [16]. Ces urnes Ă©taient de formes diffĂ©rentes, et on trouve une grande variĂ©tĂ© de vaisselles d'accompagnement du mort, comme des coupes (de type bei). Les offrandes pouvaient ĂȘtre d'une autre nature qui ne s'est pas conservĂ©e et certaines tombes n'en comportent donc aucune trace, mais certains dĂ©pĂŽts funĂ©raires pouvaient atteindre 20 cĂ©ramiques et plus. On y a mĂȘme trouvĂ© de la vaisselle laquĂ©e en rouge et jaune dans des tombes de Dengjiawan (Shijiahe, au cƓur de la ville) et quelques menus objets de cuivre, qui sont les premiers objets de ce mĂ©tal trouvĂ©s si bas au Sud de la Chine [17].

Durant la phase ultime de Shijiahe (v. 2200-2000) l’usage est celui des urnes funĂ©raires et des dĂ©pĂŽts funĂ©raires d’objets de jade. Dans un site les tombes peuvent ne contenir aucun objet de jade mais cela peut aller jusqu’à plusieurs douzaines, et la plus riche en contient cinquante-six[7] et de nombreuses poteries, dont des jarres (de type guan) qui peuvent aller jusqu'Ă  99 piĂšces dans la tombe d'un adulte mĂąle [14]. La mĂȘme matiĂšre brute et l’aspect semi-fini laisse Ă  penser qu’il s’agit d’une production locale. Le jade est utilisĂ© pour des figures anthropomorphes schĂ©matiques, comme portant un bandeau torsadĂ©, d’autres figures monstrueuses montrent des canines saillantes et des anneaux d’oreille. Mais on trouve aussi des tubes cong, des oiseaux, des dragons, des cigales et des phƓnix, des objets de parure. Nombre de ces formes sont comparables Ă  celles de la culture de Liangzhu et la composition du groupe de sites de Shijiahe a bien des similitudes avec le site de Mojiaoshan dans la culture de Liangzhu.

Disparition

Vers 2000 les grands murs ne sont plus entretenus, et, à la différence de la culture de Liangzhu qui disparaßt soudainement, ici la population décroßt considérablement. Parfois on trouve localement, des signes caractéristiques de la culture de Longshan, dans la plaine centrale[18].

La culture de Baodun (2500-1700)

RĂ©cemment[19], dĂ©couverte dans le bassin de Chengdu et aux environs de petites collines. Au cƓur de cet ensemble de sites : plusieurs installations enceintes d’un mur le long de la riviĂšre Min, entre 10 et 60 ha L’organisation de l’habitat semble dĂ©terminĂ©e par la rĂ©currence des inondations. Sur deux sites, Baodun et Guchengcun, les fouilles ont mis au jour les fondations d’une architecture publique de grande taille au centre du complexe. Mais il est trop tĂŽt pour en dĂ©duire des faits de sociĂ©tĂ©, aucun signe d’inĂ©galitĂ© sociale n’a Ă©tĂ© actuellement identifiĂ©. Les moyens d’alimentation sont variĂ©s : agriculture, chasse et pĂȘche, s’il faut s’en remettre aux seuls instruments trouvĂ©s sur place.

Objets caractéristiques

Culture de Qujialing

  • Personne enterrĂ©e avec la vaisselle funĂ©raire. DĂ©couverte Ă  Luoshishan, Huanggang.
    Personne enterrée avec la vaisselle funéraire. Découverte à Luoshishan, Huanggang[N 1].
  • Poterie noire de la culture de Qujialing (divers sites) et haches d'arme de pierre polie (lesquelles ont Ă©tĂ© trouvĂ©es sur le cimetiĂšre de Qujiapo) .
    Poterie noire de la culture de Qujialing (divers sites) et haches d'arme de pierre polie (lesquelles ont été trouvées sur le cimetiÚre de Qujiapo) [N 1].
  • Ensemble de vaisselle funĂ©raire en cĂ©ramique .
    Ensemble de vaisselle funéraire en céramique [N 1].

Culture de Shijiahe

  • Culture de Shijiahe. Figurines d’argile: un ours et un singe.
    Culture de Shijiahe. Figurines d’argile: un ours et un singe[N 1].
  • Figurines d’argile: un chien apportant un poisson (?) et une poule.
    Figurines d’argile: un chien apportant un poisson (?) et une poule[N 1].
  • Figurines d’argile: une tortue et un porc.
    Figurines d’argile: une tortue et un porc[N 1].
  • Figurines d’argile: deux Ă©lĂ©phants.. H. 6,8,.
    Figurines d’argile: deux Ă©lĂ©phants.. H. 6,8[20] - [N 1].
  • Figurines d’argile: deux humains, dont l’un, assis Ă  terre jambes croisĂ©es, porte un poisson, comme pour l’offrir. H. 9,5 cm,.
    Figurines d’argile: deux humains, dont l’un, assis Ă  terre jambes croisĂ©es, porte un poisson, comme pour l’offrir. H. 9,5 cm[20] - [N 1].

Notes

  1. Ă  l’occasion de l’exposition Paleolithic, Neolithic & Shang, MusĂ©e Provincial du Hubei, Wuhan

Références

  1. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 510
  2. ZHANG Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 511
  3. Li Liu and Xingcan Chen 2012, p. 242
  4. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 512
  5. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 523
  6. (en) « Phytoliths and rice: from wet to dry and back again in the Neolithic Lower Yangtze », sur Antiquity, (consulté le ).
  7. Li Liu and Xingcan Chen 2012, p. 243
  8. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 513
  9. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 530
  10. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 515
  11. Liu Xujie in Nancy S. Steihardt 2005, p. 16 : Liu Xujie enseigne l'architecture à l'Université Tsinghua, à Pékin, et directeur adjoint de la Société de recherches sur les monuments anciens de la Chine (3e de couverture).
  12. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 522
  13. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 525
  14. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 528
  15. Chinese Ceramics. 2010, p. 79-80
  16. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 527
  17. Zhang Chi in : Anne P. Underhill 2013, p. 524
  18. Li Liu and Xingcan Chen 2012, p. 246
  19. Li Liu and Xingcan Chen 2012, p. 246, qui cite des auteurs de 2003, 2005 et 2010.
  20. Gabriele Fahr-Becker 1999, p. 25

Bibliographie

  • Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article Corinne Debaine-Francfort, La redĂ©couverte de la Chine ancienne, Paris, Gallimard, coll. « DĂ©couvertes Gallimard / ArchĂ©ologie » (no 360), , 159 p. (ISBN 2-07-053352-2). Autres tirages : 2001, 2003, 2005. (ISBN 978-2-07-039173-8) en 2008. Mais pas un mot sur Qujialing-Shijiahe.
  • (en) Sarah Allan, The Formation of Chinese Civilization : An Archaeological Perspective, Yale University Press, , 363 p. (ISBN 978-0-300-09382-7, lire en ligne) Yale University Press
  • Gabriele Fahr-Becker (dir.), Les Arts de l'Asie orientale. Tome 1, Cologne, Könemann, , 406 p. (ISBN 3-8290-1743-X). Page 25
  • Nancy S. Steihardt (dir.) (trad. de l'anglais), L’architecture chinoise, Arles, Philippe Picquier, , 368 p. (ISBN 2-87730-789-1). Liu Xujie : Les origines de l’architecture chinoise, p. 11-19. Éd. orig. : Yale Univ. Press 2002
  • Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article He Li (trad. de l'anglais), La CĂ©ramique chinoise, Paris, Éditions de l'amateur / L'aventurine, , 352 p. (ISBN 978-2-85917-246-6 et 2-85917-246-7). id. : He Li, La CĂ©ramique chinoise, Paris, Thames & Hudson, , 352 p. (ISBN 2-87811-270-9).
  • Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article (en) Li Liu et Xingcan Chen, The Archaeology of China : From the Late Paleolithic to the Early Bronze Age, Cambridge et New York, Cambridge University Press, , 330 p. (ISBN 978-0-521-81184-2) 24 cm, noir et blanc.
  • Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article (en) Li Liu, The Chinese Neolithic : Trajectories to Early States, Cambridge et New York, Cambridge University Press, , 498 p. (ISBN 978-0-521-64432-7) brochĂ© 24 cm, noir et blanc. Texte basĂ© sur la thĂšse de l'auteur consacrĂ©e Ă  la culture de Longshan, et mise Ă  jour avant 2004.
  • (en) Li Zhiyan, Virginia L. Bower and He Li (dir.), Chinese Ceramics : From the Paleolithic Period to the Qing Dynasty, Cambridge et New York, Yale University and Foreign Langage Press, , 687 p. (ISBN 978-0-300-11278-8) 31 cm. Et sur la cĂ©ramique de Qujialing p. 79-81.
  • (en) Anne P. Underhill (dir.), A companion to Chinese archaeology, Chichester, West Sussex ; Malden (Mass.), Wiley-Blackwell, , 640 p. (ISBN 978-1-4443-3529-3) 26 cm , noir et blanc : ZHANG Chi The Qujialing-Shijiahe Culture in the Midlle Yangzi River Valley, p. 510-534.

Voir aussi

Articles connexes

Généralités :
Époque antĂ©rieure : Premier NĂ©olithique durant l'HolocĂšne moyen (7000-5000 AEC)
  • « PrĂ©-Daxi » : Culture de Pengtoushan-Bashidang (v. 7000-5800) , suivi de la culture du bas Zaoshi (v. 5800-5500)
  • « PrĂ©-Hemudu » : Xiaohuangshan (v. 7000-6000) et Kuahuqiao (v. 6000-5000
  • 5500-4500 : « prĂ©-Yangshao » : cultures de Laoguantai (avec Baijia-Dadiwan I) (v. 6000-5000) et de Peiligang-Cishan : Peiligang (v. 7000-5000), Cishan-Beifudi (vers 6500-5000)
  • Culture de Houli (v. 6500-5500)
  • Xinglongwa (6200 – 5200)
Époque nĂ©olithique prĂ©cĂ©dente : nĂ©olithique moyen , vers 5500-2900
Époque nĂ©olithique concernĂ©e : nĂ©olithique rĂ©cent et final, vers 3400-1900
Époque suivante : NĂ©olithique final et transition vers l’Âge du bronze, vers 2200-1400

Liens externes

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