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Cropus

Cropus est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Cropus
Cropus
Carte postale de l'école vers 1930.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes Terroir de Caux
Maire
Mandat
Denis Quesnay
2020-2026
Code postal 76720
Code commune 76204
Démographie
Gentilé Cropusiens
Population
municipale
258 hab. (2020 en augmentation de 3,61 % par rapport à 2014)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 27″ nord, 1° 08′ 52″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 162 m
Superficie 4,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâtel-en-Bray
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Cropus
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Cropus
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Cropus

    Géographie

    Localisation

    Cropus est un village rural normand située dans le pays de Caux situé à 33 km au nord de Rouen, 21 km au sud de Dieppe et de la Manche.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 870 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[7] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Cropus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), prairies (4 %), forêts (4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Croppwiz, Croppwit au XIIe siècle[21], Cropuiz fin du XIIe siècle (Arch. S.-M. 56 H), Croppus en 1380 (Arch. S.-M. 24 H, Rôle de Longueville), Cropus en 1460 (Arch. S.-M. G 9437-3269)[22].

    Histoire

    Le village est bâti sur le tracé de l'ancienne voie romaine reliant Rouen à Dieppe[23].

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, le village a subi des bombardements le et le [24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Bellencombre[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Cropus est désormais rattaché au canton de Neufchâtel-en-Bray.

    Intercommunalité

    Cropus était membre de la communauté de communes du Bosc d'Eawy, créée en 2002. Mécontente de ce rattachement, elle tente, initialement sans succès, de quitter cette intercommunalité[26] - [27].

    Dans le cadre des prescriptions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrit, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), le territoire de cette intercommunalité est rattaché à plusieurs de ses voisines, et Cropus est, depuis le , membre de la communauté de communes Terroir de Caux[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1904 1919 Albert Bimont
    1919 1943 Jacques du Luart[29] FR-URD Comte
    Député de la Seine-Inférieure (1932 → 1940)
    Conseiller général de Bellencombre (1931 → 1939)
    Conseiller d'arrondissement (1927 → 1931)
    1944 1958 André Leroux
    1959 1997 Gérard Leroux
    1997 En cours
    (au 6 mars 2020[30])
    Denis Quesnay DVD Agriculteur

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 258 habitants[Note 8], en augmentation de 3,61 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    282306308292314313308290304
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    273274270257253258273277271
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    274254249220237209235174222
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    228247201176220214225226249
    2017 2020 - - - - - - -
    249258-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Carte postale du château de Chamacourt vers 1920.
    • Église Saint-Jean[34], construite en 1786[23].
    • Édifice disparu : le château de Chamacourt, détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.
      Le fief de Chamacourt, situé à Cropus et Heugleville-sur-Scie, La Corbière, était, depuis 1676, la possession de la famille Couture[35].
      En 1766, Marie Couture, veuve de Nicolas Baudry, seigneur d'Imbleville, vend Chamacourt à Antoine Augustin Thomas du Fossé, seigneur de Bosmelet, auquel succède son fils, Pierre Augustin Thomas de Chamacourt[36] (1767-1819). La fille de celui-ci, Gabrielle Maximilienne Thomas de Chamacourt, épouse Louis Barbin de Broyes. Tous deux laissent pour héritière Jacqueline Gabrielle Maximilienne Barbin de Broyes (1824-1907), mariée en 1848 avec Jacques Armand Henri Guyon de Guercheville. Celle dernière laisse pour successeur à Chamacourt son petit-fils, le comte Jacques du Luart (1881-1950), maire de Cropus de 1925 à 1940, conseiller-général et député de la Seine-Inférieure.
      L'aspect du château de Chamacourt est connu par des cartes postales anciennes. Chaque façade, construite en brique et pierre, comportait neuf travées sur deux niveaux, les deux travées sur chaque extrémité formant une aile légèrement saillante. La travée centrale était seulement marquée par la plus grande largeur de la porte d'entrée, en plein cintre. L'ensemble était surmonté d'un comble à la française. La façade postérieure comportait trois petits frontons à la base du toit. Le château se trouvait au fond d'une ample avenue, plantée d'arbres. Il a été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Héraldique

    Blason de Cropus Blason
    D'azur à l'agneau pascal couché d'argent portant une croix haute d'or à l'oriflamme d'argent chargé d'une croisette de gueules; au chef de gueules chargé à dextre de deux léopards d'or armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l 'autre et à senestre de trois abeilles d'or, 2 et 1[37].
    Détails
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (chef de gueules sur azur).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Cropus », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cropus et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cropus et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 1019.
    22. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 299.
    23. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 11, lire en ligne sur Gallica.
    24. Norbert Dufour et Christian Doré, L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295 p. (ISBN 2-86743-179-4), p. 102.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Raphaël Tual, « Bracquetuit, Cressy, Cropus : le divorce : Une décision surprise, mais pas surprenante : le village de Braquetuit décide de quitter le Pays de Bray. Il devrait être suivi de Cressy et de Cropus. », Le Réveil,‎ (lire en ligne).
    27. Raphaël Tual, « Bracquetuit et Cropus, contraintes de rester au Bosc d'Eawy : Elles souhaitaient quitter la com' com' du Bosc d'Eawy et donc le pays de Bray, mais finalement ce n'est pas possible. Bracquetuit et Cropus devront rester », Le Réveil,‎ (lire en ligne).
    28. Anaïs Grammatico, « Vœux du maire. Un regroupement, pas une fusion des communes : Le maire de Cropus, Denis Quesnay, a présenté ses vœux à la population vendredi 13 janvier », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Jacques, Louis, Jean, Robert du Luart (1881 - 1950) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    30. « Municipales 2020 : Denis Quesnay brigue un 5e mandat à Cropus : Denis Quesnay,maire sortant, est tête de liste pour les élections municipales. Il brigue un 5e mandat à la tête de la commune. », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Entré au conseil municipal en 1977 et élu maire en 1995, Denis Quesnay brigue un 5e mandat à Cropus (Seine-Maritime) ».
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Église Saint Jean », sur https://www.patrimoine-religieux.fr (consulté le ).
    35. Dieudonné Dergny, Les Epaves du passé, arrondissement de Dieppe, rééd. Gérard Monfort, , 292 p., p. 136.
    36. Dieudonné Dergny, Les Epaves du passé, arrondissement de Dieppe, rééd. Gérard Monfort, , 292 p., p. 159.
    37. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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