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Croix-Mare

Croix-Mare (parfois encore Croixmare) est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Croix-Mare
Croix-Mare
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes Yvetot Normandie
Maire
Mandat
Éric Carpentier
2020-2026
Code postal 76190
Code commune 76203
DĂ©mographie
Gentilé Croixmariens, Croixmariennes
Population
municipale
733 hab. (2020 en diminution de 6,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 85 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 36â€Č 10″ nord, 0° 51â€Č 05″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 157 m
Superficie 8,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Notre-Dame-de-Bondeville
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Croix-Mare
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Croix-Mare
Liens
Site web croixmare.fr

    GĂ©ographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 946 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 933,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  35 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Croix-Mare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (81,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), forĂȘts (14,7 %), prairies (12,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,4 %), zones urbanisĂ©es (4,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Cruiz mara vers 1050[21], Croismare en 1084[22]; Croixmare en 1757; Croixmare et Croix-Mare en 1953.

    Elle signifie « la mare de la croix »[23]. Avant le XVIe siÚcle, l'emploi du mot mare était limité à la Normandie. Il s'agit d'un terme d'origine norroise marr (masc.), croisé avec le vieil anglais mere (fem. « étang, lac »).

    En 1767, Louis XV a érigé une paroisse de Lorraine en marquisat pour Louis-EugÚne de Croismare (frÚre de Marc-Antoine-Nicolas de Croismare, marquis de Lasson) et qui s'appelle Croismare, avec l'ancienne graphie, depuis lors.

    Lieu Val au Cesne (Val au Sesne 1477), signifie la « Vallée de Le Cesne », nom de personne, ou la « vallée du Saxon ». En effet, le mot Cesne est une mauvaise graphie pour Sesne, d'un ancien Saisne « Saxon » attesté dans La Chanson de Roland, texte rédigé dans une scripta normande. Ainsi, on y lit au vers 3795 : « Baivier e Saisne sunt alet à cunseill, e Peitevin e Norman e Franceis; asez i as Alemans e Tiedeis » (Bavarois et Saxons sont entrés en conseil, avec les Poitevins, les Normands et les Français. Les Allemands et les Thiois sont en nombre).

    Le patronyme Lecesne avec d'autres variantes graphiques est typiquement normand[24].

    Histoire

    Village au cƓur du Pays de Caux qui s'est dĂ©veloppĂ© Ă  la jonction de deux axes importants :

    La Grande Route reliant le Havre à Rouen puis Paris, devenue route nationale puis maintenant route départementale et la route reliant la Seine à Duclair vers la mer à Saint-Valéry-en-Caux.

    Une occupation dÚs l'époque gallo-romaine est évoquée, mais peu ou pas d'information sur la constitution de la commune avant le VIIe siÚcle.

    Au fil des siÚcles, le village se développe autour de l'église et du bourg et de ses nombreux hameaux : Hameau en Caux, le Mouchel, le Val au Cesne, Hameau Yvelin, la Forge, le Bois de Sap, le Bosc Hérisson. Hameaux souvent nés autour de fermes ayant pour certaines donné leur nom au hameau. Lors des promenades, on peut découvrir les singularités de chacun d'entre eux.

    L'Ă©tendue de son territoire rĂ©parti entre le plateau et la vallĂ©e du Val au Cesne fait ressortir les charmes de la commune Ă  travers d'anciens corps de ferme aux beaux logis situĂ©s au fond des hameaux, des hĂȘtraies, la mare Gainnemare, le Val au Cesne.

    C'est au début du XIXe siÚcle que la commune a connu sa plus forte croissance avec une multitude d'activités commerciales locales qui ont maintenant disparu.

    Malgré tout, Croixmare garde sa part d'identité commerciale probablement liée à sa situation géographique.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1933 mars 1971 M. Rousselet
    mars 1971 2014[25] Étienne Rousselet Fils du prĂ©cĂ©dent
    2014 En cours
    (au 10 août 2020)
    Éric Carpentier RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[26] - [27]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 733 habitants[Note 8], en diminution de 6,86 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    717799817839911950942907940
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    849820780739717652604561559
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    600549471401430444417447450
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    460459436508591590688684700
    2015 2020 - - - - - - -
    796733-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise

    Lieux et monuments

    Église Saint-Aubin.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • AndrĂ© Cornier, Croixmare, 2003

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Croix-Mare et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Croix-Mare et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestĂ©s entre 911 et 1066 (suite) », Annales de Normandie, no 3, 8e annĂ©e,‎ , p. 241 (ISSN 0003-4134, e-ISSN 2261-4427).
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et des anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    23. François de Beaurepaire, op. cit..
    24. RĂ©partition des Lecesne jusqu'en 1915.
    25. « Une page se tourne : CROIXMARE. Lors des vƓux, le maire Etienne Rousselet a annoncĂ© qu'il ne se reprĂ©senterait pas Ă  la tĂȘte de la commune », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le maire actuel Étienne Rousselet, rentrĂ© dans la vie communale en 1965 comme conseiller municipal, alors que son pĂšre Ă©tait maire depuis 1933, lui a succĂ©dĂ© Ă  la fonction de maire en 1971. AprĂšs quarante-trois ans Ă  la tĂȘte du village, Etienne Rousselet a annoncĂ© avec beaucoup d'Ă©motion qu'il ne se reprĂ©senterait pas ».
    26. « VƓux de Croixmare. Voeux : Eric Carpentier brigue un second mandat », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    27. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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