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Criquebeuf-sur-Seine

Criquebeuf-sur-Seine est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Criquebeuf-sur-Seine
Criquebeuf-sur-Seine
Le viaduc de Criquebeuf dans sa partie euroise.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Eure
Maire
Mandat
Jérémy Thirez
2020-2026
Code postal 27340
Code commune 27188
DĂ©mographie
Gentilé Criquebeuvien
Population
municipale
1 512 hab. (2020 en augmentation de 13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 103 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 18â€Č 23″ nord, 1° 05â€Č 54″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 124 m
Superficie 14,74 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pont-de-l'Arche
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située en limite de la rive gauche de la Seine.

    Hydrographie

    La commune est traversée par l'Eure, affluent de la Seine, dont elle est riveraine.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 765 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Louviers », sur la commune de Louviers, mise en service en 1960[9] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 723,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le dĂ©partement de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et Ă  12 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Criquebeuf-sur-Seine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (38,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (41,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (29,1 %), forĂȘts (28,8 %), mines, dĂ©charges et chantiers (10,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (9,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (8,8 %), zones urbanisĂ©es (5,4 %), prairies (5,1 %), eaux continentales[Note 8] (2,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Crichebof de super Sequanam (Fauroux 58)[23] ou Criquebot de supra Sequanam (cartulaire de Saint-Ouen)[24] en 1063; Crikboe en 1198 (charte de Richard CƓur de Lion); Criquebuef en 1277 (cartulaire de Bonport); Criquebotum en 1483; Cricquebuef en 1291 (livre des jurĂ©s de Saint-Ouen), Criquebotum en 1483[24].

    François de Beaurepaire s'appuyant sur les travaux de Marie Fauroux, Ă©crit -bof pour la forme la plus ancienne[23], alors qu’Ernest Poret lit -bot[24]. L'un et l'autre sont toutefois compatibles avec l'explication traditionnelle qui considĂšre que cet Ă©lĂ©ment reprĂ©sente le scandinave buth / both auquel on donne le sens de « maison, village Â»[23]. Il faut comprendre le vieux norrois bĂșĂ° cf. islandais bĂșĂ°, fĂ©roĂŻen bĂșĂ° et sa variante de l'est (vieux danois) bóð (cf. anglais booth). Ils peuvent avoir les sens aussi divers que « barraque, Ă©choppe, boutique, stand, cabine.. Â». François de Beaurepaire propose le sens de « village Â»[23] qui en rĂ©alitĂ© ne semble pas attestĂ©, mais qui a pu s'affirmer en Normandie sous l'influence de l'ancien scandinave bĂœr « Ă©tablissement > village Â» (toponymes en -by au Danemark et en Grande-Bretagne). Il compare en effet les noms en -beuf avec les noms de lieux en -by d'Angleterre : Kirkby, Kirby / Criquebeuf; Welby / Elbeuf (anciennement Welle-); Dalby / Daubeuf (anciennement Dal-)[23].

    Le premier Ă©lĂ©ment Crique- reprĂ©sente l'ancien scandinave kirkja « Ă©glise Â» (cf. islandais kirkja, mĂȘme sens) dĂ©jĂ  reconnu dans les Criquetot et les Kirkby britanniques[23].

    Le dĂ©terminant complĂ©mentaire sur-Seine apparaĂźt sous la forme latinisĂ©e d'un copiste dĂšs la forme la plus ancienne, super Sequanam et permet de faire la distinction d'avec Criquebeuf-la-Campagne situĂ©e seulement Ă  une quinzaine de km et dont le dĂ©terminant se note plus tardivement. Il n'est cependant pas sĂ»r que les deux toponymes aient exactement la mĂȘme Ă©tymologie, Ă©tant donnĂ© les divergences dans les formes anciennes.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1792 1794 Alexandre de la Folie
    mars 1989 mars 2020 Thierry DELAMARE UDF puis MODEM puis LREM Retraité
    mars 2020 En cours Jérémy THIREZ SE Fonctionnaire d'Etat
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 1 512 habitants[Note 9], en augmentation de 13 % par rapport Ă  2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9509509601 0451 2021 2341 2121 2441 263
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2211 2181 2261 1431 1331 1811 1361 0791 041
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 045987980795793782750763817
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9069549561 0449701 0361 1231 1351 224
    2017 2020 - - - - - - -
    1 4491 512-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame[29], XIVe siĂšcle. Le diocĂšse catholique d'Évreux en est l'affectataire par l'intermĂ©diaire de la paroisse Saint-Pierre-des-Deux-Rives qui dessert cette Ă©glise.
    • Maison Riquier[30], 57 ruelle de la VicomtĂ© Logo monument historique Inscrit MH (1932).
    • PrieurĂ© de cisterciens Saint-Martin[31], pour mĂ©moire.
    • Viaduc de Criquebeuf et son Ă©changeur associĂ© reliant l'A13 et la RD 321.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Louviers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Criquebeuf-sur-Seine et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Louviers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Criquebeuf-sur-Seine et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 97
    24. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de l’Eure, Paris, , p. 67 (lire en ligne sur DicoTopo)
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Notice no IA00017943, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    30. « Maison Riquier », notice no PA00099380, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    31. Notice no IA00017944, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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