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Correns

Correns [kɔʁɑ̃s] est une commune française située en Pays de la Provence verte dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Correns
Correns
Vue de Correns.
Blason de Correns
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Nicole Rullan
2020-2026
Code postal 83570
Code commune 83045
Démographie
Population
municipale
902 hab. (2020 en augmentation de 2,5 % par rapport à 2014)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 16″ nord, 6° 04′ 42″ est
Altitude Min. 139 m
Max. 561 m
Superficie 37,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brignoles
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brignoles
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Correns
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Correns

    Géographie

    Localisation

    Correns est située dans le centre du Var au nord de Brignoles, à l'entrée des gorges de la Bagarède et du Vallon Sourn, sur les rives de l'Argens.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau traversant la commune[1] :

    Géologie et relief

    Du point de vue de la topographie, la commune de Correns est constituée d’un ensemble de plateaux et collines (dont les altitudes varient de 258 à 542 m), traversé par le cours d’eau de l’Argens. Le village, implanté en bordure de ce cours d’eau, se localise au centre de la commune[6].

    76 % du territoire de la commune de Correns est recouvert par la forêt[7].

    Climat

    Climat classé Csa dans la classification de Köppen et Geiger[8].

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité faible[9] - [10].

    Vue panoramique de Correns.

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte.

    Urbanisme

    Typologie

    Correns est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [11] - [12] - [13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brignoles, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14] - [15].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[16] - [17].

    Le Schéma de cohérence territoriale (SCoT) Provence Verte Verdon a été approuvé le . Il est applicable depuis le [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,5 %), cultures permanentes (19,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Économie

    Agriculture

    • L’agriculture biologique est très développée sur la commune[21]. On y compte un apiculteur, deux aviculteurs, un fromager, un maraicher, deux oléiculteurs, quatre viticulteurs labellisés « bio »[22]. La commune a choisi comme slogan : CORRENS « 1er Village BIO de France ». La viticulture garde la place principale dans les productions.
    • Coopérative vinicole dite Société coopérative agricole[23] - [24], moulin à huile, puis coopérative agricole (coopérative oléicole)[25].

    Tourisme

    Commerces

    • Commerces et services de proximité[27], et même une épicerie spécialisée[28].

    Toponymie

    Attestée sous la forme Correno en 920.

    L'étymologie la plus vraisemblable fait appel à la racine oronymique pré-indo-européenne kor une des variantes connues de kar (« pierre, rocher ») peut-être accompagnée ici du suffixe ligure -inc. Le village est dans un défilé aux parois abruptes.

    Histoire

    Blason

    Description : D'argent aux trois huchets d'azur[29].

    Préhistoire

    • Quelques vestiges découverts dans l'abri de Sous-Ville témoignent de l'occupation du site depuis la Préhistoire.
    • La butte qui domine l'Argens fut sans nul doute occupée à l'époque pré-romaine par un oppidum transformé en citadelle à l'époque gallo-romaine.

    Du temps des Romains

    • Quelques villae s'établissent à Saint-Marc et à Sous-Ville. La première agglomération médiévale s'installe au Xe siècle au pied du fort Gibron, ancienne résidence des abbés de Montmajour.

    Moyen Âge

    • À la suite d'une donation intervenue en l'année 920, Correns dépend de la puissante abbaye de Montmajour-les-Arles.
    • En 1011, Edelbergt de Châteaurenard et sa femme Mathilde fondent à Correns une nouvelle abbaye pour femmes.

    Le pape Serge IV accorda la même année des indulgences particulières à ceux qui assisteraient à la consécration de Notre-Dame de Correns, reprenant la tradition instaurée en 972 lors de la consécration de la première église. Depuis cette date, tous les vendredis , Correns fête son « Pardon ». À l'origine partielle, cette indulgence (catholicisme) devint plénière au XVIIe siècle, en vertu d'une bulle pontificale d'Urbain VII. Les péchés sont pardonnés à tous les fidèles qui pénètrent dans l'église par la « porte du Pardon », ouverte le par l'évêque de Toulon. Les cérémonies commencent la veille à 2 heures de l'après-midi et se terminent le lendemain de la fête à la même heure.

    La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l'Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté de Correns soutient les Duras jusqu’en 1386, puis change de camp pour rejoindre les Angevins grâce aux négociations patientes de Marie de Blois, veuve de Louis Ier et régente de leur fils Louis II. La reddition d'Aix a également pu jouer un rôle dans la volte-face de la communauté[30].

    Temps modernes

    Pendant les guerres de Religion, le chef protestant La Burlière s'était réfugié à Correns après avoir ravagé les terres du baron Humbert de Vins à Brignoles. À la tête de ses troupes, Hubert de Garde de Vins attaqua en 1578 Correns qui n'avait pas de remparts. La Burlière et ses hommes s'enfuirent pendant la nuit, mais ils furent rattrapés au moment où ils traversaient la forêt de châtaigniers : 400 protestants périrent dans la bataille.

    En 1613, alors que la commune ne comptait que 1 000 habitants, 53 235 fidèles vinrent en procession de toute la Provence, confesser leurs péchés aux 500 prêtres prévus pour l'occasion. De là vient le proverbe provençal « C'est le pardon de Correns » pour désigner de grands rassemblements populaires.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 juin 1995 Louis Soldner
    juin 1995 28 juin 2020 Michaël Latz PS
    28 juin 2020 en cours Nicole Rullan[31]

    Politique de développement durable

    La commune a engagé dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[32].

    Budget et fiscalité

    Les comptes 2010 à 2019 de la commune s’établissent comme suit[33] - [34] :

    Évolution financière en milliers d'€uros.
    Postes 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
    Produits de fonctionnement 1 648 1 080 1 343 1 154 1 035 1 076 1 106 1 129 1 140 1 170
    Charges de fonctionnement 1 628 975 1 028 1 051 1 043 1 019 1 033 1 072 1 075 1 078
    Ressources d’investissement 2 138 758 399 835 435 438 468 1 011 583 577
    Emplois d’investissement 2 003 1 444 627 564 422 421 540 569 960 806
    Dette 1 604 894 809 752 778 755 845 1 432 1 533 1 262
    Source : Ministère de l’Économie et des Finances[35]

    Fiscalité 2019

    • Taux d’imposition taxe d’habitation : 13,61 %
    • Taxe foncière sur propriétés bâties : 22,23 %
    • Taxe foncière sur les propriétés non bâties : 75,13 %
    • Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 %
    • Cotisation foncière des entreprises : 0 %
    • Montant total des dettes dues par la commune : 1 262 000 euros. Population légale : 915 habitants, soit 1380 euros par habitant.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 990 [36].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2020, la commune comptait 902 habitants[Note 3], en augmentation de 2,5 % par rapport à 2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5001 5691 4851 5331 5141 5161 5111 3141 335
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5281 2891 1531 1241 0831 008895808782
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    770652653577608625582472515
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    472462414521569661793867905
    2020 - - - - - - - -
    902--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[41] :

    • École maternelle,
    • École primaire,
    • Collèges à Brignoles,
    • Lycées à Brignoles.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[42] - [43]:

    • Médecins à Le Val, Cotignac, Carcès, Barjols.
    • Parmacies à Le Val, Cotignac, Carcès, Barjols.
    • Hôpitaux à Brignoles.

    Cultes

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux :

    • Église paroissiale Notre-Dame[45] : dans la nuit du , l'église s'écroula et fut reconstruite par Jean Pomet et Jean-Baptiste Franque, architectes avignonnais. Les travaux commencés en 1734 furent terminés en 1741. Le pape Clément XII autorisa pour la nouvelle église le transfert des indulgences accordées à l'ancienne. L'église est constituée d'une nef centrale à trois travées voûtées d'arêtes, flanquée de deux bas-côtés. L'abside renferme un maître-autel en bois doré baroque surmonté d'une Gloire entourée d'anges au-dessus d'un tabernacle sphérique. L'église est aujourd'hui confiée par l'évêque de Fréjus à la communauté Saint-Jean.
    • Les ruines de l'ancienne église d'Ascau[46] : à l'ouest du village. Il ne reste qu'un pan de mur de l'ancien prieuré construit au Xe siècle[47]. Le capitulaire de Sainte-Marie de Correns nous apprend que les moines possédaient au XIe siècle vingt églises en Provence et qu'ils installèrent en 1065 le système des droits de plantation de vignes dans leur juridiction.
    Dans les ruines du prieuré a été découverte une inscription latine, ainsi traduite : « sera damné quiconque transformera le prieuré en abbaye ».
    Église vieille-La-Murette[48].
    Cimetière de l'église vieille[49].
    • Le calvaire monumental : situé à 1 km au sud-ouest du village. Croix en fer forgé placée au sommet d'une dolomie.
    • Monument aux morts[50] : Conflits commémorés : Guerre franco-allemande de 1914-1918 - 1939-1945[51].

    Autres éléments de patrimoines :

    • Monuments place du Général-de-Gaulle[52] - [53] - [54].
    • Le vieux-village[55] : village « descendu » : l'ancien village occupait la butte qui domine l'Argens. On y remarque de belles maisons Renaissance, des passages voûtés, des rues en escaliers, et une inscription du XVIIIe siècle, rue des Coulets. Il existe aussi un vieux lavoir avec une fontaine de 1862, fontaine aux mascarons et un vieil ormeau sur la place de l'Église.
    • L'enceinte du village : quelques restes de courtines entourent le château[56].
    • La tour de l'Horloge : beffroi du XVIe siècle surmonté d'un campanile cylindrique XIXe siècle[57].
    • Le fort Gibron[58] : sur la butte qui domine l'Argens, vestiges d'un donjon (6,20 m x 9,30 m) en bel appareil construit à l'intérieur d'une courtine quadrangulaire (20,15 m x 24,35 m) et contre lequel s'appuie l'ancien logis des abbés de Montmajour[59]. La dénomination « Gibron » n'apparaît qu'au XVIIIe siècle (en provençal, gibre signifie givre, verglas).
    • Rochers, abris défensifs[60] et grottes de Bagarède[61] - [62].
    • Grotte de Sous-Ville[63] - [64].
    • La porte Saint-Germain : classée monument historique, XIIe siècle, à herse, donne accès au vieux village.
    D'après la légende, saint Germain se serait arrêté à Correns à son retour de Rome, devenant ainsi le patron du village.

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques Rozier, cinéaste de la Nouvelle Vague, auteur notamment d'« Adieu Philippine » et des « Naufragés de l'île de la Tortue », réalisa en 1956 son deuxième court métrage « Rentrée des Classes » dont l’action est située à Correns et l’interprétation assurée essentiellement par les enfants et les habitants du village. Film panthéiste, inspiré par Jean Renoir et Jean Vigo, il raconte l'école buissonnière d’un enfant du village, préférant l'immersion dans une nature foisonnante et étincelante d'une journée de fin d'été à l'enfermement dans une classe close et sombre.
    • Jacques Loussier, compositeur et pianiste de jazz français, célèbre pour avoir fait le lien entre Bach et le jazz, fondateur du Studio Miraval.
    • Le couple d'acteurs américains Angelina Jolie et Brad Pitt est installé dans le domaine de Miraval depuis 2008[70], et s'y sont mariés le [71] (plusieurs années après leur divorce, Angelina Jolie a vendu ses parts dans le domaine).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. L'eau dans le bassin Rhône-Méditerranée
    2. Fleuve L'argens
    3. Ruisseau de Saint Andrieu
    4. Ruisseau de Vallongue
    5. Ruisseau de Correns
    6. PLU Rapport de présentation. 2.1.1 Le site, p. 9
    7. PLU 2.5.2.1 Le foncier forestier
    8. Table climatique
    9. Didacticiel de la réglementation parasismique
    10. Arrêté préfectoral du 20 mai 2011 relatif à l'élaboration de l'état des risques naturels et technologiques majeurs des biens immobiliers
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brignoles », sur insee.fr (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. PLU sur www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/
    17. PLU Correns
    18. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) Provence Verte Verdon
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Producteurs
    22. site officiel de la commune consulté le 9 juin 2012
    23. « enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur) : coopérative vinicole dite Société coopérative agricole, La Fraternelle puis La Corrensoise », notice no PA00081562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. « coopérative vinicole dite Société coopérative agricole, L'Amicale puis La Corrensoise », notice no IA83001323, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. « moulin à huile, puis coopérative agricole (coopérative oléicole) », notice no IA83001322, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. ébergements et restauration
    27. Commerces de proximité
    28. L'épicerie de Brad Pitt
    29. Comté de Provence : Correns, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    30. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-418 et p. 419.
    31. Bulletin municipal n°40 Automne 2020
    32. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Correns, consultée le 26 octobre 2017
    33. Les Comptes des Communes, Analyse des équilibres financiers fondamentaux Les comptes des communes, Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement : La Commune de Correns
    34. Correns: la dette en 2019
    35. Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (années 2000 à 2019)
    36. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Établissements d'enseignements
    42. Professionnels et établissements de santé
    43. Numéros utiles
    44. Paroisse Saint-Germain
    45. Église paroissiale Notre-Dame, sur patrimages.culture.gouv.fr/
    46. Église d'Ascau, sur patrimages.culture.gouv.fr/siteArcheo/
    47. Église vieille (l')
    48. Église vieille-La-Murette
    49. Cimetière de l'église vieille
    50. Monument aux morts
    51. Monument aux morts dans l'église de Correns
    52. Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de CAOA, S. Réol, Gaëtan Congès, Jean-Marie Michel (AFAN – INRAP), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
    53. Correns - église catholique Notre-Dame; Diocèse Fréjus-Toulon
    54. Le retable de l'église Notre-Dame, chef-d'œuvre de l'art baroque
    55. Village
    56. Château
    57. Notice no PM83000200, base Palissy, ministère français de la Culture collectivité tour de l'horloge
    58. Aujourdʼhui, le Fort abrite les activités du Chantier
    59. Le fort Gibron
    60. Les abris défensifs du vallon Sourn, par Paul Courbon
    61. Rochers de Bagarède
    62. Grotte de Bagarède, dans le Vallon Sourn
    63. Grotte de Sous-Ville
    64. L'abri de Sous-ville
    65. Pont de Bailloux
    66. Pont de Pontfract ; les Pardaries
    67. Menhir de Prats-Boulins
    68. « jardin du château de Miraval, pré-inventaire (jardins remarquables ; documentation préalable) », notice no IA83000382, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    69. Nécropole de Miraval
    70. Dépêche de l'AFP
    71. article de l'express : mariage Jolie-Pitt

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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