Corbas
Corbas [kɔʁba] est une commune française située dans la métropole de Lyon et la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Corbas | |||||
L'hôtel de ville en 2018. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Circonscription départementale du Rhône | ||||
Métropole | Métropole de Lyon | ||||
Arrondissement | Lyon | ||||
Maire Mandat |
Alain Viollet 2020-2026 |
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Code postal | 69960 | ||||
Code commune | 69273 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Corbasiens | ||||
Population municipale |
11 161 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 939 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 40′ 07″ nord, 4° 54′ 10″ est | ||||
Altitude | 210 m Min. 188 m Max. 228 m |
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Superficie | 11,88 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lyon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lyon (commune du pôle principal) |
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Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
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Liens | |||||
Site web | www.ville-corbas.fr | ||||
Géographie
La commune se développe sur 1 190 hectares.
Situation
La commune est située en banlieue sud-est de Lyon, à 10 kilomètres de cette ville et à la limite sud de la Métropole de Lyon au périmètre de laquelle elle appartient depuis 1969. Elle fait partie des communes dites de l'Est lyonnais.
Compte tenu de sa proximité avec Lyon, elle a connu une rapide urbanisation à partir des années 1960, passant du statut de village rural à celui de petite ville. Elle inaugure son premier lotissement en juin 1960 "La Villerme" dédié aux ouvriers de l'entreprise Berliet (située à Vénissieux) en présence de Paul Berliet.
Les municipalités successives ont toujours voulu préserver l'environnement agricole et naturel de Corbas, de plus en plus indispensable au fil des années et de l'urbanisation[1]. La ville s'est aussi investie dans l'embellissement de la cité, en particulier dans son effort de fleurissement, remportant une première fleur en 1993 puis trois au classement des villes fleuries.
Elle héberge la Maison d'arrêt de Lyon-Corbas.
Malgré son souhait de ralentir son urbanisation depuis le début des années 1990, Corbas voit ses nouvelles constructions exploser depuis le milieu des années 2010. Ainsi, de nombreux logements voient le jour notamment avenue du 8 mai 1945 et un peu partout dans la ville.
Communes limitrophes
Relief, hydrographie et climat
Le territoire communal n'est traversé par aucun cours d'eau.
Desserte routière
La commune est traversée dans le sens nord - sud par la route départementale 57 de Lyon à Marennes et dans le sens est - ouest par la route départementale 301 aménagée en autoroute, qui relie l'autoroute A7 à Feyzin à l'ouest à l'autoroute A46 à l'est.
Transports en Commun Lyonnais
La commune est desservie par les réseaux TCL et les Cars du Rhône du SYTRAL
- Ligne de Gare de Vénissieux à St-Priest Gare
- Ligne de Gare de Vénissieux à Corbas les Taillis
- Ligne de Décines Grand Large à Corbas les Balmes
- Ligne de Gare de Vénissieux à Mions Bourdelle
- Ligne de Gare Part-Dieu Vivier-Merle à Sogaris Promotrans
- Ligne de Vénissieux Parilly - Corbas Mairie (limite TCL) à Vienne (Les Cars du Rhône)
- Ligne de Vénissieux Parilly - Corbas Musée de l’aviation (limite TCL) à Valencin (Les Cars du Rhône)
Urbanisme
Typologie
Corbas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[5] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (66,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (32,7 %), zones urbanisées (24,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,3 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Sécurité et délinquance
Corbas héberge la caserne de la gendarmerie.
En 2021, 426 crimes ou délits ont été recensés, contre 339 en 2020, soit une augmentation de 25,7 % sur une année[12].
Histoire
Pendant la majeure partie de son histoire, Corbas est un modeste hameau, marqué par l'activité agricole et sylvicole.
Lors de la Révolution française, il est rattaché à la commune de Marennes, jusqu'en 1860[14] où les habitants obtiennent l'indépendance de leur commune. Située en bordure de la forêt du Velin, aujourd'hui disparue, ses habitants ont probablement vécu de l'exploitation du bois et des activités connexes.
Au XIXe siècle, un paysagiste venu de Chaponost, Antoine Pitiot, fit planter des mûriers et dota la commune d'une magnanerie. Son fils, Nicolas Pitiot est le premier maire de Corbas en 1860[15]. L'autre fait marquant à cette époque, est la construction du fort de Corbas, maillon de la deuxième ceinture de forts militaires lyonnais.
Le développement de Corbas intervient principalement au tournant des années 1970. Comme toutes les communes de la plaine de Lyon, elle absorbe l'essor démographique de l'agglomération lyonnaise, essentiellement sous la forme d'habitat pavillonnaire. Le premier lotissement est construit en 1960 rue de la Villermé[15], en contrebas du petit revers de plateau où, autrefois, l'on cultivait la vigne.
La commune accueille par ailleurs une vaste zone logistique et industrielle. En 1975, intervient la fermeture des abattoirs historiques de Lyon dans le quartier de La Mouche. Cela entraîne la création, en 1977, du complexe d'abattoirs-marché à Corbas. Cette activité est renforcée par l'implantation du marché de gros de Lyon qui a déménagé du quartier Perrache en 2009[16] pour faire place au nouveau quartier de Confluence.
Jusqu'en 1967, Corbas appartenait au département de l'Isère, au sein du canton de Saint-Symphorien-d'Ozon. La commune intègre le Rhône l'année suivante.
Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[17].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Corbas compte 33 élus regroupés dans plusieurs groupes politiques.
Depuis 2020, la majorité NUPES (27 élus) regroupent les groupes politiques Communiste, Socialiste, Ecologiste, regroupement citoyen, indépendant.
L'opposition est constitué d'un seul groupe politique Droite républicaine, Centre et société civile (6 élus).
Administration municipale
Intercommunalité
La commune fait partie de la Métropole de Lyon, dont elle représente environ 2,23 % du territoire et 0,8 % de la population en 2018[Note 3].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1861. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[21] - [Note 4].
En 2020, la commune comptait 11 161 habitants[Note 5], en augmentation de 1,95 % par rapport à 2014 (Rhône : +4,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Corbas est située dans l'académie de Lyon.
La commune gère trois écoles primaires publiques : Jacques-Prévert, Jean-Jaurès et Marie-Curie. Le département gère le collège René-Cassin[24].
Manifestations culturelles et festivités
Le vrai grand pôle culturel de Corbas est son centre culturel municipal "Le Polaris" situé avenue de Corbetta. Il regroupe le théâtre (spectacles, expositions et projection cinéma), la médiathèque municipale, l'école municipale de musique, l'école municipale d'arts plastiques, le Point Accueil Jeune (PAJ) et un studio de danse.
De nombreuses associations sont présentes à Corbas et permettent de dynamiser la ville.
On compte parmi les principales manifestations : le carnaval de Corbas, le forum de associations...
Environnement et Cadre de vie
Corbas est situé à côté du domaine des grandes terres où de nombreuses espèces sont recensées. D'après les comptages effectués, on trouve aussi le bruant proyé, le faucon crécerelle et des oiseaux migrateurs comme la grande aigrette, la cigogne blanche et le faucon émerillon.
Les arbres les plus intéressants répertoriés sur la commune sont par exemple le mûrier blanc[25] lié aux magnaneries qui fonctionnaient sur la commune depuis le XIXe siècle, le chêne pédonculé, le saule blanc, le frêne, le cèdre du Liban et le pin noir.
Économie
La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Lyon (située dans la Zone industrielle, au pied du château d'eau) . La ville possède une tradition industrielle dans la technologie de l'Usinage par abrasion.
Entreprises et commerces
- REP International, fondée par Robert Esnault-Pelterie spécialisée dans la production de presses à injecter le caoutchouc.
- Au milieu des années 1980, les Établissements Durrschmidt, implantés à Lyon et Corbas sont parmi les plus importants de la région[26]. En 1991, les Établissements Durrschmidt n'emploient plus que 120 personnes sur 180.000 mètres carrés et 13,5 acres à Corbas[27].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Aérodrome de Lyon - Corbas, est aérodrome restreint permettant l'évolution de planeurs et monomoteurs, ainsi que la pratique du parachutisme et du modélisme.
- En fait d'église, le premier édifice de Corbas fut une chapelle située à l'intérieur du cimetière actuel. Un prêtre, l'abbé Bully, y fut nommé en 1865 quand Corbas devint une paroisse. Après un choix difficile qui opposa les habitants pour savoir s'il fallait construire une nouvelle église, on construisit un nouvel édifice, La nouvelle église St Jacques, inaugurée en pleine guerre contre l'Allemagne, le 13 novembre 1870[28].
- Le fort de Corbas, ouvrage militaire faisant partie de la deuxième ceinture de Lyon, seul fort de la place doté d'une tourelle Mougin. Il appartient aujourd'hui au Ministère de l'Intérieur (pas visitable par le grand public).
- EALC Corbas musée d'aviation avec plus de 35 machines exposées ainsi que de nombreux moteurs. Toutes les visites sont guidées par des bénévoles passionnés.
Espaces verts et fleurissement
En 2014, la commune obtient le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris[29].
Héraldique, devise et logotype
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Les armes de la commune de Corbas se blasonnent ainsi : |
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- Le logo
Le logo de Corbas a été élaboré en 1992 à partir de symboles aériens évoquant la notion de bien vivre à Corbas[Note 6], et bien évidemment la vocation de base aérienne de la commune avec son terrain d'aviation. Le gros soleil ascendant dont le jaune donne une note claire à l'ensemble représente l'essor économique et la volonté de privilégier le dynamisme, de faire en sorte que chacun puisse s'épanouir et se tourner vers l'avenir.
Cette symbolisation repose sur quatre couleurs : le rouge pour l'industrie, le bleu pour l'habitat, le jaune pour le soleil et la qualité de vie, le vert pour l'environnement[31].
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Calcul basé sur les données de l'INSEE
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les espaces verts représentent le tiers de la superficie communale
Références
- Une vingtaine d'exploitations agricoles représentant quelque 500 hectares fortement remembrées ces dernières années
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- delinquance Corbas sur ville-data.com, « Délinquance en Hausse de 25,7 % à Corbas sur un An », sur ville-data.com (consulté le )
- Jean Coste, Dictionnaire des noms propres : toponymes et patronymes de France : quelles origines, quelles significations ?, Paris, Armand Colin, , 701 p. (ISBN 2-200-26969-2), p. 132.
- André Pelletier, Grande encyclopédie de Lyon et es communes du Rhône, Roanne, Éditions Horvath, , 575 p. (ISBN 2-7171-0190-X), Le canton de Saint-Symphorien-d'Ozon, « Corbas », p. 511-513
- Fédération du Patrimoine de l'Est lyonnais et Mémoires corbasiennes, Patrimoines de l'Est lyonnais. Des richesses insoupçonnées, Lyon, Patrimoine rhônalpin, , 60 p. (ISBN 9782354110581), « Corbas », p. 14
- « Le marché de gros de Lyon-Corbas, le « ventre » de la région Auvergne-Rhône-Alpes », sur OnlyLyon (consulté le )
- Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
- https://www.annuaire-mairie.fr/ancien-maire-corbas.html
- Son élection a été invalidée par le Conseil d'État le 31 juillet 2009 pour avoir réglé directement une dépense liée à sa campagne électorale sans passer par son mandataire financier. Il a en outre été déclaré inéligible pour un an.
- « Corbas: Alain Viollet est le nouveau maire », sur leprogres.fr, .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « La DSDEN du Rhône », sur le site de l'académie de Lyon, (consulté le ).
- Une cinquantaine de mûriers blancs centenaires
- Lyon et son agglomération : les enjeux d'une métropole européenne, par Jacques Bonnet, 1987
- Metal Fishing", Metals and Plastics Publications, 1991
- Coût total de 32 000 francs (de l'époque) payé par la commune avec une subvention de l'état de 5 000 francs
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- « Corbas », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
- « Le logo et le blason », sur ville-corbas.fr (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Thierry Giraud, Corbas, une histoire, in "Corbas le bien vivre" bulletin municipal, n°26, 1992, p. 9-12.
- Mémoires corbasiennes, Corbas, du hameau à la ville, Corbas, Association Mémoires corbasiennes, , 205 p. (ISBN 978-2-7466-2302-6)
- p. 47.
- p. 167.
Liens externes
- Site officiel
- [PDF] Statistiques sur le site de l'INSEE