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Collonges-au-Mont-d'Or

Collonges-au-Mont-d'Or est une commune française intégrée à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon, dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Collonges-au-Mont-d'Or
Collonges-au-Mont-d'Or
Vue générale du début du XXe siècle.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Circonscription départementale du Rhône
MĂ©tropole MĂ©tropole de Lyon
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Alain Germain
2020-2026
Code postal 69660
Code commune 69063
DĂ©mographie
Gentilé Collongeards[1]
Population
municipale
4 448 hab. (2020 en augmentation de 12,29 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 177 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 49′ 29″ nord, 4° 50′ 27″ est
Altitude Min. 165 m
Max. 360 m
Superficie 3,78 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune du pĂ´le principal)
Localisation
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Collonges-au-Mont-d'Or
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Liens
Site web

    GĂ©ographie

    Situation

    Vue générale depuis Caluire-et-Cuire, début du XXe siècle.

    Lovée dans une boucle de la Saône, la commune s'étage sur le flanc oriental du mont Cindre, dessinant une conque qui s'adoucit en plateau puis s'étale dans la plaine de Varennes dont le coude s'accompagne d'un croissant vert, l'île Roy.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Il y a sur la rive droite de la SaĂ´ne :

    et sur la rive gauche :

    Hydrographie

    La commune est bordée à l'est par la Saône.

    Desserte routière

    La commune est desservie dans sa partie basse par la départementale 51, qui longe la Saône, et dans sa partie haute par la départementale 89, qui relie Saint-Cyr à Saint-Romain. La départementale 51 comprend des bandes cyclables dans les deux sens sur toute sa longueur dans la traversée de la commune.

    Transports ferroviaires

    La gare de Collonges-Fontaines vue du nord, avec un TER Ă  l'arrĂŞt.

    La commune abrite la gare de Collonges-Fontaines permettant d'assurer une desserte de type banlieue aux horaires cadencés depuis le , et qui relie la commune à Vienne, via la gare de Lyon-Perrache et Mâcon, via Villefranche-sur-Saône, toutes les heures et à la demi-heure en période de pointe, et les gares de Lyon-Part-Dieu et la ville de Roanne.

    Transports en commun

    La commune est située sur le trajet de la ligne de bus 43 des TCL (Gare de Vaise à Genay Proulieu), qui emprunte la départementale 51 le long de la Saône. Le cœur de la commune est également desservi par la ligne 71 au départ de la gare de Vaise. La ligne 31 (Perrache-Cité Edouard-Herriot) circule à la limite de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Collonges-au-Mont-d'Or est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Lyon, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 124 communes[5] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (77,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (64 %), eaux continentales[Note 3] (12,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,6 %), prairies (6,5 %), forêts (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Le nom de la paroisse de Collonges fait son apparition sous la forme de Colonias en 1004[CAG 69 1], de Colungiis en 1176, de Colungias en 1201, pour arriver aux altas et bassas Colungias, « hautes et basses Colonges », puis à la forme plus récente de Colonge et enfin Collonges.

    Le paysan libre obtenait le droit de s'Ă©tablir dans une colonica dont il Ă©tait le colon.
    Dès le VIIIe siècle sont apparues des colonicæ.

    HĂ©raldique

    Blason de Collonges-au-Mont-d'Or Blason
    D’azur à la chaîne de montagnes de trois sommets d’or chargée d’une maison d’argent essorée de gueules brochant en partie sur l'azur; au chef cousu de gueules chargé d'un lion issant d'argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Histoire

    Époque romaine et Bas Empire

    Depuis le Tourvéon, longeant le chemin de Poizat jusqu'à la rue Gayet, l'aqueduc traverse la commune de part en part. On a trouvé, sous la fontaine d'Epeluis à Chavannes, un buste d'officier romain et à la Chaux, un bronze de Tibère ainsi qu'une plaque mortuaire. Le tracé orthogonal des principaux chemins semble lui-même conserver la trace de cette colonisation romaine qui a imprimé sur le territoire gaulois sa géométrie. Au Bas Empire, les grands propriétaires, souvent des vétérans, font cultiver leur terre par des paysans libres ou « colons ».

    Renaissance carolingienne

    Lorsque sont créés les chapitres des chanoines, un inventaire dressé par l'archevêque Leidrade énumère encore ces colonges qui deviendront les tenures féodales, parcelles soumises à redevance. Ce même Leidrade est à l'origine de la restauration de la puissante abbaye bénédictine de l'Île Barbe, dont dépendra juridiquement une grande partie de Collonges.

    Moyen Ă‚ge

    La mise en valeur du terroir doit beaucoup aux moines qui poursuivent les défrichements gallo-romains et plantent ces champêtres haies d'aubépine, peu à peu remplacées par les murs des clos bourgeois. Parmi les familles qui jouent un rôle important à cette époque, citons les Mont-d'Or[Note 4], les Collonges[Note 5], les Tourvéon et les Chavannes[Note 6].

    En 1183, le pape Lucius III confirme l'abbé Guichard dans sa possession de l'église Saint-Nizier tandis que les villageois de Saint-Cyr sèment le trouble chez les Collongeards, lorsqu'ils célèbrent la fête de leur patron Saint Clair, associé aux vertus de l'eau. En 1388, la livre de la taille payée par les bourgeois, appelée ici le vaillant, enregistre une dizaine de tenanciers lyonnais détenant maison et hommées de vigne à Colonges les Autes. En 1486, le sire de Beaujeu ayant installé une benne (pêcherie clayonnée de pieux) dans la Saône, se voit intenter un procès pour avoir manqué de causer le naufrage d'un bateau chargé de saule à paisseler les vignes, appartenant au Collongeard C. Vignat.

    Du XVIe siècle à la Révolution française

    Au XVIe et XVIIe siècles, les habitants sont laboureurs, vignerons et parfois tisserands. Dès 1790, le corps municipal élit le premier maire de la commune avant d'envisager la construction d'une maison commune.

    XIXe siècle

    La population est descendue grossir le hameau de Trèves-Pâques où se regroupent les premiers commerçants, et celui de Basses-Collonges qui verra naître un vrai centre municipal avec une mairie-école. La construction de la nouvelle église en 1842 suscite le délaissement de celle du vieux Collonges avec descente de la cloche, ce qui n'est pas sans causer des tensions. La révolution des transports, train, bateaux à vapeur, facilite la venue des marins d'eau douce que débarque une flottille de mouches et de guêpes. Avec ses guinguettes, dont l'une entame un glorieux destin, celle de la famille Paul Bocuse, Collonges est devenu faubourg de Lyon. c'est aussi le « paradis terrestre » de riches négociants qui le constellent de manoirs de tous styles.

    XXe siècle

    On procède à divers aménagement comme l'adduction d'eau, les égouts, l'éclairage public, qui apportent la modernité tandis que l'industrie chimique investit la plaine de Varennes. Peu à peu s'effacent les cultures maraîchères et fruitières, la vigne, qui couvrait encore 6 hectares en 1970, tandis que les lotissements rongent les grandes propriétés. Une nouvelle école est construite en 1997 et le hameau de Trèves-Pâques accueille un programme de petits immeubles collectifs et de nouveaux commerces pour conforter le centre du village.

    XXIe siècle

    Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[12].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1837 1848 Jean-Pierre Arnaudet
    1848 1848 Louis-Étienne Blanc
    1848 1849 Georges Debombourg
    1849 1850 Jean-Claude Genevay Adjoint, faisant fonctions
    1850 1852 Philippe Bonnet
    1852 1870 François Morel Marchand de charbon
    1870 1881 CĂ©sar Paulet
    1881 1881 Jean DĂ©crand Marchand Ă©picier
    1881 1892 François Bouthenet
    1892 1901 Michel Schnurr Propriétaire
    décembre 1901 octobre 1944 Pierre Pays Propriétaire, entrepreneur de maçonnerie
    octobre 1944 mars 1983 Michel-Edmond Cretin DVD Suppléant du député Frédéric Dugoujon (1973-1978)
    mars 1983 juin 1995 Michel Cretin
    juin 1995 avril 2014 Michel Reppelin DVD Ingénieur chimiste
    Vice-président du Grand Lyon
    avril 2014 octobre 2015[13] Claude Reynard UMP-LR Retraitée
    DĂ©missionnaire
    octobre 2015[14] En cours Alain Germain DVD Commerçant
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Collonges-au-Mont-d'Or est membre du syndicat mixte Plaines Monts d'Or[15] ainsi que du syndicat de communes SaĂ´ne Mont d'Or.

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

    En 2020, la commune comptait 4 448 habitants[Note 7], en augmentation de 12,29 % par rapport Ă  2014 (RhĂ´ne : +4,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1009427887539049541 0231 030939
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9631 0261 0581 1071 1981 2701 3151 4501 459
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6401 5751 5581 5531 7181 8841 7581 9132 318
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 5422 6622 7862 8243 1653 4203 5833 7753 790
    2015 2020 - - - - - - -
    4 0124 448-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Collonges-au-Mont-d'Or est située dans l'académie de Lyon.

    Sports

    La commune abrite un club de football, le FC Saint-Cyr-Collonges club ainsi qu'un club de basketball, l'AS Collonges Basket (ou ASCB) créé en 1945. Le club joue dans un gymnase, sur les quais de Saône. Sur ces quais se trouvent également deux courts de tennis où jouent les membres du Tennis Club de Collonges.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 50 719 â‚¬ ce qui plaçait Collonges-au-Mont-d'Or au 255e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 mĂ©nages en mĂ©tropole[20].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Nizier
    Le château de la Chaux au début du XXe siècle.
    • Église romane Saint-Nizier, dans le Vieux Collonges
    • Nouvelle Ă©glise, construite en 1842.
    • Maison forte de Chavannes (dont il reste une ancienne porte) ; remaniĂ©e au XVIe siècle.
    • Château-Perret
    • Château du TourvĂ©on
    • Domaines bourgeois :
      • Montgelas (XVIIe siècle)
      • Maison Michel, dite « Le Pavillon » (XVIIe siècle): des quatre pavillons qu'avait fait Ă©lever C. Josserand, un seul subsiste, couronnĂ© d'une balustrade et de pots Ă  feu dans le style versaillais
      • la Plassonnière (1740) : confortable maison de plaisance de C. Rocher, châtelain de l'abbaye de l'ĂŽle Barbe. La demeure a Ă©tĂ© construite par Marie Marthe Cidran en 1740, bourgeoise de Lyon[21].
      • la Pelonnière (1804) : de la construction d'origine Ă©galement baptisĂ©e « Ermitage du Mont d'Or » ou « Folie Guillaud », du nom de son commanditaire, il reste un grand bâtiment mansardĂ©, une colonne torsadĂ©e sommĂ©e de la statue de Marc Aurèle, une arche en blocs de tuf et un obĂ©lisque en pierre ocre et brique. Par arrĂŞtĂ© du ont Ă©tĂ© classĂ©s au titre des monuments historiques[22] "le jardin et toutes les parcelles sur lesquelles il se trouve, le rĂ©seau hydraulique, le mur de clĂ´ture, l'ensemble des stations conservĂ©es, les mouvements de terre, terrassements et vestiges maçonnĂ©s, la chapelle domestique et son dĂ©cor, les ruines d'une ancienne chapelle, la serre, le portail d'accès, ainsi que tous les vestiges Ă  dĂ©couvrir."[23]
      • le Grand Port (1810): ce clos fut bâti par le distillateur et maire J. Bergier; c'est le soyeux Chomer qui fit dessiner la grande allĂ©e carrossable menant jusqu'au perron et sans doute le parc, dans la seconde moitiĂ© du XIXe siècle ; en 1945, le domaine est transformĂ© en maison de repos.
      • Maison Fenet (1997) : dessinĂ©e par C. Miguet, elle se prĂ©sente comme un ample vaisseau curviligne portĂ© par de grands poteaux de bois
    • Croix de fer, dite « des deux Valensot » (famille de tailleurs de pierre), au socle datĂ© de 1609.
    • Lavoirs de Braizieux et de Chavannes
    • ĂŽle Roy
    • Source de Montgelas
    • Le lavoir de Braizieux a fait l’objet d’une restauration dans les annĂ©es 1990. Le sol du lavoir est carrelĂ© comme dans tous les lavoirs des Mont d’Or. Il y a une galerie de dĂ©rivation qui alimente le lavoir en eau Ă  partir de deux puits source. L’eau suinte le long des parois et est collectĂ©e par un bassin qui dĂ©borde dans une rigole. Ă€ l’origine le toit Ă©tait en impluvium, Ă  la mode romaine (quatre pans tournĂ©s vers l’intĂ©rieur ce qui envoie l’eau de pluie dans le bassin). Le lavoir gĂŞnait le passage des chars, au XIXe siècle il a Ă©tĂ© raccourci pour Ă©largir le chemin de Braizieu.
    La croix au-dessus de la fontaine, est là pour bien signaler qu’il ne s’agit pas d’une source, mais d’eau captée par l’homme depuis un sous-sol aquifère. Le site a été aménagé depuis très longtemps mais la configuration actuelle date de la fin du XIXe siècle. L’eau de cette fontaine a la réputation de guérir les maladies des yeux, d’où le nom de Braizieux (Brai- Zieux).
    La galerie est colonisée par un papillon de nuit : Scoliopteryx libatrix. Il passe huit à dix mois dans la grotte.
    • Anciennes carrières
    • Le principal restaurant de Paul Bocuse se trouve Ă  Collonges-au-Mont-d'Or, sur les quais de la SaĂ´ne. Il est rĂ©gulièrement inondĂ© lors des crues de la rivière.
    • Saint-Nizier.
      Saint-Nizier.
    • Maison forte.
      Maison forte.
    • TourvĂ©on.
      Tourvéon.
    • Maison bourgeoise.
      Maison bourgeoise.
    • Lavoir de Chavannes.
      Lavoir de Chavannes.
    • Lavoir de Braizieu.
      Lavoir de Braizieu.
    • Fontaine miraculeuse qui guĂ©rirait toutes les maladies des yeux.
      Fontaine miraculeuse qui guérirait toutes les maladies des yeux.

    Personnalités liées à la commune

    • Paul Bocuse (1926-2018), grand chef cuisinier, nĂ© et mort Ă  Collonges-au-Mont-d'Or. Il y est Ă©galement inhumĂ©.
    • AimĂ© Lepercq (1889-1944), homme politique et rĂ©sistant français, nĂ© Ă  Collonges-au-Mont-d'Or.

    Cultes

    • Catholique : appartenant au diocèse de Lyon, Ă  l'archidiaconĂ© du RhĂ´ne-Vert et au doyennĂ© de Fontaines-sur-SaĂ´ne, Collonges est rattachĂ©e Ă  la paroisse Saint-Roch en Val de SaĂ´ne qui regroupe huit communes. La messe est cĂ©lĂ©brĂ©e un dimanche sur deux en l'Ă©glise de la commune. Un petit pèlerinage marial a lieu Ă  l'Ă©glise du Vieux Collonges le .
    • Église adventiste du Septième jour : lieu de culte situĂ© au 1, rue du Pont de Collonges.

    Bibliographie

    • Collonges, Histoire d'un village des Monts d'Or lyonnais, ThĂ©rèse Duc, Ă©ditions ÉgĂ©, Lyon, 1984.
    • Collonges-au-Mont-d'Or, S. Piloix, brochure Ă©ditĂ©e par le Syndicat Mixte des Monts-d'Or

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

      1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
      3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
      4. Guy de Mont-d’Or qui fait hommage en 1254 à l’abbé de l’Île Barbe de tout ce qu’il tenait de lui, depuis le ruisseau de Traranceu (Montgelas) jusqu’à la Saône)
      5. Ă  qui appartient Guillaume de Collonges, un doyen de la Primatiale de Lyon
      6. Vers 1450, Marie de Mont-d’Or, à qui appartenait un château à Collonges, se marie avec un comte de Chavannes venant du Dauphiné
      7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

      Références

      • Odile Faure-Brac, Carte archĂ©ologique de la Gaule : Le RhĂ´ne, 69/1, Paris, AcadĂ©mie des inscriptions et belles-lettres / Ministère de l'Ă©ducation nationale / Ministère de la recherche etc., , 611 p. (ISBN 2-87754-096-0) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
      1. p. 194.
      • Autres rĂ©fĂ©rences :
      1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008
      2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      5. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
      9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      12. MĂ©tropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
      13. Marie-Claude Vasque, « Claude Reynard quitte son fauteuil de maire », Le Progrès,‎ (lire en ligne).
      14. Marie-Claude Vasque, « Alain Germain élu avec le soutien unanime de la majorité », Le Progrès,‎ (lire en ligne).
      15. Syndicat mixte Plaines Monts d'Or
      16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      20. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
      21. Emile Salomon, Les Châteaux Historiques du Lyonnais et du Beaujolais, Lyon, Éditions de la République Lyonnaise, .
      22. Notice no PA69000058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      23. Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2017 JORF n°0102 du 3 mai 2018 texte n° 14 NOR: MICC1811949K

      Liens externes

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