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Chatuzange-le-Goubet

Chatuzange-le-Goubet est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Chatuzange-le-Goubet
Chatuzange-le-Goubet
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Christian Gauthier
2020-2026
Code postal 26300
Code commune 26088
DĂ©mographie
Gentilé Goubetois, Goubetoises
Population
municipale
6 122 hab. (2020 en augmentation de 17,23 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 217 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 00′ 28″ nord, 5° 05′ 29″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 327 m
Superficie 28,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vercors-Monts du Matin
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chatuzange-le-Goubet
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Chatuzange-le-Goubet
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Chatuzange-le-Goubet
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Chatuzange-le-Goubet

    Ses habitants sont dénommés les Goubétois.

    GĂ©ographie

    La commune, traversĂ©e par le 45e parallèle nord, est donc situĂ©e Ă  Ă©gale distance du pĂ´le Nord et de l'Ă©quateur terrestre (environ 5 000 km).

    Localisation

    Chatuzange-le-Goubet est situĂ©e Ă  km au sud de Romans-sur-Isère, Ă  18 km au nord-est de Valence, Ă  77 km de Grenoble, Ă  121 km de Lyon.

    Relief et géologie

    Sites particuliers[1] :

    • les Montelets (325 m) ;
    • Mont Perroux (249 m).

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    • la Limace
    • la Lotte
    • le Canal de la Bourne
    • le Charlieu
    • le Riousset
    • le Ruisseau de Bagnol
    • le Ruisseau de BĂ©aure
    • le Ruisseau de Fleurs
    • le Ruisseau des Omis
    • le Ruisseau d'Ozon
    • l'Isère

    Le barrage [de Pizançon] est installé sur l'Isère[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Chatuzange-le-Goubet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 6 communes[6] et 57 067 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,7 %), zones agricoles hétérogènes (21 %), zones urbanisées (10,5 %), prairies (7,7 %), forêts (5,6 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), cultures permanentes (1,5 %), eaux continentales[Note 3] (1,4 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    La commune est composée de quatre sections : Papelissier à l'est, Pizançon au nord sur la RD 532, le Goubet en bordure du Charlieu et Chatuzange au pied d'un coteau.
    Les hameaux de Chatuzange et du Goubet sont réunis aujourd'hui par des constructions récentes et forment le village de Chatuzange-le-Goubet, alors que Papelissier et Pizançon sont distants de quelques kilomètres.

    Hameaux, quartiers et lieux-dits

    Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :

    • Bas Pinet
    • Beau Barret
    • Bourne
    • Buissonnier
    • Canard
    • Carle
    • Chalandoule
    • Chapelle Petit Saint-Jean
    • Cocu
    • Couppier
    • Coutiol
    • CrĂ©moulin
    • Fiançayes
    • Flandrin
    • Gade
    • Grange Neuve
    • Gratte-Gousset
    • Haut Pinet
    • la Boite
    • la Chossonnière
    • la CitĂ©
    • la Cizeranne
    • la Cure
    • la Douce
    • la Ferrière
    • la Jumenterie
    • la Merline
    • la Noyerate
    • la Part Dieu
    • la Roseraie
    • le Bien
    • le Chabot
    • le Coppe
    • le Goubet
    • le Gourdon
    • le Martinet
    • le Moulin
    • le Portail
    • les Bernards
    • les Blaches
    • les Chaux
    • les Chirouzes
    • les Cottes
    • les Grandaillers
    • les Grand-Terres
    • les Granges
    • les Grenières
    • les Guerres
    • les Liouds
    • les Maisons
    • les Malossannes
    • les PĂ©rers
    • les Raynauds
    • les Routes
    • les Royannères
    • les Vangons
    • les Vernets
    • les Vidaux
    • les Voupes
    • le TrĂ©molet
    • Lucia
    • Millard
    • Mollière
    • Papelissier
    • Petits Aillers
    • Pilène
    • Pizançon
    • Pont des Allobroges
    • Pont des Seigneurs
    • Rochas
    • Saint-Martin
    • Tendillon
    • Trignard

    Anciens hameaux, quartiers et lieux-dits :

    • les Aillers est un quartier attestĂ© en 1891. Il Ă©tait dĂ©nommĂ© les Oleiras en 1246 (cartulaire de LĂ©oncel, 146)[12].
    • les Allards est un quartier attestĂ© en 1891. Il Ă©tait dĂ©nommĂ© les Aillards en 1821 (Noms des communes et hameaux de la DrĂ´me)[13].
    • les Goubets est un hameau attestĂ© en 1891[14].

    Toponymie

    Chatuzange

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

    • 1095 : villa Chatuzanges (cartulaire de Romans, 168).
    • 1140 : Chalvenzanjes (pour Chatuenzanjes) (Revue des biblioph. dauphin., 55).
    • XIIe siècle : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : parrochia Chatusanzias (cartulaire de Romans, 309).
    • 1218 : Chatuisanges (cartulaire de LĂ©oncel, 83).
    • 1244 : mention de l'Ă©glise (Saint-Apollinaire) : ecclesia de Chalusangiis (cartulaire de Romans, 145).
    • 1246 : mention de la paroisse Saint-Apollinaire : parrochia Sancti Appolinaris de Chatuisangiis (cartulaire de Romans, 146).
    • 1247 : Chatuzangas (cartulaire de LĂ©oncel, 148).
    • 1248 : Chatuczangis (cartulaire de LĂ©oncel, 158).
    • 1251 : Chatusanjas (cartulaire de LĂ©oncel, 168).
    • XIVe siècle : mention de l'Ă©glise (Saint-Apollinaire) : capella de Chatusangiis (pouillĂ© de Valence).
    • 1382 : Chatussangiis (archives de la DrĂ´me, E 3649).
    • XVe siècle : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : cura Chatusangiarum (pouillĂ© de Valence).
    • 1506 : Chatusangiarum (archives de la DrĂ´me, fonds de LĂ©oncel).
    • 1549 : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : cura Chatussangiarum (pouillĂ© de Valence).
    • 1891 : Chatuzange, commune du canton de Bourg-de-PĂ©age.

    (non daté) : Chatuzange-le-Goubet.

    Étymologies

    Chatuzange
    Le Goubet

    Histoire

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    Au point de vue féodal, Chatuzange fit toujours partie de la terre de Pizançon (voir ce nom)[15].

    Avant 1790, Chatuzange était une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Apollinaire, dépendait du chapître de Romans qui y prenait la dîme et présentait à la cure.
    Cette paroisse, dont l'étendue était la même que celle de la paroisse [de 1891], faisait partie de la communauté de Pizançon, dite aussi delphinaux de Pisançon, dont la circonscription territoriale était celle de la commune de Chatuzange, comprenant [en 1891] les deux paroisses de Chatuzange et de Pizançon[15].

    Pizançon

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

    • 924 : mention de l'Ă©glise Saint-Michel : ecclesia Sancti Michaelis in villa Pisanciano (cartulaire de Romans, 130).
    • 1038 : de Pisanciano(cartulaire de Romans, 224).
    • 1050 : mention du château : castrum Pisantiani (cartulaire de Romans, 327).
    • 1099 : mention du château : castrum Pisancianum (cartulaire de Romans, 173 bis).
    • 1100 : mention du château : castrum Pizancianun super fluvium Isare (cartulaire de Romans, 174).
    • 1100 : mention du mandement : mandamentum Pisanciani (cartulaire de Romans, 167).
    • 1134 : mention du château : castrum de Pisanciano (cartulaire de Romans, 291).
    • 1164 : Pizenczan (cartulaire des Hospitaliers, 53).
    • 1183: mention de la châtellenie : castellaria de Pisencans (cartulaire de LĂ©oncel, 34).
    • XIIe siècle : Pisanca (cartulaire des Hospitaliers, 333).
    • 1200 : de Pisanciano, Piszanza et Pizanza (cartulaire des Hospitaliers, 47).
    • 1217 : Pisanchan (cartulaire des Hospitaliers, 47).
    • 1218 : mention du mandement : mandamentum de Pisansa (cartulaire de Romans, 43).
    • 1272 : Pissanum (inventaire des dauphins, 63).
    • 1279 : mention du château : castrum Pissanczani (inventaire des dauphins, 52).
    • 1297 : Piszasianum (cartulaire de LĂ©oncel, 301).
    • XIVe siècle : mention de la paroisse : ecclesia Pisantiani (pouillĂ© de Valence).
    • 1315 : Pizenza (cartulaire de LĂ©oncel, 42).
    • 1333 : Pisancsanum (choix de documents, 39).
    • 1360 : mention du château : castrum Pisansiani (choix de documents, 197).
    • 1361 : mention du château : castrum Pizencianum (Duchesne, Comtes de Valentinois, 81).
    • 1372 : mention du mandement : mandamentum Pisanciani prope Romanis (Chevalier, Maladr. de Voley, 75).
    • 1391 : mention de la châtellenie : castellania Pisanciani (archives de la DrĂ´me, E 3050).
    • 1404 : Piscencain (choix de documents, 241).
    • 1413 : Pizançon (archives de la DrĂ´me, E 2292).
    • 1891 : Pisançon, village, section et paroisse de la commune de Chatuzange.

    (non daté) : Pizançon, hameau de la commune de Chatuzange-le-Goubet[2].

    La seigneurie[16] :

    • Au point de vue fĂ©odal, la terre (ou seigneurie) fait partie du domaine temporel de l'abbaye de Romans.
    • DĂ©but XIIe siècle : elle est partagĂ©e entre les François de Royans et les ClĂ©rieux.
      • Les François de Royans.
        • Avant 1250 : la terre passe aux Chabeuil.
        • 1277 : elle passe aux barons de la Tour (futurs dauphins).
      • Les ClĂ©rieux.
        • 1336 : la terre passe (par hĂ©ritage) aux comtes de Valentinois.
        • 1374 : elle passe aux Poitiers-Saint-Vallier.
    • 1467 : les Poitiers-Saint-Vallier reçoivent du roi Louis XI la part des dauphins. La terre est temporairement rĂ©unifiĂ©e.
    • 1542 : la terre est Ă  nouveau partagĂ©e, cette fois entre les Vaulperge et les BĂ©avieu.
      • Les Vaulperge possèdent la parerie delphinale.
        • 1593 : elle est engagĂ©e Ă  Lesdiguières.
        • 1632 : vendue aux consuls de Romans.
      • Les BĂ©avieu possède la parerie des Poitiers.
        • 1545 : elle passe aux Crequi.
        • 1570 : recouvrĂ©e par les Poitiers-Saint-Vallier.
        • 1595 : vendue aux La Croix-Chevrière.
    • 1655 : les La Croix-Chevrière acquièrent la parerie delphinale et rĂ©unifient la terre. Ils seront les derniers seigneurs.

    Avant 1790, Pizançon était une paroisse de la communauté de Chatuzange et du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Michel, dépendait du chapitre de Romans, qui y prenait la dîme et présentait à la cure[16].

    Pizançon était en outre le chef-lieu d'une importante seigneurie (ou mandement) comprenant, avec la paroisse de son nom, celle de Chatuzange et toute la commune actuelle du Bourg-de-Péage[16].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1800 1800 Jean-Pierre Doré
    1800 1808 François Clément
    1808 1815 Prosper de Chièze
    1815 1819 Joseph Cotte
    1819 1824 Prosper de Chièze
    1824 1830 Victor Duc
    1830 1831 Jean-François Galland
    1831 1837 André Chabert
    1837 1846 Antoine Blache
    1846 1858 Jean-François Galland
    1858 1863 LĂ©opold Cotte
    1863 1871 Lucien Frederic Cotte
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1878 Lucien Frederic Cotte
    1878 1896 Joseph Rivoire
    1896 1900 Elie Chabert
    1900 1912 Julien Clairefond
    1912 1914 ZĂ©non Rivoire
    1914
    (Ă©lection ?)
    1919 Elie Chabert
    1919 1935 Edouard Brégaud
    1935 1955 Marius Lattier
    1955
    (Ă©lection ?)
    1959 Lucien Valette
    1959 1965 Elie Gauthier
    1965 1989 Charles Bringuier
    1989 2001 Alberte Belle
    2021 En cours
    (au 29 janvier 2021)
    Christian Gauthier[17] retraité

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2020, la commune comptait 6 122 habitants[Note 4], en augmentation de 17,23 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1651 2431 3431 7801 7371 8341 9081 9231 909
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8821 8711 7911 6921 7401 6111 5371 6091 575
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5221 5471 4401 2851 2781 4671 3641 4041 519
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 6221 7771 8752 5543 6193 9754 4884 6335 122
    2018 2020 - - - - - - -
    5 6186 122-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Services et Ă©quipements

    • Une caserne de pompiers.

    Enseignement

    La commune compte deux écoles élémentaires et autant de maternelles.

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte patronale : premier dimanche de mai[2].
    • FĂŞte communale : troisième dimanche de fĂ©vrier[2].

    Loisirs

    • Plan d'eau de Pizançon : nautisme et baignade[2].
    • PĂŞche[2].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales, vergers, porcins, ovins, aviculture (station avicole de Pizançon)[2].

    Commerce

    Nombreux commerces.

    Industrie

    • Carrières[2].
    • Usine Ă©lectrique de Pizançon[1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Pizançon[2] : plan en U, construit en 1800 avec chapelle installĂ©e dans une petite tour.
    • Château de la Cizeranne[2] : maison forte avec pigeonnier.
    • Église Saint-Apollinaire de Chatuzange-le-Goubet (XIXe siècle) : reliquaire (objet classĂ©)[2].
    • Église Saint-Michel de Pizançon (style roman)[2].
    • Le Clos du Levant.
    • Fontaines publiques.
    • Le pont des Seigneurs Ă  Pizançon permet le passage du canal de la Bourne sur la dĂ©partementale D 149.

    Personnalités liées à la commune

    • Marc Antoine Jullien (nĂ© en 1744 Ă  Bourg-de-PĂ©age, mort en 1821 Ă  Pizançon), dit Jullien de la DrĂ´me : homme politique. Lui et son Ă©pouse se retirent sur leurs terres Ă  Pizançon (Chatuzange-le-Goubet) en 1810.
    • Rosalie Jullien (nĂ©e en 1745 Ă  Pontoise, morte en 1824), Ă©pouse du prĂ©cĂ©dent.

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Chatuzange-le-Goubet possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Bibliographie

    • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la DrĂ´me, Ă©ditions CrĂ©aphis, 2004, 192 pages.
    • Damien Delaye, Les pĂ©ages de Pizançon et de Charmagnieu. L'exemple d'une fiscalitĂ© fluviale aux XVIIe et XVIIIe siècles, master 1, universitĂ© Pierre Mendès-France, Grenoble, 2009 (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. https://www.geoportail.gouv.fr/
    2. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Chatuzange-le-Goubet.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Romans-sur-Isère », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (Les Aillers).
    13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Les Allards).
    14. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 163 (Les Goubets).
    15. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 81 (Chatuzange).
    16. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 273 (Pisançon).
    17. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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