Chatuzange-le-Goubet
Chatuzange-le-Goubet est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Chatuzange-le-Goubet | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Christian Gauthier 2020-2026 |
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Code postal | 26300 | ||||
Code commune | 26088 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Goubetois, Goubetoises | ||||
Population municipale |
6 122 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 217 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 00′ 28″ nord, 5° 05′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 150 m Max. 327 m |
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Superficie | 28,24 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Vercors-Monts du Matin (bureau centralisateur) |
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Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Goubétois.
GĂ©ographie
La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est donc située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Localisation
Chatuzange-le-Goubet est située à 6 km au sud de Romans-sur-Isère, à 18 km au nord-est de Valence, à 77 km de Grenoble, à 121 km de Lyon.
Urbanisme
Typologie
Chatuzange-le-Goubet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[6] et 57 067 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,7 %), zones agricoles hétérogènes (21 %), zones urbanisées (10,5 %), prairies (7,7 %), forêts (5,6 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), cultures permanentes (1,5 %), eaux continentales[Note 3] (1,4 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
La commune est composée de quatre sections : Papelissier à l'est, Pizançon au nord sur la RD 532, le Goubet en bordure du Charlieu et Chatuzange au pied d'un coteau.
Les hameaux de Chatuzange et du Goubet sont réunis aujourd'hui par des constructions récentes et forment le village de Chatuzange-le-Goubet, alors que Papelissier et Pizançon sont distants de quelques kilomètres.
Hameaux, quartiers et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :
- Bas Pinet
- Beau Barret
- Bourne
- Buissonnier
- Canard
- Carle
- Chalandoule
- Chapelle Petit Saint-Jean
- Cocu
- Couppier
- Coutiol
- Crémoulin
- Fiançayes
- Flandrin
- Gade
- Grange Neuve
- Gratte-Gousset
- Haut Pinet
- la Boite
- la Chossonnière
- la Cité
- la Cizeranne
- la Cure
- la Douce
- la Ferrière
- la Jumenterie
- la Merline
- la Noyerate
- la Part Dieu
- la Roseraie
- le Bien
- le Chabot
- le Coppe
- le Goubet
- le Gourdon
- le Martinet
- le Moulin
- le Portail
- les Bernards
- les Blaches
- les Chaux
- les Chirouzes
- les Cottes
- les Grandaillers
- les Grand-Terres
- les Granges
- les Grenières
- les Guerres
- les Liouds
- les Maisons
- les Malossannes
- les PĂ©rers
- les Raynauds
- les Routes
- les Royannères
- les Vangons
- les Vernets
- les Vidaux
- les Voupes
- le Trémolet
- Lucia
- Millard
- Mollière
- Papelissier
- Petits Aillers
- Pilène
- Pizançon
- Pont des Allobroges
- Pont des Seigneurs
- Rochas
- Saint-Martin
- Tendillon
- Trignard
Anciens hameaux, quartiers et lieux-dits :
- les Aillers est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé les Oleiras en 1246 (cartulaire de Léoncel, 146)[12].
- les Allards est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé les Aillards en 1821 (Noms des communes et hameaux de la Drôme)[13].
- les Goubets est un hameau attesté en 1891[14].
Toponymie
Chatuzange
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :
- 1095 : villa Chatuzanges (cartulaire de Romans, 168).
- 1140 : Chalvenzanjes (pour Chatuenzanjes) (Revue des biblioph. dauphin., 55).
- XIIe siècle : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : parrochia Chatusanzias (cartulaire de Romans, 309).
- 1218 : Chatuisanges (cartulaire de LĂ©oncel, 83).
- 1244 : mention de l'Ă©glise (Saint-Apollinaire) : ecclesia de Chalusangiis (cartulaire de Romans, 145).
- 1246 : mention de la paroisse Saint-Apollinaire : parrochia Sancti Appolinaris de Chatuisangiis (cartulaire de Romans, 146).
- 1247 : Chatuzangas (cartulaire de LĂ©oncel, 148).
- 1248 : Chatuczangis (cartulaire de LĂ©oncel, 158).
- 1251 : Chatusanjas (cartulaire de LĂ©oncel, 168).
- XIVe siècle : mention de l'église (Saint-Apollinaire) : capella de Chatusangiis (pouillé de Valence).
- 1382 : Chatussangiis (archives de la DrĂ´me, E 3649).
- XVe siècle : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : cura Chatusangiarum (pouillé de Valence).
- 1506 : Chatusangiarum (archives de la DrĂ´me, fonds de LĂ©oncel).
- 1549 : mention de la paroisse (Saint-Apollinaire) : cura Chatussangiarum (pouillé de Valence).
- 1891 : Chatuzange, commune du canton de Bourg-de-PĂ©age.
(non daté) : Chatuzange-le-Goubet.
Étymologies
- Chatuzange
- Le Goubet
Histoire
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
Au point de vue féodal, Chatuzange fit toujours partie de la terre de Pizançon (voir ce nom)[15].
Avant 1790, Chatuzange était une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Apollinaire, dépendait du chapître de Romans qui y prenait la dîme et présentait à la cure.
Cette paroisse, dont l'étendue était la même que celle de la paroisse [de 1891], faisait partie de la communauté de Pizançon, dite aussi delphinaux de Pisançon, dont la circonscription territoriale était celle de la commune de Chatuzange, comprenant [en 1891] les deux paroisses de Chatuzange et de Pizançon[15].
Pizançon
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :
- 924 : mention de l'Ă©glise Saint-Michel : ecclesia Sancti Michaelis in villa Pisanciano (cartulaire de Romans, 130).
- 1038 : de Pisanciano(cartulaire de Romans, 224).
- 1050 : mention du château : castrum Pisantiani (cartulaire de Romans, 327).
- 1099 : mention du château : castrum Pisancianum (cartulaire de Romans, 173 bis).
- 1100 : mention du château : castrum Pizancianun super fluvium Isare (cartulaire de Romans, 174).
- 1100 : mention du mandement : mandamentum Pisanciani (cartulaire de Romans, 167).
- 1134 : mention du château : castrum de Pisanciano (cartulaire de Romans, 291).
- 1164 : Pizenczan (cartulaire des Hospitaliers, 53).
- 1183: mention de la châtellenie : castellaria de Pisencans (cartulaire de Léoncel, 34).
- XIIe siècle : Pisanca (cartulaire des Hospitaliers, 333).
- 1200 : de Pisanciano, Piszanza et Pizanza (cartulaire des Hospitaliers, 47).
- 1217 : Pisanchan (cartulaire des Hospitaliers, 47).
- 1218 : mention du mandement : mandamentum de Pisansa (cartulaire de Romans, 43).
- 1272 : Pissanum (inventaire des dauphins, 63).
- 1279 : mention du château : castrum Pissanczani (inventaire des dauphins, 52).
- 1297 : Piszasianum (cartulaire de LĂ©oncel, 301).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : ecclesia Pisantiani (pouillé de Valence).
- 1315 : Pizenza (cartulaire de LĂ©oncel, 42).
- 1333 : Pisancsanum (choix de documents, 39).
- 1360 : mention du château : castrum Pisansiani (choix de documents, 197).
- 1361 : mention du château : castrum Pizencianum (Duchesne, Comtes de Valentinois, 81).
- 1372 : mention du mandement : mandamentum Pisanciani prope Romanis (Chevalier, Maladr. de Voley, 75).
- 1391 : mention de la châtellenie : castellania Pisanciani (archives de la Drôme, E 3050).
- 1404 : Piscencain (choix de documents, 241).
- 1413 : Pizançon (archives de la Drôme, E 2292).
- 1891 : Pisançon, village, section et paroisse de la commune de Chatuzange.
(non daté) : Pizançon, hameau de la commune de Chatuzange-le-Goubet[2].
La seigneurie[16] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) fait partie du domaine temporel de l'abbaye de Romans.
- Début XIIe siècle : elle est partagée entre les François de Royans et les Clérieux.
- Les François de Royans.
- Avant 1250 : la terre passe aux Chabeuil.
- 1277 : elle passe aux barons de la Tour (futurs dauphins).
- Les Clérieux.
- 1336 : la terre passe (par héritage) aux comtes de Valentinois.
- 1374 : elle passe aux Poitiers-Saint-Vallier.
- Les François de Royans.
- 1467 : les Poitiers-Saint-Vallier reçoivent du roi Louis XI la part des dauphins. La terre est temporairement réunifiée.
- 1542 : la terre est à nouveau partagée, cette fois entre les Vaulperge et les Béavieu.
- Les Vaulperge possèdent la parerie delphinale.
- 1593 : elle est engagée à Lesdiguières.
- 1632 : vendue aux consuls de Romans.
- Les Béavieu possède la parerie des Poitiers.
- 1545 : elle passe aux Crequi.
- 1570 : recouvrée par les Poitiers-Saint-Vallier.
- 1595 : vendue aux La Croix-Chevrière.
- Les Vaulperge possèdent la parerie delphinale.
- 1655 : les La Croix-Chevrière acquièrent la parerie delphinale et réunifient la terre. Ils seront les derniers seigneurs.
Avant 1790, Pizançon était une paroisse de la communauté de Chatuzange et du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Michel, dépendait du chapitre de Romans, qui y prenait la dîme et présentait à la cure[16].
Pizançon était en outre le chef-lieu d'une importante seigneurie (ou mandement) comprenant, avec la paroisse de son nom, celle de Chatuzange et toute la commune actuelle du Bourg-de-Péage[16].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].
En 2020, la commune comptait 6 122 habitants[Note 4], en augmentation de 17,23 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Services et Ă©quipements
- Une caserne de pompiers.
Enseignement
La commune compte deux écoles élémentaires et autant de maternelles.
Manifestations culturelles et festivités
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, vergers, porcins, ovins, aviculture (station avicole de Pizançon)[2].
Commerce
Nombreux commerces.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Pizançon[2] : plan en U, construit en 1800 avec chapelle installée dans une petite tour.
- Château de la Cizeranne[2] : maison forte avec pigeonnier.
- Église Saint-Apollinaire de Chatuzange-le-Goubet (XIXe siècle) : reliquaire (objet classé)[2].
- Église Saint-Michel de Pizançon (style roman)[2].
- Le Clos du Levant.
- Fontaines publiques.
- Le pont des Seigneurs à Pizançon permet le passage du canal de la Bourne sur la départementale D 149.
Personnalités liées à la commune
- Marc Antoine Jullien (né en 1744 à Bourg-de-Péage, mort en 1821 à Pizançon), dit Jullien de la Drôme : homme politique. Lui et son épouse se retirent sur leurs terres à Pizançon (Chatuzange-le-Goubet) en 1810.
- Rosalie Jullien (née en 1745 à Pontoise, morte en 1824), épouse du précédent.
HĂ©raldique, logotype et devise
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Chatuzange-le-Goubet possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Bibliographie
- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.
- Damien Delaye, Les péages de Pizançon et de Charmagnieu. L'exemple d'une fiscalité fluviale aux XVIIe et XVIIIe siècles, master 1, université Pierre Mendès-France, Grenoble, 2009 (lire en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel
- Chatuzange-le-Goubet sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Chatuzange-le-Goubet.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Romans-sur-Isère », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (Les Aillers).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Les Allards).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 163 (Les Goubets).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 81 (Chatuzange).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 273 (Pisançon).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.