Charrecey
Charrecey est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Charrecey | |||||
Mairie de Charrecey. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Chalon-sur-Saône | ||||
Intercommunalité | Le Grand Chalon | ||||
Maire Mandat |
Guy Thibert 2020-2026 |
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Code postal | 71510 | ||||
Code commune | 71107 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
332 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 61 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 50′ 23″ nord, 4° 40′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 290 m Max. 455 m |
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Superficie | 5,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Chalon-sur-Saône (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chagny | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Géographie
Située en Saône-et-Loire (Bourgogne-Franche-Comté) à une quinzaine de kilomètres de Chalon-sur-Saône.
Communes limitrophes
Saint-Léger-sur-Dheune | Aluze | |||
N | ||||
O Charrecey E | ||||
S | ||||
Saint-Léger-sur-Dheune | Saint-Mard-de-Vaux | Mercurey |
Géologie et relief
Le territoire communal est caractérisé par un substrat géologique recelant un important réseau de failles affectant le socle Primaire émergeant à l'est des ultimes contreforts du Morvan en bordure de l'effondrement de la Bresse chalonnaise ; tandis que les calcaires du Secondaire dominent à l'ouest la dépression houillère Dheune-Bourbince (bassin houiller de Blanzy). La grande variété de sols offre un paysage contrasté, présentant un effet « balcon » portant la vue du mont Beuvray jusqu'au Mont Blanc.
La végétation va de la forêt profonde de chênes et châtaigniers aux chaumes herbues ou couvertes de buis. Au XIXe siècle, le village a tiré sa richesse des mines de gypse (étage du Trias argileux) avec les plâtrières et des carrières de pierre et marbre (étage du Sinémurien), voire du pavé des villes (étage du Trias gréseux). Le vignoble a disparu après un long déclin qui a suivi la crise du phylloxera à la fin du XIXe siècle. Il y a aussi des terres agricoles.
Climatologie
C'est un climat tempéré à légère tendance continentale avec des étés chauds et des hivers froids[1], avec une amplitude thermique assez importante entre ces deux saisons. Les précipitations sont assez hétérogène sur l'année, avec un mois de mai le plus pluvieux de l'année. Le vent qui souffle une partie de l'année est la bise. Valeurs climatique de Dijon et Mâcon, car Charrecey est située entre ces deux villes.
- Dijon
Pour la ville de Dijon (316 m), les valeurs climatiques jusqu'Ã 1990 :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −1 | 0,1 | 2,2 | 5 | 8,7 | 12 | 14,1 | 13,7 | 10,9 | 7,2 | 2,5 | −0,2 | 6,3 |
Température moyenne (°C) | 1,6 | 3,6 | 6,5 | 9,8 | 13,7 | 17,2 | 19,7 | 19,1 | 16,1 | 11,3 | 5,6 | 2,3 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,2 | 7 | 10,8 | 14,7 | 18,7 | 22,4 | 25,3 | 24,5 | 21,3 | 15,5 | 8,6 | 4,8 | 14,8 |
Précipitations (mm) | 49,2 | 52,5 | 52,8 | 52,2 | 86,3 | 62,4 | 51 | 65,4 | 66,6 | 57,6 | 64,2 | 62 | 732,2 |
- Mâcon
Pour la ville de Mâcon (216 m), les valeurs climatiques de 1961 à 1990 :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,6 | 0,7 | 2,5 | 5,2 | 8,9 | 12,3 | 12,4 | 13,9 | 11,1 | 7,5 | 2,9 | 0,1 | 6,6 |
Température moyenne (°C) | 2,1 | 4 | 6,8 | 10 | 13,9 | 17,5 | 20,1 | 19,4 | 16,4 | 11,7 | 6 | 2,7 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,9 | 7,3 | 11,1 | 14,8 | 18,9 | 22,8 | 25,7 | 24,9 | 21,7 | 15,9 | 9,1 | 5,3 | 15,2 |
Précipitations (mm) | 66,3 | 60,9 | 58,7 | 69,4 | 85,9 | 74,7 | 58,1 | 77,1 | 75,7 | 71,7 | 72,7 | 70,4 | 841,4 |
Urbanisme
Typologie
Charrecey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,2 %), forêts (29,5 %), terres arables (18,8 %), zones urbanisées (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Histoire
À elle seule, la toponymie des lieux-dits indique un riche passé qui remonte à la Protohistoire voire au Néolithique moyen bourguignon (silex taillés et polis, polissoirs, céramique de type chasséen). Des traces de l'occupation gallo-romaine attestent de la présence d'une villa en bordure de la via Agrippa (trajet de la Méditerranée à la mer du Nord).
En 1120-1123, Moranus de la Porte et son frère Bernard Prochilla, vendent ce qu'ils possèdent à Charrecey, au profit de l'abbaye Saint-Marcel-lès-Chalon[11].
Il semble que le village primitif ait été déplacé du lieu-dit « ès Saint-Étienne » à son actuelle localisation, au milieu du XIVe siècle, probablement à la suite du tremblement de terre de Bâle de 1356 (18 octobre)[12].
Sous l'Ancien Régime, un prieuré des Dames de Saint-Julien [13] occupait un vaste domaine au centre du bourg actuel selon les lieux-dits : Clos des Dames, Fontaine aux Dames et Quart Beau-Belin (ancienne cure) où l'on trouve une galerie couverte sur le porche et des bâtiments aux nombreux réemplois de matériaux en grès taillé. Des squelettes y ont été mis au jour sous l'ancien four.
Héraldique
Blasonnement : Parti, au premier de gueules à la fasce d'or[14], au second d'argent au chevron de gueules accompagné de sept merlettes du même, 2 et 2 en chef, 1 et 2 en pointe[15], au chef d'or chargé d'un lion léopardé d'azur[16].
NB. Ce blason est une proposition très récente qui peut également s'appliquer à n'importe quelle commune ayant fait partie du comté de Chamilly (Saône-et-Loire).
Politique et administration
Listes des maires
Canton et intercommunalité
La commune fait partie du Grand Chalon.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].
En 2020, la commune comptait 332 habitants[Note 3], en augmentation de 7,44 % par rapport à 2014 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Associations
- La Médiathèque de Bourgogne - Mémorial Emile Chateau in Académie de Mâcon.
- Les Amis du Vieux Charrecey.
- Le Foyer Rural.
- Les Amis de l'École.
Économie
Les exploitations agricoles sont davantage tournées vers l'élevage de bovins.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Via Agrippa (marquant la limite communale avec Aluze).
- Croix de cimetière du XVe siècle (classée MH).
- Site archéologique ès Saint-Étienne (protohistoire).
Personnalités liées à la commune
Les personnes ci-dessous ont des attaches familiales à Charrecey ou ont vécu au village.
- Philibert Guillaume Duhesme (° 1766 - †1815). Général d'Empire. La sépulture de ses grands-parents maternels se trouve dans l'église de Charrecey.
- Antoine Duclaux (° 1783 - †1868). Peintre paysagiste et animalier de l'École lyonnaise ou École de Lyon. Sous la Terreur, réfugié avec sa mère à Charrecey, il passa une grande partie de son enfance au domaine Chandelux (rue de l'Église).
- Pierre Trémaux (° 1818 - †1895). Architecte, orientaliste et photographe est né à Charrecey.
- Jean-Baptiste Trémaux[21] (° 1824 - †1898). Conducteur des travaux publics, archéologue du site de Tipasa (Algérie). Le parc national de Tipasa portait son nom avant l'indépendance algérienne.
NB. L'étude biographique du Pr Jean Pelletier-Thibert de l'Académie de Mâcon, sous le titre La Saga algérienne des frères Trémaux, fera l'objet d'une publication ultérieure aux annales académiques. - Léon-Vivant Moissenet (° 1831 - †1906). Polytechnicien, ingénieur des Mines. L'un des pères de la carte géologique de France. Il est inhumé au cimetière de Chaumont (Haute-Marne).
- Léonie Prétet-Denis [22] (° 1848 - †1919). Historienne (alias « Mme Christian Denis »). La rue principale de Charrecey (D 261) porte son nom. Elle est inhumée au cimetière de Charrecey.
- Charles Pierre Trémaux[23] (° 1859 - †1882). Polytechnicien (promotion de 1876), ingénieur du télégraphe. Il a défini en premier l’algorithme du parcours dans les labyrinthes (1882, dit arborescence de Trémaux).
- Émile Chateau (° 1866 - †1952). Directeur d'écoles. Savant botaniste, inventeur de la phytosociologie. Il est inhumé au cimetière de Charrecey.
- Joseph Roy-Chevrier (° 1860 - †1949). Ampélographe, maire de Charrecey (1904-1905). Président de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône de 1911 à 1931.
- Louis Gabriel Thibert dit Gaby (° 1912 - †1958). Adjudant-chef électromécanicien au 134e régiment d'infanterie (RI) de Mâcon, grand résistant français mort pour la France à Tizi Ouzou (Algérie) en 1958. Chevalier de la Légion d'honneur. Fondateur du maquis de Corlay (commune de Nanton en Saône-et-Loire), d'abord en forêt de la Ferté le 30 juin 1943. Grand blessé de guerre, entré en résistance à l'occupant dès l'armistice de 1940 sous le pseudonyme de Joseph Brunet. En 1949, il publia son carnet de route du combattant, intitulé Le Maquis de Corlay, sous le nom d'emprunt de son ami André Montaron (qui était alors son plus jeune compagnon maquisard). En 1956, il était surveillant général - nommé à ce poste le 1er octobre 1948 -[24] au lycée militaire d'Autun (Saône-et-Loire) avant son départ pour l'Algérie au 121e RI. Il y décédera le 26 janvier 1958 des suites de ses blessures lors d'un accrochage du 24 janvier précédent. Il est inhumé au cimetière de Charrecey ; son nom est inscrit sur le monument des « Morts pour la France », situé près de l'église. Les « Anciens Maquisards de Corlay » ont fait graver son nom au centre du « Mur de la Libération », monument situé en bordure de la RN 6 au nord de Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire).
- Lucien Ferré [25] (° 1902 - †1945). Électricien, martyr de la déportation nazie, né le 21 mai 1902 à Boyer (Saône-et-Loire), décédé le 30 avril 1945 à Wansleben (Saxe, Allemagne). La placette proche de la mairie de Charrecey porte son nom. Il est aussi inscrit sur le monument des « Morts pour la France », situé près de l'église.
- Jean Popille, maquisard arrêté dans la commune de Chatel Moron. Sa famille dont Gaby Popille était un des traqueurs du maquis (voir le maquis de Corlay) la place devant l'église porte son nom (il manque des infos... à compléter).
Pour approfondir
Bibliographie
- Archives de l'Académie de Mâcon
- Relevés de l'état civil et des recensements de la population de Paris, du département de Saône-et-Loire et de l'Algérie française au XIXe siècle.
- Archives de l'Association "Les Amis du Vieux Charrecey" (Loi de 1901 - publication au JO de 1989)
- Archives de "La Médiathèque de Bourgogne" - conservatoire multimédia - (Loi de 1901 - publication au JO de 1996)
- « Charrecey en Chalonnais (S & L) - Notes et Souvenirs » par Mme Christian Denis, édité en 1905 par la Librairie Vic et Amat à Paris. Réédité en 1989 par l’association « Les Amis du Vieux Charrecey » - (préface de Léon Moissenet)
- « Au Jardin Secret de Maître Chateau » par Jean Pelletier-Thibert (commissaire général du Jubilé 2002, conférencier, biographe du savant), édité en 2002 par « La Médiathèque de Bourgogne » (responsable du Mémorial Emile Chateau)
- « Charrecey - Histoire et vie d'un village » par Magali Robert (arrière-petite-fille de Moissenet), édité en 2008 par l’association « Les Amis du Vieux Charrecey » - (préface de Jean Pelletier-Thibert)
- Pierre Trémaux p. 940 et 941 in : « Dictionnaire des orientalistes de langue française » par François Pouillon, édité en 2008 par IISMM & Karthala à Paris - (ISBN 978-2-84586-802-1)
- « L'errance de Pierre Trémaux au XIXe siècle - 1re partie (Biographie) » par Jean Pelletier-Thibert ; in Annales de l'Académie de Mâcon, mars 2011 (conférence publique donnée en l'Académie de Mâcon le 2 décembre 2010) - (ISSN 0980-6032)
« L'errance de Pierre Trémaux au XIXe siècle - 2e partie (Sophisme sur l'Évolution) » par Jean Pelletier-Thibert ; in Annales de l'Académie de Mâcon, mars 2013 (conférence publique donnée en l'Académie de Mâcon le 8 novembre 2012) - (ISSN 0980-6032)
NB. Cette seconde partie propose une critique très détaillée de l'interprétation australienne controversée et fait la synthèse de l'œuvre de Trémaux. Son résumé est disponible sur le site de l'Académie de Mâcon par téléchargement en ligne à cette adresse :
À la fin de cette édition numérique se trouve l'abondante bibliographie examinée par l'auteur pour l'ensemble du sujet
NB. Les annales académiques ne fournissent qu'un court résumé de cette étude très documentée, éditée en 2008 par « La Médiathèque de Bourgogne », et à laquelle ont participé activement « Les Amis du Vieux Charrecey » - « Le Maquis de Corlay » - Contribution à l'histoire de la Résistance en Saône-et-Loire par André Montaron (alias adjudant Gaby Thibert), édité en 1950 chez Jobard à Dijon. Réédité en mars 2003 par Éditions Hérode - (ISBN 2-908971-18-6)
Les cahiers manuscrits de l'adjudant-chef Thibert ont été déposés au Service historique de l'Armée de Terre, au château de Vincennes, sous la cote 321.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Charrecey sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- André Dominé : Le vin, « La Bourgogne », p. 181.
- Archives climatologiques mensuelles - Dijon (????-1990) Consulté le 17 décembre 2008
- Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990) Consulté le 17 décembre 2008
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Cartulaire de l'Abbaye Saint-Marcel-lès-Chalon Charte LVII
- Hypothèse avancée par le professeur Jean Pelletier-Thibert de l'Académie de Mâcon dans sa déclaration d'inscription du site archéologique à la DRAC de Dijon, et corroborée par d'autres études scientifiques dans le Chalonnais.
- Souche à Saint-Julien-sur-Dheune (Saône et Loire), devenues ensuite Moniales de Rougemont et enfin de Dijon. (Archives épistolaires - entre Jeanne Charpentier-Poquet et Jean Pelletier-Thibert - déposées à l'Académie de Mâcon)
- qui est de la maison des Jauche, dits Bouton (de Chamilly)
- qui est de la maison d’Aumont (en Halatte, près de Senlis)
- qui est supposé d’Estrabonne (origine en Franche-Comté à Mercey-le-Grand, 25410 Saint-Vit, près de Dole) donc probablement erroné, car le seigneur d’Estrabonne dit Pourcheresse portait d'or à la fasce de gueules accompagnée de trois hures de sangliers
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Frère de Pierre Trémaux ; in conférence publique de Jean Pelletier-Thibert en l'Académie de Mâcon le 2 décembre 2010. (Réf. publiée aux Annales académiques de mars 2011 - (ISSN 0980-6032))
- Nièce de Pierre Trémaux ; in conférence publique de Jean Pelletier-Thibert en l'Académie de Mâcon le 2 décembre 2010. (Réf. publiée aux Annales académiques de mars 2011 - (ISSN 0980-6032))
- Fils de Pierre Trémaux ; in conférence publique de Jean Pelletier-Thibert en l'Académie de Mâcon le 2 décembre 2010. (Réf. publiée aux Annales académiques de mars 2011- (ISSN 0980-6032))
- Lettre autographe de remerciements du Général de Gaulle concluant par « Croyez, mon cher THIBERT, à mes sentiments cordialement dévoués », adressée le 9 mars 1950 à Monsieur Louis THIBERT, surveillant général, école d'AUTUN (S. & L.)
- in "Lucien Ferré" par Jacques Bœuf (son neveu) - monographie 2010 enregistrée aux archives de « La Médiathèque de Bourgogne »