Châtelineau
Châtelineau (en wallon Tcheslinea) est une section de la ville belge de Châtelet située en Région wallonne dans la province de Hainaut. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977. Ses habitants sont appelés les Castellinois.
Châtelineau | |||||
Vue du terril n°7. | |||||
Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
Région | Région wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | Charleroi | ||||
Commune | Châtelet | ||||
Code postal | 6200 | ||||
Zone téléphonique | 071 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Castellinois(e) | ||||
Population | 17 361 hab. (2008) | ||||
Densité | 2 296 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 24′ 55,19″ nord, 4° 31′ 11,5″ est | ||||
Superficie | 756 ha = 7,56 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Belgique
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Étymologie
Castellinum est un diminutif de castellum, mot latin qui signifie château. En 1079, 11 est déjà question du château de Chestelineal, jugé petit en comparaison de celui de Chastelin (Châtelet), situé sur l'autre rive de la Sambre. On retrouve ce terme de Chestelineal en 1247, qui devient Kaisteliniel en 1265, Castellinal en 1292, Chastelinial en 1319, Chasteliniels en 1343. L'ancienne forme Chestelineal réapparaît en 1380 et 1417. Une lettre qui change donne Chestelinial en 1436 et 1466. Chastelineau apparaît en 1444 et se retrouve en 1468, 1481, 1545, 1556, 1559, 1580, 1591, 1618, 1626, 1629, 1632, 1679, 1680, 1682, 1698. C'est la forme la plus employée, dont le s sera remplacé par un accent circonflexe, selon une règle générale, pour donner Châtelineau en 1713, 1737, 1768, 1780, 1781 et plus tard. On trouve Chattelineau en 1733 et 1755 et Chatelineau (sans accent) en 1757, mais ces formes sont incorrectes. On connaîtra entretemps: Chastelinia, en 1470 : Chastelinea, en 1481, 1500, 1514, 1527, formes proches du nom wallon Tcheslinia que porte actuellement la localité. On a aussi Castellineaux, en 1685[1].
Géographie et Hydrographie
Limites
Châtelineau est borné par Fleurus, Farciennes, Pironchamps, la Sambre qui sépare de Pont-de-Loup et de Châtelet, Montignies-sur-Sambre et Gilly[2].
Enclave
Une enclave de Châtelet sur la rive gauche de la Sambre, où s'élèvent les Laminoirs de Châtelet, rappelle l'ancien tracé de la rivière, qui fut rectifiée pour empêcher les inondations et facilité la navigation[2].
Quartiers
Châtelineau possède plusieurs hameaux :
- Taillis-pré se situe entre Fleurus et Gilly.
- La Vallée, dont une rue porte le nom.
- Châtelineau centre.
- Corbeau se situe aux confins de Gilly et de Montignies-sur-Sambre.
Lieux-dits
- Les Hayettes.
- Les Six-Bras.
- Les Haies.
- Chant des Oiseaux.
- La Floche.
- Sart du Fayt.
- Les Mottards.
- Le Faleau.
- Les Pays-Bas.
- Les Masuirs.
- Les Campagnes.
Cités
Châtelineau possède plusieurs cités d'habitations.
- Cité des Frères Réunis.
- Cité Louis Van Laere.
- Cité Louis Dumont.
- Cité les Crocus.
Hydrographie
- Ruisseau de Soleilmont. Il prend sa source au Wainage, à Farciennes. Il a trois affluents :
- le Taillis-Pré, naissant à la ferme de Fontenelle, au Wainage, à 179 m. d'altitude. Ce ruisselet, avant son confluent, fait la limite, sur 1.200 m, entre Fleurus et Farciennes.
- le Bois-du-Roi, commençant entre la ferme d'Appaumée, à Heppignies, et la gare de Vieux-Campinaire, à 175 m. d'altitude. Il sépare Fleurus d'Heppignies sur 1600m, de Ransart sur 825 m. et de Gilly sur 700 m.
- le Sart-Culpart, prenant cours près de la gare du Sart-Allet.
Le ruisseau de Soleilmont a une profondeur atteignant parfois 50 centimètres et une largeur moyenne de lm, 50. Il sépare Châtelineau de Fleurus sur 1.300 m, jusque l'abbaye de Soleilmont. Il alimentait autre- fois le bel étang et le moulin à eau de l'abbaye. Il passe alors à Gilly. Il entre à Châtelineau, près de l'ancienne oseraie, à 110 m. d'altitude. Il alimentait l'Etang, qui s'étendait sur plus d'un hectare et fut comblé en 1924[3].
Histoire
Moyen-âge
Au début du 17e siècle, l'historien Grammaye écrivit l'Histoire du Comté de Namur. Il dit qu'en 1079, le Pape Grégoire V, dans la quatrième année de son pontificat, autorisa l'érection d'un hôpital à Châtelineau, avec quatre lits réservés aux voyageurs. Cela indique que l'endroit était un passage très fréquenté. Grammaye commit toutefois deux petites erreurs : C'est en 1073 qu'il y eut un nouveau Pape ; l'hôpital daterait donc de 1077. Ce Pape n'était pas Grégoire V mais Grégoire VII, qui fut Pape de 1073 à 1085, et est célèbre par ses démêlés avec l'Empereur d'Allemagne Henri IV, qui dut aller à Canossa. La création d'hôpitaux était alors soumise à l'autorisation papale. La protection de la cour de Rome était d'ailleurs indispensable aux hôpitaux en ces temps si troublés. L'Hôpital se trouvait où furent construite su siècle dernier les laminoirs de Derlodot, rue Grégoire Soupart. Le directeur, d'abord religieux, plus tard laïc, était nommé par le seigneur de Châtelineau, ce qui, en droit féodal, était le signe d'un ancien droit de propriété. Parmi les revenus de l'institution, il y avait le Pré de l'Hôpital, où fut bâti le château Pirmez, à la Franche-Chambre, près de l'écluse. Ce pré avait une contenance totale de plus de 6 bonniers : 2 bonniers et demi en prairies, 4 bonniers et 1 mesure en terres labourables. En échange, le gîte, le chauffage, l'éclairage, la soupe aux pois pendant le carême, étaient offerts aux voyageurs. L'Hôpital subsista jusqu'en 1721. En dédommagement pour la perte de son emploi, le dernier directeur, appelé Leroi, reçut un pré[4].
XXe siècle
La commune de Châtelineau fut fusionnée avec Châtelet et Bouffioulx en 1977.
Patrimoine
- L'église Saint-Barthélemy. La première église était bâtie sur une dérivation à droite de la place de la Madeleine, elle a été démolie en 1855 en raison de son état de vétusté menaçant ruine. La troisième église, actuelle, a été bâtie de 1904 à 1909.
- La gare, dont la première fut construite en 1860. Elle se situait près l'écluse puis elle fut démolie en 1911 pour construire la gare actuelle.
- Maison Allard, place Wilson de style art-nouveau dont la façade est animée par le jeu coloré des matériaux.
- L'église Saint-Antoine, dont la construction a débuté en 1874 pour se terminer en 1876. Elle se situe dans le quartier du Taillis-pré.
- L'église Sainte-Marie, bâtie en 1907, aujourd'hui en rénovation pour devenir une école.
- L'ancienne maison communale. La première maison communale se trouvait à côté de l'église (place de la Madeleine) avait été bâtie en 1843. Au début du XXe siècle, le bâtiment montre des signes de vétusté. La deuxième maison communale se trouvait sur la place Wilson aujourd'hui remplacé par la salle omnisports. Le projet de construction d'une nouvelle maison communale fut abandonné. C'est en 1971 que l'administration communale acquiert le bâtiment de la société du Gouffre, avant la fusion des communes de 1977.
- Chapelle Notre-Dame de Grâce, dit des Pays-Bas elle se situe dans le quartier du même nom.
- Dans l'église Saint-Barthélemy, il y a un retable dont le relief central en albâtre figure le martyre de Saint-Barthélemy, date de la fin du XVIIème siècle[5] et un monument funéraire de Phillipe de Mérode, de son épouse Jeanne de Montmorency et de nombreuses progénitures[5].
- Ruines de l'abbaye de Soleilmont, fondée en 1239 est incendiée en 1963, elle est à cheval sur Gilly et Fleurus.
Monuments
Monument aux Morts des deux guerres, ce monument fut érigé aux "Six Bras", et en 1966 il fut transféré sur la place d'Arenberg.
Monument aux marcheurs, monument dédié aux marcheurs de la Marche de la Grande Terre Notre-Dame de Rome, il se situe à l'angle des rues Ferrer et de la Loi.
Monument à Louis Dumont, il est situé dans la Cité Louis Dumont.
Sur le rond-point près du Cora, il y avait un tram S. 10 093, surnommait Pimpon qui est aujourd'hui démoli en septembre 2016. Aujourd'hui un autre monument dédié "Au Emigrés castelterminesi" est érigé sur le rond-point.
Buste d'un mineur se trouve sur un rond-point près du cimetière de Châtelineau centre.
Liste des Bourgmestres
Avant l'indépendance belge
- Jean Thiry, 1503.
- Jean Alardin, 1529-1540.
- Collard Massart, 1561.
- Nicolas Causainiaux, 1569-1573.
- Gilson Piérard 1574.
- Grégoire Rochet 1580.
- Servais Widal 1583.
- François de Gilly 1586.
- Grégoire Massart 1589-1617.
- Grégoire Rochet 1618-1634.
- Cornil Rochet 1657.
- Jean Croisot 1681.
- Nicolas Mouillart 1692.
- Jean Delire 1703.
- Charles-Thomas Duvivier 1709.
- Jean Leroy 1711.
- Louis Defrêne 1751.
- Maximilien Dufresne 1789[6].
Après l'indépendance
- Grégoire Soupart, 1886 à 1906.
- Auguste Binard, en fonction en 1916 à 1921.
- Anna Ponsart[7], en fonction de 1921 à 1925.
- Louis Dumont de ? à 1969.
- Théo Toussaint de 1970 à 1976.
Chemin de fer
- La ligne 130 de Namur à Charleroi, dite ligne de la Basse-Sambre passe dans les communes de Farciennes, Tamines, Auvelais (Sambreville), Jemeppe-sur-Sambre, Floreffe et Namur. Ligne 138 Châtelet-Florennes, aujourd'hui disparue. Elle traversait les communes de Bouffioulx, Acoz, Gerpinnes, Hanzinne, Hanzinelle, Morialmé et Florennes.
Industries et commerces
Dès le XVIème siècle, la principale industrie fut la clouterie aujourd'hui disparue[5].
La société des Hauts Fourneaux, Usines et Charbonnages de Châtelineau
La société des Hauts Fourneaux, Usines et Charbonnages de Châtelineau installe, en 1852-53, un atelier de construction mécanique qui lui appartient en totalité mais dont les bénéfices réalisés sont partagés avec Clémentin DENEUBOURG qui n'est autre que le directeur de l'atelier.
Par le truchement de la société en nom collectif Gustave DUMONT et Cie, le 1 janvier 1866, la société de Châtelineau fusionne avec la S.A. des Hauts Fourneaux, Usines et Charbonnages de Marcinelle et Couillet. A ce moment, l'entreprise occupe 1.134 ouvriers mineurs et 984 ouvriers métallurgistes et produit 18.300 tonnes de fer. Le 15 mars 1910, les installations sont achetées par Hippolyte RENSON, industriel à Ham-sur-Heure et, le 18 février 1911. une nouvelle société anonyme est fondée sous la raison sociale Usines de Châtelineau RENSON fait apport en nature de ses installations à la nouvelle société anonyme et en contrepartie, il reçoit 2.000 actions de capital de 500 francs de la nouvelle société, au capital social de 4 millions de francs. Ces fonds permettent notamment la construction d'une nouvelle aciérie THOMAS et la remise en activité du second haut fourneau. A la fin de 1911, la production de l'usine s'élève à 95.000 tonnes de fonte et à 40.000 tonnes d'acier brut[8].
La S. A. du charbonnage du Gouffre
Le Gouffre fut une importante société charbonnière de la région de Châtelet. Il est, cependant, difficile de développer systématiquement l'historique de la dizaine de puits que la société exploita. Néanmoins, nous vous présentons une synthèse des principaux sièges d'exploitation qui marquèrent, au fil des années, l'activité industrielle de ce charbonnage[9].
La société du Gouffre rachète, en 1874, la fosse Maton qui regroupait, déjà, la fosse Thomas située au Taillis-Pré (en activité de 1855 à 1873). Auparavant, les propriétaires de la fosse Thomas rachetaient, en 1855, la fosse du Grand Chêne ou de Soleilmont, fosse intensément exploitée de 1806 à 1847[9].
Le charbonnage ferme ses portes, le 15 juillet 1969 et sa mise en liquidation paraît au Moniteur Belge, le 16 janvier 1971[10].
Les principaux puits de la concession sur Châtelineau
Puits n°3, rue Gendebien, puits n°5, emplacement sur l'actuelle Carrefour Market près de l'église Saint-Barthélemy, puits n°6, puits n°7, rue des Charbonnages, puits n°8, puits n°9, rue Pirmez, puits n°10, rue du Fayt, arrête son extraction, le 31 mars 1969.
La S. A. du charbonnage du Trieu-Kaisin
L'un des plus anciens actes de concession connus de l'exploitation houillère de la mine du Trieu-Kaisin remonte au 26 juin 1658. A cette époque. Marguerite de MERODE. comtesse d'Isenghien, seigneur de Châtelineau, accorde aux exploitants parchonniers, Nicolas COLLART. Remy et François JENNART, le droit de travailler toutes les veines de houille situées entre le moulin et le bois Belle Haye à Châtelineau pour la some annuelle de vingt Florins[11].
En 1808, le TK[12] fusionne avec une exploitation voisine dénommée: «Grand Forêt». Les deux sociétés réunies forment, alors, une concession de 454 ha 96 a 53 ca.
Le 29 juin 1886, cette société civile se constitue en société anonyme et devient la "Société Anonyme des Charbonnages du Trieu-Kaisin à Châtelineau"[11].
Les bâtiments abritant les bureaux et ateliers du TK sont construits en 1865, près de l'ancienne forge du charbonnage de Forest. En 1978, le site est entièrement assaini afin d'accueillir la grande surface CORA CITY[13].
Au fil des années, les puits d'extraction ferment les uns après les autres. Le puits n° 1 "des Viviers" cesse toute activité le 27 juin 1959 et, le 24 mars 1967, c'est le tour du n° 8 « Pays-Bas », dernier siège du charbonnage du Trieu-Kaisin en exploitation[14].
Les principaux puits de la concession
Les puits n°1 et 2, dits des Viviers, commune de Gilly, desservis par la gare de Gilly-Sart-Culpart[11], le puits n°4 dit de Sébastopol sur Châtelineau[11], le puits n°6, dit de la Duchère, sur Montignies-sur-Sambre, le puits n°8, dits des Pays-Bas, sur Châtelineau, desservi par la gare de Montignies-Formation[11].
Anciennes industries
Les Hauts Fourneaux du Sud, Laminoirs de Couillet et Châtelineau, Fonderie Jacques Léon & Fils, Fonderie de Fer, Société Métallurgique de Sambre et Moselle, Laminoirs du Phénix, Fabrique d'Agglomérés de Châtelineau, Tannerie Corroirie "Jules Demotte", S. A. des Tréfileries et Laminoirs de Châtelineau, les Laminoirs Schumacker, S. A. du Laminoir de la Concorde.
Industries actuelles
- Carlam (port de la Praye).
- Aperam Stainless Belgium.
Commerces actuels
Le centre commercial Shopping Cora Châtelineau, à l'emplacement des bureaux du Trieux-Kaisin, Tournesols, magasin de jardinage et de décoration[15], Brico Plan-it, magasin de bricolage, Décathlon, magasin d'articles de sport. Il y a aussi dans le centre de Châtelineau des petits magasins.
Commerces disparus
Châtelineau avais des entreprises commerciale que les sièges sociales se trouvait : Brasserie du "Faleau", Manufacture Générale de Tabacs, Cigares, Cigarettes & Rolles, les magasins L'ÉLAN, dont le siège social se trouvait à la rue Grégoire Soupart. Le nom de l'entreprise se trouve encore sur le mur au-dessus du portail, Carlo & Fils, déclaré en faillite le 25 mai 2020. Cultura, magasin de produits culturels dont l'ouverture a eut lieu en 2021 et sa fermeture définitive a eut lieu en 2023.
Galerie
- La maison Allard de style art-nouveau.
- Le Collège Pie 10.
- La gare.
- Interieur de la gare.
- Vue depuis un pont de Gilly.
- Ruines de l'abbaye de Soleilmont.
Marche folklorique
Notre-Dame de Rome (Marche impériale de la grande terre) célébré le dernier dimanche du mois d’août.
Lieux publics
Activités
Complexe sportif, place Wilson, parc de la Grande Terre, rue des Hayettes, marché le samedi, place Wilson.
Cimetières
Châtelineau possède trois cimetières : cimetière de Châtelineau (centre), rue de la Croix, cimetière de la Floche, rue des Haies, cimetière de Taillis-pré, rue des Masuirs.
Maisons de repos
Maison de repos "Le Sart-Allet", rue du Sart-Allet, Le Centenaire, rue Gendebien, Résidence "Les Peupliers", rue Wimart.
Enseignement
Châtelineau possède des écoles : académie de musique, place Wilson, Institut Sainte-Marie, place d'Arenberg, Collège Episcopal Saint-Pie 10, rue Llyod George, école primaire et gardienne Sainte-Marie, rue Llyod George, école Saint-Barthélemy, rue Adolphe Chif, école du Grand Chêne[16], rue de la Plaine (Taillis-Prés), école Hayettes-Solvay[16], rue Sainte-Anne, groupe scolaire Destrée[16], rue du Sart-Allet.
Personnalités liées à Châtelineau
- Fernand Allard (1878-1947), missionnaire jésuite, y est né.
- Grégoire Soupart (1841-1906), docteur en médecine et bourgmestre de Châtelineau 1886 à 1906.
- Eudore Pirmez (1830-1890), docteur en Droit de formation, il fut député et ministre de l'intérieur.
- Léonard Pirmez, (1768-1866), astronome.
- Claude Barzotti, (1953-2023), chanteur de variétés italo-belge[17].
Notes et références
- Ernest Martin, Histoire de Châtelineau Première partie : Géographie. La seigneurie. Les seigneurs et leurs droits, , 58 p., p. 4-5
- Ernest Martin, Histoire de Châtelineau Première partie : Géographie. La seigneurie. Les Seigneurs et leurs droits, , 58 p., p. 7
- Ernest Martin, Histoire de Châtelineau, Première partie : Géographie. La Seigneurie. Les seigneurs et leurs droits, , 58 p., p. 10
- Ernest Martin, Histoire de Châtelineau, Première partie : Géographie. La seigneurie. Les seigneurs et leurs droits, , 58 p., p. 3-4
- Willy Staquet, Le Pays de Charleroi, , 197 p., p. 74
- Ernest Martin, Histoire de Châtelineau Deuxième partie : Les cours de justice, les procès. Les dominations étrangères jusqu'en 1792, Manage, Ets R. Marsquelier-Tinsy, , 62 p., p. 6
- Il s'agit de l'une des premières femmes bourgmestres de Wallonie. Le centre opérationnel de gestion des élections locales wallonnes de 2019 a été nommé en son honneur.
- Claude Coisman, Daniel, Grimmaux, Marcel Nihoul et André Vandenbroeck, Physionomie du passé économique au pays de Châtelet, Edition Société d'Histoire "Le Vieux Châtelet", , 216 p., p. 87
- Claude Coisman, Daniel Grimmux, Marcel Nihoul et André Vandenboeck, Physionomie du passé économique au pays de Châtelet, Edition Société d'Histoire "Le Vieux Châtelet", , 216 p., p. 169
- Claude Coisman, Daniel Grimmaux, Marcel Nihoul et André Vandenbroeck, Physionomie du passé économique au pays de Châtelet, Edition Société d'Histoire "Le Vieux Châtelet", , 216 p., p. 172
- Claude Coisman, Daniel, Grimmaux, Marcel Nihoul et André Vandenbroeck, Physionomie du passé économique au pays de Châtelet", Edition Société d'Histoire "Le Vieux Châtelet", , 216 p., p. 177
- Acronyme "Tk" pour signifier Trieu-Kaisin.
- Actuellement le "Shopping Cora Châtelineau".
- Claude Coisman, Daniel, Grimmaux, Marcel Nihoul et André Vandenbroeck, Physionomie du passé économique au pays de Châtelet, Edition Société d'Histoire "Le Vieux Châtelet", , 216 p., p. 178
- Le magasin "Tournesols" se trouve sur le territoire de Montignies-sur-Sambre à la limite de Châtelineau.
- Groupe scolaire du réseau communal de la Ville de Châtelet.
- Nicolas Dewaelheyns, « Le chanteur Claude Barzotti, auteur de «Madame» et «Le rital», est mort, à l’âge de 69 ans », sur www.sudinfo.be, (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- J. Kaisin, Annales historiques de la commune de Châtelineau, Farciennes : Imprimerie Hublot-Burgeon, 1871, 423 pp. (lisible en ligne)
- André Lépine, « Les charbonnages du Pays noir en cartes postales anciennes », Cercle d'Histoire de Cerfontaine, no 503,
- Claude Coisman, Daniel Grimmaux, Marcel Nihoul, André Vandenbroeck, Physionomie du passé économique au pays de Châtelet, Société d'Histoire Le Vieux Châtelet, 2006, 216 p.
- André Vandenbroeck, L'évolution des quartiers à Bouffioulx, Châtelet et Châtelineau au fil... ...du temps, Société Royale "Le Vieux Châtelet", 2017, 210 p.
- Claude Coisman, Marcel Nihoul & André Vandenbroeck, Mémoire en Images Châtelet tome 2 Bouffioulx, Châtelet & Châtelineau, Société d'histoire le Vieux Châtelet, 2007, 128 p. (ISBN 978-90-76684-79-6)
- Ernest Martin, Histoire de Châtelineau, Première partie, Géographie, la seigneurie, les seigneurs et leurs droits, 1951, 58 p.
- Ernest Martin, Histoire de Châtelineau, Deuxième partie, Les cours de justice, les procès. Les dominations étrangères jusqu'en 1792, Manage, Ets R. Marsquelier-Tinsy 62 p.