Château-Salins
Château-Salins est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est, dans l'aire urbaine de Château-Salins. La commune de Coutures lui est associée depuis 1975.
Château-Salins Coutures | |
La maison de l'État et la mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
DĂ©partement | Moselle |
Arrondissement | Sarrebourg-Château-Salins |
Intercommunalité | Communauté de communes du Saulnois (siège) |
Maire Mandat |
Gaëtan Benimeddourene 2020-2026 |
Code postal | 57170 |
Code commune | 57132 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Castelsalinois |
Population municipale |
2 304 hab. (2020 ) |
Densité | 214 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 48° 49′ 21″ nord, 6° 30′ 31″ est |
Altitude | Min. 201 m Max. 331 m |
Superficie | 10,76 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Château-Salins (ville isolée) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton du Saulnois (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | chateau-salins.fr |
GĂ©ographie
Localisation
Cette commune mosellane est située dans une plaine saline du Saulnois, environ à mi-chemin mais à l'écart des deux métropoles lorraines : au sud-est de Metz et au nord-est de Nancy.
Elle a pour annexe le village de Coutures.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
La gare de Château-Salins était située à l'intersection de deux lignes :
- ligne Nancy - Sarreguemines mise en service en 1872 pour la section Château-Salins - Sarralbe[1] et en 1873 pour la section vers Nancy[2]. Fermée en 1969 entre Château-Salins et Bénestroff[3], fermée également pour la section de Nancy à Château-Salins ;
- ligne Metz - Château-Salins mise en service en 1904[1], fin de la desserte voyageur en 1953[4].
- Actuellement, des lignes d'autocar permettent d'accéder à Nancy (TED 350), Metz et Dieuze (TIM 27), Morhange (TIM 26) et Sarrebourg (TIM 33).
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Petite Seille, le ruisseau le Majurin, le canal du Moulin de Chateau-Salins et le ruisseau de Morville[Carte 1].
La Petite Seille, d'une longueur totale de 25,5 km, prend sa source dans la commune de Racrange et se jette dans la Seille à Salonnes, après avoir traversé 15 communes[5].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Petite Seille, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Château-Salins est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Château-Salins, une unité urbaine monocommunale[9] de 2 464 habitants en 2017, constituant une ville isolée[10] - [11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12] - [13].
Occupation des sols et environnement
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,9 %), prairies (22,7 %), zones urbanisées (17,5 %), forêts (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %), cultures permanentes (2,4 %)[14].
Un outil de l'IGN permet de comparer l’évolution de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou de photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
La municipalité a (en 2022) réalisé des travaux de réhabilitation écopaysagère du site des « anciennes salines Solvay », dans le cadre de la mise en place de la Trame verte et bleue, afin d'y restaurer et préserver un cœur de biodiversité susceptible d'irriguer le réseau régional des corridors biologiques[16].
Toponymie
D'après M. Michel, la commune tire son nom des salines qui y furent établies en 1330 et d'un château bâti en 1342[17]. Cependant, la mention de 1195 (si elle est exacte), renverrait vers une origine plus ancienne.
Anciens noms[18] : Castrum Sallum (1195), Chastel-Sallin (1346), Saltzburg (1347), Chastelsalin (1348), Saltzborren (1397), Saltzburch (XVe siècle), Castrosalina (1508 environ)[19], Castrum Salinense (1675), Salins-Libre (nom révolutionnaire)[20].
En allemand : Salzburg (1915-1918), Salzburgen (1940-1944).
Histoire
La commune et la région naturelle qui l’entoure, le Saulnois, doivent leur nom à l’exploitation du sel qui y était autrefois pratiquée.
La cité est relativement récente. Le territoire sur lequel s’élèvera le château, et plus tard la ville, faisait partie des domaines de l’évêché de Metz. Le secteur était aussi un fief de Lorraine ; ainsi en 1277, le duc Ferry III de Lorraine associa le comte Thiébaut II de Bar à la moitié du fief d’Amelécourt et au tiers des salines de cette cité.
La légende dit que ce sont des pèlerins en route pour Saint-Nicolas-de-Port qui découvrirent une source salée. Vers 1340, la régente Élisabeth d’Autriche veuve du duc Ferry IV fait bâtir un château, pour protéger l’exploitation de cette source. Afin de pouvoir contrôler la bâtisse ducale, l’évêque Adhémar de Monteil fait aussi construire une forteresse, qu’il nomme Beaurepaire, à quelque distance de là [21].
En 1342 éclate un conflit entre Adhémar et le duc Raoul de Lorraine. La paix est signée en 1344 sous l’égide du comte du Luxembourg. Il est convenu que l’évêque paierait dix mille livres au duc de Lorraine, qui conservera sa forteresse de Château-Salins. Les conflits reprennent à la mort de Raoul en 1346. En 1347 le traité de paix conclut que le château construit par Élisabeth d’Autriche sera vendu à l’évêché ; en attendant que la somme soit réunie, les deux bâtisses seront mises en dépôt au profit de Marie de Blois, alors régente du duché. Quand Adhémar parvient à réunir la somme, la duchesse transige pour rendre les deux bâtisses. Cela entraîne un troisième conflit armé qui détruit totalement le château ducal. Il s’achève par une renonciation totale des prétentions du duché sur Château-Salins. Pourtant dès 1348, Adhémar donne son accord pour la reconstruction de ce château à laquelle il contribue par une indemnité de six mille florins[21].
La ville requerra rapidement de l'exploitation du sel une importance qui y fit établir un bailliage, lequel était régi par les coutumes de Lorraine et de Saint-Mihiel. Jusqu'en 1555, les ducs de Lorraine y entretinrent un prévôt de Marche, ayant une compagnie de cent hommes sous ses ordres, et dont la juridiction s'étendait des rives de la Meuse à celles du Rhin.
Château-Salins fut en 1698 le siège d'une prévôté qui s'étendait seulement à cette ville et au village d'Amelécourt. Le bailliage de Château-Salins créé en 1751, était formé de villages de la prévôté de ce nom et de celles d'Amance, Nomeny et Pont-à -Mousson.
Une paroisse est constituée en 1715 ; auparavant les habitants dépendaient des paroisses d'Amelécourt et de Salonnes.
Après 1789, la commune prend le nom révolutionnaire de Salines libres. Elle retrouvera son nom actuel après la Révolution française.
Au XVIIe siècle le sel fabriqué à Château-Salins était exporté jusqu'au-delà du Rhin[21]. Les eaux de la source titraient à 13,5° de sel, et la saline produisait 9 000 tonnes par an[22]. L'exploitation de cette industrie a été abandonnée en 1826.
Une tour de Chappe a été en service entre 1798 et 1852. Elle servait de relais entre Delme et Vic-sur-Seille sur la ligne Paris-Strasbourg[23].
Entre 1800 et 1871, Château-Salins fut une sous-préfecture du département de la Meurthe. Elle possédait des faïenceries, des verreries, des tanneries, des moulins à plâtre, et était un important centre de production de toiles de chanvre.
Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, la ville de Château-Salins est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. La commune devient le chef-lieu d'un arrondissement du district de Lorraine au sein de l'Alsace-Lorraine. En 1894, une exploitation du sel plus moderne reprit au sud de la ville, pour s'arrêter définitivement en 1940. L'ancien site "Aux Salines" a été transformé depuis en base de plein air. Si Château-Salins est occupée par les troupes françaises dès le 17 août 1914[24], de jeunes Castelsalinois, déjà appelés sous les drapeaux, sont contraints de se battre sous l'uniforme allemand jusqu’à la fin des hostilités. En 1915, le nom de Château-Salins est germanisé en Salzburg. En 1918, Château-Salins redevient français, mais l'ancienne commune de la Meurthe reste dans le département de la Moselle.
La Seconde Guerre mondiale et le drame de l'Annexion marqueront longtemps les esprits. Lors de la seconde annexion allemande de la Moselle, la commune est baptisée, non pas Salzburg, mais Salzburgen. Elle redevient le siège d'un Landkreis du CdZ-Gebiet Lothringen, cette fois au sein du Gau Westmark. La ville est libérée le 17 novembre 1944[25], par la IIIe armée de Patton pendant la Campagne de Lorraine ; un odonyme local (rue du 17-Novembre ) rappelle cet événement.
Politique et administration
Château-Salins était une prévôté et un bailliage sous l'ancien régime.
La petite commune de Coutures a été rattachée à Château-Salins en 1975, avec le statut de commune associée, et comptait 214 habitants en 2017.
La commune était le chef-lieu du canton de Château-Salins, et la sous-préfecture de l'ex-arrondissement de Château-Salins avant la fusion de celui-ci avec l'Arrondissement de Sarrebourg le pour former l'Arrondissement de Sarrebourg-Château-Salins[26]. Château-Salins fait partie de la communauté de communes du Saulnois, vaste ensemble qui regroupe les communes de l'ancien arrondissement de Château-Salins.
Liste des maires
Jumelages
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2020, la commune comptait 2 304 habitants[Note 2], en diminution de 5,57 % par rapport Ă 2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
La commune accueille une unité de production du groupe Senoble.
D'autres entreprises sont aussi installées dans la ville comme Matos Autoclean, entreprise de préparation et esthétique automobile.
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
- château fort érigé par Élisabeth d'Autriche (1285-1352), duchesse régente de Lorraine pour protéger la source ; détruit en 1349 ; des parties importantes subsistèrent jusqu'au début du XIXe siècle ;
- château fort érigé à 250 mètres du premier, par l'évêque de Metz Adhémar de Monteil (1327-1361). La rue du Beau-Repaire conservait encore au siècle dernier quelques ruines de la forteresse concurrente ;
- saline, au centre-ville, fonctionna jusqu'en 1826 comme saline domaniale de l’État ;
- vingt kilomètres de randonnées pédestres sont balisés, le départ se fait au sud du village à partir du gîte d'étape à l'emplacement des salines ducales et royales ;
- étang aménagé ; activités de loisir (tennis, VTT, promenades) ;
- Collège La Passepierre ;
- Lycée agricole de Château-Salins érigé par Guillaume II d'Allemagne en 1913.
Édifices religieux
- Église néo-gothique Saint-Jean-Baptiste 1868/1893 : orgue du dix-huitième siècle transféré pendant la Révolution depuis l’abbaye des prémontrés de Salival ; actuellement, orgue néoclassique-néobaroque Haerpfer-Erman (1960), restauré par la Manufacture Aubertin (1995)[30] ; statues ;
- Église Saint-Aubin classique du XVIIIe siècle de Coutures.
- Chapelle Saint-Vincent de la maison de retraite.
- Ancienne synagogue détruite, rue de Strasbourg, une plaque commémorative marque l'emplacement de l'ancienne synagogue, construite en 1845 et détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Activités
HĂ©raldique
Blason | Parti, en 1er d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent, et en 2e de gueules à la coquille d'argent. |
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Détails | Le blason actuel date du XVIIIe siècle. Les armes de Lorraine à dextre indiquent l'appartenance de Château-Salins au duché et la coquille de senestre rappelle les salines exploitées par les ducs de Lorraine dès le Moyen Âge[33]. |
Personnalités de la commune
Personnalités nées à Château-Salins
- François Laurent Tricotel (1727-1806), général des armées de la République y est né.
- Arsène Darmesteter, (5 janvier 1846, Château-Salins - 16 novembre 1888, Paris) philologue français ;
- James Darmesteter, (28 mars 1849, Château-Salins - 19 octobre 1894, Maisons-Laffitte) linguiste français ;
- Charles-Edmond Perrin (1887-1974), médiéviste français, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres ;
- Else von Richthofen (8 octobre 1874, Château-Salins - 22 décembre 1973, Heidelberg) spécialiste en Sciences sociales, sœur de Frieda von Richthofen ;
- Friedrich Weber (31 mars 1892, Château-Salins - 2 septembre 1974, Deggendorf) général de division allemand.
- Philippe Gaillot (né le 28 février 1965 à Château-Salins) joueur de football du FC Metz ;
Personnalités liées à Château-Salins
- Henri Grégoire dit « Abbé Grégoire » (1750-1831), vicaire de Château-Salins en 1775-1776[34] ;
- Wayne Sleeth (né en 1966) : artiste-peintre contemporain britannique, résidant avec atelier à Château-Salins depuis 2004[35].
Pour approfondir
Bibliographie
- Vincent Hadot, Les Cités du sel, éditions Alan Sutton, 2007 (ISBN 9782849105658).
- Gabriel et Robert Offroy, Château-Salins autrefois, éditions Pierron, Sarreguemines, 1984, 356 p.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel de la commune de Château-Salins
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Château-Salins » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
Références
- « Lignes 10b à 11g », sur elsassbahn.free.fr (consulté le ).
- http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mersri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA57001381
- « SARREGUEMINES », sur christophe.lachenal.free.fr (consulté le ).
- « METZ - VILLE », sur christophe.lachenal.free.fr (consulté le ).
- Sandre, « la Petite Seille »
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Château-Salins », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran
- « Château-Salins. Le site des anciennes salines en grand chantier », sur www.republicain Lorrain (consulté le )
- Louis-Antoine Michel, Statistique administrative et historique du département de la Meurthe, 1822
- Dictionnaire topographique du département de la Meurthe (1862) - Henri Lepage
- Visible sur la Carte "Ducatus Lotharingie" http://bmn-renaissance.nancy.fr/viewer/show/1907#page/n0/mode/1up
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Histoire des villes de France, avec une introduction générale pour chaque province, Aristide Guilbert 1845
- Dictionnaire statistique du DĂ©partement de la Meurthe, E. Grosse 1836
- Ligne Paris- Metz - Strasbourg
- André Bellard :La bataille de Morhange 19-20 août 1914, ANM, 1967.
- Recensement préfectoral de 1994 sur les dates de libération
- le décret 2014-1721 du 29 décembre 2014 voit la suppression de l'arrondissement de Boulay-Moselle fusionné à celui de Forbach à compter du 1er janvier 2015, et de l'arrondissement de Château-Salins fusionné à celui de Sarrebourg à compter du 1er janvier 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Site de l'Association des Amis de l'Orgue de Château-Salins
- http://www.premiumorange.com/cine-chato/ Renseignements, séances du cinéma.
- Voir le site de la bibliothèque.
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
- Château-Salins et l’abbé Grégoire
- Site de l’artiste Wayne Sleeth