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Castres (Aisne)

Castres est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Castres
Castres (Aisne)
Mairie-Ă©cole
Blason de Castres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois
Maire
Mandat
Jean-Marie Accart
2020-2026
Code postal 02680
Code commune 02142
DĂ©mographie
Population
municipale
251 hab. (2020 en augmentation de 3,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 44 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 48â€Č 16″ nord, 3° 14â€Č 18″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 104 m
Superficie 5,71 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Quentin-3
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Castres
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Castres
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Castres
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Castres

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartes et vue de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Entrée du village
    Entrée du village
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; Entrée du village.

    Castres est situĂ©e en bordure de la Somme Ă  une altitude de 73 mĂštres au-dessus du niveau de la mer, Ă  46 kilomĂštres au nord-ouest de Laon, Ă  8 km au sud-ouest de Saint-Quentin et Ă  9 km au nord de Saint-Simon. Sa fĂȘte patronale tombe le 1er dimanche aprĂšs le 3 mai[1]. GiffĂ©court est un hameau dĂ©pendant de Castres situĂ© plus au nord et proche des marais de la Somme.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Castres (Aisne)
    Dallon
    Fontaine-lĂšs-Clercs Castres (Aisne) Grugies
    Contescourt Essigny-le-Grand

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 704 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, mise en service en 1933[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10] Ă  10,3 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  10,8 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Castres est une commune rurale[Note 5] - [13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (91,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (91,4 %), zones urbanisĂ©es (4,9 %), forĂȘts (3,6 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[19].

    Toponymie

    En 1143, Castres était désignée sous le nom de Castra, dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Crépin-le-Grand, et en 1584 sous le nom de Castre dans les actes de Claude Huart, notaire. Les noms de Castra, Castrum, ont fait supposer que Castres devait son origine à l'établissement d'un camp romain sur l'emplacement qui porte encore aujourd'hui le nom de Mont des Vignes.

    Histoire

    Castres, qui, avant la Révolution, appartenait au chapitre de Saint-Quentin, a eu pour seigneurs, en 1126, un nommé Hugues de Castres, et vers 1620, Charles de Postel, écuyer, seigneur de Castres ; femme Charlotte d'Y ; enfants : Françoise, Marie, femme de Sacques du Boulet, écuyer. Il est question aussi d'un chevalier de Castres nommé Charles-Antoine, et qui vivait au XVIIIe siÚcle, et d'un autre chevalier de Castres, en 1788.

    Giffécourt appartenait au XIIe siÚcle à un dénommé Boson, coûtre de Saint-Quentin Saint-Quentin. On y voyait alors un hÎpital qui fut détruit au XIVe siÚcle.

    Politique et administration

    La communauté d'agglomération du Saint-Quentinois dans le département de l'Aisne.

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de l'Aisne.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Simon[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Saint-Quentin-3.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le 9 février 1960, rassemblant à l'origine 11 communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles[21].

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous rĂ©serve de certaines dĂ©rogations bĂ©nĂ©ficiant aux territoires de trĂšs faible densitĂ©), le prĂ©fet de l'Aisne a adoptĂ© un nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale par arrĂȘtĂ© du 30 mars 2016[22] qui prĂ©voit notamment la fusion de la communautĂ© de communes du canton de Saint-Simon et de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[23].

    Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[24].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1814 1815 Jean Pierre Louis Mounoury
    1816 1837 Jean Thomas Monfourny
    1837 1847 Jean Baptiste Mounoury
    1848 1852 Louis François Joseph Ducrot
    1852 1855 Jean Baptiste Fortuné Mounoury
    1855 1859 Isidore Crescent Gobeaut
    1859 1871 LĂ©on Charles Blanchart
    1871 1878 Jean Louis Aimé Clément
    1879 1880 Louis Jules Olivier Mounoury
    1881 1887 Quentin Amédé Racine
    1888 1903 Lucien Dupont
    1905 1913[26] Hippolyte Delanchy Démissionnaire en juin 1913, intérim par Benoit Martin
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 mars 2001 Robert Accart
    mars 2001 février 2012[27] Gérard Savoye[28] Démissionnaire
    mars 2012[27] En cours
    (au 23 mai 2020)
    Jean-Marie Accart SE retraité de la police nationale
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[29] - [30] - [31]

    DĂ©mographie

    En 1760, on dĂ©nombrait 40 feux. L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[33].

    En 2020, la commune comptait 251 habitants[Note 7], en augmentation de 3,72 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    335380354394422405468489463
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    396425366372360357402377343
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    322319282104120135137137133
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    197183170141156164213234244
    2020 - - - - - - - -
    251--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Quentin.
    • Monument aux morts.
    • Plaque commĂ©morative victimes de guerre sur la façade de l'Ă©glise.
    • Dans l'ancien cimetiĂšre : les croix des fosses communes de soldats français et de soldats allemands de la guerre 1870-1871.
    • Église Saint-Quentin.
      Église Saint-Quentin.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Plaque commĂ©mo-rative victimes de guerre.
      Plaque commémo-
      rative victimes de guerre.
    • Croix des soldats français 1870-1871.
      Croix des soldats français 1870-1871.
    • Croix des soldats allemands 1870-1871.
      Croix des soldats allemands 1870-1871.

    HĂ©raldique

    Blason de Castres Blason
    Parti : au 1er échiqueté d'or et d'azur au casque de légionnaire romain de gueules brochant sur le tout, au 2e d'azur à la fasce ondée d'or chargée d'une touffe d'herbe de sinople, accompagnée en chef de deux clous de la Passion d'or[35].
    DĂ©tails
    Le premier est aux armes du Vermandois, sur lesquelles broche un casque romain rappelant que le village aurait pour origine un camp romain. Le second, avec la fasce ondée et la touffe d'herbe désignent la vallée de la Somme qui traverse la commune. Les clous représentent saint Quentin, patron de l'église locale mais évoquent également le fait que le village fut propriété du chapitre de Saint-Quentin.

    Création de Laurent Lailly adoptée en 2018.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Méximien Melleville, Dictionnaire historique du département de l'Aisne, (lire en ligne), p. 128
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station météofrance Saint-Quentin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Castres et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    14. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le )
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    21. Loïc Rossignol, « Mise en place d'un service de transport à la demande : position de l'exploitant » [PDF], sur https://dumas.ccsd.cnrs.fr, (consulté le ), p. 25.
    22. « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2016 portant SchĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, PrĂ©fecture de l'Aisne (consultĂ© le ).
    23. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
    24. PrĂ©fecture de l'Aisne, « ArrĂȘtĂ© n°2016-1077 en date du 15 dĂ©cembre 2016 portant fusion de la communautĂ© d’agglomĂ©ration de Saint-Quentin et de la communautĂ© de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la prĂ©fecture de l'Aisne du mois de dĂ©cembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur http://www.aisne.gouv.fr/, (consultĂ© le ), p. 55-59.
    25. « Les maires de Castres », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    26. Journal de la ville de Saint Quentin 15/06/1913
    27. « Jean-Marie Accart a Ă©tĂ© Ă©lu maire », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    28. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Liste des maires Préfecture de l'Aisne, consulté le 7 juillet 2008
    29. « Jean-Marie Accart veut continuer l’aventure », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
    30. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
    31. « Jean-Marie Accart et ses deux adjoints poursuivent l’aventure Ă  Castres », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consultĂ© le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « 02142 Castres (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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