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Carte mère

La carte mère est le circuit imprimé qui supporte la plupart des composants et des connecteurs nécessaires au fonctionnement d'un compatible PC. Elle est essentiellement composée de circuits imprimés et de ports de connexion qui assurent la liaison de tous les composants et périphériques propres à un micro-ordinateur (disques durs (HDD/SSD), mémoire vive (RAM Random acces memory), microprocesseur, cartes filles, etc.) afin qu'ils puissent être reconnus et configurés par le microprocesseur grâce au programme contenu dans le BIOS (basic input output system) devant effectuer la configuration et le démarrage correct de tous les équipements.

Carte mère
Une carte mère avec au centre à gauche en blanc le support du microprocesseur, en bleu deux connecteurs mémoire, à droite les connecteurs (PCI) pour les cartes d'extension.
Type
System board (d), matériel informatique
Fabrication
Fabricant
Asus, Intel, Gigabyte technologie, Asrock, NZXT, EVGA
Utilisation
Usage
Support de configuration

Introduction

Une carte mère de station de travail professionnelle Dell Precision T3600.

C'est la carte principale d'un micro-ordinateur qui regroupe les circuits principaux pour l'alimentation et les données (bus) sous contrôle du chipset et du BIOS tels que :

  • les ports internes sous forme de pin (microprocesseur, PCIE 6 ou 8 pin courant, ventilateur, 24 pin de la carte mère LED) ;
  • les slots pour les cartes optionnelles (ISA, AGP, PCI, PCI Express, etc., RAM, DDR, disque SSD / flash la mĂ©moire)
  • les connecteurs externes utilisant un câble (ethernet, spdif, jack audio, USB, HDMI, Display port, etc. RJ45 modem) ;
  • les connecteurs internes utilisant un câble (câble SLI entre carte graphique, câble IDE, SCSI SATA pour le stockage des donnĂ©es.

Organisation générale

Depuis sa création, la carte mère s'est sans cesse enrichie de nombreuses fonctionnalités. Parmi celles-ci, on peut citer entre autres :

Ces fonctionnalités, qui n'étaient disponibles que par le biais de cartes d'extension jusque dans les années 1990, se retrouvent aujourd'hui sous forme de circuit intégré. sur la majorité des cartes mères. Néanmoins, certaines cartes [1] existent encore car embarquent des fonctionnalités supplémentaires (Wi-Fi sous forme de carte PCI ou USB, carte mère avec sortie graphique grâce à GPU gérée par CPU (chez Intel les modèle F non pas d'igpu d'Intel, chez AMD les modèles ont un apu ).

Structure

Les différentes connexions (câble, piste dans circuit électrique) quels que soient leurs buts (transport de données ou de courant) utilisent soit une variation de tension soit une variation de courant. L'évolution de l'informatique consiste pour chaque composant à réduire la taille et augmenter la vitesse de communication tout en évitant les températures élevées (dissipateur, ventirad, ventilateur VRM/CPU/Carte graphique). Le clavier (Téléscripteur) utilisant des cartes à perforer et une imprimante papier a été remplacé par un écran cathodique, un clavier et un magnétocassette. Le système de calcul par roues (pascaline, machine de Babbage, système anglais de décodage « Bombe ») a été remplacé par des lampes (ENIAC) puis des transistors (Busicom ).

Connecteurs Ă©lectriques

Connecteurs :
- ATX 24 pins (blanc)
- IDE (bleu).
Les deux connecteurs AT.

Ces connecteurs permettent d'acheminer le courant électrique du bloc d'alimentation vers la carte mère. Chaque carte en compte deux :

  • le connecteur 24 pins de type ATX : c'est l'alimentation principale de la carte. Comme son nom l'indique, cette prise compte 24 broches qui permettent d'acheminer les diffĂ©rentes tensions d'alimentation vers la carte. En effet, tous les composants d'une carte mère ne fonctionnent pas Ă  la mĂŞme tension Ă©lectrique. C'est pourquoi l'alimentation dĂ©livre trois tensions diffĂ©rentes : +12 V, +V et +3,3 V[2] ;
  • le connecteur quatre ou huit pins pour CPU : ce connecteur de forme carrĂ©e compte seulement quatre ou huit broches. Il permet d'assurer l'alimentation Ă©lectrique du processeur. Il dĂ©livre une tension de +12 V[2].

Il existe aussi d'autres types de connecteurs électriques comme ceux adaptés aux cartes de classe AT (qui sont moins pratiques car leur inversion causerait de graves dégâts).

Support processeur

Le support processeur (ou socket en anglais) est le connecteur spécifique du processeur. S'il est dit « libre » (ZIF, Zero Insertion Force en anglais) il permet d'insérer et de retirer le processeur simplement en soulevant le levier de verrouillage présent sur son côté afin de débloquer le socket aisément pour installer ou retirer le processeur. Ce système présent sur toutes les cartes mères récentes permet une grande modularité puisque l'on peut y installer tout processeur compatible avec le brochage. En pratique, certaines contraintes s'imposent, à savoir :

Marque du processeur
Aujourd'hui, les deux principaux constructeurs de processeurs sont Intel et AMD. Ces deux entreprises utilisent chacune un type de processeur différent de par ses caractéristiques physiques. Chez AMD, les processeurs sont couverts de petites broches de connexion sur leur face inférieure et le socket correspondant est percé de trous dans lesquels vient s'enficher le processeur. Intel utilise la technique inverse, c'est-à-dire que les broches de connexion se trouvent sur le socket alors que la surface inférieure du processeur est couverte de petites surfaces de contact. En 2020, AMD utilise le socket AM4 pour ses processeurs, Intel utilise le socket LGA 1151 pour les principaux processeurs Grand-Public (Génération Skylake pour les : Pentium / Core I3 / Core I5 / Core I7).
Génération du processeur
Chaque nouvelle génération de processeur (que ce soit chez Intel et AMD) utilise un socket légèrement différent (de par le placement des broches de connexion). De ce fait, chaque nouvelle génération n'est pas rétrocompatible avec la précédente ce qui oblige l'utilisateur à changer de carte mère lorsqu'il veut installer un processeur qui n'est pas compatible avec la carte qu'il possède déjà.

Chipset

Description d'un microprocesseur.

Pour faire cohabiter et fonctionner tous ces composants, la carte mère utilise un circuit spécifique appelé chipset. Celui-ci se divise en deux parties distinctes :

  • le « pont nord » (en anglais northbridge), pour les pĂ©riphĂ©riques « rapides » (mĂ©moire, PCI Express, etc.). Dans certains microprocesseurs, cette partie de chipset est intĂ©grĂ©e depuis 2011[3] ;
  • le « pont sud » (en anglais southbridge) pour les pĂ©riphĂ©riques « lents » (PCI, disques durs et SSD… Depuis 2011, il ne sert que de contrĂ´leur de stockage USB/SATA[3].).

Bus

Les bus pont nord et pont sud du microprocesseur (cf. image ci-contre), utilisent chacun un bus spécifique de la carte mère allant vers la mémoire et les périphériques (internes et externes).

Depuis les années 1990, la carte mère s'est dotée du bus PCI qui permet de connecter toutes les cartes d'extensions. Ce bus PCI se décline en deux versions de vitesses différentes : le plus rapide étant le PCI Express dédié, entre autres, aux cartes graphiques.

Les bus externes (E-SATA, USB, HDMI, etc.) sont reliés au bus PCI via des connecteurs de la carte mère ou les panneaux d’accès externes.

Depuis les années 2000, le constructeur AMD utilise lui le bus Hypertransport, pour relier le processeur aux banques de mémoire, à l'instar d'Intel qui utilise lui un bus QPI (QuickPath Interconnect).

BIOS et UEFI

Fonctionnement synthétique de l'EFI (Extensible Firmware Interface).

Lors du démarrage, la carte mère a besoin de savoir quels périphériques lui sont connectés. Pour effectuer cette tâche, elle dispose d'un firmware initialement appelé BIOS (de l'anglais Basic Input Output System « signifiant système d'entrée/sortie de base ») ou sur les ordinateurs plus récents de son équivalent l'UEFI. L'un et l'autre sont contenus dans une puce de « mémoire morte » (initialement ROM puis EEPROM (ou EPROM)) soudée à même la carte mère. Le microprocesseur lance ce code automatiquement lorsque la carte est mise sous tension — autrement dit, lorsque l'utilisateur allume son ordinateur :

BIOS
Le microprocesseur utilise le code contenu dans le BIOS pour configurer chaque périphérique connecté à la carte mère (mémoire vive, disques durs, cartes d'extension, etc.). Si le microprocesseur ne peut pas afficher un message d'erreur, ni lancer le « configurateur du BIOS », la carte émet une série de bips qui permettent d'informer l'utilisateur du problème empêchant de continuer (entre autres si l'écran, le clavier ou la souris n'ont pas été détectés) — ces signaux sont propres à chaque carte. La signification de l'erreur liée à cette série de bips est précisée dans le manuel de la carte mère.
Lorsque tous les périphériques ont été configurés, le microprocesseur exécute les instructions contenues dans le master boot record trouvé sur le périphérique identifié comme celui contenant le premier système disponible contenu dans un des périphériques de stockage de masse (CDROM, disque dur, SSD, clé USB, etc.).
UEFI
L'UEFI est le nouveau type de BIOS liĂ© aux Ă©volutions technologiques depuis les annĂ©es 2000. Un consortium de constructeurs a mis au point un nouveau standard de firmware (micrologiciel intermĂ©diaire entre les Ă©lĂ©ments composants de la carte mère et le système d'exploitation). L'UEFI (de l'anglais Unified Extensible Firmware Interface) offre quelques avantages sur le BIOS : fonctionnalitĂ©s rĂ©seau en standard, interface graphique haute rĂ©solution, gestion intĂ©grĂ©e d'installations multiples de systèmes d’exploitation et affranchissement de la limite des disques Ă  2,2 To. L'UEFI est Ă©crit en langage C.

Connecteurs mémoire

Slots de connexion pour la mémoire vive (en noir et jaune).

On parle ici des slots de "RAM: Random Access Memories"

Disposés à proximité du support du processeur, les connecteurs mémoire (slots en anglais) se trouvent au nombre de deux, quatre, six ou plus rarement huit. De forme longiligne, ils se distinguent des autres connecteurs par la présence d'ergots de sécurité à leurs deux extrémités et d'un détrompeur évitant d'insérer la carte à l'envers. Ils permettent de connecter les barrettes de mémoire vive sur la carte mère.

On dit DDR (Double Data Rate) pour parler de la structure actuelle des RAM.

En 2016, les slots mémoire accueillent des barrettes de mémoire au format DDR3 ou DDR4.

En 2020, avec l'avènement de la PS5 et de la XBox Series X, les mémoires GDDR6 (pouvant d'une manière théorique communiquer à la bande passante record de 450Go/s, soit pour comparaison faire passer toutes les données d'un film de 2 heures de haute qualité en 1 seconde)[4].

Slot d'extension

Situés vers le bas de la carte mère, ces gros connecteurs servent à connecter les cartes d'extension sur la carte mère, afin de lui rajouter de nouvelles fonctionnalités. On retrouve plusieurs types d'interfaces permettant de connecter des cartes d'extension :

  • le bus ISA (Industry Standard Architecture) : crĂ©Ă© Ă  la base par IBM, ce fut le tout premier bus informatique interne utilisĂ© pour la connexion de cartes d'extension. Il a disparu des cartes mères depuis les annĂ©es 1990 au profit d'un bus plus compact (d'un point de vue physique) et aussi plus rapide : le PCI ;
  • le bus PCI (Peripheral Component Interconnect) : apparu en 1994, c'est le descendant du bus ISA. Il est toujours prĂ©sent aujourd'hui (annĂ©es 2010) mais dans une version plus rapide et compacte : le bus PCI Express ;
  • le bus AGP (Accelerated Graphics Port) : lancĂ© en 1997 par Intel, c'Ă©tait un bus rĂ©servĂ© aux cartes graphiques, crĂ©Ă© afin de s'affranchir du bus PCI que le fondeur jugeait trop lent pour l'affichage en 3D temps rĂ©el. Il n'est aujourd'hui plus prĂ©sent sur nos cartes mères car il a Ă©tĂ© remplacĂ© par le bus PCI Express, plus rapide et plus apte Ă  supporter les cartes graphiques (bien qu'il soit aussi capable de supporter d'autres types de cartes).

Connecteurs de stockage

Connecteur Floppy.

Les connecteurs de stockage sont des connecteurs spécifiques présents sur toutes les cartes mères, permettant de lui adjoindre des périphériques de stockage de masse (disque dur, lecteur de disque optique, disque SSD). On en trouve trois types :

  • le connecteur Floppy : il permet de connecter un lecteur de disquettes Ă  la carte mère. C'est une interface assez ancienne que l'on ne trouve plus sur les cartes mères depuis la fin des annĂ©es 2010 (les clĂ©s USB ont eu beaucoup de succès). NĂ©anmoins, il existe des lecteurs de disquettes qui peuvent se raccorder Ă  l'ordinateur en USB ;
Connecteurs SATA.
  • les connecteurs IDE (aussi appelĂ©s PATA pour Parallel ATA) : ces connecteurs, qui sont plus longs que les connecteurs floppy (mĂŞme s'ils leur ressemblent au premier abord), permettent de connecter deux types de pĂ©riphĂ©riques : les disques durs IDE et les lecteurs/graveurs de disques optiques Ă  connectique IDE. Cette interface crĂ©Ă©e en 1986 a Ă©tĂ© remplacĂ©e par le SATA, plus petit et plus rapide ;
  • les connecteurs SATA (pour Serial ATA) : ils permettent de connecter trois types de pĂ©riphĂ©riques : les disques durs SATA, les SSD et les lecteurs-graveurs de disques optiques (DVD) et Blu-Ray. Cette interface crĂ©Ă©e en 2003 est actuellement en version 3 ;
  • les connecteurs M.2 : amĂ©lioration du connecteur mSATA, ces connecteurs lancĂ©s vers 2013 sont destinĂ©s a accueillir des cartes filles de type : disques de stockage SSD / WIFI / Bluetooth, etc.

Panneau d'entrées/sorties

Panneau d'entrées/sorties d'une carte mère.

Le panneau d'entrées/sorties (en anglais I/O Panel (Input/Output Panel)) est une interface qui regroupe tous les connecteurs d'entrée/sortie. Ces connecteurs, qui respectent la norme PC 99, permettent à l'utilisateur de connecter des périphériques externes à l'ordinateur (comme un écran, un clavier, une souris, un kit d'enceintes ou une imprimante). On retrouve plusieurs types de connecteurs :

  • les ports USB (Universal Serial Bus) permettent de connecter la quasi-totalitĂ© du matĂ©riel rĂ©cent (clĂ©s USB, imprimantes, etc.). La norme USB est apparue en 1996 et est toujours prĂ©sente aujourd'hui ; les cartes mères proposent, en 2016, des ports USB en version 3.0 (Gbit/s) repĂ©rables Ă  leurs connecteurs bleus ;
  • le connecteur RJ45 permet de connecter l'ordinateur Ă  un rĂ©seau informatique câblĂ© ; en 2016, la prise est Ă  la norme 1000BASE-T ;
  • le connecteur VGA (Video Graphics Array) : ce connecteur vidĂ©o analogique permet de relier un Ă©cran Ă  l'ordinateur. Ce connecteur est reliĂ© Ă  l'IGP (Integrated Graphics Processor) du processeur (qui est une sorte de petite carte graphique intĂ©grĂ©e au processeur ; tous les processeurs modernes en ont un) ;
  • le connecteur DVI (Digital Visual Interface) : ce connecteur vidĂ©o numĂ©rique permet de relier un Ă©cran Ă  l'ordinateur. Il est lui aussi reliĂ© Ă  l'IGP du processeur ;
  • le connecteur HDMI : ce connecteur numĂ©rique gère l'audio et la vidĂ©o en haute dĂ©finition. Il permet de connecter un Ă©cran haute dĂ©finition Ă  l'ordinateur ;
  • le connecteur DisplayPort : ce connecteur vidĂ©o numĂ©rique gère l'audio et la vidĂ©o en haute dĂ©finition (comme l'HDMI). Il permet de connecter un Ă©cran haute dĂ©finition Ă  l'ordinateur ;
  • les connecteurs audio analogiques : connecteurs jack 3.5 mm prĂ©sents sur le bord du panneau. Ils permettent de relier un système audio Ă  l'ordinateur (comme un kit d'enceintes, un casque audio) ou un microphone, de façon analogique ;
  • les connecteurs audio numĂ©riques (SPDIF) : ils permettent de relier un système audio Ă  l'ordinateur, via un flux de donnĂ©es numĂ©rique (bitstream) ;
  • le connecteur Firewire (IEEE1394) : il permet de relier certains pĂ©riphĂ©riques Ă  l'ordinateur (disques durs externes, camĂ©scopes, etc.).

Fabricants

En 2018, Les principaux fabricants de cartes mères sont :

Carte multiprocesseur

Une carte mère équipée de deux processeurs.

Une carte multiprocesseur (comme son nom l'indique) peut accueillir plusieurs processeurs physiquement distincts (généralement 2, parfois quatre, rarement plus). Ces cartes relativement onéreuses sont principalement utilisées dans les architectures serveur ou les superordinateurs. En effet, la présence de deux processeurs permet de doubler la puissance de calcul de la machine. Pour gérer deux processeurs ensemble, deux techniques existent :

  • La gestion asymĂ©trique : avec cette mĂ©thode, chaque processeur se voit attribuer une tâche diffĂ©rente. Cela permet de confier une tâche Ă  un processeur alors que le second est occupĂ© Ă  autre chose.
  • La gestion symĂ©trique : avec cette mĂ©thode, chaque tâche est rĂ©partie Ă©galement sur chaque processeur (c'est-Ă -dire que chaque processeur se charge d'une moitiĂ© de la tâche)

Le système d'exploitation Linux permet la gestion symétrique de deux processeurs depuis la sortie du noyau Linux version 2.6 (2003).

Différents formats de carte mère

Au fur et à mesure de l'évolution de l'informatique, plusieurs formats standardisés de carte mère ont vu le jour. Voici les principaux :

  • AT (1984) : 305 mm Ă— 279–330 mm (IBM) (format largement supplantĂ© depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000 par le format ATX) ;
    • Baby-AT (1985) : 216 mm Ă— 254–330 mm ;
  • ATX (1995) : 305 mm Ă— 244 mm (Intel) ;
    • microATX (1996) : 244 mm Ă— 244 mm,
    • FlexATX (1999) : 228,6 mm Ă— 190,5 mm,
    • E-ATX : 305 mm Ă— 330 mm[5],
    • Mini-ATX (2005) : 150 mm Ă— 150 mm ;
  • ITX (2001) : 215 mm Ă— 191 mm (VIA) ;
    • Mini-ITX (2001) : 170 mm Ă— 170 mm max.,
    • Nano-ITX (2003) : 120 mm Ă— 120 mm,
    • Pico-ITX (2007) : 100 mm Ă— 72 mm max. ;
  • BTX (2004) : 325 mm Ă— 267 mm max. (Intel) ;
    • MicroBTX (2004) : 264 mm Ă— 267 mm max.,
    • PicoBTX (2004) : 203 mm Ă— 267 mm max. ;
  • DTX (2007) : 203 mm Ă— 244 mm max. (AMD) ;
    • Mini-DTX (2007) : 170 mm Ă— 203 mm max.

Notes et références

  1. Début des années 2010.
  2. Thomas Olivaux, « Électronique, Électricité le rôle de chaque composant dans nos PC », Hardware Magazine, no 71,‎ , p. 105–107.
  3. Samuel Demeulmeester, « Cartes mères : faut-il encore s'en préoccuper ? », Canard PC Hardware, no 17,‎ , p. 66–67 (ISSN 2264-4202).
  4. (en-US) Nick Sinclair, « What RAM does the PS5 have? », sur Career Gamers (consulté le )
  5. Cartes mères : attention aux formats, sur tomshardware.fr, 6 septembre 2017 (consulté le 10 septembre 2017).

Voir aussi

Articles connexes

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