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Modem

Le modem (acronyme, pour modulateur-démodulateur[1]) est un périphérique informatique, qui relie un ordinateur à un réseau analogique, comme le réseau téléphonique classique. Il convertit les données numériques de l’ordinateur en signal modulé, dit « analogique », transmissible par un réseau analogique et réciproquement.

Six boitiers de modem externes, les uns sur les autres.
Carte mère d'un modem

Technologie

L'un des premiers modèles commerciaux de modem de la firme CXR Anderson Jacobson dans les années 1970. Le combiné du téléphone devait être posé sur les supports.

Un modem est un dispositif électronique, disponible en boîtier indépendant ou en carte à insérer dans un ordinateur, qui permet de faire circuler (réception et envoi) des données numériques sur un canal analogique. Il effectue la modulation : codage des données numériques, synthèse d’un signal analogique qui est en général une fréquence porteuse modulée. L’opération de démodulation effectue l’opération inverse et permet au récepteur d’obtenir l’information numérique.

On parle de modem pour désigner les appareils destinés à faire communiquer des machines numériques entre elles (ex. : ordinateurs, systèmes embarqués), à accéder à Internet, à envoyer ou recevoir des télécopies, à faire de la téléphonie numérique, et ce à travers un réseau analogique (réseau téléphonique commuté, réseau électrique, réseaux radios…).

En automatisme industriel, on parle aussi beaucoup de modems pour les « machines » : machines d'emballage, chaudières collectives, stations d'épuration... Dans ce cas précis, on vient, via Internet, modifier à distance le programme des automates de gestion de ces « machines ». Ceci se fait par le biais de modem-routeurs souvent associés à un logiciel assurant une liaison sécurisée (VPN).

Depuis la fin des années 1990, de nombreuses normes de télécommunications sont apparues et, donc autant de nouveaux types de modems : RNIS (ou ISDN), ADSL, GSM, GPRS, Wi-Fi, Wimax…

Histoire

Les modems ont été utilisés pour la première fois dans le système américain de défense aérien SAGE à la fin des années 1950. Le but était de connecter des terminaux situés sur des bases aériennes, des sites de radars et les centres de commande et de contrôle aux centraux SAGE éparpillés aux États-Unis et au Canada. SAGE utilisait un système de lignes dédiées mais les équipements à leur extrémités étaient similaires aux modems modernes.

IBM était le principal fournisseur de SAGE pour les ordinateurs et les modems. Quelques années plus tard, American Airlines et IBM donnèrent naissance à un réseau civil inspiré de SAGE qui offrait un système automatique de billetterie, pour lequel les terminaux placés dans les agences vendant les billets, étaient reliés à un ordinateur central chargé de gérer les disponibilités et le calendrier. Le système, connu sous le nom de « Sabre », est un parent éloigné du système moderne Sabre.

Durant des années, le développement de nouvelles technologies de communication a permis une large multiplication des modems de manière indirecte. La France fut, durant près d’une décennie, le pays disposant du nombre de modems par habitant le plus élevé, à cause de la forte diffusion de terminaux Minitel qui intégraient un modem dans chacun d'eux. Le fax a lui aussi joué un rôle dans cette évolution.

Modem pour l'accès à Internet par ligne commutée

Caractéristiques

La principale caractĂ©ristique d’un modem, c’est sa vitesse de transmission. Celle-ci est exprimĂ©e en bits par seconde (bit/s, b/s ou bps) ou en kilobits par seconde (kbit/s, kb/s ou kbps) (ne pas confondre bps [bits par seconde] et Bps [bytes par seconde, c’est-Ă -dire octets par seconde]). Quand il se connecte, le modem fait un bruit reconnaissable[2]. Les modèles successifs de modem ont proposĂ© des dĂ©bits croissants : 150, puis 300, puis 600, puis 1 200 bit/s ; puis 4,8 ou 9,6 ou 14,4 ou 28,8 ou 33,6 ou 56 kbit/s. La norme 56 kbit/s est devenue un standard ; Ă  ce dĂ©bit, on arrive près des limites thĂ©oriques de dĂ©bit d’information pour une ligne tĂ©lĂ©phonique utilisant une seule frĂ©quence porteuse. Pour des dĂ©bits plus Ă©levĂ©s, des systèmes utilisant des porteuses multiples ont Ă©tĂ© mis au point, tels l’ADSL qui nĂ©cessitent l’utilisation de modems spĂ©cifiques.

Types de modulation

Différents types de modulation sont utilisés dans les modems :

  • la modulation d’amplitude (AM, Amplitude Modulation) ; celle-ci sera par exemple rĂ©alisĂ©e Ă  l’aide d’un multiplicateur analogique recevant sur une entrĂ©e la porteuse, sur l’autre le signal numĂ©rique Ă  transporter ;
  • la modulation de frĂ©quence (FSK, Frequency Shift Keying) ; les diverses frĂ©quences peuvent ĂŞtre obtenues Ă  l’aide d’un VCO (Voltage-Controlled Oscillator, peu prĂ©cis) ou par traitement numĂ©rique d’un signal produit par une horloge Ă  quartz (division de frĂ©quence, synthèse numĂ©rique…) ;
  • la modulation de phase diffĂ©rentielle (DPSK, Differential Phase Shift Keying) : Ă  la fin de chaque cycle de la porteuse, un changement de phase de 180° reprĂ©sente un bit 0, pas de changement de phase un bit 1 ; ceci peut ĂŞtre obtenu en plaçant Ă  la sortie de l’oscillateur gĂ©nĂ©rant la porteuse un inverseur et un commutateur qui sĂ©lectionne, Ă  chaque passage par 0 de la porteuse, soit la sortie directe, soit la sortie inversĂ©e ;
  • modulation d’amplitude et de phase combinĂ©es (QAM, Quadrature Amplitude Modulation) : on crĂ©e deux sinusoĂŻdes de mĂŞme frĂ©quence mais dĂ©phasĂ©es de 90° ; les deux signaux sont combinĂ©s en leur donnant des amplitudes adĂ©quates ; une des normes prĂ©cise seize combinaisons possibles (trois niveaux d’amplitude, douze dĂ©phasages) ; l’ensemble des combinaisons constituent ce que l’on appelle une constellation ; une constellation de 16 points permet de transmettre l’état de 4 bits simultanĂ©ment, c’est ce qui permet une cadence plus Ă©levĂ©e que les autres systèmes dĂ©crits ci-dessus, qui ne transmettent qu’un bit Ă  la fois ;
  • une variante de la QAM est le codage en treillis ; on utilise ici une constellation de 32 Ă©tats, ce qui devrait permettre la transmission simultanĂ©e de 5 bits ; mais le 5e bit est un bit de vĂ©rification, qui assure une protection renforcĂ©e contre les erreurs de transmission ; on transmet donc, comme en QAM, l’état de 4 bits ;
  • les modems 56 kbit/s sont conçus pour travailler dans l’environnement des rĂ©seaux numĂ©riques ; ils utilisent la modulation par impulsions codĂ©es (PCM, Pulse Code Modulation) pour convertir le signal modulĂ© en sĂ©quence numĂ©rique : l’amplitude est mesurĂ©e 8 000 fois par seconde, avec une rĂ©solution de 8 bits ; le dĂ©bit thĂ©orique devrait atteindre 64 kbit/s, mais le dĂ©bit rĂ©el se situe gĂ©nĂ©ralement entre 40 et 56 kbit/s, selon l’état de la ligne de transmission.

Structure

Structure d'un modem

Un modem comporte les blocs suivants :

  • un modulateur, pour moduler une porteuse qui est transmise par la ligne tĂ©lĂ©phonique ;
  • un dĂ©modulateur, pour dĂ©moduler le signal reçu et rĂ©cupĂ©rer les informations sous forme numĂ©rique ;
  • un circuit de conversion 2 fils / 4 fils : le signal du modulateur est envoyĂ© vers la ligne tĂ©lĂ©phonique alors que le signal arrivant par la ligne tĂ©lĂ©phonique est aiguillĂ© vers le dĂ©modulateur ; c’est grâce Ă  ces circuits, disposĂ©s de part et d’autre de la ligne tĂ©lĂ©phonique, que les transmissions peuvent se faire en duplex intĂ©gral (full duplex, c’est-Ă -dire dans les deux sens Ă  la fois) ;
  • un circuit d’interface Ă  la ligne tĂ©lĂ©phonique (DAA, Data Access Arrangement) constituĂ© essentiellement d’un transformateur d’isolement et de limiteurs de surtensions.

Ces circuits seraient suffisants pour transmettre des informations en mode manuel ; toutes les opérations telles que décrochage de la ligne, composition du numéro… sont alors effectuées par l’utilisateur. Afin de permettre un fonctionnement automatisé, où toutes les tâches sont effectuées sous le contrôle d’un logiciel de communication, les modems comportent généralement quelques circuits auxiliaires :

  • un circuit de composition du numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone ; on peut gĂ©nĂ©ralement spĂ©cifier composition par impulsions ou par tonalitĂ©s (DTMF, Dual Tone Multiple Frequency) ;
  • un circuit de dĂ©tection de sonnerie ; ce circuit prĂ©vient l’ordinateur lorsque le modem est appelĂ© par un ordinateur distant ;
  • un dĂ©tecteur de tonalitĂ©s, qui dĂ©tecte les diffĂ©rentes tonalitĂ©s indiquant que la ligne est libre, occupĂ©e, en dĂ©rangement, etc. ;
  • un circuit d'identification de l'appelant ou caller-ID.

Signaux de contrĂ´le

Les différents signaux échangés entre un ordinateur (DTE, Data Terminal Equipment) et un modem (DCE, Data Communications Equipment) sont précisés dans la norme RS.232/V.24 :

  • les donnĂ©es Ă  transmettre arrivent au DCE par la ligne Émission ;
  • les donnĂ©es reçues par le DCE apparaissent sur la ligne RĂ©ception ;
  • DSR (Data Set Ready, modem prĂŞt) est au niveau actif quand le DCE est alimentĂ© et raccordĂ© Ă  une ligne tĂ©lĂ©phonique ;
  • DTR (Data Terminal Ready, ordinateur prĂŞt) est actif quand le DTE est prĂŞt ;
  • RTS (Request To Send, demande d’émission) est activĂ© par le DTE lorsqu’il veut envoyer des donnĂ©es ;
  • CTS (Clear To Send, prĂŞt Ă  Ă©mettre) est activĂ© par le DCE lorsqu’il a Ă©tabli la liaison et est prĂŞt Ă  recevoir les donnĂ©es Ă  transmettre ;
  • CD (Carrier Detect, porteuse dĂ©tectĂ©e) est activĂ© par le DCE lorsqu’il reçoit une porteuse provenant d’un autre DCE ;
  • RI (Ring Indicator, indicateur d’appel) est activĂ© par le DCE lorsqu’il reçoit un signal de sonnerie ;
  • la norme prĂ©voit aussi deux connexions de masse, une pour le signal (obligatoire), l’autre pour un blindage (facultatif).

Le connecteur prévu initialement était un connecteur série RS-232 25 broches, le DB-25. Toutefois, comme de nombreuses broches étaient inutilisées, la tendance actuelle est d’utiliser des connecteurs avec moins de broches, tels le DB-9 qui compte 9 broches[3].

Procédure typique d’émission

À titre d’exemple, montrons comment ces différents signaux peuvent être utilisés :

  • avant de dĂ©marrer une transmission de donnĂ©es, l’ordinateur A vĂ©rifie que le modem A est sous tension en vĂ©rifiant le niveau de DSR ;
  • l’ordinateur A donne l’ordre au modem A de former le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone ;
  • le modem appelĂ©, que nous nommerons B, dĂ©tecte la sonnerie et prĂ©vient l’ordinateur B auquel il est raccordĂ© en activant sa ligne RI ;
  • quand l’ordinateur B est prĂŞt Ă  recevoir les donnĂ©es, il active sa ligne RTS ;
  • le modem B active alors sa porteuse ;
  • le modem A dĂ©tecte la porteuse et prĂ©vient l’ordinateur A en activant CD ;
  • l’ordinateur A active RTS pour demander s’il peut commencer la transmission ;
  • le modem B rĂ©pond en activant CTS, et la transmission des donnĂ©es peut commencer.

Modem nul

Un adaptateur Null Modem.
Schéma des connexions des broches d'un câble null modem simple.

Pour transmettre des informations entre deux ordinateurs se trouvant dans la même pièce, il suffit de déconnecter les deux modems et de placer entre les deux ordinateurs un boîtier muni de deux connecteurs DB-25 ou DB-9 ; ce boîtier, dont la fonction est de remplacer les deux modems est appelé modem nul (Null Modem). À l’intérieur du boîtier, les broches des deux connecteurs sont reliées de la façon suivante[3] :

  • la broche Ă©mission A est raccordĂ©e Ă  la broche rĂ©ception B ;
  • la broche Ă©mission B est raccordĂ©e Ă  la broche rĂ©ception A ;
  • les broches CTS et RTS sont court-circuitĂ©es de chaque cĂ´tĂ© ;
  • DTR A va vers DSR B ;
  • DTR B va vers DSR A ;
  • la masse signal A va vers la masse signal B ;
  • parfois RTS A va aussi vers CD B et RTS B vers CD A ;
  • parfois, DTR A va aussi vers RI B et DTR B vers RI A.

Différents standards

L’UIT-T (Union Internationale des Télécommunications - standardisation des Télécommunications ; cet organisme était appelé jusqu’en 1992 CCITT, Comité Consultatif International Téléphonique et Télégraphique) a émis un certain nombre d’avis concernant le fonctionnement des modems. Ces avis spécifient les conditions de fonctionnement des appareils : vitesses de transmission autorisées, types de modulation, systèmes de compression et/ou de détection d’erreurs éventuelles ; ils constituent en réalité des normes qui sont respectées par de nombreux constructeurs. Ci-après quelques normes importantes :

  • norme V.21 : dĂ©bit de 300 b/s en duplex intĂ©gral (full-duplex, les 2 sens simultanĂ©ment) ; modulation FSK ; mode asynchrone ; frĂ©quences utilisĂ©es : 980 et 1 180 Hz (pour le 0 et le 1) dans un sens, 1 650 et 1 850 Hz dans l’autre sens ;
  • norme V.22bis : dĂ©bit de 2 400 b/s en duplex intĂ©gral ; mode asynchrone ou synchrone ; frĂ©quences porteuses de 1 200 Hz dans un sens, 2 400 Hz dans l’autre ; modulation QAM avec une constellation de 16 points ;
  • norme V.23 : dĂ©bit de 1 200 b/s descendant pour 75 bits montant, norme utilisĂ©e par le Minitel ;
  • norme V.32 : dĂ©bit de 9 600 b/s en duplex intĂ©gral ; porteuse Ă  1 800 Hz Ă  la fois pour l’émission et la rĂ©ception (donc nĂ©cessitĂ© de prĂ©voir des suppresseurs d’échos pour Ă©viter une interfĂ©rence entre les signaux se propageant dans les 2 sens) ; modulation Ă  2 400 bauds, avec une constellation de 32 points ; on transmet donc 5 bits par intervalle, mais le 5e bit Ă©tant redondant, la vitesse effective est 4 Ă— 2 400, soit 9 600 b/s ;
  • norme V.32bis : dĂ©bit de 14,4 kb/s ; modulation QAM ou treillis ;
  • norme V.32terbo : dĂ©bit 14,4, 16,8 ou 19,2 kb/s ; modulation DPSK et treillis ;
  • norme V.FAST : dĂ©bit de 28,8 kb/s ;
Modem données/télécopies V.34 comme PC-Card pour notebook
  • norme V.34 : dĂ©bit de 28,8 kb/s ;
  • norme V.90 : dĂ©bit de 56 kb/s pour la liaison descendante (downstream, vers l’utilisateur), mais 33,6 kb/s pour la liaison montante (upstream, vers le rĂ©seau) ; on a donc une liaison asymĂ©trique, comme pour l’ADSL ;
  • norme V.92 : dĂ©bit descendant jusqu’à 56 kb/s, et dĂ©bit montant jusqu’à 48 kb/s. V92 ajoute aussi quelques fonctions supplĂ©mentaires (exemple : V44 plus performante que V42, prise d’appel tĂ©lĂ©phonique…).

Plus la vitesse de transmission est élevée, plus petit est l’écart entre les différents états de la ligne. Le taux d’erreurs a donc tendance à augmenter, particulièrement lorsque la ligne de transmission est perturbée. Ceci a amené la mise au point de normes pour détecter et corriger les erreurs, telles que les normes V.42 et MNP 1 à MNP 4 (ces dernières normes ont été mises au point par la firme Microcom).

Par ailleurs, comme, avec la norme V.90, on arrive près de la vitesse de transfert théorique maximum d’une ligne téléphonique standard, on a mis au point des techniques permettant d’augmenter le débit en procédant, avant l’envoi, à une compression des données :

  • la norme V.42bis, qui utilise la technique de compression BTLZ, permet de rĂ©duire jusqu'Ă  4 fois la quantitĂ© d'information Ă  transmettre ;
  • la norme MNP 5 permet de doubler le dĂ©bit ;
  • la norme MNP 6 dĂ©crit la procĂ©dure d’établissement de la vitesse de transmission ; chaque modem commence par se connecter Ă  sa vitesse la plus basse (gĂ©nĂ©ralement 2 400 b/s), puis augmente progressivement sa cadence jusqu’à ce que l’autre modem ne suive plus ;
  • la norme MNP 7 est un protocole de compression d’un facteur 3 ;
  • la norme MNP 9 tente d’accroĂ®tre la bande passante en plaçant les ACK (accusĂ©s de rĂ©ception) dans les paquets de donnĂ©es plutĂ´t que sĂ©parĂ©s ;
  • la norme MNP 10 utilise une compression MNP 5 ou V.42bis, mais parvient Ă  accroĂ®tre encore le dĂ©bit ; si, par suite de mauvaises conditions de transmission (bruit, parasites…), les modems ont rĂ©duit leur cadence, MNP 10 leur permet d’accroĂ®tre Ă  nouveau la cadence si l’état de la ligne s’amĂ©liore.

Commandes AT

La firme Hayes, fabricant de modems, a développé un protocole pour la commande d’un modem externe à partir d’un ordinateur. Le protocole définit diverses commandes permettant par exemple :

  • de composer un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone ;
  • de commander le raccordement du modem Ă  la ligne (l’équivalent de dĂ©crocher le tĂ©lĂ©phone) ;
  • de connaĂ®tre l’état de la ligne : tonalitĂ© d’invitation Ă  transmettre, ligne occupĂ©e, etc. ;
  • de spĂ©cifier le type de transmission et le protocole de liaison Ă  utiliser ;
  • de rĂ©gler le volume sonore du haut-parleur interne du modem ;
  • d’envoyer les caractères transmis simultanĂ©ment vers l’écran ;
  • d’afficher certains renseignements concernant le modem ;
  • de manipuler les registres internes du modem.

Notes et références

  1. Laurent Viennot, « Une brève histoire des réseaux de télécommunications », sur Interstices, .
  2. 56K Modem Emulator - Son caractéristique produit par un modem téléphonique lors de sa connexion.
  3. (en) Nullmodem.Com - Site d'information et de référence sur le brochage des connecteurs.

Bibliographie

  • Daniel Battu, Guide des modems Paris, Eyrolles, coll. « Gestion des nouvelles communications », 1993 (ISBN 978-2-212-04119-4).

Articles connexes

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