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Camp celtique de la Bure

Le camp celtique de la Bure fait partie des nombreux sites de hauteur fortifiĂ©s bordant la vallĂ©e de la Haute-Meurthe, dans le Grand-Est de la France. Le plateau, aujourd'hui sous couvert forestier, est partagĂ© entre la commune de Saint-DiĂ©-des-Vosges et celle d'Hurbache Ă  l’extrĂ©mitĂ© occidentale du massif de l'Ormont. Ce site connu par 23 annĂ©es d’investigations archĂ©ologiques de 1964 Ă  1986 fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [1]. Le pĂ©rimètre des versants et abords nord-est, aux lieux-dits « TĂŞte du VillĂ© Â» et « Rein de Champ Cote Â», fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 5 avril 1993. Cet habitat perchĂ©, de type Ă©peron-barrĂ© fortifiĂ© Ă  l’Est, se situe sur un promontoire rocheux en grès dominant la vallĂ©e de la Meurthe de plus de 200 mètres. Il s’agit lĂ  d’un site intensĂ©ment occupĂ© aux IIe et Ier siècles av. J.-C., et plus prĂ©cisĂ©ment tout Ă  la fin du second âge du fer ou de l’indĂ©pendance gauloise, ainsi que pendant presque toute la pĂ©riode romaine du IIe au IVe siècle. De nombreuses frĂ©quentations par des populations environnantes Ă  d’autres pĂ©riodes sont attestĂ©es et notamment au nĂ©olithique final Ă  travers de nombreux artefacts en pierres taillĂ©es dans du silex comme des burins, des grattoirs, des lames, des pointes de flèches ou encore des haches polies rĂ©alisĂ©es dans d’autres matĂ©riaux. Quelques tessons de cĂ©ramique glaçurĂ©e de couleur verte dateraient du Moyen Ă‚ge. Ce mobilier archĂ©ologique est entreposĂ© et en partie exposĂ© dans la section archĂ©ologique du MusĂ©e Pierre-NoĂ«l de Saint-DiĂ©-des-Vosges, oĂą l’on peut dĂ©couvrir une maquette de l’ensemble du site.
Plusieurs parcours pédestres permettent d’accéder à ce site qui se trouve à huit kilomètres environ au nord-ouest du centre-ville de Saint-Dié-des-Vosges. L’accès par la route mène les visiteurs aux hameaux de la Pêcherie ou de Marzelay, puis sur le chemin forestier montant au col de la Crenée. À partir de là, c’est le départ de plusieurs sentiers de randonnées, qui conduisent sur ce site archéologique en une vingtaine de minutes environ.

Site de hauteur fortifié de la Bure
Image illustrative de l’article Camp celtique de la Bure
Rempart et stèles funéraires (moulages) (2)
Localisation
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Lorraine
DĂ©partement Vosges
Protection Logo monument historique ClassĂ© MH (1982)[1]
Logo monument historique Inscrit MH (1993)[1]
CoordonnĂ©es 48° 19′ 35″ nord, 6° 56′ 18″ est
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Site de hauteur fortifié de la Bure
Site de hauteur fortifié de la Bure
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(Voir situation sur carte : Lorraine)
Site de hauteur fortifié de la Bure
Site de hauteur fortifié de la Bure
GĂ©olocalisation sur la carte : Vosges
(Voir situation sur carte : Vosges)
Site de hauteur fortifié de la Bure
Site de hauteur fortifié de la Bure

Description du site

Table d'orientation à l'extrémité Ouest

Ce site culmine Ă  une hauteur maximale de 583 mètres. Le plateau mesure plus prĂ©cisĂ©ment 350 mètres de long par 120 mètres de large et occupe une surface d’un peu plus de trois hectares, bordĂ© par des Ă -pics[2] Des traces laissĂ©es par une exploitation ancienne du grès, comme des traces de coin formant des lignes d’emboĂ®tures, des fronts de taille de carrières de grès en gradin, des encoches d’engins de levage remontant[3] Ă  l’occupation romaine se retrouvent Ă©galement sur d’autres sites de hauteur du massif des Vosges et notamment Ă  Saint-Quirin en Moselle au lieu-dit la Croix Guillaume[4]. Si Ă  l’extrĂ©mitĂ© Est du site se concentre le système principal de dĂ©fenses de l’époque gauloise ou de la fin de La Tène, ainsi que de la pĂ©riode romaine auquel s’ajoute un fossĂ©, son extrĂ©mitĂ© Ouest voit l’installation d’une table d’orientation, posĂ©e en 1992, et prĂ©sentant les points de vue sur quasiment 360°. De la Bure le site de hauteur de la Pierre d'Appel et de Varrinchâtel Ă  Étival-Clairefontaine, la Haute Pierre au-dessus de Moyenmoutier, les Jumeaux qui pourraient s’inscrire sur la liste des sites de hauteur du secteur selon la mĂ©moire populaire, et les carrières antiques des Fossottes Ă  La Salle, dans le fond de vallĂ©e, sont visibles. Le « camp Â» celtique de la Bure domine, outre la confluence du Hure et de la Meurthe, le système viaire antique et notamment le tronçon Herbaville-Void de parupt en direction du col du Haut du Bois ou dans l’autre sens vers Saint-DiĂ©-des-Vosges en rive gauche de la Meurthe. Sur la rive droite, la voie de Saint-DiĂ©/Marzelay vers Étival-Clairefontaine, oĂą un pont en bois d’origine celtique a Ă©tĂ© retrouvĂ©, se dirigerait soit vers la plaine de Lorraine ou les cols vosgiens pour se rendre ensuite dans la vallĂ©e du Rhin. Une troisième voie partirait en direction de la vallĂ©e du Hure.

Historique des recherches

Comme la plupart des sites archĂ©ologiques, la Bure a servi de carrière pour la population environnante. Des Ă©rudits locaux se sont très vite intĂ©ressĂ©s Ă  ce site, un des premiers Ă©tant Édouard Ferry (parent de Jules Ferry) au milieu du XIXe siècle, puis Gaston Save[2], artiste dessinateur. Les premières investigations scientifiques sont lancĂ©es sous l’impulsion d'Albert Ronsin, en 1964, puis reprises Ă  partir de 1966 jusque 1986 par Georges Tronquart, alors directeur des fouilles. Après chaque annĂ©e de fouille, un rapport est rĂ©alisĂ© et publiĂ© prĂ©sentant ainsi les dĂ©couvertes rĂ©cemment mises au jour : de nombreux fragments de stèles funĂ©raires et votives, le mobilier mĂ©tallique, cĂ©ramique, lithique, en verre, ou encore des monnaies de la pĂ©riode gauloise ou romaine. Le dĂ©but des fouilles permet de dĂ©couvrir le rempart romain, constituĂ© de 18 gros blocs de grès sur plus de 18 mètres de long en 1964. Ce rempart va ĂŞtre renforcĂ© par un fossĂ© taillĂ© dans le grès de 43 mètres de long par 3 Ă  5 mètres de [3]. La terrasse Ă  l’Est du fossĂ© a servi un temps de nĂ©cropole aux habitants de la Bure, ainsi que de carrières, ce qui est prouvĂ© par les rĂ©emplois de fragments de stèles funĂ©raires ou votives, parfois complètes, retrouvĂ©es dans le rempart et datĂ©es de la pĂ©riode romaine ou encore dans le comblement du fossĂ©. Une seconde structure de dĂ©fense, la terrasse pĂ©riphĂ©rique, conservĂ©e sur un peu plus de 0,60 mètre aujourd’hui, est encore visible sur plus de 350 mètres de long sur le pourtour du site et daterait Ă©galement de la pĂ©riode romaine. Au XIXe siècle, certains auteurs relèvent ce rempart pĂ©riphĂ©rique dans leur Ă©crit, qui serait encore conservĂ© Ă  leur Ă©poque sur plus de 1 mètre de haut. Les accès au site de hauteur de la Bure se font par le cĂ´tĂ© Nord, Sud et Est, par le biais de trois poternes et d’une porte principale, voire d’une deuxième avec une voie pavĂ©e, accessibles pour des chars Ă  l’époque.

Le rempart gaulois

Murus gallicus

Le premier Ă©tat du rempart, datĂ© de la seconde moitiĂ© du IIe siècle avant notre ère, correspond Ă  un mur coudĂ©, dĂ©couvert en 1976, d’une largeur maximale de 7,50 mètres pour une longueur conservĂ©e de 38 mètres sur une hauteur de 3 mètres encore conservĂ©e en façade. Ce mur de dĂ©fense, le plus ancien sur le site, est composĂ© de deux parements externes constituĂ©s de blocs de grès quadrangulaires renforcĂ©s par un poutrage interne en chĂŞne, liĂ© Ă  l’aide de broche en fer dont 13 ont Ă©tĂ© mises au jour. Le noyau de ce mur est rĂ©alisĂ© Ă  partir de pierres et de terre. Cette construction est de type « Ehrang Â»[5]. Le second Ă©tat de ce rempart plus tardif, datĂ© de la première moitiĂ© du Ier siècle avant notre ère, serait de type « murus gallicus Â», typologie de mur la plus couramment utilisĂ©e Ă  cette pĂ©riode et qui correspondrait Ă  une rampe rectiligne de 45 mètres de long. Dans le dĂ©tail, il s’agirait d’un mur composĂ© d’un seul parement externe en blocs de grès, renforcĂ© par un poutrage interne, et recouvert d’une butte artificielle Ă  l’intĂ©rieur du site.

De la fin du second âge du Fer, le rempart est un des rares témoignages immobiliers pour cette période gauloise sur ce site de la Bure. D’autres vestiges et notamment le mobilier métallique témoigne d’une occupation à la fin de l’indépendance gauloise, et plus précisément à La Tène D1-D2 grâce à la découverte de fabricats de fibules de Nauheim qui correspondraient à des déchets d’ateliers artisanaux. Pour le mobilier céramique quelques formes de récipients datent de cette période notamment des tonnelets, des pots à cuire, des écuelles, des bols etc., ainsi que des bracelets en verre ou encore des perles. Et un important lot de 346 monnaies gauloises comprenant des potins et des deniers Leuques, Rèmes, Séquanes, Éduens et Lingons, ainsi que quelques armes comme des fers de javelots, de lances ou des pointes de flèche à barbelure unique.

L’étude de la toponymie permettrait d’avancer des hypothèses sur l’un des dieux qui pouvait être vénéré sur ce site aux IIe et Ier siècles av. J.-C. : le dieu gaulois Baco, ou Bago (signifiant le hêtre). Le plateau de la Bure se trouve actuellement entre les villages de Hurbache, au nord, et de Robache (Rauro-baccio en 664) au sud, dont les toponymes conserveraient une trace de ce culte ancien[6], et seraient des sortes de balises routières pour les pèlerins, de passage dans le secteur, désireux de monter à la Bure. Ce site culminant à une altitude moyenne de 580 mètres, il est de cette manière au plus près du ciel et des dieux.

Un sanctuaire à la période romaine

Plan du site.

Comme Jules CĂ©sar l’écrit dans la Guerre des Gaules[7] Ă  propos des croyances gauloises  « Le dieu qu’ils honorent le plus est Mercure : ses statues sont les plus nombreuses, ils le considèrent comme l’inventeur de tous les arts, il est pour eux le dieu qui indique la route Ă  suivre, qui guide le voyageur, il est celui qui est le plus capable de faire gagner de l’argent et de protĂ©ger le commerce Â». Dans la haute vallĂ©e de la Meurthe et environs de nombreux sites archĂ©ologiques ont fourni des stèles presque entières ou des fragments permettant de reconnaĂ®tre le dieu Mercure. Ă€ la Bure, un fragment de stèle dĂ©couvert au XIXe siècle, affirme la prĂ©sence de ce dieu, qui porte le pĂ©tase, sur ce site pour la pĂ©riode romaine[8]. Mais la reprĂ©sentation de Mercure, la mieux conservĂ©e et la plus originale, proviendrait de Moyenmoutier. Un Mercure dionysophore aurait Ă©tĂ© retrouvĂ© au pied de la roche de la Haute-Pierre sur une terrasse nord-ouest en 1933. Ă€ ces dĂ©couvertes, d’autres sont Ă  signaler comme sur la commune de la Petite-Fosse sur les hauteurs du Spitzemberg plus prĂ©cisĂ©ment, oĂą un fragment de stèle reprĂ©sentant Mercure a Ă©tĂ© dĂ©couvert, ou encore Ă  Saint-Quirin Ă  la Croix Guillaume en Moselle avec les fragments de deux stèles Ă  Mercure. Dans les bois de « Chevillots Â» au lieu-dit « ruine des templiers Â» Ă  Fremifontaine une stèle conservĂ©e en partie reprĂ©sente Mercure tenant le caducĂ©e accompagnĂ© d’un coq[9]. Un sanctuaire est Ă©galement vouĂ© Ă  Mercure Ă  Grandfontaine, sur le Donon, et n’oublions pas les dĂ©couvertes Ă  Archettes, dans la forĂŞt des Tannières, d’un sanctuaire de source vouĂ© Ă  Mercure[10]. Le culte de ce dieu est en lien direct avec la mythologie, comme en Gaule au Puy-de-DĂ´me, et notamment avec sa naissance sur le mont Cyllène, situĂ©e sur une hauteur.

Pour la pĂ©riode romaine, si Mercure est le dieu de toutes les attentions au sein de sanctuaires de hauteur de la part des pèlerins, il en est un qui n’est pas en reste Ă  la Bure : le dieu Jupiter, assimilĂ© Ă  Taranis chez les Gaulois. Au moins trois reprĂ©sentations de cavalier dit Ă  l’anguipède, issus de la tradition iconographique des gigantomachies grĂ©co-romaines, ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es au camp celtique de la Bure. Par comparaisons, au moins quatre de ces icones sont prĂ©sentes Ă  la Croix Guillaume Ă  Saint-Quirin rĂ©partis en deux zones cultuelles bien distinctes en lien avec une nĂ©cropole. Le sanctuaire du Donon a livrĂ© au minimum deux groupes de Jupiter cavalier Ă  l’anguipède[11]. Ă€ la Bure, le centre du plateau, point le plus haut du site, serait rĂ©servĂ© aux divinitĂ©s, tout comme le cĂ´tĂ© Est du site très certainement Ă  proximitĂ© d’une nĂ©cropole. Les fragments de plus de 23 stèles funĂ©raires ont Ă©tĂ© dĂ©couverts Ă  la Bure : stèle-maison, stèle-plaque etc. et parfois avec une inscription, dont quatre moulages sont exposĂ©s sur le site.

Plusieurs carrières comme celle en forme de L inversĂ© ont permis d’extraire des dalles de grès pour des constructions Ă  la Bure. Pas moins de 19 coins, en fer, ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s. Le travail de la forge est Ă©galement attestĂ© avec la dĂ©couverte de plus de 460 kilogrammes de scories, et de nombreux outils en lien avec le travail du fer : bigorne, marteau, pince etc. auxquels il faut ajouter l’exploitation du minerai de fer dans le massif de la Bure. Le travail du verre se retrouve aussi sur ce site. Les diffĂ©rentes activitĂ©s commerciales, ou artisanales, permettent d’approcher en partie les habitants, ou du moins les occupants de passage, Ă  la Bure comme le forgeron, le bronzier, le verrier, le guerrier, l’aristocrate, le pèlerin de passage, le bucheron, le carrier, le paysan, le commerçant, le tailleur de pierres etc.

La redécouverte de la Bure

Au XVIIIe siècle, la chasse au loup Ă  travers le massif des Vosges peut rapporter gros, ce qui pousse de nombreuses personnes et notamment des chasseurs Ă  partir Ă  sa recherche. Si de nombreuses attaques sont notĂ©es dans les vallĂ©es de Munster ou de Lièpvre/Sainte-Marie-aux-Mines, la chasse au loup devient pour certains une spĂ©cialitĂ© et un signe de rentrĂ©e d’argent[12]. Ă€ la Bure, une croix dite « de l’enfant Â» prĂ©tendument attaquĂ© et dĂ©vorĂ© par les loups est Ă©levĂ©e en 1752-1753 pour exorciser les lieux[2], qui Ă©taient encore Ă  cette Ă©poque visitĂ© par de nombreuses personnes effectuant quelques rites pour une bĂ©nĂ©diction ou tout autre incantation Ă  destination d’enfants ou d’adultes[13]. Après cette pĂ©riode nous pouvons noter que ce qui avait Ă©tĂ© pris Ă  tort pour un Viereckenschanzen ou petit temple Ă  la fin des dernières fouilles en 1986 trouve une signification dans les Ă©vĂ©nements de 1914-1918. Il s'agirait, après observation, d'une installation de l'ancĂŞtre d'un mortier français.

Toponymie

Bassin de Taranis/Jupiter (7)
Bassin des Déesses-mères/Dianes (8)

Le camp celtique de la Bure eut diffĂ©rentes dĂ©nominations selon les Ă©poques et les auteurs : « camp des SuĂ©dois Â» , « camp des Sarrazins Â» , « château des Sarrazins Â» , « camp des Romains Â» , « camp des Gaulois Â» , « enceinte prĂ©historique Â» , « remparts Â»[2]. Le mot « bure Â» a plusieurs sens. Le premier Ă©tant une Ă©toffe de laine croisĂ©e, Ă  poil long, habituellement rousse, le deuxième sens, est quant Ă  lui attribuĂ© au travail de la mine, puisqu’il s’agit de puits qui descendent de la surface de la terre jusque dans l’intĂ©rieur d’une mine ou encore la partie supĂ©rieure d’un fourneau de forge. Enfin, un autre sens proche du prĂ©cĂ©dent, serait des puits qui relient verticalement plusieurs galeries de mines qui ne dĂ©bouchent pas au jour[3]. Et il existait autrefois en Lorraine des feux de bure. Ce travail de recherche peut nous fournir des indices sur le nom actuel du site, car nous pouvons constater la prĂ©sence soit de mines ou de minières tout autour du plateau de la Bure, ou encore des ateliers de forge au sein de ce site.

Notes et références

  1. Notice no PA00107274, base Mérimée, ministère français de la Culture
  2. Georges Tronquart, Le « Camp celtique » de la Bure, Saint-Dié-des-Vosges, Le Chardon, 1989, 127 p.
  3. JĂ©rĂ©my Gracio, Saint-DiĂ©-des-Vosges, Vosges, TĂŞte du VillĂ© : le camp celtique de la Bure, prospection et inventaire des sites et gisements archĂ©ologiques dans le bassin de Saint-DiĂ©-des-Vosges, Metz, D.R.A.C.-S.R.A./Grand-Est, 2014, 38 p.
  4. K. Bouchet, D. Heckenbenner, N. Meyer, M. Mondy, I. Le Goff, M. Rohmer, Le site gallo-romain de la Croix Guillaume à Saint-Quirin (Moselle), brochure éditée par l’association pour la recherche archéologique au Pays de Sarrebourg, avec le concours du Ministère de la Culture et de la Communication (D.R.A.C.-Lorraine), du Conseil général de la Moselle et de la commune de Saint-Quirin, 2008, 46 p.
  5. S. Fichtl, La ville celtique, Les oppida de 150 av. J.-C. à 15 ap. J.-C., deuxième édition corrigée et augmentée, éditions Errance, Paris, 2005, 238 p.
  6. T. Choserot, Robache un lieu de culte dĂ©diĂ© au dieu gaulois Baco ?, dans MĂ©moire des Vosges, SociĂ©tĂ© Philomatique Vosgienne, XVII, 2008, p. 25-31.
  7. J. César, La guerre des Gaules, livre VI, 17, traduction d’après L.-A. Constans, 1926
  8. A. Fournier, V. Franck, Les Vosges du Donon au Ballon d’Alsace, 1901, 680 p.
  9. J. Trapp, « Les ruines de la prĂ©tendue commanderie templière de Brouvelieures (Vosges) Â», dans Bulletin d’ArchĂ©o Vosges, numĂ©ro 1, 2007, pp. 51-59, 66 p.
  10. M. Michler (Provost Michel dir.), Carte archéologique de la Gaule, les Vosges 88, maison des Sciences de l'Homme, Paris, 2004, 426 p.
  11. B. Schnitzler, Cinq siècles de civilisation romaine en Alsace, les collections du musée archéologique, éditions les musées de la ville de Strasbourg, 1996, 169 p.
  12. Th. Pfeiffer, « Le loup en Alsace : de mĂ©moire d’homme Â», dans Revue d’Alsace, L’Alsace : un très riche patrimoine archĂ©ologique, numĂ©ro 132, 2006, p. 175-203
  13. J.-C. Schmitt, Le Saint LĂ©vrier : Guinefort, guĂ©risseur d’enfants depuis le XIIIe siècle, Ă©ditions Flammarion, 2004, 282 p.

Voir aussi

Bibliographie

  • K. Bouchet, D. Heckenbenner, N. Meyer, M. Mondy, I. Le Goff, M. Rohmer, Le site gallo-romain de la Croix Guillaume Ă  Saint-Quirin (Moselle), brochure Ă©ditĂ©e par l’association pour la recherche archĂ©ologique au Pays de Sarrebourg, avec le concours du Ministère de la Culture et de la Communication (D.R.A.C.-Lorraine), du Conseil gĂ©nĂ©ral de la Moselle et de la commune de Saint-Quirin, 2008, 46 p.
  • K. Boulanger, Saint-DiĂ©-La Bure (Vosges), Projet de mise en valeur, Rapport de synthèse sur les fouilles archĂ©ologiques, 1997, 113 p.
  • Jules CĂ©sar, La Guerre des Gaules, livre VI, 17, traduction d’après L.-A. Constans, 1926
  • T. Choserot, « Robache, un lieu de culte dĂ©diĂ© au dieu gaulois Baco ? Â», dans MĂ©moire des Vosges, SociĂ©tĂ© Philomatique Vosgienne, XVII, 2008, p. 25-31.
  • P. Devel, Le bassin de Saint-DiĂ© Ă  la Tène finale, mĂ©moire de maĂ®trise, UniversitĂ© March Bloch, Strasbourg, 1999, 207 p.
  • S. Fichtl, La ville celtique, Les oppida de 150 av. J.-C. Ă  15 ap. J.-C., deuxième Ă©dition corrigĂ©e et augmentĂ©e, Ă©ditions Errance, Paris, 2005, 238 p.
  • A. Fournier, V. Franck, Les Vosges du Donon au Ballon d’Alsace, 1901, 680 p.
  • J. Gracio, Saint-DiĂ©-des-Vosges, Vosges, TĂŞte du VillĂ© : le camp celtique de la Bure, prospection et inventaire des sites et gisements archĂ©ologiques dans le bassin de Saint-DiĂ©-des-Vosges, Metz, D.R.A.C.-S.R.A./Grand-Est, 2014, 38 p.
  • M. Maulini, Le Ban d’Étival dans les Vosges, Ă©tude archĂ©ologique de la PrĂ©histoire Ă  la Renaissance, 1961, 238 p.
  • M. Michler (Provost Michel dir.), Carte archĂ©ologique de la Gaule, les Vosges 88, maison des Sciences de l'Homme, Paris, 2004, 426 p.
  • G. Moitrieux, « Un siècle de recherches archĂ©ologiques Ă  Deneuvre Â», dans Revue archĂ©ologique de l’Est et du Grand-Est, janvier-juin 1981, Dijon, 24 p.
  • Th. Pfeiffer, « Le loup en Alsace : de mĂ©moire d’homme Â», dans Revue d’Alsace, L’Alsace : un très riche patrimoine archĂ©ologique, numĂ©ro 132, 2006, p. 175-203, 440 p.
  • Gaston Save, « Monuments gallo-romains des environs de Saint-DiĂ©, La Bure Â», , dans Bulletin S.P.V., tome 13, 1888, p. 272-280
  • J.-C. Schmitt, Le Saint LĂ©vrier : Guinefort, guĂ©risseur d’enfants depuis le XIIIe siècle, Ă©ditions Flammarion, 2004, 282 p.
  • Bernadette Schnitzler, Cinq siècles de civilisation romaine en Alsace, les collections du musĂ©e archĂ©ologique, Ă©ditions les musĂ©es de la ville de Strasbourg, 1996, 169 p.
  • L. Scholtus, La Bure : relecture des donnĂ©es, mĂ©moire de master soutenu en 2014 (UniversitĂ© de Strasbourg).
  • J. Trapp, Les ruines de la prĂ©tendue commanderie templière de Brouvelieures (Vosges), dans Bulletin d’ArchĂ©o Vosges, no 1, 2007, p. 51-59, 66 p.
  • G. Tronquart, Le « Camp celtique » de la Bure, Saint-DiĂ©-des-Vosges, Le Chardon, 1989, 127 p.
  • T. Choserot, Le "camp celtique" de la Bure Ă  Saint-DiĂ©, Bulletin hors sĂ©rie de la SociĂ©tĂ© philomathique vosgienne, 2016, 127 p.

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