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Bygmalion

Bygmalion Ă©tait une agence de communication crĂ©Ă©e en 2008 par Bastien Millot et Guy Alves[4]. Sa structure juridique Ă©tait une sociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e (SAS) au capital de 500 000 euros, dĂ©tenue par deux holdings : AMM Participations (sociĂ©tĂ© de l'ancien PDG de Bygmalion, Guy Alves) et RG management (sociĂ©tĂ© de l'actuel directeur gĂ©nĂ©ral de Bygmalion, Richard Gibeaud).

Bygmalion
logo de Bygmalion
Logo de Bygmalion

Création
Disparition (liquidation judiciaire)
Fondateurs Bastien Millot et Guy Alves
Forme juridique Société par actions simplifiée
Slogan « Révélateur de vos ambitions »
Siège social Paris
Drapeau de la France France
Direction Guy Alves (Président) et Richard Gibeaud (Directeur Général)[1]
Activité Groupe de communication
Société mère AMM Participations 524698909
Filiales B Digital
B Consultants
B4 Sports
Event & Cie
Doxeo
Effectif Entre 10 et 50[2]
Siren 508 672 011
SIREN 508672011[3]
Site web bygmalion.fr

Chiffre d'affaires 2,8 millions d'euros en 2009
RĂ©sultat net 40 000 euros en 2009

Organisation du groupe

Le groupe Bygmalion est constitué d'une société mère Bygmalion SAS et de plusieurs filiales.

En juillet 2014, Bygmalion ainsi que ses filiales sont placées en liquidation judiciaire[5]. Début octobre 2014, le mobilier et les équipements du siège de la société sont vendus aux enchères publiques[6].

Actionnariat de la société Bygmalion SAS

Début 2014, l'actionnariat de Bygmalion SAS est décomposé de la manière suivante :

  • 44,82 % Paris Luxembourg Participations (Emmanuel Limido)
  • 23,86 % RG Management (Richard Gibeaud)
  • 23,86 % AMM Participations (Guy Alves)

Participations données par Mediapart[7]

Les filiales

Les différentes filiales de Bygmalion SAS :

  •  Bygmalion TV qui produit des spots tĂ©lĂ©visĂ©s et des programmes depuis 2009, 
  •  Ideepole (depuis 2008)
  • Event & Cie est la filiale Ă©vènementielle du groupe.
  • Doxeo, sociĂ©tĂ© crĂ©Ă©e en 2008, fournit des formations aux Ă©lus ou gèrent des Ă©vĂ©nements comme les « JournĂ©es des jobs d'Ă©tĂ© », ou des rencontres d'eurodĂ©putĂ©s[8]. Bygmalion SAS exerce directement le contrĂ´le sur cette filiale en sa qualitĂ© de prĂ©sident, et mandataire de l'entreprise DOXEO. Le dernier chiffre d'affaires publiĂ© pour cette sociĂ©tĂ© est de 4,8 millions d'euros au 31/12/2009. Elle employait Ă  cette date un effectif de 21 personnes. Parmi les clients de DoxĂ©o, on trouve surtout des Ă©lus qui ont demandĂ© des formations politiques, comme JĂ©rĂ´me Lavrilleux (conseil gĂ©nĂ©ral de l'Aisne)[9], Olivier Bettati (conseil gĂ©nĂ©ral des Alpes-Maritimes)[10]
  • B4 Sports (Ă©galement dĂ©nommĂ©e Éditions Doxeo avant le 1er janvier 2014 qui exerçait un mĂ©tier d'Ă©diteur). SociĂ©tĂ© crĂ©Ă©e en 2009, prĂ©sidĂ©e par Bygmalion SAS. B4 Sports est une agence de publicitĂ© dont le mĂ©tier est la communication des sportifs et la communication des marques autour du sport.

La direction générale de Bygmallion SAS est assurée par Richard Gibeaud, par ailleurs actionnaire de Bygmalion SAS (à travers RG Management), directeur général de Doxeo, de B4 Sports.

Domaine d'intervention

Le dernier chiffre d'affaires connu date de 2009 avec un montant de 2,79 millions d'euros. Depuis 2009, Bygmalion ne publie plus ses résultats[11].

Formations politiques

  • Le groupe UMP (rĂ©alisation de plaquettes pour les parlementaires en 2008)
  • GĂ©nĂ©ration France (conception du site internet)
  • L'UMP (organisation de sĂ©minaires)
  • L'UMP et l'ANDL (formation d'Ă©lus)
  • EntraĂ®nement d'Ă©lus (prise de parole devant un public hostile, gestion de crise, « media-coaching » intensif avant intervention dans un mĂ©dia, etc.)

Collectivités territoriales

Divers

Affaires judiciaires

Mairie de Saint-Maur-des-Fossés : prestations non réalisées

Entre dĂ©cembre 2009 et dĂ©cembre 2012, la sociĂ©tĂ© aurait signĂ© plusieurs contrats avec la mairie de Saint-Maur-des-FossĂ©s pour un montant de 330 000 euros. D'après L'Express, 250 000 euros de prestations n'auraient pas Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©es par la sociĂ©tĂ©. Le parquet de CrĂ©teil a ouvert une enquĂŞte prĂ©liminaire en 2013[17]. En novembre 2017, le maire Henri Plagnol est reconnu coupable de complicitĂ© de dĂ©tournement de fonds publics et condamnĂ© Ă  trois ans d'inĂ©ligibilitĂ© et un an d'emprisonnement avec sursis[18].

France Télévisions : mises en examen pour favoritisme

En 2008, alors que son fondateur Bastien Millot quitte son poste de directeur dĂ©lĂ©guĂ© Ă  France TĂ©lĂ©visions, Le Canard enchaĂ®nĂ© rĂ©vèle que le jour de son dĂ©part, plusieurs contrats auraient Ă©tĂ© signĂ©s entre les deux entreprises pour un montant de 143 902 euros. Le Canard enchaĂ®nĂ© rĂ©vèle Ă©galement que des contrats de prestation ont Ă©tĂ© renouvelĂ©s pendant six ans sans faire l'objet d'appel d'offres[2]. Pendant quatre ans, Bygmalion empoche ainsi 1,2 million, selon Le Canard enchaĂ®nĂ©[19].

En avril 2014, Patrick de Carolis, l'ancien PDG de France-Télévisions, et Camille Pascal, l'ancien secrétaire général du groupe France Télévisions, sont mis en examen pour favoritisme[20]. Parallèlement, Bastien Millot est mis en examen pour « recel de favoritisme »[21].

Par un arrêt remarqué du 17 février 2016, la chambre criminelle de la Cour de cassation valide la procédure d'instruction suivie contre Patrick de Carolis et Camille Pascal : le délit peut être caractérisé même si le favoritisme ne concerne pas des marchés régis par le code des marchés publics ; la loi pénale française n'est pas contraire au droit de l'Union européenne[22].

Affaire UMP-Bygmalion

En février 2014, une enquête du magazine Le Point[23], accusant la société d'avoir surfacturé des prestations de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, met en cause les liens d'amitiés entre les deux dirigeants de l'entreprise et Jean-François Copé, secrétaire général puis président de l'UMP[24].

En mai 2014, Libération révèle que l'UMP a payé, pendant la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, 20 millions d'euros à Bygmalion, et affirme que certains des événements rétribués n'ont jamais eu lieu[25]. La filiale de Bygmalion Event & Cie fait l'objet d'une enquête préliminaire pour « faux, abus de biens sociaux et abus de confiance »[26]. Le , Me Patrick Maisonneuve, avocat de la société, déclare que Bygmalion s'est vue « imposer » des factures litigieuses « à la demande » de la direction de l'UMP, et explique que les fausses factures seraient un montage pour dissimuler les dépassements de frais de Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2012[27]. Au cours de l’enquête, Franck Attal, patron d'Event et Cie, déclare aux policiers que Bastien Millot et Guy Alvès avaient accepté la proposition faite par Jérôme Lavrilleux et Éric Cesari, de « rentrer dans l'irrégularité » par ce système de fausses factures, ce que Guy Alves confirme aux enquêteurs[28].

De nouveaux soupçons de surfacturation font surface le 25 juin 2014, avec un article du Canard enchaîné qui révèle que dès 2010, certaines prestations furent facturées par Bygmalion à l'UMP et à son groupe parlementaire « 700 fois le prix habituellement demandé par d'autres entreprises »[29]. L'hébergement mensuel du site de l'UMP a coûté 3 588 euros par mois en 2011 et jusqu'à plus de 22 000 euros pour le mois de novembre, une prestation qui d'ordinaire ne coûte que 5 à 21 euros par mois, soit « 250 à 1 000 fois moins cher »[30]. En 2010, Bygmalion a facturé 638 038,10 euros pour le site internet des députés UMP, une prestation qui d'ordinaire coûte aux alentours de 3 000 euros par an[31]. La lettre d'information du groupe UMP (trois paragraphes de texte, une photo et quelques extraits de discours), envoyée aux députés du parti, fut facturée 172 415,36 euros[32]. Autre exemple, le parti a payé 232 598,08 euros en 2010 pour la création de plusieurs « minisites » internet, en réalité « de simples pages d'accueil squelettiques ». Enfin, plusieurs personnalités de l'UMP furent rémunérées par Bygmalion, dont Guillaume Peltier et Geoffroy Didier[33].

Le , après deux jours de garde à vue, Bastien Millot et Guy Alves sont mis en examen pour abus de confiance, complicité de faux et usage de faux par les juges chargés de l'information judiciaire ouverte pour « faux et usage de faux, abus de confiance et tentative d’escroquerie »[34]. Franck Attal, ex-patron de la filiale Event & Cie, est lui mis en examen pour faux et usage de faux. Le lendemain, Éric Cesari, ancien directeur général de l'UMP, Fabienne Liadzé, ex-directrice financière de l'UMP, et Pierre Chassat, ex-directeur de la communication de l'UMP, sont interpellés et placés en garde à vue[35]. Le 4 octobre, ils sont tous les trois mis en examen pour « faux, usage de faux et abus de confiance[36] ».

Le 1er octobre 2019, La Cour de cassation a confirmé définitivement le renvoi en procès de Nicolas Sarkozy pour les dépenses excessives de sa campagne présidentielle de 2012. Un procès était suspendu depuis deux ans à la suite de nombreux recours[37].

Affaire des formations fantĂ´mes

De nouveaux soupçons de surfacturation apparaissent Ă  l'occasion de la mise en cause de JĂ©rĂ´me Lavrilleux et de la perquisition menĂ©e le 26 mai 2014 dans les locaux de l'Association nationale pour la dĂ©mocratie locale (ANDL), prĂ©sidĂ©e par la dĂ©putĂ©e UMP Michèle Tabarot[38]. Ces soupçons concernent des faits datant de 2011, rĂ©vĂ©lĂ©s par Mediapart, et se rapportent Ă  la formation demandĂ©e par JĂ©rĂ´me Lavrilleux, refusĂ©e par le Conseil gĂ©nĂ©ral de l'Aisne et tout de mĂŞme facturĂ©e par Doxeo (filiale de Bygmalion) au prix de 600 euros de l'heure[9] - [39]. Le cas de JĂ©rĂ´me Lavrilleux pourrait ne pas ĂŞtre un cas isolĂ©, car le JDD et Mediapart citent d'autres Ă©lus : « Ils m'ont sollicitĂ© il y a quelques mois, raconte au JDD un Ă©lu du Val-d'Oise, je m'y suis rendu et j'ai paraphĂ© le registre, mais je ne suis pas restĂ©. On m'avait alors expliquĂ© que la prochaine fois je n'aurais mĂŞme pas Ă  me dĂ©placer… »[40] - [41]

Mairie de Menton

La police judiciaire de Nice enquĂŞte sur un supposĂ© favoritisme et prise illĂ©gale d'intĂ©rĂŞts dans l'attribution d'un marchĂ© public Ă  Menton, concernant les sociĂ©tĂ©s Bygmalion et celle de Guillaume Peltier, Com1+[42]. Les deux contrats sont infĂ©rieurs Ă  15 000 € H.T., seuil fixĂ© pour mettre en place une mise en concurrence entre diffĂ©rentes sociĂ©tĂ©s[43]. Pour la municipalitĂ© « l'opposition a essayĂ© de lier les deux affaires, mais ce sont deux sociĂ©tĂ©s distinctes, assure le directeur gĂ©nĂ©ral des services Alain Riquet, qui ont fourni deux prestations diffĂ©rentes »[44].

Mairie de Soisy-sous-Montmorency

Le 26 juillet 2016, une plainte contre X a été adressée au Procureur de la République de Pontoise par l'association de défense des contribuables de Soisy-sous-Montmorency. La police judiciaire de Versailles enquête sur un supposé favoritisme et saucissonnage dans l'attribution du marché public avec Bygmalion et sa filiale Idéepole conclu entre 2008 et 2014 pour des sommes allant de 30 000 à 35 000 euros de prestations annuelles[45] - [46] - [47]. Le 5 octobre 2020, Luc Strehaiano, le Maire de Soisy a été reconnu coupable[48] devant le Tribunal Judiciaire de Pontoise pour favoritisme et saucissonnage dans le cadre de ce marché public avec Bygmalion. Il a plaidé coupable dans ce dossier et est jugé dans le cadre d'une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité[49] - [50]

Notes et références

  1. Site internet de Bygmalion, Les Dirigeants (consulté le 22/03/2014)
  2. Edouard de Mareschal, « Ce que l'on sait de Bygmalion, la société visée dans «l'affaire Copé» », sur Le Figaro, (consulté le )
  3. Système national d'identification et du répertoire des entreprises et de leurs établissements, (base de données)
  4. « BYGMALION SAS », sur Societe.com (consulté le )
  5. « Bygmalion en liquidation judiciaire », lepoint.fr, 17 juillet 2014.
  6. « Bygmalion vend ses meubles ! », Le Parisien, le 4 octobre 2014
  7. François Krug, « Affaire Copé: les mauvais comptes et les bons amis de Bygmalion », sur Mediapart, (consulté le )
  8. Jérémie Baruch, Maxime Vaudano et Samuel Laurent, « Affaire Copé : ce qu'on sait, ce qu'on savait, ce qu'on ignore encore », sur Le Monde, (consulté le )
  9. « Le conseil général de l’Aisne claque la porte au nez de Bygmalion », sur Le Courrier picard, (consulté le )
  10. « UMP : les drôles de factures des copéistes », sur Le Point, (consulté le )
  11. Affaire Copé : ce que l'on sait de la société Bygmalion, Le Nouvel Obs, 27 février 2014
  12. Titre du marché Conseil en communication et relation presse pour l’inauguration du musée Bonnard
  13. Mathias Destal, Peltier: «papa Copé» et «maman Bygmalion» vont lui manquer, Marianne, 27 mai 2014
  14. Le Parisien
  15. « Questions autour des revues municipales liées à Bygmalion », sur leparisien.fr (consulté le )
  16. Donald Hebert, « Affaire Copé : ce que l'on sait de la société Bygmalion », sur Le Nouvel Obs, (consulté le )
  17. Pascale Tournier, « L'autre affaire Bygmalion », sur L'Express, (consulté le )
  18. « Fausses factures avec Bygmalion : trois ans d'inéligibilité pour l'ex-ministre Henri Plagnol », sur www.europe1.fr (consulté le )
  19. Thomas Leroy, « Bastien Millot, l’homme derrière Bygmalion », sur Public Sénat, (consulté le )
  20. France Télé : Patrick de Carolis soupçonné de favoritisme. France Info, 23 avril 2014.
  21. Bygmalion : surfacturations à l'UMP, favoritisme à France Télévisions. Libération, 22 avril 2014.
  22. Texte de l'arrêt du 17 février 2016.
  23. « EXCLUSIF. Affaire Copé : des copinages qui coûtent cher à l'UMP », sur Le Point, (consulté le )
  24. « UMP : que sait-on de Bygmalion, la boîte de com' qui embarrasse Copé ? », sur France TV Info, (consulté le )
  25. Factures de l'UMP : Pierre Lellouche affirme ne pas être le bon «pigeon».
  26. Affaire Bygmalion : l'UMP aurait réglé près de 20 millions d'euros, TF1, 15 mai 2014.
  27. « Bygmalion met en cause l'UMP et les comptes de campagne de Sarkozy », sur Le Monde, (consulté le )
  28. Gérard Davet, « Le comptable et les patrons de Bygmalion accusent l'UMP », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne)
  29. Les bonnes affaires de Bygmalion avec le groupe UMP, selon « Le Canard enchaîné », Les Échos, 25 juin 2014.
  30. Bygmalion : le trop cher hébergement du site du groupe UMP, Le Monde, 25 juin 2014.
  31. Les folles dépenses de l'UMP avec Bygmalion, Contribuables associés, 25 juin 2014.
  32. Bygmalion: le groupe UMP à l'Assemblée a payé 638.000 euros pour son site Internet en 2010, Huffington Post, 25 juin 2014.
  33. Les factures mirobolantes de Bygmalion au groupe UMP de l'Assemblée nationale, Le Figaro, 25 juin 2014.
  34. Les deux fondateurs de Bygmalion mis en examen Libération le 1er octobre 2014
  35. Affaire Bygmalion : trois anciens cadres de l'UMP en garde Ă  vue, Le Monde, le 2 octobre 2014
  36. Affaire Bygmalion : trois ex-cadres de l'UMP mis en examen, Le Monde, le 4 octobre 2014
  37. Simon Piel et Le Monde, « Affaire Bygmalion : la Cour de cassation confirme le renvoi de Nicolas Sarkozy devant le tribunal », sur Le Monde.fr, (consulté le ).
  38. « UMP. Après Bygmalion, une nouvelle affaire de surfacturation ? », sur Le Télégramme, (consulté le )
  39. « Affaire Copé : cette facture de Bygmalion qui a fait bondir le PS », sur Mediapart, (consulté le )
  40. Marie-Christine Tabet, « Soupçons sur la formation des élus UMP », sur Le JDD, (consulté le )
  41. Mathilde Mathieu et Marine Turchi, « UMP : après les fausses factures, les formations fantômes », sur Mediapart, (consulté le )
  42. Perquisition chez Guillaume Peltier, vice-président de l'UMP, dans le Loir-et-Cher FranceTV info, 3 juin 2014
  43. Gérald Andrieu et Laureline Dupont Contrats publics: un maire UMP accusé de favoritisme envers Guillaume Peltier et un proche de Copé Marianne, 18 décembre 2012
  44. Eric Galliano , Bygmalion et la CĂ´te d'Azur: une vieille histoire... Varmatin.com, 29 mai 2014
  45. Soisy-sous-Montmorency : la police judiciaire enquête sur les marchés publics de la mairie
  46. Luc Strehaiano visé par une plainte pour corruption !
  47. Extrait du procès-verbal du conseil municipal de Soisy-sous-Montmorency du 26 juin 2014
  48. Par Frédéric Naizot Le 5 octobre 2020 à 19h51, « Le maire de Soisy-sous-Montmorency condamné pour favoritisme », sur leparisien.fr, (consulté le )
  49. Par Frédéric Naizot Le 12 juin 2020 à 18h33, « Marchés publics suspects à Soisy-sous-Montmorency : le maire plaide coupable », sur leparisien.fr, (consulté le )
  50. Omar Bekare, « Bygmalion : le Maire de Soisy renvoyé devant le tribunal pour favoritisme et saucissonnage de marchés publics », sur LeSoiseen.info, (consulté le )

Lien externe

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